jamais


↑ objectName, objectTitle:

objectTitle :

collectionName : collectionName
inventoryNb : inventoryNb
objectName : objectName
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objectCulture : objectCulture
geography : geography
dating : dating
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technique : technique
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objectDescription : objectDescription

↑ , Souvenir de communion: "En ce jour le plus beau de ma vie, je me donne à Jésus pour jamais" (124):

Souvenir de communion: "En ce jour le plus beau de ma vie, je me donne à Jésus pour jamais" (124) :

collectionName : Ethnologie européenne
inventoryNb : 2014.276.0126
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objectTitle : Souvenir de communion: "En ce jour le plus beau de ma vie, je me donne à Jésus pour jamais" (124)
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geography :
dating : AD 1850 - AD 1920
material :
technique :
dimensions : Hauteur: 10 cm, Largeur: 7 cm
legalRightOwner : Musées royaux d'art et d'histoire/Koninklijke Musea voor Kunst en Geschiedenis

objectDescription : item has no descption

↑ , N'oublions jamais ses bienfaits:

N'oublions jamais ses bienfaits :

collectionName : Ethnologie européenne
inventoryNb : 2014.282.0122
objectName :
objectTitle : N'oublions jamais ses bienfaits
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geography :
dating : AD 1850 - AD 1920
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technique :
dimensions : Hauteur: 5,4 cm, Largeur: 3,9 cm
legalRightOwner : Musées royaux d'art et d'histoire/Koninklijke Musea voor Kunst en Geschiedenis

objectDescription : item has no descption

↑ , Souvenez-vous que jamais Marie n'a été implorée en vain. Après la croix, la couronne:

Souvenez-vous que jamais Marie n'a été implorée en vain. Après la croix, la couronne :

collectionName : Ethnologie européenne
inventoryNb : 2014.282.0155
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objectTitle : Souvenez-vous que jamais Marie n'a été implorée en vain. Après la croix, la couronne
objectCulture :
geography :
dating : AD 1850 - AD 1920
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technique :
dimensions : Hauteur: 10,7 cm, Largeur: 6,8 cm
legalRightOwner : Musées royaux d'art et d'histoire/Koninklijke Musea voor Kunst en Geschiedenis

objectDescription : item has no descption

↑ , 680(…) Lorsqu'en sa bonté on espère, on est jamais abandonné:

680(…) Lorsqu'en sa bonté on espère, on est jamais abandonné :

collectionName : Ethnologie européenne
inventoryNb : 2014.286.0014
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objectTitle : 680(…) Lorsqu'en sa bonté on espère, on est jamais abandonné
objectCulture :
geography :
dating : AD 1850 - AD 1920
material :
technique :
dimensions : Hauteur: 9,5 cm, Largeur: 6,2 cm
legalRightOwner : Musées royaux d'art et d'histoire/Koninklijke Musea voor Kunst en Geschiedenis

objectDescription : item has no descption

↑ , Dieu n'abandonne jamais l'orphelin:

Dieu n'abandonne jamais l'orphelin :

collectionName : Ethnologie européenne
inventoryNb : 2014.289.0019
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objectTitle : Dieu n'abandonne jamais l'orphelin
objectCulture :
geography :
dating : AD 1863 - AD 1879
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technique :
dimensions : Hauteur: 9,8 cm, Largeur: 6,3 cm
legalRightOwner : Musées royaux d'art et d'histoire/Koninklijke Musea voor Kunst en Geschiedenis

objectDescription : item has no descption

↑ , N'oublions jamais ses bienfaits:

N'oublions jamais ses bienfaits :

collectionName : Ethnologie européenne
inventoryNb : 2014.291.0097
objectName :
objectTitle : N'oublions jamais ses bienfaits
objectCulture :
geography :
dating : AD 1850 - AD 1920
material :
technique :
dimensions : Hauteur: 5,4 cm, Largeur: 3,9 cm
legalRightOwner : Musées royaux d'art et d'histoire/Koninklijke Musea voor Kunst en Geschiedenis

objectDescription : item has no descption

↑ , Souvenir de décès - 227 - Cher enfant, le plaisir est trompeur, la vertu seule ne trahit jamais:

Souvenir de décès - 227 - Cher enfant, le plaisir est trompeur, la vertu seule ne trahit jamais :

collectionName : Ethnologie européenne
inventoryNb : 2014.304.0049
objectName :
objectTitle : Souvenir de décès - 227 - Cher enfant, le plaisir est trompeur, la vertu seule ne trahit jamais
objectCulture :
geography :
dating : AD 1870
material :
technique :
dimensions : Hauteur: 12 cm, Largeur: 7,8 cm
legalRightOwner : Musées royaux d'art et d'histoire/Koninklijke Musea voor Kunst en Geschiedenis

objectDescription : item has no descption

↑ , Souvenir de décès - 227 - Cher enfant, le plaisir est trompeur, la vertu seule ne trahit jamais:

Souvenir de décès - 227 - Cher enfant, le plaisir est trompeur, la vertu seule ne trahit jamais :

collectionName : Ethnologie européenne
inventoryNb : 2014.304.0050
objectName :
objectTitle : Souvenir de décès - 227 - Cher enfant, le plaisir est trompeur, la vertu seule ne trahit jamais
objectCulture :
geography :
dating : AD 1870
material :
technique :
dimensions : Hauteur: 12 cm, Largeur: 7,8 cm
legalRightOwner : Musées royaux d'art et d'histoire/Koninklijke Musea voor Kunst en Geschiedenis

objectDescription : item has no descption

↑ , L'âme pure sera heureuse à jamais avec Jésus et Marie:

L'âme pure sera heureuse à jamais avec Jésus et Marie :

collectionName : Ethnologie européenne
inventoryNb : 2014.304.0123
objectName :
objectTitle : L'âme pure sera heureuse à jamais avec Jésus et Marie
objectCulture :
geography :
dating : AD 1850 - AD 1920
material :
technique :
dimensions : Hauteur: 6,2 cm, Largeur: 10,4 cm
legalRightOwner : Musées royaux d'art et d'histoire/Koninklijke Musea voor Kunst en Geschiedenis

objectDescription : item has no descption

↑ , Souvenir de décès - Souvenez-vous, ô très pieuse Vierge Marie, qu'on n'a jamais ouï dire (…):

Souvenir de décès - Souvenez-vous, ô très pieuse Vierge Marie, qu'on n'a jamais ouï dire (…) :

collectionName : Ethnologie européenne
inventoryNb : 2014.304.0194
objectName :
objectTitle : Souvenir de décès - Souvenez-vous, ô très pieuse Vierge Marie, qu'on n'a jamais ouï dire (…)
objectCulture :
geography :
dating : AD 1857
material :
technique :
dimensions : Hauteur: 11,7 cm, Largeur: 7,2 cm
legalRightOwner : Musées royaux d'art et d'histoire/Koninklijke Musea voor Kunst en Geschiedenis

objectDescription : item has no descption

↑ , La tendresse est la source qui ne tarit jamais:

La tendresse est la source qui ne tarit jamais :

collectionName : Ethnologie européenne
inventoryNb : 2014.534.0006
objectName :
objectTitle : La tendresse est la source qui ne tarit jamais
objectCulture :
geography :
dating : AD 1884
material :
technique :
dimensions : Hauteur: 11,8 cm, Largeur: 7,5 cm
legalRightOwner : Musées royaux d'art et d'histoire/Koninklijke Musea voor Kunst en Geschiedenis

objectDescription : item has no descption

↑ , M. 237 - Puisse la Ste Famille demeurer à jamais pour nous l'exemple de toutes les vertus. Abbé Boël:

M. 237 - Puisse la Ste Famille demeurer à jamais pour nous l'exemple de toutes les vertus. Abbé Boël :

collectionName : Ethnologie européenne
inventoryNb : 2014.534.0009
objectName :
objectTitle : M. 237 - Puisse la Ste Famille demeurer à jamais pour nous l'exemple de toutes les vertus. Abbé Boël
objectCulture :
geography :
dating : après AD 1878
material :
technique :
dimensions : Hauteur: 10,8 cm, Largeur: 6,9 cm
legalRightOwner : Musées royaux d'art et d'histoire/Koninklijke Musea voor Kunst en Geschiedenis

objectDescription : item has no descption

↑ , Souvenir de communion - 76 - Béni soit à jamais le plus beau jour de ma vie:

Souvenir de communion - 76 - Béni soit à jamais le plus beau jour de ma vie :

collectionName : Ethnologie européenne
inventoryNb : 2014.543.0004
objectName :
objectTitle : Souvenir de communion - 76 - Béni soit à jamais le plus beau jour de ma vie
objectCulture :
geography :
dating : AD 1856 - AD 1900
material :
technique :
dimensions : Hauteur: 6,9 cm, Largeur: 10,6 cm
legalRightOwner : Musées royaux d'art et d'histoire/Koninklijke Musea voor Kunst en Geschiedenis

objectDescription : item has no descption

↑ , Souvenir de communion - Pl. 5011 - Soyez à jamais béni et remercié, Seigneur, de votre ineffable bonté (…):

Souvenir de communion - Pl. 5011 - Soyez à jamais béni et remercié, Seigneur, de votre ineffable bonté (…) :

collectionName : Ethnologie européenne
inventoryNb : 2014.544.0040
objectName :
objectTitle : Souvenir de communion - Pl. 5011 - Soyez à jamais béni et remercié, Seigneur, de votre ineffable bonté (…)
objectCulture :
geography :
dating : AD 1897
material :
technique :
dimensions : Hauteur: 12,4 cm, Largeur: 6,8 cm
legalRightOwner : Musées royaux d'art et d'histoire/Koninklijke Musea voor Kunst en Geschiedenis

objectDescription : item has no descption

↑ , Le chien, le jeu, l'Amour, le feu, ne sont jamais contents de peu:

Le chien, le jeu, l'Amour, le feu, ne sont jamais contents de peu :

collectionName : Ethnologie européenne
inventoryNb : 2014.671.0005
objectName :
objectTitle : Le chien, le jeu, l'Amour, le feu, ne sont jamais contents de peu
objectCulture :
geography :
dating : AD 1700 - AD 1820
material :
technique :
dimensions : Hauteur: 9,4 cm, Largeur: 6,9 cm
legalRightOwner : Musées royaux d'art et d'histoire/Koninklijke Musea voor Kunst en Geschiedenis

objectDescription : item has no descption

↑ , Bol décoré de motifs de lotus et de vague:

Bol décoré de motifs de lotus et de vague :

collectionName : Chine
inventoryNb : CH.0021
objectName :
objectTitle : Bol décoré de motifs de lotus et de vague
objectCulture :
geography :
dating : AD 1101 - AD 1200
material :
technique :
dimensions :
legalRightOwner : Musées royaux d'art et d'histoire/Koninklijke Musea voor Kunst en Geschiedenis

objectDescription : Malgré les fortes ressemblances, les grès Ding et Qingbai illustrent clairement les différences qui existent entre le grès blanc du Nord et celui du Sud. Alors que le grès Ding, cuit en atmosphère oxydante, varie du blanc laiteux à la couleur de l’ivoire, le grès Qingbai, cuit en atmosphère réductrice, se caractérise plutôt par une froide teinte blanc bleuté. Ce dernier était principalement produit à Jingdezhen, qui deviendra plus tard le principal centre de production de porcelaine de la Chine. Les deux types étaient généralement décorés en pressant le produit non glaçuré, non cuit et retourné sur un moule. Pour la cuisson, le produit était retourné ou posé à l’endroit à l’aide de pernettes. Les bords non glaçurés étaient parfois couverts de métal. La production de grès Ding et Qingbai n’a jamais été très appréciée en Chine, mais elle fut exportée, entre autres au Japon, en Corée et au Vietnam.

↑ , Vase en basalte:

Vase en basalte :

collectionName : Égypte
inventoryNb : E.00707
objectName :
objectTitle : Vase en basalte
objectCulture : Égyptienne
geography :
dating : 4000 BC - 3000 BC
material :
technique :
dimensions : Hauteur: 11,5 cm, Largeur: 7,5 cm
legalRightOwner : Musées royaux d'art et d'histoire/Koninklijke Musea voor Kunst en Geschiedenis

objectDescription : Ce vase en basalte dont la partie supérieure et le col manquent était monté à l'origine sur un grand pied. Il compte parmi les exemples les plus anciens de vaisselle en pierre connus en Égypte. A l'intérieur du récipient, on distingue encore facilement comment il a été évidé: l'extrémité de la partie forée est conique et les traces de forage n'ont jamais été effacées. Cette procédure était assez fréquente pour une pièce de vaisselle de forme haute et fermée. Fouille : Petrie 1895-1896

↑ , Scaraboïde en forme de visage humain:

Scaraboïde en forme de visage humain :

collectionName : Égypte
inventoryNb : E.05862
objectName :
objectTitle : Scaraboïde en forme de visage humain
objectCulture : Égyptienne
geography :
dating : 1295 BC - 656 BC
material :
technique :
dimensions : Hauteur: 2 cm, Largeur: 1,5 cm, Profondeur: 1 cm
legalRightOwner : Musées royaux d'art et d'histoire/Koninklijke Musea voor Kunst en Geschiedenis

objectDescription : La production de scaraboïdes en forme de visage humain en faïence commence à l’Époque Ramesside en continue jusqu’à la Basse Époque. Ils portent sur le plat jamais un nom royal, sauf celui de Thoutmosis III, “Mn-Khpr-Ra”. De revers de cet exemplaire montre le scarabée “khpr” à côté d’une plume d’autruche de la déesse Maat (endommagée) et au-dessus le hiéroglyphe “mn” sous un disque solaire. Ceci permet de lire la composition comme “Mn-Khpr-Ra” mais aussi comme “Imn Ra” (‘Amon Rê’) et même “Mn-Maat-Ra” (le nom de Séti I). Le propriétaire de ce sceau-amulette s’appropriait ainsi la protection royale et divine. Des compositions pareilles sont connues de la Période Ramesside à la Basse Époque.

↑ , Lièvre:

Lièvre :

collectionName : Égypte
inventoryNb : E.06542c
objectName :
objectTitle : Lièvre
objectCulture : Égyptienne
geography :
dating : Inconnue
material :
technique :
dimensions : Hauteur: 2,8 cm, Largeur: 1,4 cm, Profondeur: 4,1 cm
legalRightOwner : Musées royaux d'art et d'histoire/Koninklijke Musea voor Kunst en Geschiedenis

objectDescription : Cette petite amulette en faïence verte représente un lièvre couché sur un fin socle. L'animal, qui n'a jamais reçu un statut divin d'importance, était connu pour sa rapidité et sa vigilance exprimée par des grands yeux ouverts. Cet exemplaire se distingue par des longues oreilles dans lesquelles on a percé un trou de suspension. Elle porte également quelques traces de couleur.

↑ , Statuette inachevée d'un homme:

Statuette inachevée d'un homme :

collectionName : Égypte
inventoryNb : E.08029
objectName :
objectTitle : Statuette inachevée d'un homme
objectCulture : Égyptienne
geography :
dating : 664 BC - 525 BC
material :
technique :
dimensions : Hauteur: 28 cm, Largeur: 7,5 cm
legalRightOwner : Musées royaux d'art et d'histoire/Koninklijke Musea voor Kunst en Geschiedenis

objectDescription : Cette statuette d'homme montre un corps déjà bien modelé, mais sans détails, à l'exception du pied gauche, où on remarque des orteils finement sculptés. Comme le montrent plusieurs exemplaires similaires, la tête et le cou n'étaient jamais prévus. Toute la surface présente les marques de ciseaux droit et arrondi. Statuette inachevée représentant un homme en marche, ayant servi de lière d'étude (sans tête) d'une statue monumentale.

↑ , Fragment de cartonnage de momie:

Fragment de cartonnage de momie :

collectionName : Égypte
inventoryNb : E.08802a
objectName :
objectTitle : Fragment de cartonnage de momie
objectCulture : Égyptienne
geography :
dating : 1550 BC - 1069 BC (Incertaine)
material :
technique :
dimensions : Hauteur: 23,5 cm, Largeur: 14 cm, Profondeur: 0,9 cm
legalRightOwner : Musées royaux d'art et d'histoire/Koninklijke Musea voor Kunst en Geschiedenis

objectDescription : Ce fragment de cartonnage de momie, qui date du Nouvel Empire, représente une déesse coiffée du disque solaire. Elle lève les bras pourvus d'ailes en signe de protection. L'identité de la déesse n'est pas connue: son nom, qui devait se trouver entre les deux lignes juste devant sa tête, n'a jamais été noté. La pièce faisait partie de l'ancienne collection Lambruschini.

↑ , Hache en bronze:

Hache en bronze :

collectionName : Iran
inventoryNb : IR.0502
objectName :
objectTitle : Hache en bronze
objectCulture : Iranienne
geography :
dating : 2500 BC - 2001 BC
material :
technique :
dimensions : Hauteur: 7,5 cm, Largeur: 10 cm
legalRightOwner : Musées royaux d'art et d'histoire/Koninklijke Musea voor Kunst en Geschiedenis

objectDescription : Cette petite hache lourde présente des arêtes décoratives sur la douille, tandis qu’à l’arrière, trois boutons protubérants rehaussent un épaississement en forme de crête. Le tranchant de la lame n’est jamais affûté. Diverses haches de ce genre proviendraient du Luristan, mais seul un exemplaire y fut vraiment mis au jour et vient d’une tombe de Tepe Djamshidi, au Luristan, qui date de la fin du 3e millénaire. B.O.

↑ , Epingle à tête discoïdale:

Epingle à tête discoïdale :

collectionName : Iran
inventoryNb : IR.0635
objectName :
objectTitle : Epingle à tête discoïdale
objectCulture : Iranienne
geography :
dating : 1000 BC - 701 BC
material :
technique :
dimensions : Dimensions H x D: 33 cm, 3,5 cm
legalRightOwner : Musées royaux d'art et d'histoire/Koninklijke Musea voor Kunst en Geschiedenis

objectDescription : Epingle votive. Le disque est décoré au repoussé d'un ornement géométrique de cinq doubles lignes circulaires, dont le centre est orné de globules. Dans les espaces entre les cercles se trouve un arbre de vie stylisé. Les épingles à tête discoïdale, moulées ou martelées, appartiennent toutes à la collection d’E. Graeffe achetée en Iran, entre 1936 et 1945 et acquise par les Musées en 1954. Elles viennent probablement de Surkh Dum-i Luri. En juin 1938, suite à l’arrêt fouilles clandestines par les autorités, une expédition américaine y fouilla un sanctuaire. L’endroit était déjà largement pillé, mais les chercheurs parvinrent malgré tout à y dégager des centaines d’objets votifs qui étaient dissimulés dans les murs et les sols du bâtiment. La quantité d’épingles similaires, voire même pratiquement identiques, est surprenante. Jusqu’à présent, des épingles de ce type n’avaient jamais été retrouvées au cours de fouilles contrôlées. Bien qu’il ne soit pas exclu que de grandes et même parfois lourdes épingles de ce genre aient pu être réalisées spécifiquement comme objet votif, il est probable qu’elles furent portées avant d’être déposées dans le sanctuaire. D’autres types d’épingles et d’objets, également présents dans des tombes ou des maisons et ayant, par conséquent, vraiment une fonction pratique, y ont aussi été retrouvés. La datation des épingles discoïdes est particulièrement délicate parce que les objets peuvent être conservés longtemps dans les sanctuaires. Il se peut que la plupart puissent être datés d’une période comprise entre le 10e et le 8e siècle. La combinaison de tiges en fer et de têtes en bronze coulé, qui apparaît également parmi les épingles à tête animale, semble le confirmer. Les thèmes, parmi lesquels des scènes illustrant des plantes, des animaux réels et fantastiques, des têtes et des êtres humaines ainsi que des génies, sont très variés. B.O.

↑ , Epingle à tête discoïdale:

Epingle à tête discoïdale :

collectionName : Iran
inventoryNb : IR.0638
objectName :
objectTitle : Epingle à tête discoïdale
objectCulture : Iranienne
geography :
dating : 1000 BC - 701 BC
material :
technique :
dimensions : Dimensions H x D: 15 cm, 7 cm
legalRightOwner : Musées royaux d'art et d'histoire/Koninklijke Musea voor Kunst en Geschiedenis

objectDescription : Epingle votive. Travail au repoussé. Le décor représente un personnage dansant à tête coiffée de la tiare à cornes, portant de chaque main une tige épaisse se terminant aux deux extrémités par des grenades. Les épingles à tête discoïdale, moulées ou martelées, appartiennent toutes à la collection d’E. Graeffe achetée en Iran, entre 1936 et 1945 et acquise par les Musées en 1954. Elles viennent probablement de Surkh Dum-i Luri. En juin 1938, suite à l’arrêt fouilles clandestines par les autorités, une expédition américaine y fouilla un sanctuaire. L’endroit était déjà largement pillé, mais les chercheurs parvinrent malgré tout à y dégager des centaines d’objets votifs qui étaient dissimulés dans les murs et les sols du bâtiment. La quantité d’épingles similaires, voire même pratiquement identiques, est surprenante. Jusqu’à présent, des épingles de ce type n’avaient jamais été retrouvées au cours de fouilles contrôlées. Bien qu’il ne soit pas exclu que de grandes et même parfois lourdes épingles de ce genre aient pu être réalisées spécifiquement comme objet votif, il est probable qu’elles furent portées avant d’être déposées dans le sanctuaire. D’autres types d’épingles et d’objets, également présents dans des tombes ou des maisons et ayant, par conséquent, vraiment une fonction pratique, y ont aussi été retrouvés. La datation des épingles discoïdes est particulièrement délicate parce que les objets peuvent être conservés longtemps dans les sanctuaires. Il se peut que la plupart puissent être datés d’une période comprise entre le 10e et le 8e siècle. La combinaison de tiges en fer et de têtes en bronze coulé, qui apparaît également parmi les épingles à tête animale, semble le confirmer. Les thèmes, parmi lesquels des scènes illustrant des plantes, des animaux réels et fantastiques, des têtes et des êtres humaines ainsi que des génies, sont très variés. B.O.

↑ , Epingle à tête discoïdale:

Epingle à tête discoïdale :

collectionName : Iran
inventoryNb : IR.0647
objectName :
objectTitle : Epingle à tête discoïdale
objectCulture : Iranienne
geography :
dating : 1000 BC - 701 BC
material :
technique :
dimensions : Dimensions H x D: 27 cm, 12 cm
legalRightOwner : Musées royaux d'art et d'histoire/Koninklijke Musea voor Kunst en Geschiedenis

objectDescription : Epingle votive. Travail repoussé et gravé. Au centre du disque une tête humaine en fort relief s'inscrivant dans une forme ronde, entourée d'une ligne. Tout autour se développe une frise composée d'animaux fantastiques en galopant l'un derrière l'autre. A gauche de la tête se trouve un personnage accroupi au visage humain, mais avec une queue. Les épingles à tête discoïdale, moulées ou martelées, appartiennent toutes à la collection d’E. Graeffe achetée en Iran, entre 1936 et 1945 et acquise par les Musées en 1954. Elles viennent probablement de Surkh Dum-i Luri. En juin 1938, suite à l’arrêt fouilles clandestines par les autorités, une expédition américaine y fouilla un sanctuaire. L’endroit était déjà largement pillé, mais les chercheurs parvinrent malgré tout à y dégager des centaines d’objets votifs qui étaient dissimulés dans les murs et les sols du bâtiment. La quantité d’épingles similaires, voire même pratiquement identiques, est surprenante. Jusqu’à présent, des épingles de ce type n’avaient jamais été retrouvées au cours de fouilles contrôlées. Bien qu’il ne soit pas exclu que de grandes et même parfois lourdes épingles de ce genre aient pu être réalisées spécifiquement comme objet votif, il est probable qu’elles furent portées avant d’être déposées dans le sanctuaire. D’autres types d’épingles et d’objets, également présents dans des tombes ou des maisons et ayant, par conséquent, vraiment une fonction pratique, y ont aussi été retrouvés. La datation des épingles discoïdes est particulièrement délicate parce que les objets peuvent être conservés longtemps dans les sanctuaires. Il se peut que la plupart puissent être datés d’une période comprise entre le 10e et le 8e siècle. La combinaison de tiges en fer et de têtes en bronze coulé, qui apparaît également parmi les épingles à tête animale, semble le confirmer. Les thèmes, parmi lesquels des scènes illustrant des plantes, des animaux réels et fantastiques, des têtes et des êtres humaines ainsi que des génies, sont très variés. B.O.

↑ , Epingle à tête discoïdale:

Epingle à tête discoïdale :

collectionName : Iran
inventoryNb : IR.0649
objectName :
objectTitle : Epingle à tête discoïdale
objectCulture : Iranienne
geography :
dating : 1000 BC - 701 BC
material :
technique :
dimensions : Dimensions H x D: 17 cm, 5 cm
legalRightOwner : Musées royaux d'art et d'histoire/Koninklijke Musea voor Kunst en Geschiedenis

objectDescription : Epingle votive. Travail au repoussé. Au centre du disque une tête en fort relief. De chaque côté de la tête se voient deux lions dressés, s'affrontant, la gueule ouverte. Ils sont séparés enhaut et en bas par une ligne torsadée verticale, bordée dans le bas par des feuilles. Les épingles à tête discoïdale, moulées ou martelées, appartiennent toutes à la collection d’E. Graeffe achetée en Iran, entre 1936 et 1945 et acquise par les Musées en 1954. Elles viennent probablement de Surkh Dum-i Luri. En juin 1938, suite à l’arrêt fouilles clandestines par les autorités, une expédition américaine y fouilla un sanctuaire. L’endroit était déjà largement pillé, mais les chercheurs parvinrent malgré tout à y dégager des centaines d’objets votifs qui étaient dissimulés dans les murs et les sols du bâtiment. La quantité d’épingles similaires, voire même pratiquement identiques, est surprenante. Jusqu’à présent, des épingles de ce type n’avaient jamais été retrouvées au cours de fouilles contrôlées. Bien qu’il ne soit pas exclu que de grandes et même parfois lourdes épingles de ce genre aient pu être réalisées spécifiquement comme objet votif, il est probable qu’elles furent portées avant d’être déposées dans le sanctuaire. D’autres types d’épingles et d’objets, également présents dans des tombes ou des maisons et ayant, par conséquent, vraiment une fonction pratique, y ont aussi été retrouvés. La datation des épingles discoïdes est particulièrement délicate parce que les objets peuvent être conservés longtemps dans les sanctuaires. Il se peut que la plupart puissent être datés d’une période comprise entre le 10e et le 8e siècle. La combinaison de tiges en fer et de têtes en bronze coulé, qui apparaît également parmi les épingles à tête animale, semble le confirmer. Les thèmes, parmi lesquels des scènes illustrant des plantes, des animaux réels et fantastiques, des têtes et des êtres humaines ainsi que des génies, sont très variés. B.O.

↑ , Epingle à tête discoïdale:

Epingle à tête discoïdale :

collectionName : Iran
inventoryNb : IR.0662
objectName :
objectTitle : Epingle à tête discoïdale
objectCulture : Iranienne
geography :
dating : 1000 BC - 701 BC
material :
technique :
dimensions :
legalRightOwner : Musées royaux d'art et d'histoire/Koninklijke Musea voor Kunst en Geschiedenis

objectDescription : Epingle votive. Le disque présente - au repoussé - un personnage assis sur un lion couché. Ce personnage est coiffé d'une sorte d'épais turban, vêtu d'une longue robe. Sous les bras de cette divinité passe un corps de serpent se terminant en dragon à deux têtes. Dans la partie gauche se trouve également un serpent, la tête vers le bas. Sept fleurettes apparaissent dans le champ. Le disque est bordé d'une ligne en saillie et d'un grénetis. Les épingles à tête discoïdale, moulées ou martelées, appartiennent toutes à la collection d’E. Graeffe achetée en Iran, entre 1936 et 1945 et acquise par les Musées en 1954. Elles viennent probablement de Surkh Dum-i Luri. En juin 1938, suite à l’arrêt fouilles clandestines par les autorités, une expédition américaine y fouilla un sanctuaire. L’endroit était déjà largement pillé, mais les chercheurs parvinrent malgré tout à y dégager des centaines d’objets votifs qui étaient dissimulés dans les murs et les sols du bâtiment. La quantité d’épingles similaires, voire même pratiquement identiques, est surprenante. Jusqu’à présent, des épingles de ce type n’avaient jamais été retrouvées au cours de fouilles contrôlées. Bien qu’il ne soit pas exclu que de grandes et même parfois lourdes épingles de ce genre aient pu être réalisées spécifiquement comme objet votif, il est probable qu’elles furent portées avant d’être déposées dans le sanctuaire. D’autres types d’épingles et d’objets, également présents dans des tombes ou des maisons et ayant, par conséquent, vraiment une fonction pratique, y ont aussi été retrouvés. La datation des épingles discoïdes est particulièrement délicate parce que les objets peuvent être conservés longtemps dans les sanctuaires. Il se peut que la plupart puissent être datés d’une période comprise entre le 10e et le 8e siècle. La combinaison de tiges en fer et de têtes en bronze coulé, qui apparaît également parmi les épingles à tête animale, semble le confirmer. Les thèmes, parmi lesquels des scènes illustrant des plantes, des animaux réels et fantastiques, des têtes et des êtres humaines ainsi que des génies, sont très variés. B.O.

↑ , Epingle à tête discoïdale:

Epingle à tête discoïdale :

collectionName : Iran
inventoryNb : IR.0672
objectName :
objectTitle : Epingle à tête discoïdale
objectCulture : Iranienne
geography :
dating : 1000 BC - 701 BC
material :
technique :
dimensions : Dimensions H x D: 22 cm, 10,2 cm
legalRightOwner : Musées royaux d'art et d'histoire/Koninklijke Musea voor Kunst en Geschiedenis

objectDescription : Epingle votive. Travail au repoussé et gravé. Le décor représente un personnage féminin, tenant une palme de chaque main. Robe évasée et plissée. Haute coiffure de forme triangulaire. De chaque côté du personnage se dressent deux lions adossés, la gueule ouverte. Le tout est entouré par rosettes et globules. Sur le bord un grénetis. Les épingles à tête discoïdale, moulées ou martelées, appartiennent toutes à la collection d’E. Graeffe achetée en Iran, entre 1936 et 1945 et acquise par les Musées en 1954. Elles viennent probablement de Surkh Dum-i Luri. En juin 1938, suite à l’arrêt fouilles clandestines par les autorités, une expédition américaine y fouilla un sanctuaire. L’endroit était déjà largement pillé, mais les chercheurs parvinrent malgré tout à y dégager des centaines d’objets votifs qui étaient dissimulés dans les murs et les sols du bâtiment. La quantité d’épingles similaires, voire même pratiquement identiques, est surprenante. Jusqu’à présent, des épingles de ce type n’avaient jamais été retrouvées au cours de fouilles contrôlées. Bien qu’il ne soit pas exclu que de grandes et même parfois lourdes épingles de ce genre aient pu être réalisées spécifiquement comme objet votif, il est probable qu’elles furent portées avant d’être déposées dans le sanctuaire. D’autres types d’épingles et d’objets, également présents dans des tombes ou des maisons et ayant, par conséquent, vraiment une fonction pratique, y ont aussi été retrouvés. La datation des épingles discoïdes est particulièrement délicate parce que les objets peuvent être conservés longtemps dans les sanctuaires. Il se peut que la plupart puissent être datés d’une période comprise entre le 10e et le 8e siècle. La combinaison de tiges en fer et de têtes en bronze coulé, qui apparaît également parmi les épingles à tête animale, semble le confirmer. Les thèmes, parmi lesquels des scènes illustrant des plantes, des animaux réels et fantastiques, des têtes et des êtres humaines ainsi que des génies, sont très variés. B.O.

↑ , Epingle à tête discoïdale:

Epingle à tête discoïdale :

collectionName : Iran
inventoryNb : IR.0673
objectName :
objectTitle : Epingle à tête discoïdale
objectCulture : Iranienne
geography :
dating : 1000 BC - 701 BC
material :
technique :
dimensions : Dimensions H x D: 13,5 cm, 7 cm
legalRightOwner : Musées royaux d'art et d'histoire/Koninklijke Musea voor Kunst en Geschiedenis

objectDescription : Epingle votive. Travail au repoussé et gravé. Le décor représente une tête de femme. Haute coiffure, indiquée en écailles de poisson. Les sourcils en tresse, se rejoignent à la racine du nez et forment une ligne continue. Sur le bord un grénetis. Les épingles à tête discoïdale, moulées ou martelées, appartiennent toutes à la collection d’E. Graeffe achetée en Iran, entre 1936 et 1945 et acquise par les Musées en 1954. Elles viennent probablement de Surkh Dum-i Luri. En juin 1938, suite à l’arrêt fouilles clandestines par les autorités, une expédition américaine y fouilla un sanctuaire. L’endroit était déjà largement pillé, mais les chercheurs parvinrent malgré tout à y dégager des centaines d’objets votifs qui étaient dissimulés dans les murs et les sols du bâtiment. La quantité d’épingles similaires, voire même pratiquement identiques, est surprenante. Jusqu’à présent, des épingles de ce type n’avaient jamais été retrouvées au cours de fouilles contrôlées. Bien qu’il ne soit pas exclu que de grandes et même parfois lourdes épingles de ce genre aient pu être réalisées spécifiquement comme objet votif, il est probable qu’elles furent portées avant d’être déposées dans le sanctuaire. D’autres types d’épingles et d’objets, également présents dans des tombes ou des maisons et ayant, par conséquent, vraiment une fonction pratique, y ont aussi été retrouvés. La datation des épingles discoïdes est particulièrement délicate parce que les objets peuvent être conservés longtemps dans les sanctuaires. Il se peut que la plupart puissent être datés d’une période comprise entre le 10e et le 8e siècle. La combinaison de tiges en fer et de têtes en bronze coulé, qui apparaît également parmi les épingles à tête animale, semble le confirmer. Les thèmes, parmi lesquels des scènes illustrant des plantes, des animaux réels et fantastiques, des têtes et des êtres humaines ainsi que des génies, sont très variés. B.O.

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Epingle à tête discoïdale :

collectionName : Iran
inventoryNb : IR.0685
objectName :
objectTitle : Epingle à tête discoïdale
objectCulture : Iranienne
geography :
dating : 1300 BC - 601 BC
material :
technique :
dimensions : Dimensions H x D: 21 cm, 11,3 cm
legalRightOwner : Musées royaux d'art et d'histoire/Koninklijke Musea voor Kunst en Geschiedenis

objectDescription : Epingle votive. Travail à cire perdue. La base de la tête d'épingle est en forme d'un demi-cercle se terminant en têtes de bouquetin. Au centre arbre de vie en forme d'éventail dans la partie haute; le tronc étant évoqué par deux spirales. De chaque côté de l'arbre deux animaux féroces dressés, d'adossant. Les épingles à tête discoïdale, moulées ou martelées, appartiennent toutes à la collection d’E. Graeffe achetée en Iran, entre 1936 et 1945 et acquise par les Musées en 1954. Elles viennent probablement de Surkh Dum-i Luri. En juin 1938, suite à l’arrêt fouilles clandestines par les autorités, une expédition américaine y fouilla un sanctuaire. L’endroit était déjà largement pillé, mais les chercheurs parvinrent malgré tout à y dégager des centaines d’objets votifs qui étaient dissimulés dans les murs et les sols du bâtiment. La quantité d’épingles similaires, voire même pratiquement identiques, est surprenante. Jusqu’à présent, des épingles de ce type n’avaient jamais été retrouvées au cours de fouilles contrôlées. Bien qu’il ne soit pas exclu que de grandes et même parfois lourdes épingles de ce genre aient pu être réalisées spécifiquement comme objet votif, il est probable qu’elles furent portées avant d’être déposées dans le sanctuaire. D’autres types d’épingles et d’objets, également présents dans des tombes ou des maisons et ayant, par conséquent, vraiment une fonction pratique, y ont aussi été retrouvés. La datation des épingles discoïdes est particulièrement délicate parce que les objets peuvent être conservés longtemps dans les sanctuaires. Il se peut que la plupart puissent être datés d’une période comprise entre le 10e et le 8e siècle. La combinaison de tiges en fer et de têtes en bronze coulé, qui apparaît également parmi les épingles à tête animale, semble le confirmer. Les thèmes, parmi lesquels des scènes illustrant des plantes, des animaux réels et fantastiques, des têtes et des êtres humaines ainsi que des génies, sont très variés. B.O.

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Epingle à tête discoïdale :

collectionName : Iran
inventoryNb : IR.0691
objectName :
objectTitle : Epingle à tête discoïdale
objectCulture : Iranienne
geography :
dating : 1000 BC - 701 BC
material :
technique :
dimensions : Dimensions H x D: 24,5 cm, 11,5 cm
legalRightOwner : Musées royaux d'art et d'histoire/Koninklijke Musea voor Kunst en Geschiedenis

objectDescription : Fragment d'une épingle votive. Plaque de forme circulaire en argent repoussé et gravé. Au centre un disque en très fort relief. Au bord deux personnages à moitié bête, tenant un serpent à la main droite, la queue à la main gauche. En bas un capridé galopant. En haut en milieu, une tête de bovidé entre des lignes zig-zag. Les épingles à tête discoïdale, moulées ou martelées, appartiennent toutes à la collection d’E. Graeffe achetée en Iran, entre 1936 et 1945 et acquise par les Musées en 1954. Elles viennent probablement de Surkh Dum-i Luri. En juin 1938, suite à l’arrêt fouilles clandestines par les autorités, une expédition américaine y fouilla un sanctuaire. L’endroit était déjà largement pillé, mais les chercheurs parvinrent malgré tout à y dégager des centaines d’objets votifs qui étaient dissimulés dans les murs et les sols du bâtiment. La quantité d’épingles similaires, voire même pratiquement identiques, est surprenante. Jusqu’à présent, des épingles de ce type n’avaient jamais été retrouvées au cours de fouilles contrôlées. Bien qu’il ne soit pas exclu que de grandes et même parfois lourdes épingles de ce genre aient pu être réalisées spécifiquement comme objet votif, il est probable qu’elles furent portées avant d’être déposées dans le sanctuaire. D’autres types d’épingles et d’objets, également présents dans des tombes ou des maisons et ayant, par conséquent, vraiment une fonction pratique, y ont aussi été retrouvés. La datation des épingles discoïdes est particulièrement délicate parce que les objets peuvent être conservés longtemps dans les sanctuaires. Il se peut que la plupart puissent être datés d’une période comprise entre le 10e et le 8e siècle. La combinaison de tiges en fer et de têtes en bronze coulé, qui apparaît également parmi les épingles à tête animale, semble le confirmer. Les thèmes, parmi lesquels des scènes illustrant des plantes, des animaux réels et fantastiques, des têtes et des êtres humaines ainsi que des génies, sont très variés. B.O.

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Epingle à tête discoïdale :

collectionName : Iran
inventoryNb : IR.0692
objectName :
objectTitle : Epingle à tête discoïdale
objectCulture : Iranienne
geography :
dating : 1000 BC - 701 BC
material :
technique :
dimensions :
legalRightOwner : Musées royaux d'art et d'histoire/Koninklijke Musea voor Kunst en Geschiedenis

objectDescription : Epingle votive. Travail au repoussé. Le décor du disque représente un personnage masculin assis; la tête de face, le torse enprofil. Il tient dans chaque main un vase. Sur le dos d'un petit banc se voit un grand oiseau du genre outarde, qui touche de son bec la figure du personnage. Au bord un double grénetis. La partie droite a été renouvelée. Les épingles à tête discoïdale, moulées ou martelées, appartiennent toutes à la collection d’E. Graeffe achetée en Iran, entre 1936 et 1945 et acquise par les Musées en 1954. Elles viennent probablement de Surkh Dum-i Luri. En juin 1938, suite à l’arrêt fouilles clandestines par les autorités, une expédition américaine y fouilla un sanctuaire. L’endroit était déjà largement pillé, mais les chercheurs parvinrent malgré tout à y dégager des centaines d’objets votifs qui étaient dissimulés dans les murs et les sols du bâtiment. La quantité d’épingles similaires, voire même pratiquement identiques, est surprenante. Jusqu’à présent, des épingles de ce type n’avaient jamais été retrouvées au cours de fouilles contrôlées. Bien qu’il ne soit pas exclu que de grandes et même parfois lourdes épingles de ce genre aient pu être réalisées spécifiquement comme objet votif, il est probable qu’elles furent portées avant d’être déposées dans le sanctuaire. D’autres types d’épingles et d’objets, également présents dans des tombes ou des maisons et ayant, par conséquent, vraiment une fonction pratique, y ont aussi été retrouvés. La datation des épingles discoïdes est particulièrement délicate parce que les objets peuvent être conservés longtemps dans les sanctuaires. Il se peut que la plupart puissent être datés d’une période comprise entre le 10e et le 8e siècle. La combinaison de tiges en fer et de têtes en bronze coulé, qui apparaît également parmi les épingles à tête animale, semble le confirmer. Les thèmes, parmi lesquels des scènes illustrant des plantes, des animaux réels et fantastiques, des têtes et des êtres humaines ainsi que des génies, sont très variés. B.O.

↑ , Epingle à tête discoïdale:

Epingle à tête discoïdale :

collectionName : Iran
inventoryNb : IR.0704
objectName :
objectTitle : Epingle à tête discoïdale
objectCulture : Iranienne
geography :
dating : 1000 BC - 701 BC
material :
technique :
dimensions : Hauteur: 18 cm, Largeur: 9,5 cm
legalRightOwner : Musées royaux d'art et d'histoire/Koninklijke Musea voor Kunst en Geschiedenis

objectDescription : Epingle votive. Travail à cire perdue. Le dieu protecteur dompte deux animaux féroces à tête de cochon. La tête de Gilgamesh porte des cornes de mouflon au lieu des habituelles cornes de taureau. Tout autour quatre paires de cornes de mouflon. Le cadre carré est orné d'une torsade en relief dont le haut est agrémenté d'une rangé de perles en bronze. La tige en fer est emmanchée dans un bout de tige en bronze renforcée par des animaux en relief et portant deux oeillets. Les épingles à tête discoïdale, moulées ou martelées, appartiennent toutes à la collection d’E. Graeffe achetée en Iran, entre 1936 et 1945 et acquise par les Musées en 1954. Elles viennent probablement de Surkh Dum-i Luri. En juin 1938, suite à l’arrêt fouilles clandestines par les autorités, une expédition américaine y fouilla un sanctuaire. L’endroit était déjà largement pillé, mais les chercheurs parvinrent malgré tout à y dégager des centaines d’objets votifs qui étaient dissimulés dans les murs et les sols du bâtiment. La quantité d’épingles similaires, voire même pratiquement identiques, est surprenante. Jusqu’à présent, des épingles de ce type n’avaient jamais été retrouvées au cours de fouilles contrôlées. Bien qu’il ne soit pas exclu que de grandes et même parfois lourdes épingles de ce genre aient pu être réalisées spécifiquement comme objet votif, il est probable qu’elles furent portées avant d’être déposées dans le sanctuaire. D’autres types d’épingles et d’objets, également présents dans des tombes ou des maisons et ayant, par conséquent, vraiment une fonction pratique, y ont aussi été retrouvés. La datation des épingles discoïdes est particulièrement délicate parce que les objets peuvent être conservés longtemps dans les sanctuaires. Il se peut que la plupart puissent être datés d’une période comprise entre le 10e et le 8e siècle. La combinaison de tiges en fer et de têtes en bronze coulé, qui apparaît également parmi les épingles à tête animale, semble le confirmer. Les thèmes, parmi lesquels des scènes illustrant des plantes, des animaux réels et fantastiques, des têtes et des êtres humaines ainsi que des génies, sont très variés. B.O.

↑ , Epingle à tête discoïdale:

Epingle à tête discoïdale :

collectionName : Iran
inventoryNb : IR.0705
objectName :
objectTitle : Epingle à tête discoïdale
objectCulture : Iranienne
geography :
dating : 1000 BC - 701 BC
material :
technique :
dimensions : Hauteur: 6 cm, Largeur: 7,5 cm
legalRightOwner : Musées royaux d'art et d'histoire/Koninklijke Musea voor Kunst en Geschiedenis

objectDescription : Tête d'épingle votive. Travail à cire perdue. Dans un cadre rectangulaire un personnage humain est aux prises avec deux lions ailés. Aux pieds de ce personnage, deux boeufs. Deux têtes d'animaux encadrent celle du héros. L'amorce de la tige est audessus de la tête. Le travail qui est à cire perdue, se reproduit des deux côtés envers et endroit du rectangle. Les épingles à tête discoïdale, moulées ou martelées, appartiennent toutes à la collection d’E. Graeffe achetée en Iran, entre 1936 et 1945 et acquise par les Musées en 1954. Elles viennent probablement de Surkh Dum-i Luri. En juin 1938, suite à l’arrêt fouilles clandestines par les autorités, une expédition américaine y fouilla un sanctuaire. L’endroit était déjà largement pillé, mais les chercheurs parvinrent malgré tout à y dégager des centaines d’objets votifs qui étaient dissimulés dans les murs et les sols du bâtiment. La quantité d’épingles similaires, voire même pratiquement identiques, est surprenante. Jusqu’à présent, des épingles de ce type n’avaient jamais été retrouvées au cours de fouilles contrôlées. Bien qu’il ne soit pas exclu que de grandes et même parfois lourdes épingles de ce genre aient pu être réalisées spécifiquement comme objet votif, il est probable qu’elles furent portées avant d’être déposées dans le sanctuaire. D’autres types d’épingles et d’objets, également présents dans des tombes ou des maisons et ayant, par conséquent, vraiment une fonction pratique, y ont aussi été retrouvés. La datation des épingles discoïdes est particulièrement délicate parce que les objets peuvent être conservés longtemps dans les sanctuaires. Il se peut que la plupart puissent être datés d’une période comprise entre le 10e et le 8e siècle. La combinaison de tiges en fer et de têtes en bronze coulé, qui apparaît également parmi les épingles à tête animale, semble le confirmer. Les thèmes, parmi lesquels des scènes illustrant des plantes, des animaux réels et fantastiques, des têtes et des êtres humaines ainsi que des génies, sont très variés. B.O.

↑ , Epingle à tête discoïdale:

Epingle à tête discoïdale :

collectionName : Iran
inventoryNb : IR.0716
objectName :
objectTitle : Epingle à tête discoïdale
objectCulture : Iranienne
geography :
dating : 1000 BC - 701 BC
material :
technique :
dimensions : Hauteur: 6 cm, Largeur: 9 cm
legalRightOwner : Musées royaux d'art et d'histoire/Koninklijke Musea voor Kunst en Geschiedenis

objectDescription : Tête d'épingle votive. Travail à cire perdue. Le héros Gilgamesh est entouré de deux animaux renversés, le tout encadré d'un serpent fantastique à deux têtes. La base de la tige en fer est renforcée d'animaux en relief. Les épingles à tête discoïdale, moulées ou martelées, appartiennent toutes à la collection d’E. Graeffe achetée en Iran, entre 1936 et 1945 et acquise par les Musées en 1954. Elles viennent probablement de Surkh Dum-i Luri. En juin 1938, suite à l’arrêt fouilles clandestines par les autorités, une expédition américaine y fouilla un sanctuaire. L’endroit était déjà largement pillé, mais les chercheurs parvinrent malgré tout à y dégager des centaines d’objets votifs qui étaient dissimulés dans les murs et les sols du bâtiment. La quantité d’épingles similaires, voire même pratiquement identiques, est surprenante. Jusqu’à présent, des épingles de ce type n’avaient jamais été retrouvées au cours de fouilles contrôlées. Bien qu’il ne soit pas exclu que de grandes et même parfois lourdes épingles de ce genre aient pu être réalisées spécifiquement comme objet votif, il est probable qu’elles furent portées avant d’être déposées dans le sanctuaire. D’autres types d’épingles et d’objets, également présents dans des tombes ou des maisons et ayant, par conséquent, vraiment une fonction pratique, y ont aussi été retrouvés. La datation des épingles discoïdes est particulièrement délicate parce que les objets peuvent être conservés longtemps dans les sanctuaires. Il se peut que la plupart puissent être datés d’une période comprise entre le 10e et le 8e siècle. La combinaison de tiges en fer et de têtes en bronze coulé, qui apparaît également parmi les épingles à tête animale, semble le confirmer. Les thèmes, parmi lesquels des scènes illustrant des plantes, des animaux réels et fantastiques, des têtes et des êtres humaines ainsi que des génies, sont très variés. B.O.

↑ , Hache en pierre:

Hache en pierre :

collectionName : Iran
inventoryNb : IR.2330
objectName :
objectTitle : Hache en pierre
objectCulture : Iranienne
geography :
dating : 4500 BC - 3501 BC
material :
technique :
dimensions : Largeur: 10 cm
legalRightOwner : Musées royaux d'art et d'histoire/Koninklijke Musea voor Kunst en Geschiedenis

objectDescription : Les haches en pierre retrouvées à Hakalan sont de dimensions et de formes fort variées. Souvent, elles ne mesurent que quelques centimètres. Cet exemplaire est le plus grand jamais trouvé à Hakalan. La hache fortement polie doit être davantage considérée comme un outil que comme une arme. B.O.

↑ , Le long du fleuve Sumida au pont Ryōgoku:

Le long du fleuve Sumida au pont Ryōgoku :

collectionName : Japon
inventoryNb : JP.02721
objectName :
objectTitle : Le long du fleuve Sumida au pont Ryōgoku
objectCulture :
geography :
dating : ca. AD 1791 - AD 1792
material :
technique :
dimensions : Dimensions H x Lo: 37 cm, 127,9 cm
legalRightOwner : Musées royaux d'art et d'histoire/Koninklijke Musea voor Kunst en Geschiedenis

objectDescription : Éditeur : Nishimuraya Yohachi. Cachet de censure : kiwame. Pentaptyque d'ôban. Des groupes de citadins - par convention artistique, des femmes en grande majorité - déambulent sur les berges du fleuve, où sont installés divers débits de thé de plein air. Sur le fleuve circulent de nombreux bateaux de plaisance, tandis que la foule traverse le pont. Ce pont de Ryôgoku avait été construit après le terrible incendie de 1657, qui avait presque entièrement anéanti Edo et fait plus de cent mille morts en deux jours. Il devait permettre une extension des quartiers populaires de la ville basse, sur la rive orientale du fleuve. Son voisinage était l'un des endroits les plus animés d'Edo, célèbre pour ses spectacles, ses théâtres, ses feux d'artifice d'été, ses conteurs, ses diseurs de bonne aventure, ses amuseurs publics, ses marchands ambulants et ses échoppes ; la vie ne s'y arrêtait jamais ni le jour ni la nuit. Par tradition, les aires découvertes près des ponts ou à l'intersection de la terre et de l'eau, tout comme les zones urbaines excentriques telles que le quartier des théâtres ou les quartiers réservés, étaient des lieux de liberté, en marge des normes et règles sociales. Aussi le public plébéien pouvait-il s'y divertir sans subir aucune des contraintes imposées par le gouvernement.

↑ , Hyakunin isshu uba ga etoki (De cent poètes, un poème expliqué par la nourrice): Ōnakatomi no Yoshinobu Ason:

Hyakunin isshu uba ga etoki (De cent poètes, un poème expliqué par la nourrice): Ōnakatomi no Yoshinobu Ason :

collectionName : Japon
inventoryNb : JP.03146
objectName :
objectTitle : Hyakunin isshu uba ga etoki (De cent poètes, un poème expliqué par la nourrice): Ōnakatomi no Yoshinobu Ason
objectCulture :
geography :
dating : ca. AD 1835 - AD 1836
material :
technique :
dimensions : Dimensions H x Lo: 24,4 cm, 35,7 cm
legalRightOwner : Musées royaux d'art et d'histoire/Koninklijke Musea voor Kunst en Geschiedenis

objectDescription : Éditeur : Iseya Sanjirô. Cachet de censure : kiwame. Format ôban. Songeur, un aristocrate contemple l'horizon du haut d'une colline, tandis que ses gardes se reposent autour d'un feu. L'image renvoie directement à un amour contrarié dont Ônakatomi Yoshinobu (922-991) fit un poème lisible dans le cartouche : Mes sentiments ressemblent vraiment auxfeux des gardes auxportes du Palais impérial, s'allumantpour la nuit et s'éteignant avec lejour. Cette suite de vingt-huit estampes, dont une épreuve d'état, est la dernière œuvre maîtresse de Hokusai pour l'estampe sur feuille indépendante. Sa publication débuta en 1835, au moment où les premiers effets importants de la grande famine (1833-1837) de l'ère Tenpô se faisaient sentir. La crise économique qui s'amplifia alors affecta tous les secteurs. N'épargnant donc pas l'industrie de l'imprimé, elle obligea les éditeurs à abandonner des projets ambitieux ou à y surseoir. Tel fut le sort de la coédition de cette suite par Nishimuraya Yohachi et Iseya Sanjirô. D'après son titre, elle aurait dû compter cent estampes. Un but que voulait certainement atteindre Hokusai : lorsque la production s'arrêta, il avait déjà composé une soixantaine de dessins préparatoires, qui ne furent jamais imprimés.

↑ , Ryūkyū hakkei (Huit vues des îles Ryūkyū): La source sacrée de Jōgaku (Jōgaku reisei):

Ryūkyū hakkei (Huit vues des îles Ryūkyū): La source sacrée de Jōgaku (Jōgaku reisei) :

collectionName : Japon
inventoryNb : JP.03211
objectName :
objectTitle : Ryūkyū hakkei (Huit vues des îles Ryūkyū): La source sacrée de Jōgaku (Jōgaku reisei)
objectCulture :
geography :
dating : ca. AD 1832 - AD 1833
material :
technique :
dimensions : Dimensions H x Lo: 25,9 cm, 28,3 cm
legalRightOwner : Musées royaux d'art et d'histoire/Koninklijke Musea voor Kunst en Geschiedenis

objectDescription : Éditeur : Moriya Jihei. Cachet de censure : kiwame. Format ôban. Ce paysage aux tons éclatants tient de la carte postale idyllique, avec sa cascade qui se déverse dans un bassin près des rizières, ses collines boisées, ses bancs de nuages - pour étager les plans - et sa montagne rouge dans le lointain. Comme Hokusai ne s'était jamais rendu dans cet archipel reculé, il s'inspira ici directement des illustrations de l'Abrégé d'histoire des Ryûkyû (Ryûkyû kokushi ryaku)j, un ouvrage édité sous les auspices du gouvernement en 1831. Ce livre ne faisait d'ailleurs que transposer une publication chinoise parue en 1757. La sortie de cette suite a vraisemblablement un rapport avec la venue à Edo, le 10e mois 1832, d'une délégation officielle de la cour des Ryûkyû, un royaume encore semi-indépendant à l'époque. L'événement fit assurément sensation et ne pouvait manquer d'être exploité par les éditeurs, pour plaire à un public avide de nouveautés et d'exotisme.

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collectionName : Chine
inventoryNb : V.1059 A
objectName :
objectTitle :
objectCulture :
geography :
dating : ca. AD 1750
material :
technique :
dimensions :
legalRightOwner : Musées royaux d'art et d'histoire/Koninklijke Musea voor Kunst en Geschiedenis

objectDescription : Les sources de ce décor n'ont pas été identifiées. Le personnage à la lyre assis sur le rocher pourrait être Orphée s'en revenant des Enfers, au moment où il se retourne pour regarder Eurydice et, par ce mouvement, la perdre à jamais.
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