probabl*


↑ objectName, objectTitle:

objectTitle :

collectionName : collectionName
inventoryNb : inventoryNb
objectName : objectName
objectTitle : objectTitle
objectCulture : objectCulture
geography : geography
dating : dating
material : material
technique : technique
dimensions : dimensions
legalRightOwner : legalRightOwner

objectDescription : objectDescription

↑ , Harpe à pédales:

Harpe à pédales :

collectionName : Instruments à cordes
inventoryNb : 0247
objectName :
objectTitle : Harpe à pédales
objectCulture :
geography :
dating : AD 1770 - AD 1800
material :
technique :
dimensions : Hauteur: 164 cm, Largeur: 40 cm, Profondeur: 85 cm
legalRightOwner : Musées royaux d'art et d'histoire/Koninklijke Musea voor Kunst en Geschiedenis

objectDescription : 39 cordes. Mécanique probablement à crochets, mécanique et pédales manquantes, emplacement pour huit pédales (sept pour le jeu chromatique et une pour les jalousies). Caisse composée de sept côtes de bois, percée de deux ouïes rectangulaires. Sur la table, trois paires d’ouïes de chacune sept ouvertures. Décors : la harpe a été intégralement repeinte d’une couleur brun sombre. A certains endroits, la peinture s’écaille et laisse voir d’anciennes couches noires et dorées. La console ne comporte qu’une seule bosse sur son dessus. La crosse est ornée d’une volute avec feuillage, reposant sur un trophée et des fleurs. Bibliographie Victor-Charles Mahillon, Catalogue descriptif et analytique du Musée Instrumental du Conservatoire Royal de Musique de Bruxelles, i, Gand, 1893, p. 342.

↑ , :

:

collectionName : Instruments à clavier
inventoryNb : 0272
objectName :
objectTitle :
objectCulture :
geography :
dating : AD 1550
material :
technique :
dimensions : Hauteur: 17,5 cm, Largeur: 147 cm, Profondeur: 50 cm
legalRightOwner : Musées royaux d'art et d'histoire/Koninklijke Musea voor Kunst en Geschiedenis

objectDescription : 1x8'. Tessiture de 4 octaves et une quarte C/E-f3 (50 notes). Marches en buis, feintes en ébène orné d’ivoire. Ornements d’ivoire probablement non originaux. Rose découpée de motifs géométriques. Instrument placé dans une caisse extérieure rectangulaire datant vraisemblablement du 17e siècle. "ANTONII PATAVINI OPVS MDXXXXX".

↑ , Clavecin à double clavier:

Clavecin à double clavier :

collectionName : Instruments à clavier
inventoryNb : 0276
objectName :
objectTitle : Clavecin à double clavier
objectCulture :
geography :
dating : AD 1646
material :
technique :
dimensions :
legalRightOwner : Musées royaux d'art et d'histoire/Koninklijke Musea voor Kunst en Geschiedenis

objectDescription : Clavecin transpositeur à deux claviers construit par Ioannes Couchet en 1646. Claviers alignés probablement dès la seconde moitié du 17e siècle. Grand ravalement au 18e siècle. Restauré à plusieurs reprises dont en 1891 par Frans de Vestibule, en 1961 par Knud Kaufmann et en 1974 par Grant O’Brien.

↑ , :

:

collectionName : Instruments à cordes
inventoryNb : 0483
objectName :
objectTitle :
objectCulture :
geography :
dating : AD 1701 - AD 1800
material :
technique :
dimensions : Hauteur: 70,8 cm, Largeur: 25,7 cm, Profondeur: 10,5 cm
legalRightOwner : Musées royaux d'art et d'histoire/Koninklijke Musea voor Kunst en Geschiedenis

objectDescription : Dessus de viole de gambe à six cordes portant l’étiquette de Nicolas III Médard (1628-après 1673) de Nancy. Cet instrument a probablement été composé au XIXe siècle d'éléments anciens et nouveaux, peut-être par le luthier et collectionneur Tolbecque lui-même. Le dos est plat et construit en plusieurs parties. Dans les coins, il est décoré de fleurs de lys dorées et porte plusieurs filets dans le sens de la longueur. Il n’y a pas de filet le long du bord et la partie supérieure du dos n’est pas inclinée vers le manche. À l’intérieur de la caisse, le dos est renforcé par un large pont. Les éclisses font alterner le palissandre et le cyprès, séparés par de minces filets. La table est faite de deux pièces d’épicéa. Elle est percée d’une rosette bordée d’or et est également ornée de lys français peints. Elle présente quelques fractures qui ont été réparées. Les ouïes en C sont également entourées d’un bord doré et sont crantées à l’intérieur. Une petite ouverture circulaire est ajoutée à l’extérieur. Le manche, mince et plat, est en poirier et porte une touche plaquée d’ébène et un sillet d’ivoire. Le chevillier est orné simplement et présente à l’arrière un motif végétal ajouré. Il est couronné d’une tête féminine aux cheveux bouclés. Les chevilles d’accord sont en buis, tandis que le cordier et la tige à laquelle celle-ci est fixée sont en ébène. La table et le manche portent un vernis brun foncé ; le dos et les éclisses sont couverts d’une vernis transparent pratiquement incolore. L’angle qui marque la transition entre les épaules et le manche, ainsi que les caractéristiques inhabituelles de la caisse donnent à penser qu’un ancien manche a été greffé sur une caisse plus récente. L’intérieur de la caisse est pourvu d’une étiquette imprimée : “Nicolas Medar à Paris 1701”. Les deux derniers chiffres du millésime sont manuscrits. Le dessus de viole était accordé une octave au-dessus de la basse de viole et servait souvent à l’exécution des parties similaires. Longueur ca 71 cm Largeur ca 25,1 cm Hauteur des éclisses ca 4,4 cm Longueur vibrante ca 38 cm Cet instrument (inv. n° 0483) faisait partie de la collection d’Auguste Tolbecque. En 1879, celle-ci fut acquise par le Musée des instruments de musique. En 1885, une « viol » de « Nicholas Medaer » fut exposée à Londres. Sans doute s’agissait-il de cet instrument-ci. Bibliographie Victor-Charles Mahillon, Catalogue descriptif et analytique du Musée Instrumental du Conservatoire Royal de Musique de Bruxelles, vol. 1, Gand, 1880, 2/1893, p. 467.

↑ , Cromorne soprano:

Cromorne soprano :

collectionName : Instruments à vent
inventoryNb : 0610
objectName :
objectTitle : Cromorne soprano
objectCulture :
geography :
dating : AD 1551 - AD 1600
material :
technique :
dimensions : Hauteur: 40,5 cm, Largeur: 2 cm, Profondeur: 17 cm
legalRightOwner : Musées royaux d'art et d'histoire/Koninklijke Musea voor Kunst en Geschiedenis

objectDescription : item has no descption

↑ , Cromorne alto:

Cromorne alto :

collectionName : Instruments à vent
inventoryNb : 0611
objectName :
objectTitle : Cromorne alto
objectCulture :
geography :
dating : AD 1551 - AD 1600
material :
technique :
dimensions : Hauteur: 59 cm, Largeur: 3 cm, Profondeur: 19,5 cm
legalRightOwner : Musées royaux d'art et d'histoire/Koninklijke Musea voor Kunst en Geschiedenis

objectDescription : item has no descption

↑ , Cromorne ténor:

Cromorne ténor :

collectionName : Instruments à vent
inventoryNb : 0614
objectName :
objectTitle : Cromorne ténor
objectCulture :
geography :
dating : AD 1551 - AD 1600
material :
technique :
dimensions : Hauteur: 81 cm, Largeur: 3,5 cm, Profondeur: 28 cm
legalRightOwner : Musées royaux d'art et d'histoire/Koninklijke Musea voor Kunst en Geschiedenis

objectDescription : item has no descption

↑ , Cromorne basse:

Cromorne basse :

collectionName : Instruments à vent
inventoryNb : 0615
objectName :
objectTitle : Cromorne basse
objectCulture :
geography :
dating : AD 1551 - AD 1600
material :
technique :
dimensions : Hauteur: 95 cm, Largeur: 3,5 cm, Profondeur: 29 cm
legalRightOwner : Musées royaux d'art et d'histoire/Koninklijke Musea voor Kunst en Geschiedenis

objectDescription : item has no descption

↑ , Plaque tumulaire : épitaphe, probablement du sire Renier de Malève, de l'église de l'abbaye de Villers:

Plaque tumulaire : épitaphe, probablement du sire Renier de Malève, de l'église de l'abbaye de Villers :

collectionName : Sculpture et mobilier (XIIIe - XIXe siècle)
inventoryNb : 1049
objectName :
objectTitle : Plaque tumulaire : épitaphe, probablement du sire Renier de Malève, de l'église de l'abbaye de Villers
objectCulture :
geography :
dating : AD 1318
material :
technique :
dimensions : Hauteur: 315 cm, Largeur: 155 cm, Profondeur: 20 cm
legalRightOwner : Musées royaux d'art et d'histoire/Koninklijke Musea voor Kunst en Geschiedenis

objectDescription : item has no descption

↑ , :

:

collectionName : Instruments à cordes
inventoryNb : 1498
objectName :
objectTitle :
objectCulture :
geography :
dating : avant AD 1900
material :
technique :
dimensions : Hauteur: 59,5 cm, Largeur: 9 cm, Profondeur: 26 cm
legalRightOwner : Musées royaux d'art et d'histoire/Koninklijke Musea voor Kunst en Geschiedenis

objectDescription : 22 cordes. Table percé de deux paires d’ouïes en forme de rosaces. Etendue : Fa 2 à Fa 5 Décors : marqueteries sur la colonne et sur la console Cette harpe est un fac-similé d’un instrument du Bayerischen Nationalmuseum de Munich (inv. Mu 26), datant probablement d’avant 1500. Bibliographie Victor-Charles Mahillon, Catalogue descriptif et analytique du Musée Instrumental du Conservatoire Royal de Musique de Bruxelles, iii, Gand, 1900, p. 94-95.

↑ , Buste de vieille femme dite Annalena Malatesta:

Buste de vieille femme dite Annalena Malatesta :

collectionName : Moules et moulages
inventoryNb : 1545.00
objectName :
objectTitle : Buste de vieille femme dite Annalena Malatesta
objectCulture :
geography :
dating : AD 1863 - AD 1926
material :
technique :
dimensions : Hauteur: 40 cm, Largeur: 45 cm
legalRightOwner : Musées royaux d'art et d'histoire/Koninklijke Musea voor Kunst en Geschiedenis

objectDescription : Les informations mentionnées ci-dessus se réfèrent au moule à partir duquel le moulage représenté a été créé. Ce moule fait partie de la collection historique des moules et moulages des Musées royaux d’Art et d’Histoire dont une partie n’existe plus ou ne peut plus être employée. Certains moules sont encore utilisés aujourd’hui pour la fabrication de moulages. Pour plus d’informations, veuillez nous contacter à moulages@kmkg-mrah.be Informations sur l'original: Lieu de conservation : Musée national, Florence, Italie Matière : bronze Datation / Style : Renaissance italienne, école florentine, XVe siècle Auteur : attribué à Donatello, sculpteur (1386-1466) ou son école. Également attribué à Lorenzo II Vecchietta de Sienne (1412-1480), élève de Donatello, ce buste est probablement modelé d'après un moulage pris sur nature après décès.

↑ , Virginale rectangulaire:

Virginale rectangulaire :

collectionName : Instruments à clavier
inventoryNb : 1597
objectName :
objectTitle : Virginale rectangulaire
objectCulture :
geography :
dating : AD 1620
material :
technique :
dimensions : Hauteur: 26 cm, Largeur: 173,8 cm, Profondeur: 49,5 cm
legalRightOwner : Musées royaux d'art et d'histoire/Koninklijke Musea voor Kunst en Geschiedenis

objectDescription : Virginale de type muselar de 6 pieds, portant le numéro de série 6/27, construite par Andreas Ruckers en 1620. Ravalée, probablement dès le 17e siècle. Restaurée en 1847 par Bruno Martens, en 1885 par Frans de Vestibule, en 1936-1937 par Siméon Moisse et en 1982 par Kurt et Susanne Wittmayer.

↑ , :

:

collectionName : Instruments à clavier
inventoryNb : 1600
objectName :
objectTitle :
objectCulture :
geography :
dating : AD 1656
material :
technique :
dimensions : Longueur: 1778 cm, Largeur: 686 cm, Hauteur: 182 cm
legalRightOwner : Musées royaux d'art et d'histoire/Koninklijke Musea voor Kunst en Geschiedenis

objectDescription : 2x8'. Clavier en hêtre non original provenant d'un instrument de 4 octaves chromatiques C-c3 (49 notes). Tessiture de 4 octaves C/E-c3 (45 notes). Marches en buis, feintes en hêtre noirci contreplaqué d'ébène, frontons en buis découpé en arcade. Sautereaux en poirier, languettes en hêtre, plectres en plume. Table d'harmonie probablement non originale en sapin ou pin. Rose aux motifs géométriques en parchemin, similaire à celles des instruments de Zenti. Chevalet en noyer. Sommier en hêtre contreplaqué de cyprès. Sillet en hêtre. Caisse intérieure en cyprès placée dans une caisse extérieure de peuplier peint en brun. Couvercle en sapin orné d'une scène mythologique peinte sur toile et marouflée. "Jeronimus de Zentis faciebat Roma 1656" à l'arrière de la barre d'adresse. "Frans de Vestibule le 27 février 1892" sur la face inférieure du sommier.

↑ , Élément de retable : Jessé:

Élément de retable : Jessé :

collectionName : Moules et moulages
inventoryNb : 1620.00
objectName :
objectTitle : Élément de retable : Jessé
objectCulture :
geography :
dating : AD 1863 - AD 1926
material :
technique :
dimensions : Hauteur: 42 cm, Largeur: 23 cm
legalRightOwner : Musées royaux d'art et d'histoire/Koninklijke Musea voor Kunst en Geschiedenis

objectDescription : Les informations mentionnées ci-dessus se réfèrent au moule à partir duquel le moulage représenté a été créé. Ce moule fait partie de la collection historique des moules et moulages des Musées royaux d’Art et d’Histoire dont une partie n’existe plus ou ne peut plus être employée. Certains moules sont encore utilisés aujourd’hui pour la fabrication de moulages. Pour plus d’informations, veuillez nous contacter à moulages@kmkg-mrah.be Informations sur l'original: Il provient probablement d'un retable de l'école d'Anvers. Provenance : collection Van den Corput, Bruxelles, Belgique Datation / Style : art gothique, XVe siècle Matière : bois

↑ , Élément de retable : scribe:

Élément de retable : scribe :

collectionName : Moules et moulages
inventoryNb : 1621.00
objectName :
objectTitle : Élément de retable : scribe
objectCulture :
geography :
dating : AD 1863 - AD 1926
material :
technique :
dimensions : Hauteur: 32 cm, Largeur: 14 cm
legalRightOwner : Musées royaux d'art et d'histoire/Koninklijke Musea voor Kunst en Geschiedenis

objectDescription : Les informations mentionnées ci-dessus se réfèrent au moule à partir duquel le moulage représenté a été créé. Ce moule fait partie de la collection historique des moules et moulages des Musées royaux d’Art et d’Histoire dont une partie n’existe plus ou ne peut plus être employée. Certains moules sont encore utilisés aujourd’hui pour la fabrication de moulages. Pour plus d’informations, veuillez nous contacter à moulages@kmkg-mrah.be Informations sur l'original: Il provient probablement d'un retable de l'école d'Anvers. Provenance : collection Van den Corput, Bruxelles, Belgique Datation / Style : art gothique, XVe siècle Matière : bois

↑ , Élément de retable : scribe:

Élément de retable : scribe :

collectionName : Moules et moulages
inventoryNb : 1622.00
objectName :
objectTitle : Élément de retable : scribe
objectCulture :
geography :
dating : AD 1863 - AD 1926
material :
technique :
dimensions :
legalRightOwner : Musées royaux d'art et d'histoire/Koninklijke Musea voor Kunst en Geschiedenis

objectDescription : Les informations mentionnées ci-dessus se réfèrent au moule à partir duquel le moulage représenté a été créé. Ce moule fait partie de la collection historique des moules et moulages des Musées royaux d’Art et d’Histoire dont une partie n’existe plus ou ne peut plus être employée. Certains moules sont encore utilisés aujourd’hui pour la fabrication de moulages. Pour plus d’informations, veuillez nous contacter à moulages@kmkg-mrah.be Informations sur l'original: Il provient probablement d'un retable de l'école d'Anvers. Provenance : collection Van den Corput, Bruxelles, Belgique Datation / Style : art gothique, XVe siècle Matière : bois

↑ , Yang-kin, Yang-ch'in, Yangqin:

Yang-kin, Yang-ch'in, Yangqin :

collectionName : Instruments asiatiques
inventoryNb : 1932
objectName :
objectTitle : Yang-kin, Yang-ch'in, Yangqin
objectCulture :
geography :
dating : avant AD 1900
material :
technique :
dimensions :
legalRightOwner : Musées royaux d'art et d'histoire/Koninklijke Musea voor Kunst en Geschiedenis

objectDescription : item has no descption

↑ , :

:

collectionName : Instruments à percussion
inventoryNb : 1970.022
objectName :
objectTitle :
objectCulture :
geography :
dating : AD 1595
material :
technique :
dimensions :
legalRightOwner : Musées royaux d'art et d'histoire/Koninklijke Musea voor Kunst en Geschiedenis

objectDescription : item has no descption

↑ , Clavicorde lié:

Clavicorde lié :

collectionName : Instruments à clavier
inventoryNb : 1970.029
objectName :
objectTitle : Clavicorde lié
objectCulture :
geography :
dating : AD 1733
material :
technique :
dimensions : Hauteur: 13,4 cm, Largeur: 120,7 cm, Profondeur: 36,8 cm
legalRightOwner : Musées royaux d'art et d'histoire/Koninklijke Musea voor Kunst en Geschiedenis

objectDescription : item has no descption

↑ , :

:

collectionName : Instruments à clavier
inventoryNb : 1971.027
objectName :
objectTitle :
objectCulture :
geography :
dating : AD 1633
material :
technique :
dimensions :
legalRightOwner : Musées royaux d'art et d'histoire/Koninklijke Musea voor Kunst en Geschiedenis

objectDescription : Virginale de type muselar, portant le numéro de série 6/70, construite par Andreas Ruckers en 1633. Ravalée à la fois dans les graves et dans les aigus dans le courant du 18e siècle, voire au 19e siècle. Restaurée probablement dans l’atelier de Claude Mercier-Ythier en 1964 et en 2013 grâce au mécénat du Fonds Baillet Latour.

↑ , :

:

collectionName : Instruments à vent
inventoryNb : 1980.057
objectName :
objectTitle :
objectCulture :
geography :
dating : ca. AD 1900
material :
technique :
dimensions : Hauteur: 83 cm, Largeur: 23,5 cm, Profondeur: 37,5 cm
legalRightOwner : Musées royaux d'art et d'histoire/Koninklijke Musea voor Kunst en Geschiedenis

objectDescription : item has no descption

↑ , :

:

collectionName : Instruments d'Océanie
inventoryNb : 1988.010-02
objectName :
objectTitle :
objectCulture : Aborigène (Population)
geography :
dating : avant AD 1988
material :
technique :
dimensions : Longueur: 25,6 cm, Largeur: 4 cm
legalRightOwner : Musées royaux d'art et d'histoire/Koninklijke Musea voor Kunst en Geschiedenis

objectDescription : JORI2012:Le décor de ce rhombe est complètement différent de ce que nous avons vu jusqu'à présent. L'instrument est divisé quatre parties par des traits jaunes et rouges. Un trait jaune délimite le contour de l'instrument, un deuxième le divise en deux autres entourent le trait jaune horizontal et central. Les quatres sections délimitées par ces bandes de couleur sont remplies de lignes diagonales blanches et jaunes. La corde est toujours fixée dans un trou fait à l'extrêmité non décorée. Plusieurs matières pouvaient traditionnellemnet être utilisées par les aborigènes d'Australie pour fabriquer ces cordes: écorce d'arbre, lin, fourrure animale ou encore chevelure humaine(Mathews:1898,p.52). On peut comparer ce rhombe à un autre conservé à la Cité de la Musqiue à Paris (Cité de la Musique, numéro d'inventaire: E.2202.6.1). Ils montrent des concordances esthétiques qui suggèrent une très probable origine commune. L'instrument de Paris provient de Groote Eylandt dans la Terre d'Arnhem. Il est probable que ces deux instruments aient une origine proche tellement leurs décorations sont similaires.

↑ , :

:

collectionName : Ethnologie européenne
inventoryNb : 2016.103.0001
objectName :
objectTitle :
objectCulture :
geography :
dating : ca.
material :
technique :
dimensions : Hauteur: 58 cm, Largeur: 58 cm, Profondeur: 24 cm
legalRightOwner :

objectDescription : Théâtre miniature constitué d’une caisse avec avant-scène, devanture décorée à actionner à l’aide d’un treuil, un décor et deux figurines faisant office d’acteurs. L’avant-scène, construite en bois, reproduit la façade joliment détaillée d’un théâtre. Dans la partie supérieure, trône le nom « OPÉRA », à l’image de la célèbre institution parisienne. La devanture rouge est ornée en son centre d’une lyre dorée et, dans le bas, d’une frise décorative. Une imitation de marbre bleu cobalt recouvre la base du théâtre. Sur le fond, un chemin de forêt a été peint à la main. Un décor amovible et réversible couvre des planches dont une face figure un salon et l’autre un paysage. Deux figurines font office d’acteurs. Elles sont équipées d’yeux en verre bruns et d’une chevelure blonde en mohair. Elles portent un costume traditionnel richement orné. Ces figurines ne sont probablement pas d’origine. Le théâtre disposait initialement de marionnettes manipulées par le haut.

↑ , Lustre de serpents:

Lustre de serpents :

collectionName : Instruments à vent
inventoryNb : 2017
objectName :
objectTitle : Lustre de serpents
objectCulture :
geography :
dating : avant AD 1900
material :
technique :
dimensions : Hauteur: 180 cm, Largeur: 115 cm, Profondeur: 115 cm
legalRightOwner : Musées royaux d'art et d'histoire/Koninklijke Musea voor Kunst en Geschiedenis

objectDescription : Lustre fabriqué à partir de serpents (12 à l'origine, 10 actuellement) fixés en étoile autour d'un chapeau chinois. Les bocaux, tournés avec leur extrémité vers le haut, accueillant normalement les embouchures, faisant office de porte-bougies. Les instruments datent de la fin du XVIIIe siècle ou du début du XIXe, mais ont probablement été assemblés en lustre peu avant 1900.

↑ , Saint Dominique de Guzmán:

Saint Dominique de Guzmán :

collectionName : Sculpture et mobilier (XIIIe - XIXe siècle)
inventoryNb : 2335
objectName :
objectTitle : Saint Dominique de Guzmán
objectCulture :
geography :
dating : AD 1480 - AD 1490 Inconnue
material :
technique :
dimensions :
legalRightOwner : Musées royaux d'art et d'histoire/Koninklijke Musea voor Kunst en Geschiedenis

objectDescription : item has no descption

↑ , virginale rectangulaire:

virginale rectangulaire :

collectionName : Instruments à clavier
inventoryNb : 2930
objectName :
objectTitle : virginale rectangulaire
objectCulture :
geography :
dating : AD 1614 (Incertaine)
material :
technique :
dimensions : Longueur: 1667 mm, Largeur: 490 mm, Hauteur: 240 mm
legalRightOwner : Musées royaux d'art et d'histoire/Koninklijke Musea voor Kunst en Geschiedenis

objectDescription : Virginale de 6 pieds de type muselar, portant le numéro de série 6/20, probablement construite en 1614. L’instrument est à plusieurs reprises remis au goût du jour. Ainsi dans la première moitié du 18e siècle, le porphyre original est couvert d’une teinte brunâtre. Au 19e siècle, cette dernière est masquée par un faux bois acajou tandis que l’instrument est pourvu d’un nouveau couvercle. Au 19e siècle toujours, l’instrument est pourvu d’un décor aux motifs géométriques. Un portillon et un chapiteau neufs sont adjoints à l’instrument. Un abattant est découpé dans le couvercle à hauteur du clavier alors que la table d’harmonie et les chevalets sont peints d’un ton brun laiteux. La table est rehaussée de motifs décoratifs. Certaines de ces interventions pourraient être dues à un certain I.B.P. qui appose sa signature sur la contre-éclisse de la gorge.

↑ , virginale rectangulaire:

virginale rectangulaire :

collectionName : Instruments à clavier
inventoryNb : 2933
objectName :
objectTitle : virginale rectangulaire
objectCulture :
geography :
dating : AD 1638
material :
technique :
dimensions :
legalRightOwner : Musées royaux d'art et d'histoire/Koninklijke Musea voor Kunst en Geschiedenis

objectDescription : Virginale de type muselar de 6 pieds portant le numéro de série 6/68, construite par Ioannes Ruckers en 1638 suivant la date inscrite sur la table d’harmonie. Ravalée probablement au 18e siècle. Restaurée à une ou plusieurs reprises.

↑ , Coffret:

Coffret :

collectionName : Sculpture et mobilier (XIIIe - XIXe siècle)
inventoryNb : 3146
objectName :
objectTitle : Coffret
objectCulture :
geography :
dating : AD 1501 - AD 1600
material :
technique :
dimensions : Hauteur: 33 cm
legalRightOwner : Musées royaux d'art et d'histoire/Koninklijke Musea voor Kunst en Geschiedenis

objectDescription : item has no descption

↑ , Kaschapi vina (probablement erroné):

Kaschapi vina (probablement erroné) :

collectionName : Instruments asiatiques
inventoryNb : 3256
objectName :
objectTitle : Kaschapi vina (probablement erroné)
objectCulture :
geography :
dating : avant AD 1913
material :
technique :
dimensions : Longueur: 126 cm, Largeur: 38 cm, Hauteur: 29,5 cm
legalRightOwner : Musées royaux d'art et d'histoire/Koninklijke Musea voor Kunst en Geschiedenis

objectDescription : item has no descption

↑ , :

:

collectionName : Instruments à vent
inventoryNb : 3318
objectName :
objectTitle :
objectCulture :
geography :
dating : avant AD 1928
material :
technique :
dimensions : Hauteur: 51,9 cm, Profondeur: 19,5 cm
legalRightOwner : Musées royaux d'art et d'histoire/Koninklijke Musea voor Kunst en Geschiedenis

objectDescription : Cor à embouchure terminale composé d'une corne de boeuf et d'un pavillon en métal. L'instrument ne comprend pas d'embouchure et était probablement utilisé en porte-voix.

↑ , Clavecin à double clavier:

Clavecin à double clavier :

collectionName : Instruments à clavier
inventoryNb : 3848
objectName :
objectTitle : Clavecin à double clavier
objectCulture :
geography :
dating : ca. AD 1695
material :
technique :
dimensions : Longueur: 2263 cm, Largeur: 898 cm, Hauteur: 919 cm
legalRightOwner : Musées royaux d'art et d'histoire/Koninklijke Musea voor Kunst en Geschiedenis

objectDescription : Clavecin à double clavier, longtemps considéré comme un instrument de Hans Ruckers, construit par un facteur français vers 1695. Premier ravalement probablement par Antoine Vater vers 1750. Second ravalement par Pascal Taskin en 1774. Restauré en 1905 à Paris par le facteur et restaurateur de pianos italien Louis Tomasini, dans les années 1950 par le facteur de clavecins américain Frank Hubbard et en 1996 grâce à un financement de la Fondation Roi Baudouin.

↑ , Clavecin:

Clavecin :

collectionName : Instruments à clavier
inventoryNb : 3908
objectName :
objectTitle : Clavecin
objectCulture :
geography :
dating : ca. AD 1600 - AD 1620
material :
technique :
dimensions :
legalRightOwner : Musées royaux d'art et d'histoire/Koninklijke Musea voor Kunst en Geschiedenis

objectDescription : Clavecin flamand du début du 17e siècle, jadis considéré comme un instrument d’Andreas Ruckers. Dès le 17e siècle probablement, l’instrument fait l’objet d’un premier ravalement. Dans le courant du 18e siècle, la décoration de la table d’harmonie est refaite. À la fin du 19e siècle, voire au 20e siècle, un nouveau clavier est placé dans l’instrument ; un second rang de cordes de 8’ est ajouté tandis que le 4’ est délaissé. La caisse est alors ornée d’un décor de style Louis XV.

↑ , :

:

collectionName : Instruments d'Océanie
inventoryNb : 4057
objectName :
objectTitle :
objectCulture : Abelam (Population)
geography :
dating : avant AD 1964
material :
technique :
dimensions : Diamètre: 7 cm
legalRightOwner : Musées royaux d'art et d'histoire/Koninklijke Musea voor Kunst en Geschiedenis

objectDescription : JORI2012: "Ces deux flûtes globulaires (4057; 4058) proviennent du district de Maprik. C'est probablement le peuple Abelam ou un groupe avoisinant les Abelam qui les a fabriquées. Elles sont faites dans la coque d'un fruit appelé bagwi chez les Abelam. Ces flûtes sont des instruments sacrés utilisés lors de cérémonies d'initiation. Elles sont donc gardées secrètes pour les femmes et les enfants qui courent se cacher dès qu'une flûte se fait entendre. Pour ceux qui n'ont jamais vu l'instrument, son son est celui des esprits ngwalndu. Ces flûtes sont percées de deux trous (...), un pour souffler, le deuxième pour le doigté. Elles sont décorées de lignes courbes et de spirales. On les connait sous le nom de kulali ou kulale ainsi que sous le nom maira.

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collectionName : Instruments d'Océanie
inventoryNb : 4058
objectName :
objectTitle :
objectCulture : Abelam, (Incertain) (Population)
geography :
dating : avant AD 1964
material :
technique :
dimensions : Diamètre: 6,5 cm
legalRightOwner : Musées royaux d'art et d'histoire/Koninklijke Musea voor Kunst en Geschiedenis

objectDescription : JORI2012: "Ces deux flûtes globulaires (4057; 4058) proviennent du district de Maprik. C'est probablement le peuple Abelam ou un groupe avoisinant les Abelam qui les a fabriquées. Elles sont faites dans la coque d'un fruit appelé bagwi chez les Abelam. Ces flûtes sont des instruments sacrés utilisés lors de cérémonies d'initiation. Elles sont donc gardées secrètes pour les femmes et les enfants qui courent se cacher dès qu'une flûte se fait entendre. Pour ceux qui n'ont jamais vu l'instrument, son son est celui des esprits ngwalndu. Ces flûtes sont percées de deux trous (...), un pour souffler, le deuxième pour le doigté. Elles sont décorées de lignes courbes et de spirales. On les connait sous le nom de kulali ou kulale ainsi que sous le nom maira.

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collectionName : Instruments à vent
inventoryNb : 4246
objectName :
objectTitle :
objectCulture :
geography :
dating : AD 1851 - AD 1900
material :
technique :
dimensions : Hauteur: 47 cm
legalRightOwner : Musées royaux d'art et d'histoire/Koninklijke Musea voor Kunst en Geschiedenis

objectDescription : item has no descption

↑ , :

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collectionName : Instruments à clavier
inventoryNb : 4256
objectName :
objectTitle :
objectCulture :
geography :
dating : AD 1861
material :
technique :
dimensions : Hauteur: 112,3 cm, Largeur: 127,8 cm, Profondeur: 61 cm
legalRightOwner : Musées royaux d'art et d'histoire/Koninklijke Musea voor Kunst en Geschiedenis

objectDescription : N° 30614. Mécanique à baïonnettes. Etendue de 7 octaves AAA-a4 (85 notes). Largeur clavier 3 octaves : 481mm. Marches en ivoire, feintes en ébène, frontons plats en merisier. 2 pédales : una corda, forte. Cordes verticales. Unicorde filée : 11, bicorde filée : 15, bicorde : 18, tricorde : 41. Chevalet divisé en hêtre graphité. Sommier des pointes : hêtre, plaque de fonte dans les basses, 1 renfort dans les basses et 1 dans les aigus probablement ajoutés lors d’une restauration. Caisse plaquée de palissandre. « Médailles d'Or/ EN/ 1827,34,39,44. MEDAILLE D'HONNEUR/ Exp.on Universelle/ de 1855 Hors de Concours/ EN/ 1849. IGNACE PLEYEL & COMP.IE/ Paris » sur la barre d’adresse.

↑ , Vase à décor représentant probablement Naymlap, accompagné de deux animaux:

Vase à décor représentant probablement Naymlap, accompagné de deux animaux :

collectionName : Amérique
inventoryNb : AAM 00046.7.82
objectName :
objectTitle : Vase à décor représentant probablement Naymlap, accompagné de deux animaux
objectCulture : Sican
geography :
dating : AD 900 - AD 1100
material :
technique :
dimensions : Hauteur: 17,9 cm
legalRightOwner : Musées royaux d'art et d'histoire/Koninklijke Musea voor Kunst en Geschiedenis

objectDescription : item has no descption

↑ , Vase polychrome décoré de serpents:

Vase polychrome décoré de serpents :

collectionName : Amérique
inventoryNb : AAM 00070.6
objectName :
objectTitle : Vase polychrome décoré de serpents
objectCulture : Tarasque (Purépecha)
geography :
dating : AD 1 - AD 500
material :
technique :
dimensions : Hauteur: 23,5 cm
legalRightOwner : Musées royaux d'art et d'histoire/Koninklijke Musea voor Kunst en Geschiedenis

objectDescription : item has no descption

↑ , :

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collectionName : Amérique
inventoryNb : AAM 00071.7.3
objectName :
objectTitle :
objectCulture : Culture inconnue
geography :
dating : Inconnue
material :
technique :
dimensions : Diamètre: 6 cm
legalRightOwner : Musées royaux d'art et d'histoire/Koninklijke Musea voor Kunst en Geschiedenis

objectDescription : Ce petit récipient globulaire contenait probablement une matière odorante. Des récipients de ce genre accompagnaient habituellement les momies dans le Nord du Chili.

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collectionName : Gallo-Romains
inventoryNb : B000474-010
objectName :
objectTitle :
objectCulture : Gallo-romaine
geography :
dating :
material :
technique :
dimensions :
legalRightOwner : Musées royaux d'art et d'histoire/Koninklijke Musea voor Kunst en Geschiedenis

objectDescription : Fond d'assiette en terra sigillata, Drag. 28, avec sigle OFTSFE (probablement Flavus et Secundus).

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collectionName : Préhistoire et Âge des Métaux
inventoryNb : B001042-001
objectName :
objectTitle :
objectCulture :
geography :
dating :
material :
technique :
dimensions : Poids: 130 g
legalRightOwner : Musées royaux d'art et d'histoire/Koninklijke Musea voor Kunst en Geschiedenis

objectDescription : Ensemble d’objets entrés aux MRAH par un don manuel de M. Paul Verhaegen en 1904. Datés probablement du Néolithique moyen, ces objets proviennent de la « propriété Verhaegen» à Boitsfort qui s’étend à la fois sur le site du Kattenberg et sur celui de Boitsfort-Etangs.

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collectionName : Préhistoire et Âge des Métaux
inventoryNb : B001279-001
objectName :
objectTitle :
objectCulture :
geography :
dating :
material :
technique :
dimensions : Poids: 285 g
legalRightOwner : Musées royaux d'art et d'histoire/Koninklijke Musea voor Kunst en Geschiedenis

objectDescription : Ensemble d’objets entrés aux MRAH par un don manuel de M. (L. ou Paul) Verhaegen en 1907. Datés probablement du Néolithique moyen voire du Mésolithique, ces objets proviennent, selon l’étiquette attachée au mobilier, de la « Station de la Pointe » à Boitsfort.

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collectionName : Préhistoire et Âge des Métaux
inventoryNb : B001376-001
objectName :
objectTitle :
objectCulture : Michelsberg
geography :
dating :
material :
technique :
dimensions : Longueur: 3,5 cm
legalRightOwner : Musées royaux d'art et d'histoire/Koninklijke Musea voor Kunst en Geschiedenis

objectDescription : Unique objet entré aux MRAH par un don manuel de M. Et. Verhaegen en 1908. Daté du Néolithique moyen (probablement Michelsberg, ou bien S.O.M.), il provient de Boitsfort, sans indication plus précise de provenance.

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collectionName : Mérovingiens
inventoryNb : B005829-001
objectName :
objectTitle :
objectCulture : Mérovingienne
geography :
dating :
material :
technique :
dimensions : Hauteur: 20,3 cm
legalRightOwner : Musées royaux d'art et d'histoire/Koninklijke Musea voor Kunst en Geschiedenis

objectDescription : Durant le haut Moyen-âge, les personnes inhumées étaient accompagnées de divers objets funéraires. Cette corne à boire, aquise par le Musée en 2010, provient probablement du cimetière d'Anderlecht, d'où elle a été exhumée au cours d'ancienne fouilles. Son ancien propriétaire l'avait découverte, enfant, dans le grenier de son grand-père, notaire à Bruxelles. De couleur jaune olive, rehaussée d'une résille et de trois arceaux vert bleuâtre, elle se caractérise par sa grande taille. Apparentée, typologiquement, aux cornes lombardes à résille, elle pourrait, toutefois, être un produit régional. Très rares, les cornes à boire intactes en verre antiques ou du haut Moyen-âge sont exceptionnelles.

↑ , Petit vase brun foncé à décor de traits de couleur rouille:

Petit vase brun foncé à décor de traits de couleur rouille :

collectionName : Chine
inventoryNb : CH.0102
objectName :
objectTitle : Petit vase brun foncé à décor de traits de couleur rouille
objectCulture :
geography :
dating : AD 1101 - AD 1400
material :
technique :
dimensions :
legalRightOwner : Musées royaux d'art et d'histoire/Koninklijke Musea voor Kunst en Geschiedenis

objectDescription : La teinte brune ou noire d’une céramique, ainsi que le ton olive d’une couverte, impliquent la présence d’oxyde de fer. Plus concentré est celui-ci, plus foncée et la couverte. Les bols de type jian (tenmoku en japonais), originaires du Sud (province du Fujian), sont probablement les spécimens les plus célèbres de grès à couverte sombre. Parmi les nombreux types de couverte, le plus répandu se nomme de « fourrure de lièvre » (tuhao wen). À partir du XII siècle, les bols de type jian devinrent extrêmement populaires auprès des maîtres japonais de la cérémonie du thé. Les fours de Cizhou, dans le Nord, réalisèrent aussi des couvertes foncées, notamment pour des bols à thé au décor dit « plumes de perdrix » (zhegu ban), ainsi que pour des boîtes à onguent et de petits vases bruns décorés de traits ou d’arêtes de couleur rouille.

↑ , Petit vase brun foncé à décor d’arêtes de couleur rouille:

Petit vase brun foncé à décor d’arêtes de couleur rouille :

collectionName : Chine
inventoryNb : CH.0103
objectName :
objectTitle : Petit vase brun foncé à décor d’arêtes de couleur rouille
objectCulture :
geography :
dating : AD 1101 - AD 1400
material :
technique :
dimensions :
legalRightOwner : Musées royaux d'art et d'histoire/Koninklijke Musea voor Kunst en Geschiedenis

objectDescription : La teinte brune ou noire d’une céramique, ainsi que le ton olive d’une couverte, impliquent la présence d’oxyde de fer. Plus concentré est celui-ci, plus foncée et la couverte. Les bols de type jian (tenmoku en japonais), originaires du Sud (province du Fujian), sont probablement les spécimens les plus célèbres de grès à couverte sombre. Parmi les nombreux types de couverte, le plus répandu se nomme de « fourrure de lièvre » (tuhao wen). À partir du XII siècle, les bols de type jian devinrent extrêmement populaires auprès des maîtres japonais de la cérémonie du thé. Les fours de Cizhou, dans le Nord, réalisèrent aussi des couvertes foncées, notamment pour des bols à thé au décor dit « plumes de perdrix » (zhegu ban), ainsi que pour des boîtes à onguent et de petits vases bruns décorés de traits ou d’arêtes de couleur rouille.

↑ , Boîte à onguent:

Boîte à onguent :

collectionName : Chine
inventoryNb : CH.0110
objectName :
objectTitle : Boîte à onguent
objectCulture :
geography :
dating : AD 1101 - AD 1400
material :
technique :
dimensions :
legalRightOwner : Musées royaux d'art et d'histoire/Koninklijke Musea voor Kunst en Geschiedenis

objectDescription : La teinte brune ou noire d’une céramique, ainsi que le ton olive d’une couverte, impliquent la présence d’oxyde de fer. Plus concentré est celui-ci, plus foncée et la couverte. Les bols de type jian (tenmoku en japonais), originaires du Sud (province du Fujian), sont probablement les spécimens les plus célèbres de grès à couverte sombre. Parmi les nombreux types de couverte, le plus répandu se nomme de « fourrure de lièvre » (tuhao wen). À partir du XII siècle, les bols de type jian devinrent extrêmement populaires auprès des maîtres japonais de la cérémonie du thé. Les fours de Cizhou, dans le Nord, réalisèrent aussi des couvertes foncées, notamment pour des bols à thé au décor dit « plumes de perdrix » (zhegu ban), ainsi que pour des boîtes à onguent et de petits vases bruns décorés de traits ou d’arêtes de couleur rouille.

↑ , Retour du guerrier, composition probable de David:

Retour du guerrier, composition probable de David :

collectionName : Dentelle
inventoryNb : D.3254.00
objectName :
objectTitle : Retour du guerrier, composition probable de David
objectCulture :
geography :
dating : AD 1801 - AD 1810
material :
technique :
dimensions : Hauteur: 80 cm, Largeur: 80 cm
legalRightOwner :

objectDescription : item has no descption

↑ , Probablement deux paires de manchettes:

Probablement deux paires de manchettes :

collectionName : Dentelle
inventoryNb : D.3311.00
objectName :
objectTitle : Probablement deux paires de manchettes
objectCulture :
geography :
dating : ca. AD 1625
material :
technique :
dimensions :
legalRightOwner : Musées royaux d'art et d'histoire/Koninklijke Musea voor Kunst en Geschiedenis

objectDescription : item has no descption

↑ , Probablement manchette:

Probablement manchette :

collectionName : Dentelle
inventoryNb : D.3311.01
objectName :
objectTitle : Probablement manchette
objectCulture :
geography :
dating : ca. AD 1625
material :
technique :
dimensions : Hauteur: 13 cm, Largeur: 24 cm
legalRightOwner : Musées royaux d'art et d'histoire/Koninklijke Musea voor Kunst en Geschiedenis

objectDescription : item has no descption

↑ , Probablement manchette:

Probablement manchette :

collectionName : Dentelle
inventoryNb : D.3311.02
objectName :
objectTitle : Probablement manchette
objectCulture :
geography :
dating : ca. AD 1625
material :
technique :
dimensions : Hauteur: 13 cm, Largeur: 24 cm
legalRightOwner : Musées royaux d'art et d'histoire/Koninklijke Musea voor Kunst en Geschiedenis

objectDescription : item has no descption

↑ , Probablement manchette:

Probablement manchette :

collectionName : Dentelle
inventoryNb : D.3311.03
objectName :
objectTitle : Probablement manchette
objectCulture :
geography :
dating : ca. AD 1625
material :
technique :
dimensions : Hauteur: 13 cm, Largeur: 29 cm
legalRightOwner : Musées royaux d'art et d'histoire/Koninklijke Musea voor Kunst en Geschiedenis

objectDescription : item has no descption

↑ , Probablement manchette:

Probablement manchette :

collectionName : Dentelle
inventoryNb : D.3311.04
objectName :
objectTitle : Probablement manchette
objectCulture :
geography :
dating : ca. AD 1625
material :
technique :
dimensions : Hauteur: 13 cm, Largeur: 29 cm
legalRightOwner : Musées royaux d'art et d'histoire/Koninklijke Musea voor Kunst en Geschiedenis

objectDescription : item has no descption

↑ , Couvercle du cercueil de Khonsoutefnakht alias Ânkhpayefhéry:

Couvercle du cercueil de Khonsoutefnakht alias Ânkhpayefhéry :

collectionName : Égypte
inventoryNb : E.00586
objectName :
objectTitle : Couvercle du cercueil de Khonsoutefnakht alias Ânkhpayefhéry
objectCulture : Égyptienne
geography :
dating : 672 BC - 525 BC (Incertaine)
material :
technique :
dimensions : Longueur: 190 cm, Largeur: 50 cm, Hauteur: 32 cm
legalRightOwner : Musées royaux d'art et d'histoire/Koninklijke Musea voor Kunst en Geschiedenis

objectDescription : Couvercle du cercueil de Khonsoutefnakht alias Ânkhpayefhéry Bois stuqué et peint Probablement 26e dynastie (vers 672-525 av. J.-C.) El-Hibeh Ce couvercle de cercueil appartenait à un certain Khonsoutefnakht, surnommé Ânkhpayefhéry. Sous l’ample collier qui couvre sa poitrine, Nout, déesse du ciel, déploie ses ailes tandis qu’Isis et Nephthys posent les mains sur le signe chen, symbole d’éternité. Le tableau central montre des scènes essentielles à la survie du défunt. Au registre inférieur, à droite, la barque de Rê voyage dans le monde nocturne tandis qu’à gauche, Anubis embaume le corps du mort. Au registre supérieur, le défunt est conduit par Thot devant Osiris, après la pesée de son cœur. Il gagne ainsi sa place parmi les bienheureux. L’inscription des jambes est consacrée au chapitre 72 du Livre des Morts qui assure protection et offrandes au défunt. A l’intérieur du couvercle, Nout, la déesse du ciel au corps étoilé, est étendue au-dessus du défunt, les mains et la tête à l’ouest et les pieds à l’est. Devant sa gorge apparaît le soleil qu’elle avale chaque soir et enfante tous les matins, tandis que la lune plane devant son sexe. Le défunt est ainsi invité à renaître chaque jour comme le soleil et chaque mois comme la lune. Les douze heures du jour et de la nuit, représentées comme de petites déesses agenouillées portant des disques solaires ou des étoiles sur la tête, sont alignées de part et d’autre de Nout. Khonsoutefnakht était un habitant de El-Hibeh, une localité située un peu au Sud de Beni Souef. Le couvercle de son cercueil y a été découvert en 1902-1903 par les archéologues britanniques B.P. Grenfell et A.S. Hunt. A ce jour, on ignore encore où pourrait se trouver la cuve du cercueil…

↑ , :

:

collectionName : Égypte
inventoryNb : E.00689
objectName :
objectTitle :
objectCulture : Égyptienne
geography :
dating : 1550 BC - 1295 BC
material :
technique :
dimensions : Dimensions H x D: 13,3 cm, 0,6 cm
legalRightOwner : Musées royaux d'art et d'histoire/Koninklijke Musea voor Kunst en Geschiedenis

objectDescription : Cette épingle à cheveux en bois provient des fouilles de W.M.F. Petrie à Gourob. La partie supérieure est décorée de lignes entrecroisées et d'une petite figurine qui semble représenter un oiseau. La pièce date probablement de la XVIIIème Dynastie.

↑ , Cercueil d’enfant:

Cercueil d’enfant :

collectionName : Égypte
inventoryNb : E.01182
objectName :
objectTitle : Cercueil d’enfant
objectCulture : Égyptienne
geography :
dating : 332 BC - 30 BC (Incertaine)
material :
technique :
dimensions : Longueur: 77 cm, Largeur: 26,2 cm, Hauteur: 25 cm
legalRightOwner : Musées royaux d'art et d'histoire/Koninklijke Musea voor Kunst en Geschiedenis

objectDescription : E.1182 - E.1183 Deux cercueils d’enfants Bois stuqué et peint Probablement fin de l’époque ptolémaïque (332-30 av. J.-C.) Provenance inconnue Ces deux petits cercueils sont de factures analogues et ils ont probablement appartenu à la même sépulture. A l’origine, leur surface était certainement couverte d’une épaisse couche de stuc, qui avait aussi permis de modeler les oreilles, mais qui a aujourd’hui presque disparu. Quelques traces de couleurs indiquent que les corps étaient totalement peints en jaune pâle, et le visage en un jaune plus foncé. Les visages des deux cercueils sont sculptés de manière sommaire et anguleuse, leurs traits semblent brutaux et leur nez, ainsi que leurs paupières, sont très accentués. Les chevelures rappellent les traditionnelles perruques tripartites. Le pilier dorsal d’un des deux cercueils adopte la forme d’un pilier djed, évocation de la colonne vertébrale d’Osiris. Ainsi, le défunt pourra, comme le dieu, se redresser dans l’Au-delà. Les deux cercueils ont été offerts au Musée en 1905 par le comte et la comtesse van den Steen de Jehay. Ils les avaient achetés en 1891, à Louxor, et il est possible qu’ils proviennent des fouilles qui avaient alors lieu dans la Vallée des Rois. A l’origine, ils contenaient encore les momies de deux enfants, qui ont disparu aujourd’hui.

↑ , Cercueil d’enfant:

Cercueil d’enfant :

collectionName : Égypte
inventoryNb : E.01183
objectName :
objectTitle : Cercueil d’enfant
objectCulture : Égyptienne
geography :
dating : 332 BC - 30 BC
material :
technique :
dimensions : Longueur: 59,5 cm, Largeur: 20,5 cm, Hauteur: 21 cm
legalRightOwner : Musées royaux d'art et d'histoire/Koninklijke Musea voor Kunst en Geschiedenis

objectDescription : E.1182 - E.1183 Deux cercueils d’enfants Bois stuqué et peint Probablement fin de l’époque ptolémaïque (332-30 av. J.-C.) Provenance inconnue Ces deux petits cercueils sont de factures analogues et ils ont probablement appartenu à la même sépulture. A l’origine, leur surface était certainement couverte d’une épaisse couche de stuc, qui avait aussi permis de modeler les oreilles, mais qui a aujourd’hui presque disparu. Quelques traces de couleurs indiquent que les corps étaient totalement peints en jaune pâle, et le visage en un jaune plus foncé. Les visages des deux cercueils sont sculptés de manière sommaire et anguleuse, leurs traits semblent brutaux et leur nez, ainsi que leurs paupières, sont très accentués. Les chevelures rappellent les traditionnelles perruques tripartites. Le pilier dorsal d’un des deux cercueils adopte la forme d’un pilier djed, évocation de la colonne vertébrale d’Osiris. Ainsi, le défunt pourra, comme le dieu, se redresser dans l’Au-delà. Les deux cercueils ont été offerts au Musée en 1905 par le comte et la comtesse van den Steen de Jehay. Ils les avaient achetés en 1891, à Louxor, et il est possible qu’ils proviennent des fouilles qui avaient alors lieu dans la Vallée des Rois. A l’origine, ils contenaient encore les momies de deux enfants, qui ont disparu aujourd’hui.

↑ , Cauroïde avec représentation d'une femme (Selkis ?):

Cauroïde avec représentation d'une femme (Selkis ?) :

collectionName : Égypte
inventoryNb : E.02109
objectName :
objectTitle : Cauroïde avec représentation d'une femme (Selkis ?)
objectCulture : Égyptienne
geography :
dating : 1550 BC - 1295 BC
material :
technique :
dimensions : Hauteur: 1,6 cm, Largeur: 1 cm, Profondeur: 0,5 cm
legalRightOwner : Musées royaux d'art et d'histoire/Koninklijke Musea voor Kunst en Geschiedenis

objectDescription : Le plat de ce sceau-amulette en forme de coquille cauri porte la représentation d'une femme qui tient le signe de vie "ânkh" dans sa main droite et une branche ou, probablement, un grand scorpion dans la main gauche. Il s'agit donc probablement d'une représentation de la déesse Selkis.

↑ , Plaque ovale avec singe et "nfr":

Plaque ovale avec singe et "nfr" :

collectionName : Égypte
inventoryNb : E.02110
objectName :
objectTitle : Plaque ovale avec singe et "nfr"
objectCulture : Égyptienne
geography :
dating : 1295 BC - 1186 BC (Incertaine)
material :
technique :
dimensions : Hauteur: 1,2 cm, Largeur: 0,8 cm, Profondeur: 0,4 cm
legalRightOwner : Musées royaux d'art et d'histoire/Koninklijke Musea voor Kunst en Geschiedenis

objectDescription : La composition signifie "nfr.w", 'de bonnes choses'. XVIIIème-XIXème dynasties, probablement XIXème dynastie.

↑ , Scarabée avec le roi sur son char (Ramsès II ?):

Scarabée avec le roi sur son char (Ramsès II ?) :

collectionName : Égypte
inventoryNb : E.02373
objectName :
objectTitle : Scarabée avec le roi sur son char (Ramsès II ?)
objectCulture : Égyptienne
geography :
dating : 1295 BC - 1069 BC
material :
technique :
dimensions : Hauteur: 1,9 cm, Largeur: 1,5 cm, Profondeur: 0,8 cm
legalRightOwner : Musées royaux d'art et d'histoire/Koninklijke Musea voor Kunst en Geschiedenis

objectDescription : La face inférieure montre une scène représentant un roi sur un char de guerre. A droite se trouve un deuxième personnage royal, triomphant. Au-dessus se trouve une partie du nom de couronnement de Ramsès II, "Ousermaät[rê]". Vu que ce thème est très populaire pendant la XIXème Dynastie et la XXème Dynastie, il est fort probable que la pièce date de cette époque.

↑ , Cauroïde avec représentation de Bès:

Cauroïde avec représentation de Bès :

collectionName : Égypte
inventoryNb : E.02795
objectName :
objectTitle : Cauroïde avec représentation de Bès
objectCulture : Égyptienne
geography :
dating : 1295 BC - 1069 BC
material :
technique :
dimensions : Hauteur: 4,3 cm, Largeur: 2,2 cm, Profondeur: 1 cm
legalRightOwner : Musées royaux d'art et d'histoire/Koninklijke Musea voor Kunst en Geschiedenis

objectDescription : Ce cauroïde a un dos lisse mais une bande hachurée est gravée sur les côtés. Le revers est divisé en trois registres, séparés par des lignes doubles. Dans le premier et le dernier, un scarabée est mis entre deux cobras. Au centre on voit, à droite, un prisonnier, les bras attachés sur son dos, et à gauche le dieu Bès qui boit d’une vase (cfr. aussi E.5353). Bès apparaît sur les sceaux égyptiens à partir de l’Époque Ramesside. De plus, la composition en trois registres apparaît à la même époque, de sorte qu’une datation aux XIXème-XXème dynasties devienne probable.

↑ , Sceau en forme de bouton avec libellule:

Sceau en forme de bouton avec libellule :

collectionName : Égypte
inventoryNb : E.03028
objectName :
objectTitle : Sceau en forme de bouton avec libellule
objectCulture : Égyptienne
geography :
dating : 2345 BC - 2181 BC
material :
technique :
dimensions : Hauteur: 0,7 cm
legalRightOwner : Musées royaux d'art et d'histoire/Koninklijke Musea voor Kunst en Geschiedenis

objectDescription : Le plat de ce sceau-amulette représente un insecte, probablement une libellule. Des cachets similaires datent de la VIème dynastie.

↑ , Cercueil de Henou:

Cercueil de Henou :

collectionName : Égypte
inventoryNb : E.03035
objectName :
objectTitle : Cercueil de Henou
objectCulture : Égyptienne
geography :
dating : 2064 BC - 1797 BC
material :
technique :
dimensions : Longueur: 183 cm, Largeur: 44 cm, Hauteur: 40 cm
legalRightOwner : Musées royaux d'art et d'histoire/Koninklijke Musea voor Kunst en Geschiedenis

objectDescription : Cercueil de Henou Bois peint Moyen Empire (vers 2064-1797 av. J.-C.) Assiout Le fond et le couvercle du cercueil de Henou sont aujourd’hui perdus. Son décor est très sobre. Sur un des longs côtés apparaissent les yeux oudjat, lieu de passage magique entre le monde des vivants et celui des morts, qui permettent au défunt, allongé sur son flanc gauche, de regarder vers le soleil levant. Sur les petits côtés sont représentés les quatre fils d’Horus, gardiens des viscères : Amset et Hâpy du côté de la tête, Qebehsenouf et Douamoutef du côté des pieds. Chaque long côté est surmonté d’une formule d’offrandes adressée à Osiris et Anubis en faveur du « bienheureux » Henou. En dessous, les inscriptions le qualifient à nouveau de « bienheureux » auprès d’ Osiris, Isis, Ptah, mais aussi de Renenoutet, déesse des moissons et de Sekhet, personnification de la campagne et des champs. Grâce à la présence de ces deux déesses, le défunt est pourvu en offrandes pour l’éternité. Le cercueil de Henou provient des fouilles de l’archéologue britannique D.G. Hogarth dans la nécropole d’Assiout, en Moyenne Égypte, en 1906-1907. Ces fouilles ont mis au jour des dizaines de tombes du Moyen Empire, parfois intactes, dont le contenu a été partagé entre le Musée du Caire et le British Museum de Londres. Notre cercueil a été acheté pour le Musée par le baron É. Empain, probablement au Musée du Caire qui, au début du XXe siècle, disposait de sa propre salle de vente !

↑ , Fragment de figurine représentant probablement l'Aphrodite canéphore d'Arsinoe:

Fragment de figurine représentant probablement l'Aphrodite canéphore d'Arsinoe :

collectionName : Égypte
inventoryNb : E.03955
objectName :
objectTitle : Fragment de figurine représentant probablement l'Aphrodite canéphore d'Arsinoe
objectCulture : Égyptienne
geography :
dating : 332 BC - AD 395
material :
technique :
dimensions : Hauteur: 4,3 cm, Largeur: 3,2 cm, Profondeur: 1 cm
legalRightOwner : Musées royaux d'art et d'histoire/Koninklijke Musea voor Kunst en Geschiedenis

objectDescription : item has no descption

↑ , Cercueil à plastron de Men:

Cercueil à plastron de Men :

collectionName : Égypte
inventoryNb : E.04348
objectName :
objectTitle : Cercueil à plastron de Men
objectCulture : Égyptienne
geography :
dating : 1543 BC - 1292 BC (Incertaine)
material :
technique :
dimensions : Longueur: 182 cm, Largeur: 70 cm
legalRightOwner : Musées royaux d'art et d'histoire/Koninklijke Musea voor Kunst en Geschiedenis

objectDescription : Cercueil à plastron de Men Terre cuite peinte Nouvel Empire, probablement 18e dynastie (vers 1543-1292 av. J.-C.) Tell el-Yahoudiyeh, tombe 411 Ce cercueil en terre cuite de Men est sans conteste le plus beau de ceux que possède le Musée de Bruxelles. Il est muni d’un plastron amovible dans sa partie supérieure, permettant d’y insérer le corps du défunt lors des funérailles. Ce plastron prend la forme d’un visage peint en rouge encadré d’une perruque tripartite et souligné d’une petite barbe recourbée sous laquelle prend place la poignée. Le cercueil proprement dit, réalisé en une seule pièce, est cylindrique. Sur les parois extérieures de la cuve, les lignes d'inscriptions délimitent des surfaces dans lesquelles prennent place différentes divinités funéraires qui apportent une protection magique au défunt et lui permettent de survivre dans l’Au-delà : Isis et Nephtys encadrent le visage du défunt. Viennent ensuite les deux grands yeux oudjat et le dieu Anubis entouré des quatre fils d’Horus. A l’extrémité de la cuve, apparait une figure de Nephtys debout sur le signe neb, les bras levés vers le ciel. Les inscriptions hiéroglyphiques sont les traditionnelles formules d’offrandes en faveur du défunt ainsi que des incantations magiques destinées aux divinités funéraires. Ce cercueil fut découvert en 1905, lors des fouilles de William M. Petrie dans la nécropole de Tell el-Yahoudiyeh, à une trentaine de kilomètres au nord du Caire. Plusieurs pièces de mobilier funéraire furent retrouvées dans la tombe, dont trois languettes d’ivoire incisées, probablement destinées à servir d’appliques pour un coffret et qui sont également en possession du Musée (E.5047).

↑ , Cercueil rectangulaire de Tarkhan:

Cercueil rectangulaire de Tarkhan :

collectionName : Égypte
inventoryNb : E.04493
objectName :
objectTitle : Cercueil rectangulaire de Tarkhan
objectCulture : Égyptienne
geography :
dating : ca. 3100 BC - 2890 BC
material :
technique :
dimensions : Longueur: 115 cm, Largeur: 54,5 cm, Hauteur: 64,7 cm
legalRightOwner : Musées royaux d'art et d'histoire/Koninklijke Musea voor Kunst en Geschiedenis

objectDescription : Cercueil rectangulaire de Tarkhan et son mobilier funéraire Bois (acacia), cuir Protodynastique, 1e dynastie (vers 3100-2890 av. J.-C.) Tarkhan, tombe 2053 Ce cercueil rectangulaire date de la période de formation de l’État pharaonique, l’époque dite « protodynastique ». Il est construit à l’aide de fines planches de diverses largeurs, assemblées par des lanières de cuir. Il était couvert à l’origine d‘une natte de papyrus supportant une grande jarre à provisions. D’autres récipients en terre cuite accompagnaient le défunt, ainsi qu’une offrande alimentaire (une cuisse de bœuf non préservée). Des restes de vêtements furent également retrouvés sur le corps du défunt. Le squelette original est perdu. Celui qui occupe le cercueil aujourd’hui date de la même période mais vient d’Abydos. Comme c’était la coutume à l’époque, il a les genoux ramenés sur la poitrine et la tête dirigée vers l’est. Le cercueil fut découvert dans le cimetière de Tarkhan, dans le Fayoum, en 1912-1913, lors de fouilles britanniques dirigées par William M. Flinders Petrie. Deux mille tombes furent dégagées, réparties sur plusieurs collines du désert. Les tombes varient d’une simple fosse creusée dans le sable à quelques grands mastabas en briques crues. Ce cercueil se trouvait dans les environs d‘une tombe ayant probablement appartenu à un haut fonctionnaire, peut-être un gouverneur local.

↑ , Scarabée avec représentations de Thoth et de Rê-Horakhty:

Scarabée avec représentations de Thoth et de Rê-Horakhty :

collectionName : Égypte
inventoryNb : E.04579b
objectName :
objectTitle : Scarabée avec représentations de Thoth et de Rê-Horakhty
objectCulture : Égyptienne
geography :
dating : 1550 BC - 1069 BC
material :
technique :
dimensions : Hauteur: 1,5 cm, Largeur: 1,1 cm, Profondeur: 0,7 cm
legalRightOwner : Musées royaux d'art et d'histoire/Koninklijke Musea voor Kunst en Geschiedenis

objectDescription : Scarabée avec, sur le plat, deux personnages assis. A gauche on reconnaît le cynocéphale, animal de Thoth, dans sa fonction de dieu lunaire car au-dessus de sa tête on voit le soleil sur le croissant de la lune, A droite, un dieu à tête de faucon avec un disque solaire au-dessus de sa tête, le dieu Rê-Horakhty (Horus dans sa fonction de dieu solaire). Probablement d'époque Ramesside (XIXème - XXème dynasties).

↑ , Scarabée (faux):

Scarabée (faux) :

collectionName : Égypte
inventoryNb : E.04862
objectName :
objectTitle : Scarabée (faux)
objectCulture : Égyptienne
geography :
dating : (Incertaine)
material :
technique :
dimensions : Hauteur: 8 cm, Largeur: 5,6 cm, Profondeur: 2,8 cm
legalRightOwner : Musées royaux d'art et d'histoire/Koninklijke Musea voor Kunst en Geschiedenis

objectDescription : Ce grand scarabée en stéatite glaçuré bleu-vert montre sur le plat une scène avec deux taureaux en train de se battre. Au-dessous, deux oiseaux avec huppe sont placés de part et d'autre d'un grand disque solaire. Tout en bas des figures, on remarque encore le hiéroglyphe du panier-"nb", partiellement conservé. Il s’agit d’un scarabée d’époque moderne, probablement du 19ème siècle.

↑ , Sceau-amulette en forme de visage humain (?):

Sceau-amulette en forme de visage humain (?) :

collectionName : Égypte
inventoryNb : E.04936
objectName :
objectTitle : Sceau-amulette en forme de visage humain (?)
objectCulture : Égyptienne
geography :
dating : 2160 BC - 2025 BC
material :
technique :
dimensions : Hauteur: 2,8 cm, Largeur: 2,5 cm, Profondeur: 1,3 cm
legalRightOwner : Musées royaux d'art et d'histoire/Koninklijke Musea voor Kunst en Geschiedenis

objectDescription : Des cachets similaires sont connus de la Première Période Intermédiaire et représentent probablement un visage humain sur le plat.

↑ , Sceau-amulette en forme d'oeil oudjat:

Sceau-amulette en forme d'oeil oudjat :

collectionName : Égypte
inventoryNb : E.04937
objectName :
objectTitle : Sceau-amulette en forme d'oeil oudjat
objectCulture : Égyptienne
geography :
dating : 1550 BC - 1069 BC
material :
technique :
dimensions : Hauteur: 1,9 cm, Largeur: 1 cm, Profondeur: 0,4 cm
legalRightOwner : Musées royaux d'art et d'histoire/Koninklijke Musea voor Kunst en Geschiedenis

objectDescription : Le plat de ce scaraboïde en forme d'oudjat porte une scène d'adoration: devant une déesse assise sur un trône, se trouve une autre déesse avec un cobra au-dessus de la tête et un signe de vie "ânkh" dans sa main gauche. Tous les deux étendent la main à un sceptre en forme de papyrus. La déesse sur la droite, à tête d'animal, représente probablement Sekhmet, la déesse-lionne qui est généralement représentée avec ce type de sceptre. La déesse assise, avec deux cornes sur la tête, pourrait représenter Isis ou Hathor.

↑ , Scarabée de Ramsès II:

Scarabée de Ramsès II :

collectionName : Égypte
inventoryNb : E.05028
objectName :
objectTitle : Scarabée de Ramsès II
objectCulture : Égyptienne
geography :
dating : 1279 BC - 1213 BC
material :
technique :
dimensions : Hauteur: 2,2 cm, Largeur: 1,6 cm, Profondeur: 0,8 cm
legalRightOwner : Musées royaux d'art et d'histoire/Koninklijke Musea voor Kunst en Geschiedenis

objectDescription : Le nom de Ramsès II est inscrit dans deux cartouches sur le dos de ce scarabée : « wsr-maât-ra stp-n-ra mry-imn ra-ms-s ». Le plat du scarabée montre trois divinités sur le hiéroglyphe « mr », ‘aimé’ : le dieu de la fertilité Min, la déesse Hathor avec, sur la tête, un disque solaire entre deux cornes de vaches et tenant par la main un dieu hiéracocéphale, probablement son fils Horus. Dans la partie inférieure de la scène se trouvent l’inscription « mr(y).s », ‘aimé par lui’. En haut se trouve le disque solaire de Rê et en bas de la composition se trouve la corbeille « nb », ‘seigneur’.

↑ , Cercueil rectangulaire avec couvercle de Tarkhan:

Cercueil rectangulaire avec couvercle de Tarkhan :

collectionName : Égypte
inventoryNb : E.05033
objectName :
objectTitle : Cercueil rectangulaire avec couvercle de Tarkhan
objectCulture : Égyptienne
geography :
dating : ca. 2700 BC - 2200 BC
material :
technique :
dimensions : Longueur: 186 cm, Largeur: 42 cm, Hauteur: 53 cm
legalRightOwner : Musées royaux d'art et d'histoire/Koninklijke Musea voor Kunst en Geschiedenis

objectDescription : Cercueil rectangulaire avec couvercle de Tarkhan Bois (sycomore) et traces de stuc blanc Ancien Empire (vers 2700-2200 av. J.-C.) Tarkhan/ Kafr Ammar, tombe 286 Ce cercueil de l’Ancien Empire (6e dynastie) fut découvert avec un autre exemplaire similaire. Les planches en bois de sycomore qui le constituent ont une épaisseur variant entre 5 et 7 cm et sont par conséquent particulièrement lourdes. Trois traverses ont été prévues sous le couvercle pour l’empêcher de glisser. Il est, en outre, maintenu à la cuve par des tenons. L’intérieur du cercueil est entièrement recouvert d’un enduit de stuc peint en blanc. À l’extérieur, la couche de plâtre se limite à des bandes d’environ 10 cm de large longeant les jointures entre les planches irrégulières et probablement destinées à combler les vides. On ne sait rien du squelette que contenait le cercueil. Il se peut que Tarkhan ait été la nécropole d’une ancienne résidence royale qui perdit en importance lorsque Memphis devint officiellement capitale de l’Égypte, au moment de la formation de l’État. Après la 1e dynastie, elle n’était sans doute plus qu’une petite ville provinciale de second rang. La plupart des tombes remontent aux périodes prédynastique et protodynastique. Certaines (comme celle contenant ce cercueil) sont plus récentes et datent de l’Ancien Empire jusqu’à l’époque ptolémaïque et romaine. Elles sont regroupées sous le toponyme de Kafr Ammar.

↑ , Fragment de couvercle de sarcophage de la dame Taredet:

Fragment de couvercle de sarcophage de la dame Taredet :

collectionName : Égypte
inventoryNb : E.05282
objectName :
objectTitle : Fragment de couvercle de sarcophage de la dame Taredet
objectCulture : Égyptienne
geography :
dating : 332 BC - 30 BC
material :
technique :
dimensions : Longueur: 102 cm, Largeur: 45 cm, Hauteur: 6,3 cm
legalRightOwner : Musées royaux d'art et d'histoire/Koninklijke Musea voor Kunst en Geschiedenis

objectDescription : Fragment de couvercle de sarcophage de la dame Taredet Basalte Époque ptolémaïque (332-30 av. J.-C.) Provenance inconnue Ce fragment convexe d’un sarcophage en basalte datant de la période ptolémaïque couvrait le bas du corps et les jambes de la défunte Taredet. Le texte s’adresse aux dieux et aux défunts dans l’Au-delà. Il leur est demandé d’accueillir la morte parmi eux, d’assurer l’intégrité de sa personne et de veiller sur elle : « veuillez protéger l’Osiris Taredet, justifiée ! », répètent les textes. Les hiéroglyphes qui accompagnent les divinités de l’Au-delà promettent à la défunte que celles-ci lui seront favorables. Ainsi, un des dieux qui offre un couteau à Taredet affirme : « Ton mal est chassé, de sorte que tu reviens rajeunie. » L’écriture ptolémaïque se distingue par l’utilisation d’un nombre croissant de hiéroglyphes, qui, par ailleurs, peuvent se lire de multiples manières. Il s’agissait probablement pour les scribes de rendre leurs textes peu accessibles à l’occupant grec. La colonne d’inscriptions centrale du sarcophage est d’une construction particulièrement ingénieuse et esthétique. Deux textes différents y sont mélangés, la colonne centrale devant donc se lire deux fois. En 1855 et en 1862-1863, le futur roi des Belges Léopold II fit deux voyages en Égypte. Il en rapporta un grand nombre d’objets égyptiens, parmi lesquels ce fragment de sarcophage, qui rejoignirent plus tard la collection des Musées royaux d’Art et d’Histoire.

↑ , Scarabée au nom d'Amon-rê dans sa monture de bague:

Scarabée au nom d'Amon-rê dans sa monture de bague :

collectionName : Égypte
inventoryNb : E.05362
objectName :
objectTitle : Scarabée au nom d'Amon-rê dans sa monture de bague
objectCulture : Égyptienne
geography :
dating : 1550 BC - 1295 BC
material :
technique :
dimensions : Hauteur: 1,4 cm, Largeur: 0,9 cm, Profondeur: 0,5 cm
legalRightOwner : Musées royaux d'art et d'histoire/Koninklijke Musea voor Kunst en Geschiedenis

objectDescription : Le plat de ce scarabée porte des hiéroglyphes formant le nom du dieu Amon-ré, flanqué par une large tige de lotus. Le scarabée est conservé dans sa monture en or; il était originellement probablement inseré dans une bague. Des scarabées à inscription similaire datent de la XVIIIème dynastie.

↑ , Scarabée:

Scarabée :

collectionName : Égypte
inventoryNb : E.05379
objectName :
objectTitle : Scarabée
objectCulture : Égyptienne
geography :
dating : 1295 BC - 1069 BC
material :
technique :
dimensions : Hauteur: 1,3 cm, Largeur: 0,9 cm, Profondeur: 0,6 cm
legalRightOwner : Musées royaux d'art et d'histoire/Koninklijke Musea voor Kunst en Geschiedenis

objectDescription : Le plat de ce scarabée porte trois motifs, de droite à gauche: le obélisque, la déesse assise Maât et le disque solaire "ra". Il pourrait s'agir d'un cryptogramme du nom d'Amon rê, "imn ra". Ce scarabée date probablement de l'époque Ramesside ou peu après.

↑ , Scarabée avec oiseau:

Scarabée avec oiseau :

collectionName : Égypte
inventoryNb : E.05381
objectName :
objectTitle : Scarabée avec oiseau
objectCulture : Égyptienne
geography :
dating : 1550 BC - 1295 BC
material :
technique :
dimensions : Hauteur: 1,4 cm, Largeur: 1 cm, Profondeur: 0,6 cm
legalRightOwner : Musées royaux d'art et d'histoire/Koninklijke Musea voor Kunst en Geschiedenis

objectDescription : Le plat de ce scarabée porte la repésentation d'un oiseau (canard) aux ailes déployées. Derrière lui se trouve un ovale, probablement un oeuf..

↑ , Scarabée:

Scarabée :

collectionName : Égypte
inventoryNb : E.05590b
objectName :
objectTitle : Scarabée
objectCulture : Égyptienne
geography :
dating : 747 BC - 525 BC
material :
technique :
dimensions : Hauteur: 1 cm, Largeur: 0,7 cm, Profondeur: 0,5 cm
legalRightOwner : Musées royaux d'art et d'histoire/Koninklijke Musea voor Kunst en Geschiedenis

objectDescription : Le plat de ce scarabée montre un faucon avec flagellum devant un personnage assis avec une plume d'autruche sur les genoux, probablement la déesse Maat.

↑ , Plaque ovale avec roi assis:

Plaque ovale avec roi assis :

collectionName : Égypte
inventoryNb : E.05622
objectName :
objectTitle : Plaque ovale avec roi assis
objectCulture : Égyptienne
geography :
dating : 664 BC - 525 BC
material :
technique :
dimensions : Hauteur: 1,4 cm, Largeur: 0,9 cm, Profondeur: 0,4 cm
legalRightOwner : Musées royaux d'art et d'histoire/Koninklijke Musea voor Kunst en Geschiedenis

objectDescription : Ce sceau-amulette de forme ovale porte sur le plat la représentation d'un personnage assis sur la corbeille "nb". Il porte la Couronne Rouge de Basse Égypte, indiquant qu'il s'agit d'un roi. Il tient le vase "Hs" sur les genoux. Cette composition se lit donc: 'que le roi soit loué'. Bien que des motifs similaires soient attestés sur des sceaux-amulettes du Nouvel Empire, le type de sceau (plaque ovale ou scaraboïde) ne semble pas apparaître avant le 1er millénaire. Une datation vers la XXVIème dynastie est probable.

↑ , Scarabée de Thoutmosis III:

Scarabée de Thoutmosis III :

collectionName : Égypte
inventoryNb : E.05704.9b
objectName :
objectTitle : Scarabée de Thoutmosis III
objectCulture : Égyptienne
geography :
dating : 1295 BC - 1069 BC (Incertaine)
material :
technique :
dimensions : Hauteur: 1,6 cm, Largeur: 1,3 cm, Profondeur: 0,8 cm
legalRightOwner : Musées royaux d'art et d'histoire/Koninklijke Musea voor Kunst en Geschiedenis

objectDescription : Scarabée avec inscription au nom de Thoutmosis III, dont le nom apparaît dans l’ovale au centre : “mn-khpr-rê”. Au-dessus, l’épithète royal “nTr nfr nb tAwy”, ‘le dieu parfait, seigneur des Deux Pays’ et au-dessous l’épithète “tit Imn”, ‘image d’Amon’. Ce scarabée date probablement de l’époque Ramesside (XIXème-XXème dyn.). Ce n’est pas exceptionnel de retrouver le nom de Thoutmosis III sur des scarabées qui datent après son règne car le nom de ce roi vénéré continue à apparaître sur des scarabées jusqu’à la Basse Époque.

↑ , Scarabée d' Ahmose (?):

Scarabée d' Ahmose (?) :

collectionName : Égypte
inventoryNb : E.05790.4
objectName :
objectTitle : Scarabée d' Ahmose (?)
objectCulture : Égyptienne
geography :
dating : 1550 BC - 1460 BC
material :
technique :
dimensions : Hauteur: 1,4 cm, Largeur: 1 cm, Profondeur: 0,6 cm
legalRightOwner : Musées royaux d'art et d'histoire/Koninklijke Musea voor Kunst en Geschiedenis

objectDescription : Le plat de ce scarabée porte deux hiéroglypes: le crescent de lune "iaH" (?) et le signe "ms", formant ainsi probablement le nom d' Ahmose (début XVIIIème dynastie).

↑ , Scaraboïde en forme de visage humain:

Scaraboïde en forme de visage humain :

collectionName : Égypte
inventoryNb : E.05861
objectName :
objectTitle : Scaraboïde en forme de visage humain
objectCulture : Égyptienne
geography :
dating : 664 BC - 525 BC
material :
technique :
dimensions : Hauteur: 2,1 cm, Largeur: 1,6 cm, Profondeur: 0,9 cm
legalRightOwner : Musées royaux d'art et d'histoire/Koninklijke Musea voor Kunst en Geschiedenis

objectDescription : La production de scaraboïdes en forme de visage humain en faïence commence à l’Époque Ramesside en continue jusqu’à la Basse Époque. Le revers de ce scaraboïde montre un série d’hiéroglyphes, de haut en bas : le signe “pA”, le bras “di” et quelques signes endommagées dont le signe “mn”. Ils forment probablement un nom privé commençant par “pA-di-...”. Ces noms sont surtout attestés sur des scarabées datant des XXIIIème-XXVIème dynasties, quand plusieurs pharaons avec ce nom régnaient. Ce scaraboïde peut être un produit de l’atelier de Naukratis, dans le Delta (fin 7ème-6ème siècle).

↑ , Cercueil extérieur d'un scribe des offrandes divines du temple d'Amon:

Cercueil extérieur d'un scribe des offrandes divines du temple d'Amon :

collectionName : Égypte
inventoryNb : E.05879
objectName :
objectTitle : Cercueil extérieur d'un scribe des offrandes divines du temple d'Amon
objectCulture : Égyptienne
geography :
dating : 1069 BC - 945 BC
material :
technique :
dimensions : Longueur: 210 cm, Largeur: 98 cm, Hauteur: 79 cm
legalRightOwner : Musées royaux d'art et d'histoire/Koninklijke Musea voor Kunst en Geschiedenis

objectDescription : Cercueil extérieur d’un scribe des offrandes divines du temple d’Amon Bois stuqué et peint Troisième Période Intermédiaire, 21e dynastie (vers 1069-945 av. J.-C.) Deuxième Cachette de Deir el-Bahari (Bab el-Gasous) Ce cercueil extérieur appartient au seul ensemble complet de la Deuxième Cachette de Deir el-Bahari qui fut offert au Musée par les autorités égyptiennes. Il comportait un cercueil intérieur (E.5885) et une planche de momie (E.5908). Le nom du défunt n’est plus lisible dans le texte situé aux pieds à cause des repeints des restaurateurs du XIXe siècle. Le superbe collier est complété par un pectoral rectangulaire (bijou de poitrine). Au centre, le scarabée fait rouler le soleil du matin devant lui. À gauche et à droite, se tient le dieu soleil, Rê, tenant deux plumes de la Vérité (Maât) dans les mains. Sur la cuve, juste en dessous de la frise de plumes de Maât et d’uraeus (cobras dressés), les hiéroglyphes promettent au défunt qu’il pourra accompagner le dieu dans la barque solaire. Sur la paroi gauche, Anubis, à tête de chacal, et quatre autres dieux (dont un à tête de lièvre) halent la barque nocturne portant Rê (avec le disque solaire) et Thot (à tête d’ibis) (4) vers un prêtre portant une peau de félin, qui représente probablement le défunt. Le trou pratiqué sous le menton indique l’endroit où la barbe osirienne avait été attachée jadis. Les poings fermés, caractéristiques des hommes, ont été fixés de la même manière. Les poignées ménagées au niveau des pieds sont exceptionnelles. Elles facilitaient le transport du cercueil.

↑ , Cercueil intérieur de la dame Ta-ouseret-em-per-nesou:

Cercueil intérieur de la dame Ta-ouseret-em-per-nesou :

collectionName : Égypte
inventoryNb : E.05883
objectName :
objectTitle : Cercueil intérieur de la dame Ta-ouseret-em-per-nesou
objectCulture : Égyptienne
geography :
dating : 1069 BC - 945 BC
material :
technique :
dimensions : Longueur: 182 cm, Largeur: 62 cm, Hauteur: 52 cm
legalRightOwner : Musées royaux d'art et d'histoire/Koninklijke Musea voor Kunst en Geschiedenis

objectDescription : Cercueil intérieur de la dame Ta-ouseret-em-per-nesou Bois stuqué et peint Troisième Période Intermédiaire, 21e dynastie (vers 1069-945 av. J.-C.) Deuxième Cachette de Deir el-Bahari (Bab el-Gasous) Ce cercueil ne contient pas le nom de la défunte, mais la planche de momie qui l’accompagnait (E.5909) mentionne par contre la propriétaire, Ta-ouseret-em-per-nesou, une chanteuse d’Amon au temple de Karnak. Les scènes qui ornent le couvercle sont en relief peint. Khepri, le dieu scarabée, est modelé cinq fois dans le stuc. Dans la mythologie égyptienne, il pousse le soleil du matin, comme le fait le coléoptère dans la réalité avec des boules d’excréments. La décoration a été appliquée avec beaucoup de soin et de symétrie. Ainsi, Osiris est représenté assis sur son trône, en miroir de part et d’autre de l’axe vertical. La déesse du ciel, Nout, étend ses ailes protectrices sur toute la largeur du couvercle. Sur les parois extérieures du cercueil, différents dieux occupent des naos (chapelles). Ta-ouseret-em-per-nesou fait une offrande d’encens d’un côté et agite un sistre de l’autre, un instrument rythmique qu’elle a probablement manié en tant que chanteuse, de son vivant. Sur le fond de la cuve, la déesse de l’Occident personnifie les nécropoles de la rive ouest du Nil. Sur une des parois extérieures de la cuve, un grand scarabée ailé traverse le ciel nocturne sur la barque solaire. En route vers l’aurore, le serpent Apophis, tout en circonvolutions, tente de le retenir. Le soleil vaincra-t-il à nouveau ?

↑ , Cercueils de la dame Taânetenmes, et cartonnage de la dame Tamen:

Cercueils de la dame Taânetenmes, et cartonnage de la dame Tamen :

collectionName : Égypte
inventoryNb : E.05890
objectName :
objectTitle : Cercueils de la dame Taânetenmes, et cartonnage de la dame Tamen
objectCulture : Égyptienne
geography :
dating : 945 BC - 715 BC
material :
technique :
dimensions : Longueur: 192 cm, Largeur: 63 cm, Hauteur: 61 cm
legalRightOwner : Musées royaux d'art et d'histoire/Koninklijke Musea voor Kunst en Geschiedenis

objectDescription : Cercueils de la dame Taânetenmes, et cartonnage de la dame Tamen Bois stuqué et peint, cartonnage peint et momie Troisième Période Intermédiaire, probablement 22e dynastie (vers 945-715 av. J.-C.) Thèbes ouest Les formules d’offrande qui décorent ces cercueils momiformes mentionnent une propriétaire répondant au nom de Taânetenmes, la descendante d’une lignée de prêtres d’Amon à Karnak. Sur le couvercle de son cercueil intérieur, la défunte, vêtue d’une longue robe plissée, se dirige vers le lieu où l’on va statuer sur sa possible accession à l’Au-delà. Anubis (avec sa tête de chacal) contrôle, à l’aide d’une balance, si son cœur est en équilibre avec la plume de Maât, symbole de la Vérité. Tout semble en ordre, le monstre Ammit, laissera passer la défunte. Sous la « pesée du cœur », des colonnes de textes font état d’une seconde épreuve pour Taânetenmes : un interrogatoire sévère face au tribunal des dieux. Sans hésiter, elle récite la « confession négative » . Elle n’a commis aucune mauvaise action durant sa vie ! Entre les cercueils, se trouve un cartonnage coloré. Il contient le corps d’une autre défunte. Son nom, Tamen, se lit dans une formule d’offrande, sous le grand reliquaire à tête d’Osiris qui traverse toutes les scènes au centre. Avant d’arriver au Musée, les cercueils et le cartonnage ont été la propriété de plusieurs collections privées. Ce parcours compliqué a abouti à les considérer à tort comme un ensemble homogène. Le Musée Curtius de Liège possède un des cercueils de Tamen.

↑ , Fragment de papyrus grec:

Fragment de papyrus grec :

collectionName : Égypte
inventoryNb : E.05950
objectName :
objectTitle : Fragment de papyrus grec
objectCulture : Égyptienne
geography :
dating : AD 201 - AD 300
material :
technique :
dimensions : Hauteur: 9 cm, Largeur: 7 cm
legalRightOwner : Musées royaux d'art et d'histoire/Koninklijke Musea voor Kunst en Geschiedenis

objectDescription : Ces cinq fragments de papyrus, qui ont été trouvés à Oxyrhynchus (P. Oxy. III 449) et qui datent de la seconde moitié du 2e siècle de notre ère, portent, sur le côté verso, le début de la tragédie "Andromaque" d'Euripide. Le rouleau de papyrus contenait vraisemblablement 28 colonnes de textes sur une longueur totale d'au moins trois mètres et demi. Le côté recto était probablement utilisé pour contenir la copie d'une oeuvre littéraire.

↑ , Ovoïde / plaque ronde au nom d'Amon-rê:

Ovoïde / plaque ronde au nom d'Amon-rê :

collectionName : Égypte
inventoryNb : E.06220
objectName :
objectTitle : Ovoïde / plaque ronde au nom d'Amon-rê
objectCulture : Égyptienne
geography :
dating : 1550 BC - 1069 BC
material :
technique :
dimensions : Diamètre: 1,2 cm
legalRightOwner : Musées royaux d'art et d'histoire/Koninklijke Musea voor Kunst en Geschiedenis

objectDescription : Le plat de ce sceau-amulette rond porte le nom d'Amon-rê et un bouton de lotus. Des cachets similaires datent du Nouvel Empire; une datation vers la XVIIIème dynastie est probable.

↑ , Planche de momie de Penmaât:

Planche de momie de Penmaât :

collectionName : Égypte
inventoryNb : E.06309
objectName :
objectTitle : Planche de momie de Penmaât
objectCulture : Égyptienne
geography :
dating : 924 BC - 890 BC
material :
technique :
dimensions : Longueur: 168,5 cm, Largeur: 45 cm, Hauteur: 7 cm
legalRightOwner : Musées royaux d'art et d'histoire/Koninklijke Musea voor Kunst en Geschiedenis

objectDescription : Planche de momie de Penmaât Bois stuqué peint et verni Troisième Période Intermédiaire, 22e dynastie, probablement Osorkon Ier (vers 924-890 av. J.-C.) Thèbes ouest La planche de momie du « père divin d’Amon-Rê, scribe du trésor d’Amon », Penmaât, est un véritable chef d’œuvre de l’art funéraire de la Troisième Période Intermédiaire. Le collier de multiples perles et fleurs de lotus est d’une finesse remarquable. En dessous, prennent place seize colonnes d’inscriptions : elles consistent en formules d’offrandes adressées aux dieux en l’honneur de Penmaât et de son père, Nespaherentyhat. Les hiéroglyphes sont exécutés comme de véritables enluminures. Les couleurs ont été minutieusement choisies en fonction de leur symbolique. Ainsi, par exemple, Anubis ou le hiéroglyphe de l’eau sont peints en noir, couleur de l’Au-delà mais aussi du limon du Nil, source de fertilité et de renaissance. Le signe du placenta est vert, couleur de la croissance et de la naissance. Les ailes des oiseaux sont bleues par allusion au ciel. Quant à la couleur rouge, associée à la chaleur brûlante du soleil, elle est généralement liée aux notions de danger ou de souffrance. Ainsi, le moineau, considéré comme une créature néfaste, est peint en rouge… Le texte de la planche de momie de Penmaât montre une particularité remarquable. Au sein des formules d’offrandes, les noms des dieux sont inscrits en sens inverse du reste du texte. Grâce à cette astuce graphique, les divinités font face au défunt qui, selon le texte, leur fait offrande, de la même manière que dieux et hommes se font face dans les scènes de culte des temples.

↑ , Plaque rectangulaire au nom de Ramsès:

Plaque rectangulaire au nom de Ramsès :

collectionName : Égypte
inventoryNb : E.06327
objectName :
objectTitle : Plaque rectangulaire au nom de Ramsès
objectCulture : Égyptienne
geography :
dating : 1295 BC - 1069 BC
material :
technique :
dimensions : Hauteur: 1,8 cm, Largeur: 1,3 cm, Profondeur: 0,5 cm
legalRightOwner : Musées royaux d'art et d'histoire/Koninklijke Musea voor Kunst en Geschiedenis

objectDescription : Ce sceau-amulette porte sur une des deux faces (l'autre face était probablement aussi décoré) une inscription en hiéroglyphes: "nb tAwy (mry imn ra) nb Hb mi ra", 'seigneur des Deux Pays (Ramsès), seigneur du festival comme Rê'. Le nom royal qui se trouve dans la cartouche est peu lisible; seulement les motifs dans la partie supérieure sont identifiables comme deux divinités assises, se faisant face, sur le signe "mr" ('aimé par'). Plusieurs rois de la XIXème et surtout de la XXème dynastie possédaient des cartouches similaires.

↑ , Plaque rectangulaire au nom d'Amon avec personnage sur un trône:

Plaque rectangulaire au nom d'Amon avec personnage sur un trône :

collectionName : Égypte
inventoryNb : E.06328
objectName :
objectTitle : Plaque rectangulaire au nom d'Amon avec personnage sur un trône
objectCulture : Égyptienne
geography :
dating : 1069 BC - 900 BC
material :
technique :
dimensions : Hauteur: 2 cm, Largeur: 1,5 cm, Profondeur: 0,7 cm
legalRightOwner : Musées royaux d'art et d'histoire/Koninklijke Musea voor Kunst en Geschiedenis

objectDescription : Ce sceau-amulette rectangulaire est décoré sur les deux faces. Face A porte le nom d'Amon et un animal couché, probablement un bélier. Face B montre un personnage devant un individu assis sur un trône (un roi), un sceptre dans la main. Le style de la gravure ainsi que des sceaux similaires indiquent une datation vers la XXIème dynastie.

↑ , Cercueil rectangulaire de Horkaoui:

Cercueil rectangulaire de Horkaoui :

collectionName : Égypte
inventoryNb : E.07042
objectName :
objectTitle : Cercueil rectangulaire de Horkaoui
objectCulture : Égyptienne
geography :
dating : 332 BC - 30 BC
material :
technique :
dimensions : Longueur: 195 cm, Largeur: 56 cm, Hauteur: 60 cm
legalRightOwner : Musées royaux d'art et d'histoire/Koninklijke Musea voor Kunst en Geschiedenis

objectDescription : Cercueil rectangulaire de Horkaoui Bois Époque ptolémaïque (332-30 av. J.-C.) Provenance inconnue Horkaoui, le propriétaire de ce cercueil, était, de son vivant, prêtre d’Osiris. Sur le cercueil, de nombreuses mentions du dieu funéraire montrent combien il souhaite revivre, comme Osiris, dans l’Au-delà. Ainsi, du côté de la tête, Isis, Nephthys, Thot, Horus et le défunt sont rassemblés autour du reliquaire d’Abydos, la ville où serait enterrée la tête d’Osiris. Aux pieds, le pilier djed symbolise le redressement d’Osiris. Lors de la fête de Sokar, un tel pilier était réellement relevé. Sur les longs côtés, 96 divinités sont gravées dans le bois. Elles sont chargées de veiller durant la nuit le défunt Osiris, jusqu’au moment des funérailles. Le couvercle du cercueil est décoré sur ses deux faces. A l’extérieur, Osiris est couché sur un lit à têtes de lions. Au-dessus de la momie vole l’âme-ba de Horkaoui. Plus bas, un serpent ondule, les têtes des quatre fils d’Horus émergeant de son dos. A l’intérieur du couvercle, Nout, la déesse du ciel, au corps nu couvert d’étoiles, est peinte en noir. C’est le baron Armilde Lheureux qui a offert le cercueil à nos collections, à l’occasion du centième anniversaire du Musée. Le fond est aujourd’hui manquant et les côtés sont percés de trous à la base : il est probable que le cercueil ait été réutilisé comme poulailler !

↑ , Bateau avec des figures d'oiseaux, probablement des faucons divins:

Bateau avec des figures d'oiseaux, probablement des faucons divins :

collectionName : Égypte
inventoryNb : E.07067
objectName :
objectTitle : Bateau avec des figures d'oiseaux, probablement des faucons divins
objectCulture : Égyptienne
geography :
dating : 4000 BC - 3000 BC
material :
technique :
dimensions : Hauteur: 15 cm
legalRightOwner : Musées royaux d'art et d'histoire/Koninklijke Musea voor Kunst en Geschiedenis

objectDescription : item has no descption

↑ , Fragment de papyrus grec:

Fragment de papyrus grec :

collectionName : Égypte
inventoryNb : E.07164
objectName :
objectTitle : Fragment de papyrus grec
objectCulture : Égyptienne
geography :
dating : AD 285
material :
technique :
dimensions : Hauteur: 22,5 cm, Largeur: 7,7 cm
legalRightOwner : Musées royaux d'art et d'histoire/Koninklijke Musea voor Kunst en Geschiedenis

objectDescription : Ce fragment de papyrus, qui provient d'Hermopolis et qui date du 20 novembre de l'an 285 de notre ère, contient une attestation de vente sous forme d'un extrait de compte bancaire suivi d'une souscription où la venderesse décrit l'objet de la transaction pour laquelle son compte a été crédité. Il s'agit d'une vente d'une esclave et probablement son enfant pour la somme de huit talents.

↑ , Scarabée de Thoutmosis III:

Scarabée de Thoutmosis III :

collectionName : Égypte
inventoryNb : E.07270
objectName :
objectTitle : Scarabée de Thoutmosis III
objectCulture : Égyptienne
geography :
dating : 1295 BC - 1069 BC
material :
technique :
dimensions : Hauteur: 2,9 cm, Largeur: 2 cm, Profondeur: 1,1 cm
legalRightOwner : Musées royaux d'art et d'histoire/Koninklijke Musea voor Kunst en Geschiedenis

objectDescription : Le plat de ce scarabée montre un cheval derrière un prisonnier dont les bras sont attachés sur le dos. Au-dessus se trouve un ovale avec le nom de couronnement de Thoutmosis III: "mn-khpr-rê". La morphologie du scarabée indique qu'il s'agit d'une production posthume de l'époque Ramesside, probablement de la XIXème dynastie.

↑ , Le roi Ramsès III abattant les ennemis:

Le roi Ramsès III abattant les ennemis :

collectionName : Égypte
inventoryNb : E.07359
objectName :
objectTitle : Le roi Ramsès III abattant les ennemis
objectCulture : Égyptienne
geography :
dating : 1185 BC - 1153 BC
material :
technique :
dimensions : Hauteur: 18,1 cm, Largeur: 15,2 cm, Profondeur: 3,2 cm
legalRightOwner : Musées royaux d'art et d'histoire/Koninklijke Musea voor Kunst en Geschiedenis

objectDescription : item has no descption

↑ , Scarabée (faux):

Scarabée (faux) :

collectionName : Égypte
inventoryNb : E.07632
objectName :
objectTitle : Scarabée (faux)
objectCulture : Égyptienne
geography :
dating :
material :
technique :
dimensions : Hauteur: 8 cm, Largeur: 5,2 cm, Profondeur: 3 cm
legalRightOwner : Musées royaux d'art et d'histoire/Koninklijke Musea voor Kunst en Geschiedenis

objectDescription : Ce grand scarabée montre sur le plat une scène d’accouplement entre un taureau et une vache, dans un décor de fourrées de papyrus au bord du Nil (représenté au-dessous de la scène par des vagues en zig-zag). Derrière-eux, un petit oiseau s’envole et deux personnages s’approchent, dont le premier porte un balluchon sur l’épaule. Il s’agit d’un scarabée d’époque moderne, probablement du 19ème siècle.

↑ , Masque d'Hathor portant la coiffure à boucles, probablement pièce d'incrustation:

Masque d'Hathor portant la coiffure à boucles, probablement pièce d'incrustation :

collectionName : Égypte
inventoryNb : E.07668b
objectName :
objectTitle : Masque d'Hathor portant la coiffure à boucles, probablement pièce d'incrustation
objectCulture : Égyptienne
geography :
dating : Inconnue
material :
technique :
dimensions : Hauteur: 3 cm, Largeur: 2,6 cm
legalRightOwner : Musées royaux d'art et d'histoire/Koninklijke Musea voor Kunst en Geschiedenis

objectDescription : item has no descption

↑ , Plaque ovale avec poignée en gerbe représentant Horus et Seth réconciliés:

Plaque ovale avec poignée en gerbe représentant Horus et Seth réconciliés :

collectionName : Égypte
inventoryNb : E.07672
objectName :
objectTitle : Plaque ovale avec poignée en gerbe représentant Horus et Seth réconciliés
objectCulture : Égyptienne
geography :
dating : ca. 1292 BC - 1078 BC
material :
technique :
dimensions : Hauteur: 6,3 cm, Largeur: 3,2 cm, Profondeur: 1,9 cm
legalRightOwner : Musées royaux d'art et d'histoire/Koninklijke Musea voor Kunst en Geschiedenis

objectDescription : La poignée de ce sceau-amulette est formée par tiges de végétaux liées ensemble. Le plat représente deux dieux à tête de faucon, se tenant la main et coiffés de la couronne double de Haute et de Basse Égypte. Ils représentent probablement Seth et Horus, réconciliés, et surmontent le signe hiéroglyphique "nbw", signifiant l'or.

↑ , Concubine de dimensions assez considérables, probablement couchée sur un lit:

Concubine de dimensions assez considérables, probablement couchée sur un lit :

collectionName : Égypte
inventoryNb : E.08330
objectName :
objectTitle : Concubine de dimensions assez considérables, probablement couchée sur un lit
objectCulture : Égyptienne
geography :
dating : Inconnue
material :
technique :
dimensions : Hauteur: 14,7 cm, Largeur: 9,9 cm, Profondeur: 6,4 cm
legalRightOwner : Musées royaux d'art et d'histoire/Koninklijke Musea voor Kunst en Geschiedenis

objectDescription : item has no descption

↑ , Cercueil rectangulaire avec couvercle de Tarkhan:

Cercueil rectangulaire avec couvercle de Tarkhan :

collectionName : Égypte
inventoryNb : E.08708
objectName :
objectTitle : Cercueil rectangulaire avec couvercle de Tarkhan
objectCulture : Égyptienne
geography :
dating : 3100 BC - 2890 BC
material :
technique :
dimensions : Longueur: 112 cm, Largeur: 31 cm, Hauteur: 29 cm
legalRightOwner : Musées royaux d'art et d'histoire/Koninklijke Musea voor Kunst en Geschiedenis

objectDescription : Cercueil rectangulaire avec couvercle de Tarkhan Bois (acacia) Protodynastique, 1e dynastie (vers 3100-2890 av. J.-C.) Tarkhan, colline J, tombe 175 Ce cercueil protodynastique de Tarkhan est monoxyle (taillé dans une seule pièce de bois), ce qui est exceptionnel. Compte tenu de son format, il ne s’agissait probablement pas d’un cercueil à l’origine, mais bien d’un coffre à vêtement ou de quelque autre pièce de mobilier, ce que semble confirmer la présence d’une poignée au couvercle. De nombreux orifices pratiqués dans la cuve et le couvercle étaient sans aucun doute destinés à y insérer des cordes afin de maintenir solidement l’ensemble. Le rapport de fouilles de William M. Flinders Petrie montre une photo du squelette aujourd’hui disparu. Il s’agissait d’un homme âgé d’environ 23 ans. Son corps a dû être découpé ou complètement décharné pour pouvoir l’insérer dans un cercueil trop petit pour lui. Le cercueil était inhumé avec un autre un peu plus grand (aujourd’hui au Musée de Manchester). Dans la fosse de 3 x 1.50 m, se trouvaient aussi quatre grandes jarres à provisions, un petit vase et les restes d’un lit en bois mesurant près de deux mètres de long. Quelques belles pattes de bovidés sculptées en bois témoignent de la présence, à l’origine, d’autres pièces de mobilier dans la tombe.

↑ , Bague avec scarabée de Thoutmosis III:

Bague avec scarabée de Thoutmosis III :

collectionName : Égypte
inventoryNb : E.08783
objectName :
objectTitle : Bague avec scarabée de Thoutmosis III
objectCulture : Égyptienne
geography :
dating : 1479 BC - 656 BC
material :
technique :
dimensions : Hauteur: 1,5 cm, Largeur: 1,1 cm, Profondeur: 0,7 cm
legalRightOwner : Musées royaux d'art et d'histoire/Koninklijke Musea voor Kunst en Geschiedenis

objectDescription : Le plat de ce scarabée porte une cartouche avec le nom de couronnement de Thoutmosis III, "Men-khéper-ra". Au-dessous se trouve le panier "nb" et au-dessus du cartouche deux symboles du pouvoir royal, c'est-à-dire un uraeus et un faucon. Le dernier ressemble toutefois plutôt à un hibou, de sorte que ce scarabée - tenant compte de sa morphologie et le style de la gravure - date probablement d'une période postérieure à son règne.

↑ , Morceaux d'étoffe (à franges) allant probablement ensemble:

Morceaux d'étoffe (à franges) allant probablement ensemble :

collectionName : Égypte
inventoryNb : E.08825
objectName :
objectTitle : Morceaux d'étoffe (à franges) allant probablement ensemble
objectCulture : Égyptienne
geography :
dating : Inconnue
material :
technique :
dimensions : Largeur: 62 cm
legalRightOwner : Musées royaux d'art et d'histoire/Koninklijke Musea voor Kunst en Geschiedenis

objectDescription : item has no descption

↑ , Papyrus grec:

Papyrus grec :

collectionName : Égypte
inventoryNb : E.08934
objectName :
objectTitle : Papyrus grec
objectCulture : Égyptienne
geography :
dating : 200 BC - 101 BC
material :
technique :
dimensions : Hauteur: 16,5 cm, Largeur: 13 cm
legalRightOwner : Musées royaux d'art et d'histoire/Koninklijke Musea voor Kunst en Geschiedenis

objectDescription : Ce fragment de papyrus, qui date du 2e siècle av. J.-C., était utilisé pour remplir un cartonnage de momie. Sur le côté verso, on remarque encore quelques traces de couleurs. Le texte contient un poème inconnu, probablement de la main du poète hellénistique Hermesianax (320-250 av. J.-C.). Le fragment qui se rattache à la partie droite de l'extrait de Bruxelles est conservé à la Sorbonne.

↑ , Moule, probablement pour un ouchebti:

Moule, probablement pour un ouchebti :

collectionName : Égypte
inventoryNb : E.09190
objectName :
objectTitle : Moule, probablement pour un ouchebti
objectCulture : Égyptienne
geography :
dating : Inconnue
material :
technique :
dimensions : Hauteur: 13,2 cm, Largeur: 8,1 cm, Profondeur: 4,5 cm
legalRightOwner : Musées royaux d'art et d'histoire/Koninklijke Musea voor Kunst en Geschiedenis

objectDescription : item has no descption

↑ , Moule, probablement pour ouchebti:

Moule, probablement pour ouchebti :

collectionName : Égypte
inventoryNb : E.09191
objectName :
objectTitle : Moule, probablement pour ouchebti
objectCulture : Égyptienne
geography :
dating : Inconnue
material :
technique :
dimensions : Hauteur: 11,4 cm, Largeur: 5,2 cm, Profondeur: 3,4 cm
legalRightOwner : Musées royaux d'art et d'histoire/Koninklijke Musea voor Kunst en Geschiedenis

objectDescription : item has no descption

↑ , Moule, probablement pour ouchebti:

Moule, probablement pour ouchebti :

collectionName : Égypte
inventoryNb : E.09192
objectName :
objectTitle : Moule, probablement pour ouchebti
objectCulture : Égyptienne
geography :
dating : Inconnue
material :
technique :
dimensions : Hauteur: 13,1 cm, Largeur: 6,4 cm, Profondeur: 4,2 cm
legalRightOwner : Musées royaux d'art et d'histoire/Koninklijke Musea voor Kunst en Geschiedenis

objectDescription : item has no descption

↑ , Masque représentant probablement le Moonkeeper:

Masque représentant probablement le Moonkeeper :

collectionName : Amérique
inventoryNb : ETAM 07739
objectName :
objectTitle : Masque représentant probablement le Moonkeeper
objectCulture : Kwakiutl
geography :
dating : AD 1850 - AD 1900 (Incertaine)
material :
technique :
dimensions : Hauteur: 28 cm
legalRightOwner : Musées royaux d'art et d'histoire/Koninklijke Musea voor Kunst en Geschiedenis

objectDescription : item has no descption

↑ , :

:

collectionName : Ethnologie européenne
inventoryNb : F.01050B
objectName :
objectTitle :
objectCulture :
geography :
dating : ca. AD 1850
material :
technique :
dimensions :
legalRightOwner :

objectDescription : Le rideau d'arlequin fait partie du théâtre miniature et est décoré d’une scène allégorique qu’un treuil permet d’actionner. La planche utilisée pour la devanture est probablement une création de l’éditeur allemand Winckelmann & Söhne, de Berlin. Les plis du rideau de scène présentent, en effet, de grandes similitudes avec son rideau d'arlequin n° 447.

↑ , Bijou de mariage:

Bijou de mariage :

collectionName : Ethnologie européenne
inventoryNb : FB.400
objectName :
objectTitle : Bijou de mariage
objectCulture :
geography :
dating : ca. AD 1626
material :
technique :
dimensions : Hauteur: 10,5 cm
legalRightOwner : Musées royaux d'art et d'histoire/Koninklijke Musea voor Kunst en Geschiedenis

objectDescription : Sur ce bijou de noce du XVIIe siècle, le cœur occupe une position centrale. D’autres symboles typiques du mariage tels que l’ancre, les petites mains et les colombes sont présents. Il fait probablement partie d’une série de bijoux, nommée « Bethlen-násfas », créée à l’occasion du mariage de Gabriel Bethlen, prince de Transylvanie, avec Catherine de Brandebourg à Košice (Slovaquie) en 1626.

↑ , :

:

collectionName : Chine
inventoryNb : G.0630
objectName :
objectTitle :
objectCulture :
geography :
dating : AD 1770 - AD 1780
material :
technique :
dimensions :
legalRightOwner : Musées royaux d'art et d'histoire/Koninklijke Musea voor Kunst en Geschiedenis

objectDescription : Selon la plupart des auteurs, de tels porte-montres dérivent de modèles créés à Meissen au milieu du XVIIIe siècle, mais certains discernent dans leur décoration une influence des manufactures de Chelsea. Ces copies chinoises avaient pour destination probable l'Allemagne et la Scandinavie, où cet article était fort demandé.

↑ , :

:

collectionName : Instruments à vent
inventoryNb : GED0292
objectName :
objectTitle :
objectCulture :
geography :
dating : avant AD 1999
material :
technique :
dimensions :
legalRightOwner : Musées royaux d'art et d'histoire/Koninklijke Musea voor Kunst en Geschiedenis

objectDescription : item has no descption

↑ , Sceau-cylindre avec homme devant l'arbre de vie:

Sceau-cylindre avec homme devant l'arbre de vie :

collectionName : Iran
inventoryNb : IR.0018
objectName :
objectTitle : Sceau-cylindre avec homme devant l'arbre de vie
objectCulture : Achéménide
geography :
dating : 559 BC - 330 BC
material :
technique :
dimensions : Hauteur: 2,7 cm
legalRightOwner : Musées royaux d'art et d'histoire/Koninklijke Musea voor Kunst en Geschiedenis

objectDescription : Ce sceau est très célèbre depuis l'identification de l' inscription comme vieux-perse par les assyriologues J. Ménant et J. Oppert. Il était donné en 1861 par le collectionneur d'art Gustave Hagemans aux Musée d'Armures dans la Porte de Hal, Bruxelles (aujourd'hui conservé dans les Musées royaux d'Art et d'Histoire). Le sceau-cylindre est publié, avec une image et une translittération, en Menant 1877. À ce moment des inscriptions en vieux-perse étaient rares, d'où son succès. Le sceau montre un personnage masculin, une couronne (?) dans sa main, debout, près d'un arbre de vie. L'arbre stylisé rappelle l'iconographie néo-assyrien, et l'offre d'une couronne est rare et témoigne plutôt de la période parthe, au 3ème siècle avant JC. Aucun parallèle trouvé. L'inscription encadrée est composée de trois lignes, écrites verticalement, de bas en haut, et à lire sur le sceau, ce qui est inhabituel pour la période achéménide. L'orthographe bizarre de Xerxès a été lu comme «Kharsā…siyā" (Kharsā fils de Siya ou Kharsāisiyā; Menant 1878a), «Khsarasasya", "la femme Khsarsya» (Menant 1886, 172) et "Kharšadašia" (Speleers 1923, 217). La particule ma- a été interprétée comme un logogramme pour "sceau" par Ménant, une sorte d'abréviation de māraka en vieux-perse (cf. également Oppert 1884; Kent 1953, 201) et par un pronom 1ère personne par Speleers ("Je (suis ) Kharšadašia"). Pourtant, la 1ère personne doit être adam, comme dans d'autres sceaux, et ma est considérée comme douteuse (Kent 1953, 201). Dans le da-signe, le cale supérieur horizontal est manquante. La course après le premier signe (ma) est un diviseur, transcrit ici comme ":". La forme X-r-š-a-d?-š-y-a devrait probablement être lu X-š-y-a-r-š-a, après inverser les lignes deux et trois (Mayrhofer 1979) pour avoir un nominative singulier en -ša. ma:x- r-š-a- da!-š-y-a "Sceau de (?) Xerxes" Cette inscription est une imitation tardive ou une falsification moderne. Le lay-out insolite de l'inscription, le design déformé et l'orthographe bizarre pour le nom de Xerxès, sans parler de l'iconographie, pourrait pointer vers un faux. Mais, en 1888, seulement trois autres sceaux-cylindres avec les signes cunéiformes perses anciens ont connu (Menant 1888, 12), tous conservés dans les collections du British Museum, mais nous savons que des copies ont été produites en Iran à l'époque.

↑ , Hallebarde:

Hallebarde :

collectionName : Iran
inventoryNb : IR.0099
objectName :
objectTitle : Hallebarde
objectCulture : Iranienne
geography :
dating : 1000 BC - 801 BC
material :
technique :
dimensions : Hauteur: 7,5 cm, Largeur: 5,5 cm
legalRightOwner : Musées royaux d'art et d'histoire/Koninklijke Musea voor Kunst en Geschiedenis

objectDescription : Hallebarde à douille décorée d'un lion couché/ La lame en croissant de lune de cat. 257 jaillit d’une tête de lion et, à l’arrière, sur le manche, un fauve étiré est représenté couché. Ce décor la rapproche nettement des haches à digitations. Dans le cas de cat. 258, seul le manche en bronze et un fragment de la lame en fer sont conservés. La combinaison du fer, utilisé pour les parties fonctionnelles comme la lame, avec le bronze, pour les éléments formels complexes et décoratifs, est caractéristique des 10e-9e siècles. Ce n’est qu’en 2006 que ce type de hache a été découvert pour la première fois au cours de fouilles scientifiques. Des exemplaires en fer, en bronze et d’autres combinant le fer et le bronze ont été mis au jour avec d’autres pièces métalliques à Sangtarashan. Cependant, le contexte est peu clair et il s’agit probablement d’un dépôt votif provenant d’un sanctuaire. B.O.

↑ , Pendentif - crécelle:

Pendentif - crécelle :

collectionName : Iran
inventoryNb : IR.0119
objectName :
objectTitle : Pendentif - crécelle
objectCulture : Iranienne
geography :
dating : 1400 BC - 601 BC
material :
technique :
dimensions : Hauteur: 5,7 cm, Largeur: 3 cm
legalRightOwner : Musées royaux d'art et d'histoire/Koninklijke Musea voor Kunst en Geschiedenis

objectDescription : Ces petites pièces affectant la forme d’animaux réels ou fantastiques, d’êtres humains et de génies, ont été découvertes en grand nombre, déposées comme offrandes votives dans le sanctuaire de Surkh Dum-i Luri. Elles apparaissent dans des tombes et avaient probablement une fonction apotropaïque. Cat. 288 est une petite crécelle surmontée d’une tête humaine cornue. Il s’agit d’une tête de Janus puisque les faces avant et arrière sont identiques. Cat. 291 illustre un thème qui se retrouve avec de nombreuses variantes dans une vaste région. Des exemplaires ont été découverts à Suse et à Masjid-i Sulaiman. B.O.

↑ , Pendentif:

Pendentif :

collectionName : Iran
inventoryNb : IR.0143
objectName :
objectTitle : Pendentif
objectCulture : Iranienne
geography :
dating : 1400 BC - 601 BC
material :
technique :
dimensions : Hauteur: 4,5 cm, Largeur: 3,5 cm
legalRightOwner : Musées royaux d'art et d'histoire/Koninklijke Musea voor Kunst en Geschiedenis

objectDescription : Ces petites pièces affectant la forme d’animaux réels ou fantastiques, d’êtres humains et de génies, ont été découvertes en grand nombre, déposées comme offrandes votives dans le sanctuaire de Surkh Dum-i Luri. Elles apparaissent dans des tombes et avaient probablement une fonction apotropaïque. Cat. 288 est une petite crécelle surmontée d’une tête humaine cornue. Il s’agit d’une tête de Janus puisque les faces avant et arrière sont identiques. Cat. 291 illustre un thème qui se retrouve avec de nombreuses variantes dans une vaste région. Des exemplaires ont été découverts à Suse et à Masjid-i Sulaiman. B.O.

↑ , Pendentif:

Pendentif :

collectionName : Iran
inventoryNb : IR.0145
objectName :
objectTitle : Pendentif
objectCulture : Iranienne
geography :
dating : 1400 BC - 601 BC
material :
technique :
dimensions : Hauteur: 3 cm, Largeur: 4 cm
legalRightOwner : Musées royaux d'art et d'histoire/Koninklijke Musea voor Kunst en Geschiedenis

objectDescription : Figurine de bouquetin. Ces petites pièces affectant la forme d’animaux réels ou fantastiques, d’êtres humains et de génies, ont été découvertes en grand nombre, déposées comme offrandes votives dans le sanctuaire de Surkh Dum-i Luri. Elles apparaissent dans des tombes et avaient probablement une fonction apotropaïque. Cat. 288 est une petite crécelle surmontée d’une tête humaine cornue. Il s’agit d’une tête de Janus puisque les faces avant et arrière sont identiques. Cat. 291 illustre un thème qui se retrouve avec de nombreuses variantes dans une vaste région. Des exemplaires ont été découverts à Suse et à Masjid-i Sulaiman. B.O.

↑ , Epée décorée de têtes humaines et animales:

Epée décorée de têtes humaines et animales :

collectionName : Iran
inventoryNb : IR.0147
objectName :
objectTitle : Epée décorée de têtes humaines et animales
objectCulture : Iranienne
geography :
dating : 1000 BC - 801 BC
material :
technique :
dimensions : Hauteur: 54 cm
legalRightOwner : Musées royaux d'art et d'histoire/Koninklijke Musea voor Kunst en Geschiedenis

objectDescription : Environ 90 épées de ce type sont actuellement connues. Deux têtes d’hommes barbus, dont la partie postérieure affecte la forme d’une tête de lion, décorent le bord du disque de la poignée, tandis que cette dernière est ornée de deux petits lions couchés. Bien que l’épée paraisse façonnée d’une seule pièce, elle compte en réalité une dizaine d’éléments séparés qui s’emboîtent parfaitement. Cette délicate méthode de production est typique de la première phase de la technologie du fer. Le style de l’ornementation désigne le Luristan comme région d’origine mais tous les exemplaires connus sont issus du commerce de l’art. À la pointe de cat. 260 se trouve l’extrémité en fer du fourreau qui était probablement réalisé en matière périssable (bois ou cuir). B.O.

↑ , :

:

collectionName : Iran
inventoryNb : IR.0229
objectName :
objectTitle :
objectCulture : Iranienne
geography :
dating : ca. 4200 BC - 3700 BC
material :
technique :
dimensions : Hauteur: 11 cm
legalRightOwner : Musées royaux d'art et d'histoire/Koninklijke Musea voor Kunst en Geschiedenis

objectDescription : La paroi intérieure des deux coupes est peinte. Dans le cas de cat. 138, divers motifs sont agencés de manière symétrique autour d’un élément géométrique central. Les triangles quadrillés comportant deux « ailes » en forme de peigne représentent probablement des oiseaux. À côté des trois doubles lignes, apparaissent des êtres « en forme de peigne » et affublés de deux têtes. Il pourrait s’agir de moutons stylisés. Quant au motif linéaire anguleux, il figure peut-être des canaux d’irrigation, un élément crucial dans la vie des premières cultures agraires. De fait, sur une autre coupe « Suse I », ce motif est représenté conjointement à une possible divinité de l’agriculture qui tient deux bêches. Les décors, au même titre que l’organisation générale de l’ornementation, caractérisés par une symétrie bilatérale, sont typiques de la terre cuite de Suse I. Dans le cas de cat. 139, le même motif est répété à trois reprises : un grand cercle entoure un disque dans lequel un carré est réservé. Des zigzags, tracés à l’intérieur du carré, représentent probablement de l’eau, de telle sorte qu’il pourrait s’agir d’un réservoir. À l’instar des canaux d’irrigation, ce motif peut être mis en relation avec les débuts de l’agriculture pour laquelle l’eau avait une grande importance. De nombreux gobelets hauts, agrémentés des mêmes motifs peints que ceux rehaussant le cat. 140, ont été mis au jour. Ils se caractérisent par des lignes en zigzag étirées comprises entre des bandes horizontales. Sous les angles pointant vers le haut s’inscrit un quadrillage, tandis qu’au-dessus de ceux pointant vers le bas apparaissent des hachures surmontées de trois ou quatre ponctuations. Peut-être s’agit-il à nouveau de canaux d’irrigation avec des tiges de massette ou cannes de jonc poussant le long des berges. B.O.

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:

collectionName : Iran
inventoryNb : IR.0231
objectName :
objectTitle :
objectCulture : Iranienne
geography :
dating : ca. 4200 BC - 3700 BC
material :
technique :
dimensions : Hauteur: 26,5 cm
legalRightOwner : Musées royaux d'art et d'histoire/Koninklijke Musea voor Kunst en Geschiedenis

objectDescription : La paroi intérieure des deux coupes est peinte. Dans le cas de cat. 138, divers motifs sont agencés de manière symétrique autour d’un élément géométrique central. Les triangles quadrillés comportant deux « ailes » en forme de peigne représentent probablement des oiseaux. À côté des trois doubles lignes, apparaissent des êtres « en forme de peigne » et affublés de deux têtes. Il pourrait s’agir de moutons stylisés. Quant au motif linéaire anguleux, il figure peut-être des canaux d’irrigation, un élément crucial dans la vie des premières cultures agraires. De fait, sur une autre coupe « Suse I », ce motif est représenté conjointement à une possible divinité de l’agriculture qui tient deux bêches. Les décors, au même titre que l’organisation générale de l’ornementation, caractérisés par une symétrie bilatérale, sont typiques de la terre cuite de Suse I. Dans le cas de cat. 139, le même motif est répété à trois reprises : un grand cercle entoure un disque dans lequel un carré est réservé. Des zigzags, tracés à l’intérieur du carré, représentent probablement de l’eau, de telle sorte qu’il pourrait s’agir d’un réservoir. À l’instar des canaux d’irrigation, ce motif peut être mis en relation avec les débuts de l’agriculture pour laquelle l’eau avait une grande importance. De nombreux gobelets hauts, agrémentés des mêmes motifs peints que ceux rehaussant le cat. 140, ont été mis au jour. Ils se caractérisent par des lignes en zigzag étirées comprises entre des bandes horizontales. Sous les angles pointant vers le haut s’inscrit un quadrillage, tandis qu’au-dessus de ceux pointant vers le bas apparaissent des hachures surmontées de trois ou quatre ponctuations. Peut-être s’agit-il à nouveau de canaux d’irrigation avec des tiges de massette ou cannes de jonc poussant le long des berges. B.O.

↑ , Coupe:

Coupe :

collectionName : Iran
inventoryNb : IR.0236
objectName :
objectTitle : Coupe
objectCulture : Iranienne
geography :
dating : ca. 4200 BC - 3700 BC
material :
technique :
dimensions : Hauteur: 10,5 cm
legalRightOwner : Musées royaux d'art et d'histoire/Koninklijke Musea voor Kunst en Geschiedenis

objectDescription : La paroi intérieure des deux coupes est peinte. Dans le cas de cat. 138, divers motifs sont agencés de manière symétrique autour d’un élément géométrique central. Les triangles quadrillés comportant deux « ailes » en forme de peigne représentent probablement des oiseaux. À côté des trois doubles lignes, apparaissent des êtres « en forme de peigne » et affublés de deux têtes. Il pourrait s’agir de moutons stylisés. Quant au motif linéaire anguleux, il figure peut-être des canaux d’irrigation, un élément crucial dans la vie des premières cultures agraires. De fait, sur une autre coupe « Suse I », ce motif est représenté conjointement à une possible divinité de l’agriculture qui tient deux bêches. Les décors, au même titre que l’organisation générale de l’ornementation, caractérisés par une symétrie bilatérale, sont typiques de la terre cuite de Suse I. Dans le cas de cat. 139, le même motif est répété à trois reprises : un grand cercle entoure un disque dans lequel un carré est réservé. Des zigzags, tracés à l’intérieur du carré, représentent probablement de l’eau, de telle sorte qu’il pourrait s’agir d’un réservoir. À l’instar des canaux d’irrigation, ce motif peut être mis en relation avec les débuts de l’agriculture pour laquelle l’eau avait une grande importance. De nombreux gobelets hauts, agrémentés des mêmes motifs peints que ceux rehaussant le cat. 140, ont été mis au jour. Ils se caractérisent par des lignes en zigzag étirées comprises entre des bandes horizontales. Sous les angles pointant vers le haut s’inscrit un quadrillage, tandis qu’au-dessus de ceux pointant vers le bas apparaissent des hachures surmontées de trois ou quatre ponctuations. Peut-être s’agit-il à nouveau de canaux d’irrigation avec des tiges de massette ou cannes de jonc poussant le long des berges. B.O.

↑ , Vase:

Vase :

collectionName : Iran
inventoryNb : IR.0245
objectName :
objectTitle : Vase
objectCulture : Iranienne
geography :
dating : 1000 BC - 601 BC
material :
technique :
dimensions : Hauteur: 19,5 cm, Largeur: 18 cm
legalRightOwner : Musées royaux d'art et d'histoire/Koninklijke Musea voor Kunst en Geschiedenis

objectDescription : La céramique peinte en rouge sur fond beige de Tepe Siyalk constitue un développement local de céramique grise de l’âge du Fer I (voir cat. 186-188) et date de l’âge du Fer II-III (10e-7e siècle). Le bec de la cruche est alors généralement relié au col du vase et un « jabot », sous le conduit, prend parfois la forme d’une tête humaine ou d’animal (comp. cat. 244). Habituellement, cette céramique est entièrement peinte, y compris le fond. Outre des motifs géométriques apparaissent des animaux (gazelles, bouquetins, chevaux, …), des combattants, des cavaliers et des êtres fabuleux (chevaux et bovidés ailés). Cat. 198 est probablement un fragment de rhyton. De la céramique peinte de ce type a été découverte pour la première fois au cours de la fouille d’un cimetière près de Tepe Siyalk, un site archéologique proche de la ville moderne de Kashan (comp. cat. 136). Entre 1933 et 1937, des travaux y ont été entrepris par Roman Ghirshman à la demande du Musée du Louvre. Des vases similaires proposés par la suite sur le marché de l’art proviennent sans doute aussi de Tepe Siyalk. B.O.

↑ , Vase:

Vase :

collectionName : Iran
inventoryNb : IR.0254
objectName :
objectTitle : Vase
objectCulture : Iranienne
geography :
dating : 1000 BC - 601 BC
material :
technique :
dimensions : Hauteur: 22 cm, Largeur: 23 cm
legalRightOwner : Musées royaux d'art et d'histoire/Koninklijke Musea voor Kunst en Geschiedenis

objectDescription : Vase à bec court aplati verticalement. La céramique peinte en rouge sur fond beige de Tepe Siyalk constitue un développement local de céramique grise de l’âge du Fer I (voir cat. 186-188) et date de l’âge du Fer II-III (10e-7e siècle). Le bec de la cruche est alors généralement relié au col du vase et un « jabot », sous le conduit, prend parfois la forme d’une tête humaine ou d’animal (comp. cat. 244). Habituellement, cette céramique est entièrement peinte, y compris le fond. Outre des motifs géométriques apparaissent des animaux (gazelles, bouquetins, chevaux, …), des combattants, des cavaliers et des êtres fabuleux (chevaux et bovidés ailés). Cat. 198 est probablement un fragment de rhyton. De la céramique peinte de ce type a été découverte pour la première fois au cours de la fouille d’un cimetière près de Tepe Siyalk, un site archéologique proche de la ville moderne de Kashan (comp. cat. 136). Entre 1933 et 1937, des travaux y ont été entrepris par Roman Ghirshman à la demande du Musée du Louvre. Des vases similaires proposés par la suite sur le marché de l’art proviennent sans doute aussi de Tepe Siyalk. B.O.

↑ , Vase:

Vase :

collectionName : Iran
inventoryNb : IR.0255
objectName :
objectTitle : Vase
objectCulture : Iranienne
geography :
dating : 1000 BC - 601 BC
material :
technique :
dimensions : Hauteur: 19 cm, Largeur: 19 cm
legalRightOwner : Musées royaux d'art et d'histoire/Koninklijke Musea voor Kunst en Geschiedenis

objectDescription : La céramique peinte en rouge sur fond beige de Tepe Siyalk constitue un développement local de céramique grise de l’âge du Fer I (voir cat. 186-188) et date de l’âge du Fer II-III (10e-7e siècle). Le bec de la cruche est alors généralement relié au col du vase et un « jabot », sous le conduit, prend parfois la forme d’une tête humaine ou d’animal (comp. cat. 244). Habituellement, cette céramique est entièrement peinte, y compris le fond. Outre des motifs géométriques apparaissent des animaux (gazelles, bouquetins, chevaux, …), des combattants, des cavaliers et des êtres fabuleux (chevaux et bovidés ailés). Cat. 198 est probablement un fragment de rhyton. De la céramique peinte de ce type a été découverte pour la première fois au cours de la fouille d’un cimetière près de Tepe Siyalk, un site archéologique proche de la ville moderne de Kashan (comp. cat. 136). Entre 1933 et 1937, des travaux y ont été entrepris par Roman Ghirshman à la demande du Musée du Louvre. Des vases similaires proposés par la suite sur le marché de l’art proviennent sans doute aussi de Tepe Siyalk. B.O.

↑ , Coupe avec anse:

Coupe avec anse :

collectionName : Iran
inventoryNb : IR.0271
objectName :
objectTitle : Coupe avec anse
objectCulture : Iranienne
geography :
dating : 1000 BC - 601 BC
material :
technique :
dimensions : Hauteur: 7 cm, Largeur: 14,3 cm
legalRightOwner : Musées royaux d'art et d'histoire/Koninklijke Musea voor Kunst en Geschiedenis

objectDescription : Coupe, avec anse; sur la partie supérieure, des traits formant des angles imbriqués, sous le trait de base, de gros points, sur l'anse un trait qui s'achève, en ondulant, à la base. Couleur rouge. La céramique peinte en rouge sur fond beige de Tepe Siyalk constitue un développement local de céramique grise de l’âge du Fer I (voir cat. 186-188) et date de l’âge du Fer II-III (10e-7e siècle). Le bec de la cruche est alors généralement relié au col du vase et un « jabot », sous le conduit, prend parfois la forme d’une tête humaine ou d’animal (comp. cat. 244). Habituellement, cette céramique est entièrement peinte, y compris le fond. Outre des motifs géométriques apparaissent des animaux (gazelles, bouquetins, chevaux, …), des combattants, des cavaliers et des êtres fabuleux (chevaux et bovidés ailés). Cat. 198 est probablement un fragment de rhyton. De la céramique peinte de ce type a été découverte pour la première fois au cours de la fouille d’un cimetière près de Tepe Siyalk, un site archéologique proche de la ville moderne de Kashan (comp. cat. 136). Entre 1933 et 1937, des travaux y ont été entrepris par Roman Ghirshman à la demande du Musée du Louvre. Des vases similaires proposés par la suite sur le marché de l’art proviennent sans doute aussi de Tepe Siyalk. B.O.

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Vase :

collectionName : Iran
inventoryNb : IR.0273
objectName :
objectTitle : Vase
objectCulture : Iranienne
geography :
dating : 1000 BC - 601 BC
material :
technique :
dimensions : Hauteur: 20 cm, Largeur: 30,5 cm
legalRightOwner : Musées royaux d'art et d'histoire/Koninklijke Musea voor Kunst en Geschiedenis

objectDescription : La céramique peinte en rouge sur fond beige de Tepe Siyalk constitue un développement local de céramique grise de l’âge du Fer I (voir cat. 186-188) et date de l’âge du Fer II-III (10e-7e siècle). Le bec de la cruche est alors généralement relié au col du vase et un « jabot », sous le conduit, prend parfois la forme d’une tête humaine ou d’animal (comp. cat. 244). Habituellement, cette céramique est entièrement peinte, y compris le fond. Outre des motifs géométriques apparaissent des animaux (gazelles, bouquetins, chevaux, …), des combattants, des cavaliers et des êtres fabuleux (chevaux et bovidés ailés). Cat. 198 est probablement un fragment de rhyton. De la céramique peinte de ce type a été découverte pour la première fois au cours de la fouille d’un cimetière près de Tepe Siyalk, un site archéologique proche de la ville moderne de Kashan (comp. cat. 136). Entre 1933 et 1937, des travaux y ont été entrepris par Roman Ghirshman à la demande du Musée du Louvre. Des vases similaires proposés par la suite sur le marché de l’art proviennent sans doute aussi de Tepe Siyalk. B.O.

↑ , Vase:

Vase :

collectionName : Iran
inventoryNb : IR.0292
objectName :
objectTitle : Vase
objectCulture : Iranienne
geography :
dating : 1000 BC - 601 BC
material :
technique :
dimensions : Hauteur: 12 cm, Largeur: 10 cm
legalRightOwner : Musées royaux d'art et d'histoire/Koninklijke Musea voor Kunst en Geschiedenis

objectDescription : Vase globulaire, à goulot et anse, base plate. Sur la panse, 6 rayons formés de 5-6 lignes droites, partant du goulot. Anse et bord entourés d'un filet de la même couleur : rouge sur fond clair. La céramique peinte en rouge sur fond beige de Tepe Siyalk constitue un développement local de céramique grise de l’âge du Fer I (voir cat. 186-188) et date de l’âge du Fer II-III (10e-7e siècle). Le bec de la cruche est alors généralement relié au col du vase et un « jabot », sous le conduit, prend parfois la forme d’une tête humaine ou d’animal (comp. cat. 244). Habituellement, cette céramique est entièrement peinte, y compris le fond. Outre des motifs géométriques apparaissent des animaux (gazelles, bouquetins, chevaux, …), des combattants, des cavaliers et des êtres fabuleux (chevaux et bovidés ailés). Cat. 198 est probablement un fragment de rhyton. De la céramique peinte de ce type a été découverte pour la première fois au cours de la fouille d’un cimetière près de Tepe Siyalk, un site archéologique proche de la ville moderne de Kashan (comp. cat. 136). Entre 1933 et 1937, des travaux y ont été entrepris par Roman Ghirshman à la demande du Musée du Louvre. Des vases similaires proposés par la suite sur le marché de l’art proviennent sans doute aussi de Tepe Siyalk. B.O.

↑ , Cruche:

Cruche :

collectionName : Iran
inventoryNb : IR.0294
objectName :
objectTitle : Cruche
objectCulture : Iranienne
geography :
dating : 1000 BC - 601 BC
material :
technique :
dimensions : Hauteur: 20 cm, Largeur: 29 cm
legalRightOwner : Musées royaux d'art et d'histoire/Koninklijke Musea voor Kunst en Geschiedenis

objectDescription : Vase à goulot évasé, anse et long bec à gouttière, base plate protubérante. L'extrémité intérieure du bec s'achève en spirale. Sur la panse : trois damiers. Autour du bec, des cercles concentriques, comblés de carrés, damiers, filet et rayonnant. Sur le goulot et l'anse des lignes et des tâches audessous. Sous la base : 4 damiers dans 2 lignes se croisant. Couleur rouge sur fond clair. La céramique peinte en rouge sur fond beige de Tepe Siyalk constitue un développement local de céramique grise de l’âge du Fer I (voir cat. 186-188) et date de l’âge du Fer II-III (10e-7e siècle). Le bec de la cruche est alors généralement relié au col du vase et un « jabot », sous le conduit, prend parfois la forme d’une tête humaine ou d’animal (comp. cat. 244). Habituellement, cette céramique est entièrement peinte, y compris le fond. Outre des motifs géométriques apparaissent des animaux (gazelles, bouquetins, chevaux, …), des combattants, des cavaliers et des êtres fabuleux (chevaux et bovidés ailés). Cat. 198 est probablement un fragment de rhyton. De la céramique peinte de ce type a été découverte pour la première fois au cours de la fouille d’un cimetière près de Tepe Siyalk, un site archéologique proche de la ville moderne de Kashan (comp. cat. 136). Entre 1933 et 1937, des travaux y ont été entrepris par Roman Ghirshman à la demande du Musée du Louvre. Des vases similaires proposés par la suite sur le marché de l’art proviennent sans doute aussi de Tepe Siyalk. B.O.

↑ , Cruche:

Cruche :

collectionName : Iran
inventoryNb : IR.0295
objectName :
objectTitle : Cruche
objectCulture : Iranienne
geography :
dating : 1000 BC - 601 BC
material :
technique :
dimensions : Hauteur: 25,5 cm, Largeur: 19 cm
legalRightOwner : Musées royaux d'art et d'histoire/Koninklijke Musea voor Kunst en Geschiedenis

objectDescription : La céramique peinte en rouge sur fond beige de Tepe Siyalk constitue un développement local de céramique grise de l’âge du Fer I (voir cat. 186-188) et date de l’âge du Fer II-III (10e-7e siècle). Le bec de la cruche est alors généralement relié au col du vase et un « jabot », sous le conduit, prend parfois la forme d’une tête humaine ou d’animal (comp. cat. 244). Habituellement, cette céramique est entièrement peinte, y compris le fond. Outre des motifs géométriques apparaissent des animaux (gazelles, bouquetins, chevaux, …), des combattants, des cavaliers et des êtres fabuleux (chevaux et bovidés ailés). Cat. 198 est probablement un fragment de rhyton. De la céramique peinte de ce type a été découverte pour la première fois au cours de la fouille d’un cimetière près de Tepe Siyalk, un site archéologique proche de la ville moderne de Kashan (comp. cat. 136). Entre 1933 et 1937, des travaux y ont été entrepris par Roman Ghirshman à la demande du Musée du Louvre. Des vases similaires proposés par la suite sur le marché de l’art proviennent sans doute aussi de Tepe Siyalk. B.O.

↑ , Vase:

Vase :

collectionName : Iran
inventoryNb : IR.0296
objectName :
objectTitle : Vase
objectCulture : Iranienne
geography :
dating : 1000 BC - 601 BC
material :
technique :
dimensions : Hauteur: 21 cm, Largeur: 24,5 cm
legalRightOwner : Musées royaux d'art et d'histoire/Koninklijke Musea voor Kunst en Geschiedenis

objectDescription : Vase à goulot évasé, anse et bec court aplati. Autour du bec, triangle de deux lignes parallèles, comblé d'un filet de traits qui se coupent; idem sur le bec. Taches sur le bord du goulot. Couleur rouge sur fond clair. La céramique peinte en rouge sur fond beige de Tepe Siyalk constitue un développement local de céramique grise de l’âge du Fer I (voir cat. 186-188) et date de l’âge du Fer II-III (10e-7e siècle). Le bec de la cruche est alors généralement relié au col du vase et un « jabot », sous le conduit, prend parfois la forme d’une tête humaine ou d’animal (comp. cat. 244). Habituellement, cette céramique est entièrement peinte, y compris le fond. Outre des motifs géométriques apparaissent des animaux (gazelles, bouquetins, chevaux, …), des combattants, des cavaliers et des êtres fabuleux (chevaux et bovidés ailés). Cat. 198 est probablement un fragment de rhyton. De la céramique peinte de ce type a été découverte pour la première fois au cours de la fouille d’un cimetière près de Tepe Siyalk, un site archéologique proche de la ville moderne de Kashan (comp. cat. 136). Entre 1933 et 1937, des travaux y ont été entrepris par Roman Ghirshman à la demande du Musée du Louvre. Des vases similaires proposés par la suite sur le marché de l’art proviennent sans doute aussi de Tepe Siyalk. B.O.

↑ , Tête de taureau:

Tête de taureau :

collectionName : Iran
inventoryNb : IR.0364
objectName :
objectTitle : Tête de taureau
objectCulture : Iranienne
geography :
dating : 1000 BC - 601 BC
material :
technique :
dimensions : Hauteur: 8 cm, Largeur: 9,2 cm
legalRightOwner : Musées royaux d'art et d'histoire/Koninklijke Musea voor Kunst en Geschiedenis

objectDescription : Tête de taureau; fragment de vase thériomorphe; le fond était peint en teinte claire, sur laquelle se détachait en rouge : les yeux, le bout des cornes, le collier, un trait partant d'un côté, passant entre les cornes et aboutissant à l'autre côté. Sur le front, un long triangle à fond rouge, limité par un trait noir et portant, en haut, deux motifs reliés, semblables à deux feuilles ou à deux vase, ou simplement, à deux bandes décoratives. La céramique peinte en rouge sur fond beige de Tepe Siyalk constitue un développement local de céramique grise de l’âge du Fer I (voir cat. 186-188) et date de l’âge du Fer II-III (10e-7e siècle). Le bec de la cruche est alors généralement relié au col du vase et un « jabot », sous le conduit, prend parfois la forme d’une tête humaine ou d’animal (comp. cat. 244). Habituellement, cette céramique est entièrement peinte, y compris le fond. Outre des motifs géométriques apparaissent des animaux (gazelles, bouquetins, chevaux, …), des combattants, des cavaliers et des êtres fabuleux (chevaux et bovidés ailés). Cat. 198 est probablement un fragment de rhyton. De la céramique peinte de ce type a été découverte pour la première fois au cours de la fouille d’un cimetière près de Tepe Siyalk, un site archéologique proche de la ville moderne de Kashan (comp. cat. 136). Entre 1933 et 1937, des travaux y ont été entrepris par Roman Ghirshman à la demande du Musée du Louvre. Des vases similaires proposés par la suite sur le marché de l’art proviennent sans doute aussi de Tepe Siyalk. B.O.

↑ , Déesse nue:

Déesse nue :

collectionName : Iran
inventoryNb : IR.0379
objectName :
objectTitle : Déesse nue
objectCulture : Iranienne
geography :
dating : 1500 BC - 1000 BC
material :
technique :
dimensions : Hauteur: 15,7 cm, Largeur: 4,7 cm, Profondeur: 3 cm
legalRightOwner : Musées royaux d'art et d'histoire/Koninklijke Musea voor Kunst en Geschiedenis

objectDescription : Des fouilles effectuées à Suse et à Choga Zanbil livrèrent de grandes quantités de figurines en terre cuite, parmi lesquelles les femmes nues constituent le groupe le plus important. Ces statuettes représentent une femme nue, les mains posées sur la poitrine. Outre des bracelets et des anneaux de cheville, elles ne portent que deux bandes qui se croisent entre les seins dans un médaillon circulaire. Il s’agit probablement de déesses de la fécondité. Elles ont été réalisées en série à l’aide d’un moule ouvert, ce qui explique que le dos soit toujours plan. Cette technique était déjà appliquée au 3e millénaire à Suse. Des détails spécifiques, telles que la parure et la manière dont la femme tient sa poitrine, permettent de dater ces œuvres de la période médio-élamite. B.O.

↑ , Déesse nue:

Déesse nue :

collectionName : Iran
inventoryNb : IR.0420
objectName :
objectTitle : Déesse nue
objectCulture : Iranienne
geography :
dating : ca. 1500 BC - 1000 BC
material :
technique :
dimensions : Hauteur: 16,5 cm
legalRightOwner : Musées royaux d'art et d'histoire/Koninklijke Musea voor Kunst en Geschiedenis

objectDescription : Des fouilles effectuées à Suse et à Choga Zanbil livrèrent de grandes quantités de figurines en terre cuite, parmi lesquelles les femmes nues constituent le groupe le plus important. Ces statuettes représentent une femme nue, les mains posées sur la poitrine. Outre des bracelets et des anneaux de cheville, elles ne portent que deux bandes qui se croisent entre les seins dans un médaillon circulaire. Il s’agit probablement de déesses de la fécondité. Elles ont été réalisées en série à l’aide d’un moule ouvert, ce qui explique que le dos soit toujours plan. Cette technique était déjà appliquée au 3e millénaire à Suse. Des détails spécifiques, telles que la parure et la manière dont la femme tient sa poitrine, permettent de dater ces œuvres de la période médio-élamite. B.O.

↑ , :

:

collectionName : Iran
inventoryNb : IR.0522
objectName :
objectTitle :
objectCulture : Iranienne
geography :
dating : 2500 BC - 1501 BC
material :
technique :
dimensions : Hauteur: 7 cm, Largeur: 17,5 cm
legalRightOwner : Musées royaux d'art et d'histoire/Koninklijke Musea voor Kunst en Geschiedenis

objectDescription : Ce type de hache est connu par des fouilles effectuées en Mésopotamie, en Anatolie et en Iran où elle apparaît à la fin du 3e millénaire et dans le courant des premiers siècles du 2e millénaire. Des exemplaires qui présentent, comme c’est le cas ici, une lame qui jaillit de la gueule ouverte d’un lion sont notamment conservés dans les collections du Metropolitan Museum of Art de New York et de l’Ashmolean Museum d’Oxford. Elles constituent probablement une variante élamite. B.O.

↑ , Hallebarde:

Hallebarde :

collectionName : Iran
inventoryNb : IR.0533
objectName :
objectTitle : Hallebarde
objectCulture : Iranienne
geography :
dating : 1000 BC - 801 BC
material :
technique :
dimensions : Hauteur: 20 cm
legalRightOwner : Musées royaux d'art et d'histoire/Koninklijke Musea voor Kunst en Geschiedenis

objectDescription : Hache hallebarde. La douille est agrémentée de ligatures horizontales. Au dos de la douille un fauve couché, les pattes en relief sur la douille, la queue s'élève en cercle au dessus du corps. L'attache de la lame est en forme de tête de fauve stylisée, composée de spirales et de globules/ La lame en croissant de lune de cat. 257 jaillit d’une tête de lion et, à l’arrière, sur le manche, un fauve étiré est représenté couché. Ce décor la rapproche nettement des haches à digitations. Dans le cas de cat. 258, seul le manche en bronze et un fragment de la lame en fer sont conservés. La combinaison du fer, utilisé pour les parties fonctionnelles comme la lame, avec le bronze, pour les éléments formels complexes et décoratifs, est caractéristique des 10e-9e siècles. Ce n’est qu’en 2006 que ce type de hache a été découvert pour la première fois au cours de fouilles scientifiques. Des exemplaires en fer, en bronze et d’autres combinant le fer et le bronze ont été mis au jour avec d’autres pièces métalliques à Sangtarashan. Cependant, le contexte est peu clair et il s’agit probablement d’un dépôt votif provenant d’un sanctuaire. B.O.

↑ , Poignée d'épée décorée de têtes humaines et animales:

Poignée d'épée décorée de têtes humaines et animales :

collectionName : Iran
inventoryNb : IR.0546
objectName :
objectTitle : Poignée d'épée décorée de têtes humaines et animales
objectCulture : Iranienne
geography :
dating : 1000 BC - 801 BC
material :
technique :
dimensions :
legalRightOwner : Musées royaux d'art et d'histoire/Koninklijke Musea voor Kunst en Geschiedenis

objectDescription : Poignée d'epée en fer. La base est ornée de têtes humaines barbues, ainsi que le dessus, qui est surmonté par une plaque circulaire/ Environ 90 épées de ce type sont actuellement connues. Deux têtes d’hommes barbus, dont la partie postérieure affecte la forme d’une tête de lion, décorent le bord du disque de la poignée, tandis que cette dernière est ornée de deux petits lions couchés. Bien que l’épée paraisse façonnée d’une seule pièce, elle compte en réalité une dizaine d’éléments séparés qui s’emboîtent parfaitement. Cette délicate méthode de production est typique de la première phase de la technologie du fer. Le style de l’ornementation désigne le Luristan comme région d’origine mais tous les exemplaires connus sont issus du commerce de l’art. À la pointe de cat. 260 se trouve l’extrémité en fer du fourreau qui était probablement réalisé en matière périssable (bois ou cuir). B.O.

↑ , Epingle à tête discoïdale:

Epingle à tête discoïdale :

collectionName : Iran
inventoryNb : IR.0635
objectName :
objectTitle : Epingle à tête discoïdale
objectCulture : Iranienne
geography :
dating : 1000 BC - 701 BC
material :
technique :
dimensions : Hauteur: 33 cm
legalRightOwner : Musées royaux d'art et d'histoire/Koninklijke Musea voor Kunst en Geschiedenis

objectDescription : Epingle votive. Le disque est décoré au repoussé d'un ornement géométrique de cinq doubles lignes circulaires, dont le centre est orné de globules. Dans les espaces entre les cercles se trouve un arbre de vie stylisé/ Les épingles à tête discoïdale, moulées ou martelées, appartiennent toutes à la collection d’E. Graeffe achetée en Iran, entre 1936 et 1945 et acquise par les Musées en 1954. Elles viennent probablement de Surkh Dum-i Luri. En juin 1938, suite à l’arrêt fouilles clandestines par les autorités, une expédition américaine y fouilla un sanctuaire. L’endroit était déjà largement pillé, mais les chercheurs parvinrent malgré tout à y dégager des centaines d’objets votifs qui étaient dissimulés dans les murs et les sols du bâtiment. La quantité d’épingles similaires, voire même pratiquement identiques, est surprenante. Jusqu’à présent, des épingles de ce type n’avaient jamais été retrouvées au cours de fouilles contrôlées. Bien qu’il ne soit pas exclu que de grandes et même parfois lourdes épingles de ce genre aient pu être réalisées spécifiquement comme objet votif, il est probable qu’elles furent portées avant d’être déposées dans le sanctuaire. D’autres types d’épingles et d’objets, également présents dans des tombes ou des maisons et ayant, par conséquent, vraiment une fonction pratique (voir cat. 299-305), y ont aussi été retrouvés. La datation des épingles discoïdes est particulièrement délicate parce que les objets peuvent être conservés longtemps dans les sanctuaires. Il se peut que la plupart puissent être datés d’une période comprise entre le 10e et le 8e siècle. La combinaison de tiges en fer et de têtes en bronze coulé (cat. 307-309), qui apparaît également parmi les épingles à tête animale (voir cat. 302), semble le confirmer. Les thèmes, parmi lesquels des scènes illustrant des plantes, des animaux réels et fantastiques, des têtes et des êtres humaines ainsi que des génies, sont très variés. B.O.

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Epingle à tête discoïdale :

collectionName : Iran
inventoryNb : IR.0638
objectName :
objectTitle : Epingle à tête discoïdale
objectCulture : Iranienne
geography :
dating : 1000 BC - 701 BC
material :
technique :
dimensions : Hauteur: 15 cm
legalRightOwner : Musées royaux d'art et d'histoire/Koninklijke Musea voor Kunst en Geschiedenis

objectDescription : Epingle votive. Travail au repoussé. Le décor représente un personnage dansant à tête coiffée de la tiare à cornes, portant de chaque main une tige épaisse se terminant aux deux extrémités par des grenades/ Les épingles à tête discoïdale, moulées ou martelées, appartiennent toutes à la collection d’E. Graeffe achetée en Iran, entre 1936 et 1945 et acquise par les Musées en 1954. Elles viennent probablement de Surkh Dum-i Luri. En juin 1938, suite à l’arrêt fouilles clandestines par les autorités, une expédition américaine y fouilla un sanctuaire. L’endroit était déjà largement pillé, mais les chercheurs parvinrent malgré tout à y dégager des centaines d’objets votifs qui étaient dissimulés dans les murs et les sols du bâtiment. La quantité d’épingles similaires, voire même pratiquement identiques, est surprenante. Jusqu’à présent, des épingles de ce type n’avaient jamais été retrouvées au cours de fouilles contrôlées. Bien qu’il ne soit pas exclu que de grandes et même parfois lourdes épingles de ce genre aient pu être réalisées spécifiquement comme objet votif, il est probable qu’elles furent portées avant d’être déposées dans le sanctuaire. D’autres types d’épingles et d’objets, également présents dans des tombes ou des maisons et ayant, par conséquent, vraiment une fonction pratique (voir cat. 299-305), y ont aussi été retrouvés. La datation des épingles discoïdes est particulièrement délicate parce que les objets peuvent être conservés longtemps dans les sanctuaires. Il se peut que la plupart puissent être datés d’une période comprise entre le 10e et le 8e siècle. La combinaison de tiges en fer et de têtes en bronze coulé (cat. 307-309), qui apparaît également parmi les épingles à tête animale (voir cat. 302), semble le confirmer. Les thèmes, parmi lesquels des scènes illustrant des plantes, des animaux réels et fantastiques, des têtes et des êtres humaines ainsi que des génies, sont très variés. B.O.

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Epingle à tête discoïdale :

collectionName : Iran
inventoryNb : IR.0647
objectName :
objectTitle : Epingle à tête discoïdale
objectCulture : Iranienne
geography :
dating : 1000 BC - 701 BC
material :
technique :
dimensions : Hauteur: 27 cm
legalRightOwner : Musées royaux d'art et d'histoire/Koninklijke Musea voor Kunst en Geschiedenis

objectDescription : Epingle votive. Travail repoussé et gravé. Au centre du disque une tête humaine en fort relief s'inscrivant dans une forme ronde, entourée d'une ligne. Tout autour se développe une frise composée d'animaux fantastiques en galopant l'un derrière l'autre. A gauche de la tête se trouve un personnage accroupi au visage humain, mais avec une queue/ Les épingles à tête discoïdale, moulées ou martelées, appartiennent toutes à la collection d’E. Graeffe achetée en Iran, entre 1936 et 1945 et acquise par les Musées en 1954. Elles viennent probablement de Surkh Dum-i Luri. En juin 1938, suite à l’arrêt fouilles clandestines par les autorités, une expédition américaine y fouilla un sanctuaire. L’endroit était déjà largement pillé, mais les chercheurs parvinrent malgré tout à y dégager des centaines d’objets votifs qui étaient dissimulés dans les murs et les sols du bâtiment. La quantité d’épingles similaires, voire même pratiquement identiques, est surprenante. Jusqu’à présent, des épingles de ce type n’avaient jamais été retrouvées au cours de fouilles contrôlées. Bien qu’il ne soit pas exclu que de grandes et même parfois lourdes épingles de ce genre aient pu être réalisées spécifiquement comme objet votif, il est probable qu’elles furent portées avant d’être déposées dans le sanctuaire. D’autres types d’épingles et d’objets, également présents dans des tombes ou des maisons et ayant, par conséquent, vraiment une fonction pratique (voir cat. 299-305), y ont aussi été retrouvés. La datation des épingles discoïdes est particulièrement délicate parce que les objets peuvent être conservés longtemps dans les sanctuaires. Il se peut que la plupart puissent être datés d’une période comprise entre le 10e et le 8e siècle. La combinaison de tiges en fer et de têtes en bronze coulé (cat. 307-309), qui apparaît également parmi les épingles à tête animale (voir cat. 302), semble le confirmer. Les thèmes, parmi lesquels des scènes illustrant des plantes, des animaux réels et fantastiques, des têtes et des êtres humaines ainsi que des génies, sont très variés. B.O.

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Epingle à tête discoïdale :

collectionName : Iran
inventoryNb : IR.0649
objectName :
objectTitle : Epingle à tête discoïdale
objectCulture : Iranienne
geography :
dating : 1000 BC - 701 BC
material :
technique :
dimensions : Hauteur: 17 cm
legalRightOwner : Musées royaux d'art et d'histoire/Koninklijke Musea voor Kunst en Geschiedenis

objectDescription : Epingle votive. Travail au repoussé. Au centre du disque une tête en fort relief. De chaque côté de la tête se voient deux lions dressés, s'affrontant, la gueule ouverte. Ils sont séparés enhaut et en bas par une ligne torsadée verticale, bordée dans le bas par des feuilles/ Les épingles à tête discoïdale, moulées ou martelées, appartiennent toutes à la collection d’E. Graeffe achetée en Iran, entre 1936 et 1945 et acquise par les Musées en 1954. Elles viennent probablement de Surkh Dum-i Luri. En juin 1938, suite à l’arrêt fouilles clandestines par les autorités, une expédition américaine y fouilla un sanctuaire. L’endroit était déjà largement pillé, mais les chercheurs parvinrent malgré tout à y dégager des centaines d’objets votifs qui étaient dissimulés dans les murs et les sols du bâtiment. La quantité d’épingles similaires, voire même pratiquement identiques, est surprenante. Jusqu’à présent, des épingles de ce type n’avaient jamais été retrouvées au cours de fouilles contrôlées. Bien qu’il ne soit pas exclu que de grandes et même parfois lourdes épingles de ce genre aient pu être réalisées spécifiquement comme objet votif, il est probable qu’elles furent portées avant d’être déposées dans le sanctuaire. D’autres types d’épingles et d’objets, également présents dans des tombes ou des maisons et ayant, par conséquent, vraiment une fonction pratique (voir cat. 299-305), y ont aussi été retrouvés. La datation des épingles discoïdes est particulièrement délicate parce que les objets peuvent être conservés longtemps dans les sanctuaires. Il se peut que la plupart puissent être datés d’une période comprise entre le 10e et le 8e siècle. La combinaison de tiges en fer et de têtes en bronze coulé (cat. 307-309), qui apparaît également parmi les épingles à tête animale (voir cat. 302), semble le confirmer. Les thèmes, parmi lesquels des scènes illustrant des plantes, des animaux réels et fantastiques, des têtes et des êtres humaines ainsi que des génies, sont très variés. B.O.

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Epingle à tête discoïdale :

collectionName : Iran
inventoryNb : IR.0662
objectName :
objectTitle : Epingle à tête discoïdale
objectCulture : Iranienne
geography :
dating : 1000 BC - 701 BC
material :
technique :
dimensions :
legalRightOwner : Musées royaux d'art et d'histoire/Koninklijke Musea voor Kunst en Geschiedenis

objectDescription : Epingle votive. Le disque présente - au repoussé - un personnage assis sur un lion couché. Ce personnage est coiffé d'une sorte d'épais turban, vêtu d'une longue robe. Sous les bras de cette divinité passe un corps de serpent se terminant en dragon à deux têtes. Dans la partie gauche se trouve également un serpent, la tête vers le bas. Sept fleurettes apparaissent dans le champ. Le disque est bordé d'une ligne en saillie et d'un grénetis/ Les épingles à tête discoïdale, moulées ou martelées, appartiennent toutes à la collection d’E. Graeffe achetée en Iran, entre 1936 et 1945 et acquise par les Musées en 1954. Elles viennent probablement de Surkh Dum-i Luri. En juin 1938, suite à l’arrêt fouilles clandestines par les autorités, une expédition américaine y fouilla un sanctuaire. L’endroit était déjà largement pillé, mais les chercheurs parvinrent malgré tout à y dégager des centaines d’objets votifs qui étaient dissimulés dans les murs et les sols du bâtiment. La quantité d’épingles similaires, voire même pratiquement identiques, est surprenante. Jusqu’à présent, des épingles de ce type n’avaient jamais été retrouvées au cours de fouilles contrôlées. Bien qu’il ne soit pas exclu que de grandes et même parfois lourdes épingles de ce genre aient pu être réalisées spécifiquement comme objet votif, il est probable qu’elles furent portées avant d’être déposées dans le sanctuaire. D’autres types d’épingles et d’objets, également présents dans des tombes ou des maisons et ayant, par conséquent, vraiment une fonction pratique (voir cat. 299-305), y ont aussi été retrouvés. La datation des épingles discoïdes est particulièrement délicate parce que les objets peuvent être conservés longtemps dans les sanctuaires. Il se peut que la plupart puissent être datés d’une période comprise entre le 10e et le 8e siècle. La combinaison de tiges en fer et de têtes en bronze coulé (cat. 307-309), qui apparaît également parmi les épingles à tête animale (voir cat. 302), semble le confirmer. Les thèmes, parmi lesquels des scènes illustrant des plantes, des animaux réels et fantastiques, des têtes et des êtres humaines ainsi que des génies, sont très variés. B.O.

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Epingle à tête discoïdale :

collectionName : Iran
inventoryNb : IR.0672
objectName :
objectTitle : Epingle à tête discoïdale
objectCulture : Iranienne
geography :
dating : 1000 BC - 701 BC
material :
technique :
dimensions : Hauteur: 22 cm
legalRightOwner : Musées royaux d'art et d'histoire/Koninklijke Musea voor Kunst en Geschiedenis

objectDescription : Epingle votive. Travail au repoussé et gravé. Le décor représente un personnage féminin, tenant une palme de chaque main. Robe évasée et plissée. Haute coiffure de forme triangulaire. De chaque côté du personnage se dressent deux lions adossés, la gueule ouverte. Le tout est entouré par rosettes et globules. Sur le bord un grénetis/ Les épingles à tête discoïdale, moulées ou martelées, appartiennent toutes à la collection d’E. Graeffe achetée en Iran, entre 1936 et 1945 et acquise par les Musées en 1954. Elles viennent probablement de Surkh Dum-i Luri. En juin 1938, suite à l’arrêt fouilles clandestines par les autorités, une expédition américaine y fouilla un sanctuaire. L’endroit était déjà largement pillé, mais les chercheurs parvinrent malgré tout à y dégager des centaines d’objets votifs qui étaient dissimulés dans les murs et les sols du bâtiment. La quantité d’épingles similaires, voire même pratiquement identiques, est surprenante. Jusqu’à présent, des épingles de ce type n’avaient jamais été retrouvées au cours de fouilles contrôlées. Bien qu’il ne soit pas exclu que de grandes et même parfois lourdes épingles de ce genre aient pu être réalisées spécifiquement comme objet votif, il est probable qu’elles furent portées avant d’être déposées dans le sanctuaire. D’autres types d’épingles et d’objets, également présents dans des tombes ou des maisons et ayant, par conséquent, vraiment une fonction pratique (voir cat. 299-305), y ont aussi été retrouvés. La datation des épingles discoïdes est particulièrement délicate parce que les objets peuvent être conservés longtemps dans les sanctuaires. Il se peut que la plupart puissent être datés d’une période comprise entre le 10e et le 8e siècle. La combinaison de tiges en fer et de têtes en bronze coulé (cat. 307-309), qui apparaît également parmi les épingles à tête animale (voir cat. 302), semble le confirmer. Les thèmes, parmi lesquels des scènes illustrant des plantes, des animaux réels et fantastiques, des têtes et des êtres humaines ainsi que des génies, sont très variés. B.O.

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Epingle à tête discoïdale :

collectionName : Iran
inventoryNb : IR.0673
objectName :
objectTitle : Epingle à tête discoïdale
objectCulture : Iranienne
geography :
dating : 1000 BC - 701 BC
material :
technique :
dimensions : Hauteur: 13,5 cm
legalRightOwner : Musées royaux d'art et d'histoire/Koninklijke Musea voor Kunst en Geschiedenis

objectDescription : Epingle votive. Travail au repoussé et gravé. Le décor représente une tête de femme. Haute coiffure, indiquée en écailles de poisson. Les sourcils en tresse, se rejoignent à la racine du nez et forment une ligne continue. Sur le bord un grénetis/ Les épingles à tête discoïdale, moulées ou martelées, appartiennent toutes à la collection d’E. Graeffe achetée en Iran, entre 1936 et 1945 et acquise par les Musées en 1954. Elles viennent probablement de Surkh Dum-i Luri. En juin 1938, suite à l’arrêt fouilles clandestines par les autorités, une expédition américaine y fouilla un sanctuaire. L’endroit était déjà largement pillé, mais les chercheurs parvinrent malgré tout à y dégager des centaines d’objets votifs qui étaient dissimulés dans les murs et les sols du bâtiment. La quantité d’épingles similaires, voire même pratiquement identiques, est surprenante. Jusqu’à présent, des épingles de ce type n’avaient jamais été retrouvées au cours de fouilles contrôlées. Bien qu’il ne soit pas exclu que de grandes et même parfois lourdes épingles de ce genre aient pu être réalisées spécifiquement comme objet votif, il est probable qu’elles furent portées avant d’être déposées dans le sanctuaire. D’autres types d’épingles et d’objets, également présents dans des tombes ou des maisons et ayant, par conséquent, vraiment une fonction pratique (voir cat. 299-305), y ont aussi été retrouvés. La datation des épingles discoïdes est particulièrement délicate parce que les objets peuvent être conservés longtemps dans les sanctuaires. Il se peut que la plupart puissent être datés d’une période comprise entre le 10e et le 8e siècle. La combinaison de tiges en fer et de têtes en bronze coulé (cat. 307-309), qui apparaît également parmi les épingles à tête animale (voir cat. 302), semble le confirmer. Les thèmes, parmi lesquels des scènes illustrant des plantes, des animaux réels et fantastiques, des têtes et des êtres humaines ainsi que des génies, sont très variés. B.O.

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Epingle à tête discoïdale :

collectionName : Iran
inventoryNb : IR.0685
objectName :
objectTitle : Epingle à tête discoïdale
objectCulture : Iranienne
geography :
dating : 1300 BC - 601 BC
material :
technique :
dimensions : Hauteur: 21 cm
legalRightOwner : Musées royaux d'art et d'histoire/Koninklijke Musea voor Kunst en Geschiedenis

objectDescription : Epingle votive. Travail à cire perdue. La base de la tête d'épingle est en forme d'un demi-cercle se terminant en têtes de bouquetin. Au centre arbre de vie en forme d'éventail dans la partie haute; le tronc étant évoqué par deux spirales. De chaque côté de l'arbre deux animaux féroces dressés, d'adossant/ Les épingles à tête discoïdale, moulées ou martelées, appartiennent toutes à la collection d’E. Graeffe achetée en Iran, entre 1936 et 1945 et acquise par les Musées en 1954. Elles viennent probablement de Surkh Dum-i Luri. En juin 1938, suite à l’arrêt fouilles clandestines par les autorités, une expédition américaine y fouilla un sanctuaire. L’endroit était déjà largement pillé, mais les chercheurs parvinrent malgré tout à y dégager des centaines d’objets votifs qui étaient dissimulés dans les murs et les sols du bâtiment. La quantité d’épingles similaires, voire même pratiquement identiques, est surprenante. Jusqu’à présent, des épingles de ce type n’avaient jamais été retrouvées au cours de fouilles contrôlées. Bien qu’il ne soit pas exclu que de grandes et même parfois lourdes épingles de ce genre aient pu être réalisées spécifiquement comme objet votif, il est probable qu’elles furent portées avant d’être déposées dans le sanctuaire. D’autres types d’épingles et d’objets, également présents dans des tombes ou des maisons et ayant, par conséquent, vraiment une fonction pratique (voir cat. 299-305), y ont aussi été retrouvés. La datation des épingles discoïdes est particulièrement délicate parce que les objets peuvent être conservés longtemps dans les sanctuaires. Il se peut que la plupart puissent être datés d’une période comprise entre le 10e et le 8e siècle. La combinaison de tiges en fer et de têtes en bronze coulé (cat. 307-309), qui apparaît également parmi les épingles à tête animale (voir cat. 302), semble le confirmer. Les thèmes, parmi lesquels des scènes illustrant des plantes, des animaux réels et fantastiques, des têtes et des êtres humaines ainsi que des génies, sont très variés. B.O.

↑ , Epingle à tête discoïdale:

Epingle à tête discoïdale :

collectionName : Iran
inventoryNb : IR.0691
objectName :
objectTitle : Epingle à tête discoïdale
objectCulture : Iranienne
geography :
dating : 1000 BC - 701 BC
material :
technique :
dimensions : Hauteur: 24,5 cm
legalRightOwner : Musées royaux d'art et d'histoire/Koninklijke Musea voor Kunst en Geschiedenis

objectDescription : Fragment d'une épingle votive. Plaque de forme circulaire en argent repoussé et gravé. Au centre un disque en très fort relief. Au bord deux personnages à moitié bête, tenant un serpent à la main droite, la queue à la main gauche. En bas un capridé galopant. En haut en milieu, une tête de bovidé entre des lignes zig-zag/ Les épingles à tête discoïdale, moulées ou martelées, appartiennent toutes à la collection d’E. Graeffe achetée en Iran, entre 1936 et 1945 et acquise par les Musées en 1954. Elles viennent probablement de Surkh Dum-i Luri. En juin 1938, suite à l’arrêt fouilles clandestines par les autorités, une expédition américaine y fouilla un sanctuaire. L’endroit était déjà largement pillé, mais les chercheurs parvinrent malgré tout à y dégager des centaines d’objets votifs qui étaient dissimulés dans les murs et les sols du bâtiment. La quantité d’épingles similaires, voire même pratiquement identiques, est surprenante. Jusqu’à présent, des épingles de ce type n’avaient jamais été retrouvées au cours de fouilles contrôlées. Bien qu’il ne soit pas exclu que de grandes et même parfois lourdes épingles de ce genre aient pu être réalisées spécifiquement comme objet votif, il est probable qu’elles furent portées avant d’être déposées dans le sanctuaire. D’autres types d’épingles et d’objets, également présents dans des tombes ou des maisons et ayant, par conséquent, vraiment une fonction pratique (voir cat. 299-305), y ont aussi été retrouvés. La datation des épingles discoïdes est particulièrement délicate parce que les objets peuvent être conservés longtemps dans les sanctuaires. Il se peut que la plupart puissent être datés d’une période comprise entre le 10e et le 8e siècle. La combinaison de tiges en fer et de têtes en bronze coulé (cat. 307-309), qui apparaît également parmi les épingles à tête animale (voir cat. 302), semble le confirmer. Les thèmes, parmi lesquels des scènes illustrant des plantes, des animaux réels et fantastiques, des têtes et des êtres humaines ainsi que des génies, sont très variés. B.O.

↑ , Epingle à tête discoïdale:

Epingle à tête discoïdale :

collectionName : Iran
inventoryNb : IR.0692
objectName :
objectTitle : Epingle à tête discoïdale
objectCulture : Iranienne
geography :
dating : 1000 BC - 701 BC
material :
technique :
dimensions :
legalRightOwner : Musées royaux d'art et d'histoire/Koninklijke Musea voor Kunst en Geschiedenis

objectDescription : Epingle votive. Travail au repoussé. Le décor du disque représente un personnage masculin assis; la tête de face, le torse enprofil. Il tient dans chaque main un vase. Sur le dos d'un petit banc se voit un grand oiseau du genre outarde, qui touche de son bec la figure du personnage. Au bord un double grénetis. La partie droite a été renouvelée/ Les épingles à tête discoïdale, moulées ou martelées, appartiennent toutes à la collection d’E. Graeffe achetée en Iran, entre 1936 et 1945 et acquise par les Musées en 1954. Elles viennent probablement de Surkh Dum-i Luri. En juin 1938, suite à l’arrêt fouilles clandestines par les autorités, une expédition américaine y fouilla un sanctuaire. L’endroit était déjà largement pillé, mais les chercheurs parvinrent malgré tout à y dégager des centaines d’objets votifs qui étaient dissimulés dans les murs et les sols du bâtiment. La quantité d’épingles similaires, voire même pratiquement identiques, est surprenante. Jusqu’à présent, des épingles de ce type n’avaient jamais été retrouvées au cours de fouilles contrôlées. Bien qu’il ne soit pas exclu que de grandes et même parfois lourdes épingles de ce genre aient pu être réalisées spécifiquement comme objet votif, il est probable qu’elles furent portées avant d’être déposées dans le sanctuaire. D’autres types d’épingles et d’objets, également présents dans des tombes ou des maisons et ayant, par conséquent, vraiment une fonction pratique (voir cat. 299-305), y ont aussi été retrouvés. La datation des épingles discoïdes est particulièrement délicate parce que les objets peuvent être conservés longtemps dans les sanctuaires. Il se peut que la plupart puissent être datés d’une période comprise entre le 10e et le 8e siècle. La combinaison de tiges en fer et de têtes en bronze coulé (cat. 307-309), qui apparaît également parmi les épingles à tête animale (voir cat. 302), semble le confirmer. Les thèmes, parmi lesquels des scènes illustrant des plantes, des animaux réels et fantastiques, des têtes et des êtres humaines ainsi que des génies, sont très variés. B.O.

↑ , Epingle à tête décorative:

Epingle à tête décorative :

collectionName : Iran
inventoryNb : IR.0704
objectName :
objectTitle : Epingle à tête décorative
objectCulture : Iranienne
geography :
dating : 1000 BC - 701 BC
material :
technique :
dimensions : Hauteur: 18 cm, Largeur: 9,5 cm
legalRightOwner : Musées royaux d'art et d'histoire/Koninklijke Musea voor Kunst en Geschiedenis

objectDescription : Epingle votive. Travail à cire perdue. Le dieu protecteur dompte deux animaux féroces à tête de cochon. La tête de Gilgamesh porte des cornes de mouflon au lieu des habituelles cornes de taureau. Tout autour quatre paires de cornes de mouflon. Le cadre carré est orné d'une torsade en relief dont le haut est agrémenté d'une rangé de perles en bronze. La tige en fer est emmanchée dans un bout de tige en bronze renforcée par des animaux en relief et portant deux oeillets/ Les épingles à tête discoïdale, moulées ou martelées, appartiennent toutes à la collection d’E. Graeffe achetée en Iran, entre 1936 et 1945 et acquise par les Musées en 1954. Elles viennent probablement de Surkh Dum-i Luri. En juin 1938, suite à l’arrêt fouilles clandestines par les autorités, une expédition américaine y fouilla un sanctuaire. L’endroit était déjà largement pillé, mais les chercheurs parvinrent malgré tout à y dégager des centaines d’objets votifs qui étaient dissimulés dans les murs et les sols du bâtiment. La quantité d’épingles similaires, voire même pratiquement identiques, est surprenante. Jusqu’à présent, des épingles de ce type n’avaient jamais été retrouvées au cours de fouilles contrôlées. Bien qu’il ne soit pas exclu que de grandes et même parfois lourdes épingles de ce genre aient pu être réalisées spécifiquement comme objet votif, il est probable qu’elles furent portées avant d’être déposées dans le sanctuaire. D’autres types d’épingles et d’objets, également présents dans des tombes ou des maisons et ayant, par conséquent, vraiment une fonction pratique (voir cat. 299-305), y ont aussi été retrouvés. La datation des épingles discoïdes est particulièrement délicate parce que les objets peuvent être conservés longtemps dans les sanctuaires. Il se peut que la plupart puissent être datés d’une période comprise entre le 10e et le 8e siècle. La combinaison de tiges en fer et de têtes en bronze coulé (cat. 307-309), qui apparaît également parmi les épingles à tête animale (voir cat. 302), semble le confirmer. Les thèmes, parmi lesquels des scènes illustrant des plantes, des animaux réels et fantastiques, des têtes et des êtres humaines ainsi que des génies, sont très variés. B.O.

↑ , Epingle à tête décorative:

Epingle à tête décorative :

collectionName : Iran
inventoryNb : IR.0705
objectName :
objectTitle : Epingle à tête décorative
objectCulture : Iranienne
geography :
dating : 1000 BC - 701 BC
material :
technique :
dimensions : Hauteur: 6 cm, Largeur: 7,5 cm
legalRightOwner : Musées royaux d'art et d'histoire/Koninklijke Musea voor Kunst en Geschiedenis

objectDescription : Tête d'épingle votive. Travail à cire perdue. Dans un cadre rectangulaire un personnage humain est aux prises avec deux lions ailés. Aux pieds de ce personnage, deux boeufs. Deux têtes d'animaux encadrent celle du héros. L'amorce de la tige est audessus de la tête. Le travail qui est à cire perdue, se reproduit des deux côtés envers et endroit du rectangle/ Les épingles à tête discoïdale, moulées ou martelées, appartiennent toutes à la collection d’E. Graeffe achetée en Iran, entre 1936 et 1945 et acquise par les Musées en 1954. Elles viennent probablement de Surkh Dum-i Luri. En juin 1938, suite à l’arrêt fouilles clandestines par les autorités, une expédition américaine y fouilla un sanctuaire. L’endroit était déjà largement pillé, mais les chercheurs parvinrent malgré tout à y dégager des centaines d’objets votifs qui étaient dissimulés dans les murs et les sols du bâtiment. La quantité d’épingles similaires, voire même pratiquement identiques, est surprenante. Jusqu’à présent, des épingles de ce type n’avaient jamais été retrouvées au cours de fouilles contrôlées. Bien qu’il ne soit pas exclu que de grandes et même parfois lourdes épingles de ce genre aient pu être réalisées spécifiquement comme objet votif, il est probable qu’elles furent portées avant d’être déposées dans le sanctuaire. D’autres types d’épingles et d’objets, également présents dans des tombes ou des maisons et ayant, par conséquent, vraiment une fonction pratique (voir cat. 299-305), y ont aussi été retrouvés. La datation des épingles discoïdes est particulièrement délicate parce que les objets peuvent être conservés longtemps dans les sanctuaires. Il se peut que la plupart puissent être datés d’une période comprise entre le 10e et le 8e siècle. La combinaison de tiges en fer et de têtes en bronze coulé (cat. 307-309), qui apparaît également parmi les épingles à tête animale (voir cat. 302), semble le confirmer. Les thèmes, parmi lesquels des scènes illustrant des plantes, des animaux réels et fantastiques, des têtes et des êtres humaines ainsi que des génies, sont très variés. B.O.

↑ , Epingle à tête discoïdale:

Epingle à tête discoïdale :

collectionName : Iran
inventoryNb : IR.0716
objectName :
objectTitle : Epingle à tête discoïdale
objectCulture : Iranienne
geography :
dating : 1000 BC - 701 BC
material :
technique :
dimensions : Hauteur: 6 cm, Largeur: 9 cm
legalRightOwner : Musées royaux d'art et d'histoire/Koninklijke Musea voor Kunst en Geschiedenis

objectDescription : Tête d'épingle votive. Travail à cire perdue. Le héros Gilgamesh est entouré de deux animaux renversés, le tout encadré d'un serpent fantastique à deux têtes. La base de la tige en fer est renforcée d'animaux en relief/ Les épingles à tête discoïdale, moulées ou martelées, appartiennent toutes à la collection d’E. Graeffe achetée en Iran, entre 1936 et 1945 et acquise par les Musées en 1954. Elles viennent probablement de Surkh Dum-i Luri. En juin 1938, suite à l’arrêt fouilles clandestines par les autorités, une expédition américaine y fouilla un sanctuaire. L’endroit était déjà largement pillé, mais les chercheurs parvinrent malgré tout à y dégager des centaines d’objets votifs qui étaient dissimulés dans les murs et les sols du bâtiment. La quantité d’épingles similaires, voire même pratiquement identiques, est surprenante. Jusqu’à présent, des épingles de ce type n’avaient jamais été retrouvées au cours de fouilles contrôlées. Bien qu’il ne soit pas exclu que de grandes et même parfois lourdes épingles de ce genre aient pu être réalisées spécifiquement comme objet votif, il est probable qu’elles furent portées avant d’être déposées dans le sanctuaire. D’autres types d’épingles et d’objets, également présents dans des tombes ou des maisons et ayant, par conséquent, vraiment une fonction pratique (voir cat. 299-305), y ont aussi été retrouvés. La datation des épingles discoïdes est particulièrement délicate parce que les objets peuvent être conservés longtemps dans les sanctuaires. Il se peut que la plupart puissent être datés d’une période comprise entre le 10e et le 8e siècle. La combinaison de tiges en fer et de têtes en bronze coulé (cat. 307-309), qui apparaît également parmi les épingles à tête animale (voir cat. 302), semble le confirmer. Les thèmes, parmi lesquels des scènes illustrant des plantes, des animaux réels et fantastiques, des têtes et des êtres humaines ainsi que des génies, sont très variés. B.O.

↑ , Petit pendentif:

Petit pendentif :

collectionName : Iran
inventoryNb : IR.0750
objectName :
objectTitle : Petit pendentif
objectCulture : Iranienne
geography :
dating : 1400 BC - 601 BC
material :
technique :
dimensions : Hauteur: 3 cm, Largeur: 4 cm
legalRightOwner : Musées royaux d'art et d'histoire/Koninklijke Musea voor Kunst en Geschiedenis

objectDescription : Deux avant-trains de chevaux, dos à dos. Au milieu des ligatures se terminent sur le dos en anneau d'attache. Les têtes sont surmontées d'une crête dentelée/ Ces petites pièces affectant la forme d’animaux réels ou fantastiques, d’êtres humains et de génies, ont été découvertes en grand nombre, déposées comme offrandes votives dans le sanctuaire de Surkh Dum-i Luri. Elles apparaissent dans des tombes et avaient probablement une fonction apotropaïque. Cat. 288 est une petite crécelle surmontée d’une tête humaine cornue. Il s’agit d’une tête de Janus puisque les faces avant et arrière sont identiques. Cat. 291 illustre un thème qui se retrouve avec de nombreuses variantes dans une vaste région. Des exemplaires ont été découverts à Suse et à Masjid-i Sulaiman. B.O.

↑ , :

:

collectionName : Iran
inventoryNb : IR.0829
objectName :
objectTitle :
objectCulture : Iranienne
geography :
dating : 1100 BC - 901 BC
material :
technique :
dimensions : Hauteur: 13 cm
legalRightOwner : Musées royaux d'art et d'histoire/Koninklijke Musea voor Kunst en Geschiedenis

objectDescription : Vase en forme de colonne, centré par le milieu, avec ornementation repoussée et gravée, présentant deux rangs de trois bouquetins galopant, séparés par des bandes entrelacées./ Ce gobelet décoré affecte un profil concave. Entre trois bandes de tressage se déroulent en sens contraire des frises comprenant chacune trois bouquetins qui se touchent par une patte antérieure. Le fond de ce gobelet est orné d’une rosette à huit pétales. Au niveau stylistique, le décor se rapproche nettement de celui de découvertes faites dans la nécropole de Marlik Tepe. Ce genre de gobelets a probablement été réalisé au 11e ou au 10e siècle dans le Nord de l’Iran. B.O.

↑ , Relief Persepolis: Mède monte un escalier:

Relief Persepolis: Mède monte un escalier :

collectionName : Iran
inventoryNb : IR.1034
objectName :
objectTitle : Relief Persepolis: Mède monte un escalier
objectCulture : Achéménide
geography :
dating : 500 BC - 301 BC
material :
technique :
dimensions : Hauteur: 47 cm, Largeur: 28 cm
legalRightOwner : Musées royaux d'art et d'histoire/Koninklijke Musea voor Kunst en Geschiedenis

objectDescription : Relief achéménide, serviteur mède montant un escalier, vers la gauche, et portant un bol avec couvre-plat. Au-dessus de la tête, éléments dudécor de la rampe/Ce personnage montant un escalier porte un vêtement mède et un couvre-chef qui couvre les oreilles et la bouche. Il tient à la main un plat à couvercle. Nombre de personnages semblables, portant des objets, des mets et même des animaux vivants, ont été représentés dans les palais achéménides. Il s’agit probablement de serviteurs qui préparent un banquet ou de prêtres qui transportent des offrandes en vue d’un rite religieux. À l’origine, les reliefs de ce type étaient peints mais ce fragment, venant probablement de Persépolis, n’a conservé aucune trace de peinture. Cette scène en particulier apparaît à plusieurs reprises tant à Persépolis qu’à Suse. B.O.

↑ , Verre de lampe:

Verre de lampe :

collectionName : Iran
inventoryNb : IR.1041
objectName :
objectTitle : Verre de lampe
objectCulture : Iranienne
geography :
dating : AD 301 - AD 700
material :
technique :
dimensions : Hauteur: 14 cm
legalRightOwner : Musées royaux d'art et d'histoire/Koninklijke Musea voor Kunst en Geschiedenis

objectDescription : Gobelet en verre, gobelet conique, orné au 2/3 de la hauteur, de longues pastilles bleues/ Ce verre transparent légèrement teinté de vert a été soufflé dans un moule et ensuite rehaussé de seize gouttes bleues et de lignes horizontales gravées. Étant donné que le bord a été meulé pour être plan, il s’agit probablement plutôt d’un verre de lampe que d’un gobelet. De nombreuses pièces similaires sont conservées dans divers musées et proviendraient, comme cet exemplaire, du Nord de l’Iran. Ce type de verre était largement répandu au Proche-Orient et fut aussi produit, entre autres, dans les ateliers romains dans la bande côtière syro-palestinienne. B.O.

↑ , Bulle avec quatre cachets:

Bulle avec quatre cachets :

collectionName : Iran
inventoryNb : IR.1092
objectName :
objectTitle : Bulle avec quatre cachets
objectCulture : Sassanide
geography :
dating : AD 224 - AD 642
material :
technique :
dimensions :
legalRightOwner : Musées royaux d'art et d'histoire/Koninklijke Musea voor Kunst en Geschiedenis

objectDescription : Bulle portant l'empreinte de quatre cachets sassanides; trace de la ficelle traversant la masse de part en part. Empreinte A: un chien? Empreinte B: un quadrupède assis, probablement ailes. Empreinte C: quadrupède assis. D: quadrupède, debout. Un cerf? Ancien numéro: O.03054.

↑ , Plat à tête de sanglier:

Plat à tête de sanglier :

collectionName : Iran
inventoryNb : IR.1194
objectName :
objectTitle : Plat à tête de sanglier
objectCulture : Iranienne
geography :
dating : AD 501 - AD 700
material :
technique :
dimensions :
legalRightOwner : Musées royaux d'art et d'histoire/Koninklijke Musea voor Kunst en Geschiedenis

objectDescription : Plat en argent à décor doré au repoussé/ Ce plat en argent présente un médaillon central décoré d’une tête de sanglier gravée et dorée, motif qui apparaît fréquemment sur des textiles, des sceaux ou des stucs sassanides et sogdiens. Le sanglier est l'une des incarnations du dieu Verethragna et sa représentation était probablement un porte-bonheur. La dorure de la tête de sanglier déborde quelque peu le pourtour, ce qui indique un recours au procédé de dorure au mercure. Cette technique consiste à étaler un mélange de mercure et d’or sur le motif avant de laisser s'évaporer, sous l’effet de la chaleur, le mercure excédentaire. Ensuite, le plat est poli pour obtenir une couche d’or lisse et claire. Le revers du plat est orné de cercles concentriques d’où partent des cannelures radiales peu profondes. Tant la forme que le décor du plat indiquent une date de la fin de l’époque sassanide. B.O.

↑ , Appliques de ceinture:

Appliques de ceinture :

collectionName : Iran
inventoryNb : IR.1262
objectName :
objectTitle : Appliques de ceinture
objectCulture : Iranienne
geography :
dating : AD 591 - AD 700
material :
technique :
dimensions :
legalRightOwner : Musées royaux d'art et d'histoire/Koninklijke Musea voor Kunst en Geschiedenis

objectDescription : Ces treize pièces comportent toutes, à l’arrière, de longues tiges de fixation et étaient probablement montées jadis sur du cuir. Elles sont formées d’éléments en argent ajourés dont la partie intérieure est remplie de plaquettes en or. Le tout est rehaussé d’un pourtour en or à granulations. Le revers, creux, est rempli de bitume. Des ceintures ornées de pendentifs comparables sont représentées sur les reliefs du roi Khosrô II à Taq-i Bustan (vers 628). Elles étaient portées tant par les serviteurs et les courtisans que par le roi lui-même. Il s’agit d’une mode originaire d’Asie Centrale qui s’est également répandue au gré des déplacements de populations en Europe centrale, en Italie et à Byzance. Des ceintures à lanières étaient également populaires durant la période islamique. B.O.

↑ , Siège pliant:

Siège pliant :

collectionName : Iran
inventoryNb : IR.1316
objectName :
objectTitle : Siège pliant
objectCulture : Iranienne
geography :
dating : AD 550 - AD 650
material :
technique :
dimensions : Hauteur: 56 cm, Largeur: 38,7 cm, Profondeur: 37,5 cm
legalRightOwner : Musées royaux d'art et d'histoire/Koninklijke Musea voor Kunst en Geschiedenis

objectDescription : Cette chaise pliante est constituée de deux cadres rectangulaires et de deux barres en fer pourvues d’anneaux destinés à attacher le siège. Les cadres sont quadrangulaires aux angles et octogonaux au centre. Toutes les parties visibles de la chaise sont damasquinées de motifs géométriques et floraux en laiton et en argent. La chaise aurait été trouvée en même temps que le casque (cat. 353). Des sièges de ce genre ont été découverts dans des tombes avares de Hongrie et dans des sépultures lombardes à Nocera Umbra, en Italie. Ces dernières sont quasi identiques et sont probablement issues du même atelier. Des mercenaires lombards combattirent, entre autres en 553, aux côtés de l’armée byzantine contre les Sassanides. Il est possible que cette chaise ait fait partie d’un butin de guerre ou qu’elle ait été offerte. Rien que la richesse de la décoration prouve l’importance des chaises pliantes de ce type. Elles sont connues sous le nom de sella castrensis et sont la version militaire de la sella curulis romaine, un genre de siège réservé aux fonctionnaires romains du plus haut rang. Ce rapport entre le statut et l’usage d’une chaise pliante, à l’origine établi par les Romains, a perduré jusque dans la faldistorium, le siège épiscopal de l’Église catholique romaine. B.O.

↑ , Petite sculpture d'un lion:

Petite sculpture d'un lion :

collectionName : Art du monde islamique
inventoryNb : IS.5001
objectName :
objectTitle : Petite sculpture d'un lion
objectCulture : Islamique
geography :
dating : AD 1600 - AD 1800
material :
technique :
dimensions : Hauteur: 16 cm, Largeur: 17 cm, Profondeur: 8 cm
legalRightOwner : Musées royaux d'art et d'histoire/Koninklijke Musea voor Kunst en Geschiedenis

objectDescription : Petite sculpture d’animal (probablement lion) à la figure sphérique avec de petites oreilles courtes, pointues et dressées, des yeux et sourcils “humains” très noirs, une bouche largement fendue surmontée d’une “moustache”. Longue queue ramenée sur le flanc gauche. Porte une sorte de collier en relief autour du cou. Pâte silicieuse, décor peint en bleu cobalt et noir verdâtre sous glaçure transparente légèrement bleuâtre. Sur le corps, décor de rosettes et de pointillés noirs sur fond bleu; tête à fond blanc.

↑ , Carreau de revêtement mural en forme de croix:

Carreau de revêtement mural en forme de croix :

collectionName : Art du monde islamique
inventoryNb : IS.8621
objectName :
objectTitle : Carreau de revêtement mural en forme de croix
objectCulture : Islamique
geography :
dating : AD 1250 - AD 1350
material :
technique :
dimensions : Hauteur: 20,8 cm, Largeur: 20,5 cm, Profondeur: 1,7 cm
legalRightOwner : Musées royaux d'art et d'histoire/Koninklijke Musea voor Kunst en Geschiedenis

objectDescription : Carreau de revêtement mural en forme de croix à quatre branche, lancéolé en faïence persane. Pâte blanc-grisâtre, recouverte par glaçure alcaline turquoise transparente et fluide. Décor moulé en relief de trois branches fleuries. Le décor est souligné d’un trait rouge au-dessus de la glaçure (probablement fait au XXe siècle).

↑ , Toraya Toramaru, pseudonyme de l'acteur Arashi Ryuzo II, ici dans le rôle du domestique Namihei:

Toraya Toramaru, pseudonyme de l'acteur Arashi Ryuzo II, ici dans le rôle du domestique Namihei :

collectionName : Japon
inventoryNb : JP.01391
objectName :
objectTitle : Toraya Toramaru, pseudonyme de l'acteur Arashi Ryuzo II, ici dans le rôle du domestique Namihei
objectCulture :
geography :
dating : AD 1794
material :
technique :
dimensions : Hauteur: 31,6 cm, Largeur: 21,5 cm
legalRightOwner : Musées royaux d'art et d'histoire/Koninklijke Musea voor Kunst en Geschiedenis

objectDescription : L'acteur Arashi Ryûzô interprétant le yakko Namihei dans la pièce Hana no miyako kuruwa no nawabari, au théâtre Miyako au cours du 11è mois intercalaire de 1794. Dans un cartouche placé sous le blason personnel de l'acteur figurent le nom de sa maison (Toraya) et son nom de poète (Kôgan). Les portraits de Sharaku, en plan rapproché et à fond jaune, datent tous de la fin de l'année 1794. Ryûzô porte ici un costume de yakko, mais les annales du kabuki ne mentionnent pas ce rôle à son sujet. Il existe heureusement pour cette pièce un ehon banzuke (ou brochure bon marché aux illustrations grossières permettant aux spectateurs de reconnaître les acteurs en scène dans leurs différents rôles et d'après leurs costumes) et il y est nettement identifié comme le yakko de Namihei. Cette estampe, aujourd'hui exemplaire unique, semble être la feuille de gauche d'un diptyque ou d'un triptyque. On connaît en effet comme son pendant probable, un portrait de Mitsugorô II jouant le yakko Kugahei dans la même pièce. L'hypothèse est d'autant plus vraisemblable que, d'après l'ehon banzuke, la pièce comportait une scène de confrontation en tre les deux yakko. S'il s'agissait à l'origine d'un triptyque, il faudrait y ajouter le portrait de Segawa Kikunojô III dans le rôle de la nakai Ohama.

↑ , L'acteur Ichikawa Monnosuke II probablement dans le rôle de Komatsu no Shigemori:

L'acteur Ichikawa Monnosuke II probablement dans le rôle de Komatsu no Shigemori :

collectionName : Japon
inventoryNb : JP.01937
objectName :
objectTitle : L'acteur Ichikawa Monnosuke II probablement dans le rôle de Komatsu no Shigemori
objectCulture :
geography :
dating : AD 1789
material :
technique :
dimensions : Hauteur: 36,9 cm, Largeur: 24,9 cm
legalRightOwner : Musées royaux d'art et d'histoire/Koninklijke Musea voor Kunst en Geschiedenis

objectDescription : JP.01937 at Ritsumeikan University, Art Research Center, Ukiyo-e database

↑ , L'acteur Sakata Hangorô III, probablement dans le rôle de Ki no Natora, sous le déguisement de Shôgatsuya Shôbei:

L'acteur Sakata Hangorô III, probablement dans le rôle de Ki no Natora, sous le déguisement de Shôgatsuya Shôbei :

collectionName : Japon
inventoryNb : JP.01938
objectName :
objectTitle : L'acteur Sakata Hangorô III, probablement dans le rôle de Ki no Natora, sous le déguisement de Shôgatsuya Shôbei
objectCulture :
geography :
dating : AD 1789
material :
technique :
dimensions : Hauteur: 36,7 cm, Largeur: 24,6 cm
legalRightOwner : Musées royaux d'art et d'histoire/Koninklijke Musea voor Kunst en Geschiedenis

objectDescription : JP.01938 at Ritsumeikan University, Art Research Center, Ukiyo-e database

↑ , Orgue de l’église paroissiale de Ninove.:

Orgue de l’église paroissiale de Ninove. :

collectionName : Iconographie MIM
inventoryNb : MIMICO.ACP.140
objectName :
objectTitle : Orgue de l’église paroissiale de Ninove.
objectCulture :
geography :
dating : ca. AD 1930
material :
technique :
dimensions :
legalRightOwner : Musées royaux d'art et d'histoire/Koninklijke Musea voor Kunst en Geschiedenis

objectDescription : item has no descption

↑ , Tablette cunéiforme avec une empreinte de sceau-cylindre:

Tablette cunéiforme avec une empreinte de sceau-cylindre :

collectionName : Proche Orient
inventoryNb : O.00058
objectName :
objectTitle : Tablette cunéiforme avec une empreinte de sceau-cylindre
objectCulture : Mésopotamienne
geography :
dating : 2150 BC - 2000 BC
material :
technique :
dimensions : Hauteur: 4,1 cm, Largeur: 3,5 cm, Profondeur: 1,3 cm
legalRightOwner : Musées royaux d'art et d'histoire/Koninklijke Musea voor Kunst en Geschiedenis

objectDescription : Ordre des lettres. L'empreinte représente un personnage debout tenant une massue et un cavalier nu sur un âne. Inscription, trois lignes, encadrée: ab-ba-kal-la dub.sar, ˹dumu lú-dnin-/gír-su˺ "Abba-kala, écrivain, fils de Lu-Ningirsu" Seule la partie supérieure de la représentation est visible. Même sceau sur O.69 et O.836, très probablement le même individu sur le sceau de O.71, mais l'enveloppe est différente.

↑ , Tablette cunéiforme avec empreinte de sceau-cylindre:

Tablette cunéiforme avec empreinte de sceau-cylindre :

collectionName : Proche Orient
inventoryNb : O.00069
objectName :
objectTitle : Tablette cunéiforme avec empreinte de sceau-cylindre
objectCulture : Mésopotamienne
geography :
dating : 2037 BC - 2029 BC
material :
technique :
dimensions : Hauteur: 5,5 cm, Largeur: 4,4 cm, Profondeur: 1,9 cm
legalRightOwner : Musées royaux d'art et d'histoire/Koninklijke Musea voor Kunst en Geschiedenis

objectDescription : Compte de bétail. Sceau de Abkalla. Un personnage debout tenant une massue et un cavalier sur un âne. 9e année de Šu-Sîn. Inscription de trois lignes: ab-ba-kal-la dub.sar dumu lú-dnin-/gír-su "Abba-kala, écrivain, fils de Lu-Ningirsu." Même sceau sur O.58 et O.836, très probablement le même individu sur O.71 mais l'enveloppe est différente.

↑ , Tablette cunéiforme avec empreinte de sceau-cylindre:

Tablette cunéiforme avec empreinte de sceau-cylindre :

collectionName : Proche Orient
inventoryNb : O.00071
objectName :
objectTitle : Tablette cunéiforme avec empreinte de sceau-cylindre
objectCulture : Mésopotamienne
geography :
dating : 2037 BC - 2029 BC
material :
technique :
dimensions : Hauteur: 6 cm, Largeur: 4,5 cm, Profondeur: 1,7 cm
legalRightOwner : Musées royaux d'art et d'histoire/Koninklijke Musea voor Kunst en Geschiedenis

objectDescription : Compte de bétail sacrifié dans Lu-ha ma-si (?)-ki ; 8è année de Gimil-Sin (Shu-Suen). Inscription de trois lignes, encadrée. ab-ba-kal-la dub.[sar] dumu lú-dnin-˹gír˺-[su] “Abba-kala, écrivain, fils de Lu-Ningirsu”. Très probablement le même individu sur O.58, O.69 et O.836 mais le sceau est différent.

↑ , Tablette cunéiforme avec empreinte de sceau-cylindre:

Tablette cunéiforme avec empreinte de sceau-cylindre :

collectionName : Proche Orient
inventoryNb : O.00108
objectName :
objectTitle : Tablette cunéiforme avec empreinte de sceau-cylindre
objectCulture : Mésopotamienne
geography :
dating : 2094 BC - 2004 BC
material :
technique :
dimensions : Hauteur: 5 cm, Largeur: 4,7 cm, Profondeur: 1,9 cm
legalRightOwner : Musées royaux d'art et d'histoire/Koninklijke Musea voor Kunst en Geschiedenis

objectDescription : Elle mentionne le payement en orge de tisseuses, à la maison neuve, datant de la cinquante-quatrième année de Bur-sin, avec le sceau du chef de tissage. L'empreinte représente un personnage enveloppé dans un long châle uni, levant la main gauche à la hauteur du visage saisissant, par le poignet, le client qu'il introduit ; celui-ci probablement vêtu de même, lève la main droite en signe d'hommage. L'empreinte ne montre pas la divinité assise sur un siège cubique, que l'on s'attend à voir dans la scène de présentation d'Ur-sin. Au lieu de celle-ci, on remarque, du côté opposé, un personnage qui peut avoir appartenu à l'empreinte d'un second sceau. il est debout de profil à droite, coiffé de la mitre multi corne, vêtu d'un long manteau à plis verticaux qui laisse la mitre multi corne, vêtu d'un long manteau à plis verticaux qui laisse passer la jambe droite posée sur une éminence ; la main gauche s'appuie sur une masse touchant le sol, tandis qu'il ramène l'autre main à la ceinture (ces détails sont visibles au revers de la tablette). Sceau 1 (gauche): inscription de quatre lignes (encadrée) et deux personnages debout (adorateur et roi avec massue?). Ligne 3: une lecture alternative serait lugal-du10 ˺-ga?. lugal-˹ú˺-šim-˹e˺ dub.˹sar˺ dumu lú?-˹du10?˺-ga šabra l[ugal?] “Lugal-ušim, écrivain, fils de Lu-duga l'administrateur en chef du roi". Sceau 2 (droite): inscription de quatre-inscription encadrée et une partie d'une scène de présentation. Selon le texte, il devrait appartenir à Ur-Baba le deuxième écrivain, mais les traces sont trop faibles pour lire le ur-(d) ba-ba6. ˹x-(x-)x-x˺ dub?-[sar] dumu [x x]-x [x x (x)] “… écrivain (?), fils de …, (profession)”.

↑ , Tablette cunéiforme avec empreinte de sceau-cylindre:

Tablette cunéiforme avec empreinte de sceau-cylindre :

collectionName : Proche Orient
inventoryNb : O.00139
objectName :
objectTitle : Tablette cunéiforme avec empreinte de sceau-cylindre
objectCulture : Mésopotamienne
geography :
dating : 1792 BC - 1750 BC
material :
technique :
dimensions : Hauteur: 8,5 cm, Largeur: 5,5 cm
legalRightOwner : Musées royaux d'art et d'histoire/Koninklijke Musea voor Kunst en Geschiedenis

objectDescription : Procès-verbal de versement d'orge pour le palais au quai d'Adab, 36è année d'Hammurabi. Faibles traces d'un ou deux sceaux inscrits sur le bord. Une seule ligne du premier sceau - probablement le nom du propriétaire du sceau - est préservé. Traces d'un second sceau, impressionné dans l'autre sens, sont les restes d'une inscription de trois lignes. Sceau 1: [ ]-˹x˺-d[x (x)] Sceau 2: […] ˹DUMU x˺-[x (x)] ARAD ˹d?˺[x (x)] "..., fils de..., ésclave de..."

↑ , Tablette cunéiforme avec empreinte de sceau-cylindre:

Tablette cunéiforme avec empreinte de sceau-cylindre :

collectionName : Proche Orient
inventoryNb : O.00143
objectName :
objectTitle : Tablette cunéiforme avec empreinte de sceau-cylindre
objectCulture : Mésopotamienne
geography :
dating : 1749 BC - 1712 BC
material :
technique :
dimensions : Hauteur: 6 cm, Largeur: 4 cm
legalRightOwner : Musées royaux d'art et d'histoire/Koninklijke Musea voor Kunst en Geschiedenis

objectDescription : Tablette cunèiforme, emprunt d'orge "jusqu'à la moisson", période Paléo-Babylonienne, Samsu-iluna 6, empreint de sceau. La tablette est mal conservé et détériorée depuis la copie de Speleers. De faibles traces de trois lignes d'un sceau inscrit sont visibles sur les bords et sur le revers, mais sont presque illisibles. Ce fut probablement le sceau de l'acheteur, lu par Speleers comme "Nin-ki-Ilisu" (probablement Damqi-Ilisu). Un NI-signe est visible sur la deuxième ligne, ci-dessous ì ou Li (ligne 1). ˹dam?-x-ì-lí?-x˺ ˹DUMU? x-(x)-dx˺-[(x)] [x-(x)]-˹x˺ “…-ili…, [fils de?] …”.

↑ , Tablette cunéiforme:

Tablette cunéiforme :

collectionName : Proche Orient
inventoryNb : O.00173
objectName :
objectTitle : Tablette cunéiforme
objectCulture : Mésopotamienne
geography :
dating : 2430 BC - 2400 BC
material :
technique :
dimensions : Hauteur: 7 cm, Largeur: 7,5 cm
legalRightOwner : Musées royaux d'art et d'histoire/Koninklijke Musea voor Kunst en Geschiedenis

objectDescription : Les tablettes en pierre sur lesquelles sont inscrits des rapports administratifs et juridiques ou des transactions commerciales sont plus rares que celles en terre cuite. Dans ce cas-ci, le choix du matériau s’explique par le fait que le texte, de la main du premier ministre Shuna-muge, se rapporte à l’inauguration d’un temple pour le roi En-Shakush-ana. Il s’agit probablement du butin de guerre que ce dernier avait offert au temple d’Enlil, dieu du vent, après sa conquête de la cité-état voisine Kish. E.G.

↑ , Poids en forme de Canard:

Poids en forme de Canard :

collectionName : Proche Orient
inventoryNb : O.00269
objectName :
objectTitle : Poids en forme de Canard
objectCulture : Mésopotamienne
geography :
dating : 2250 BC - 1900 BC
material :
technique :
dimensions : Hauteur: 19 cm, Largeur: 28 cm, Profondeur: 12 cm
legalRightOwner : Musées royaux d'art et d'histoire/Koninklijke Musea voor Kunst en Geschiedenis

objectDescription : De nombreux exemplaires de poids ont été trouvés en Mésopotamie, en Elam, en Syrie et en Palestine. Ceux-ci peuvent représenter des formes géométriques, mais aussi des formes d’animaux: canards, grenouilles, lions,... D’après l’inscription en cinq lignes, dont les signes sont en grande partie érodés, un scribe non identifié a dédicacé le poids probablement au dieu Shara, la divinité tutélaire de la cité d’Umma. L’unité de mesure de poids fondamentale est exprimée en mine. Valant environ 505 grammes, la mine est elle-même subdivisée en sicles (9 gr.), en grains (3 gr.). L’unité supérieure, le talent équivaut à 60 mines (env. 30 kg). N.V.

↑ , Sceau-cylindre avec trois motifs incertains:

Sceau-cylindre avec trois motifs incertains :

collectionName : Proche Orient
inventoryNb : O.00435
objectName :
objectTitle : Sceau-cylindre avec trois motifs incertains
objectCulture : Culture inconnue
geography :
dating : 1600 BC - 1101 BC
material :
technique :
dimensions : Hauteur: 2,6 cm
legalRightOwner : Musées royaux d'art et d'histoire/Koninklijke Musea voor Kunst en Geschiedenis

objectDescription : Trois motifs, dont l'un d'entre-eux est probablement une figure humaine. La gravure est encadrée d'un trait.

↑ , Plaque Lamashtu:

Plaque Lamashtu :

collectionName : Proche Orient
inventoryNb : O.00549
objectName :
objectTitle : Plaque Lamashtu
objectCulture : Mésopotamienne
geography :
dating : ca. 612 BC - 539 BC
material :
technique :
dimensions : Hauteur: 18,5 cm, Largeur: 10 cm
legalRightOwner : Musées royaux d'art et d'histoire/Koninklijke Musea voor Kunst en Geschiedenis

objectDescription : 1) Ce type d'amulette était utilisé pour se protéger de Lamashtu, démone stérile qui tourmente les jeunes mères et les nourrissons. Au recto de l'amulette se trouvent les 16 lignes (en cunéiforme peu soigné) de l'incantation, qui décrit l'arrivée de Lamashtu, fille du dieu du ciel Anu, et la conjure de rester éloignée. Le verso présente l'iconographie habituelle: le démon féminin Lamashtu à tête de lion et serres de rapace, un bateau ou une dague dans la main gauche et peut-être un fuseau dans la droite. Elle est vêtue d'une tunique avec deux poignards à sa ceinture. Au-dessus de Lamashtu apparaissent deux soleils, devant elle de petits peignes, derrière son dos un chien et en dessous un scorpion. Un serpent cornu se tortille vers le haut le long de sa jambe gauche, derrière apparaissent une tête et une épaule de bovidé. Devant l’autre jambe se tient un chien. Le dessus de l'amulette est couronné de deux petits personnages, probablement des foetus. Cette plaque magique aux dimensions remarquables a été « réhabilitée » en 1966, après avoir été taxée de faux sur base du texte lacunaire. Malgré les nombreuses fautes commises par le scribe, il s’agit en réalité d’une véritable plaque magique comportant un des plus longs passages relatif à la démone Lamashtu, également connu par une tablette plus récente provenant d’Uruk. E.G. – C.J. 2) Les pèlerins venant rendre hommage au dieu Mardouk à Babylone avaient l'habitude d'acheter des tablettes portant un texte magique. Le recto présente ici la déesse maléfique Lamashtu, fille du dieu céleste Anu, à tête de lionne rugissante. Le verso porte la formule de conjuration : "Au lieu, fille d'Anu (de maltraiter) les hommes...reçois du marchand (sa corne [d'huile] ?)... reçois du lapidaire (la cornaline)..."

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collectionName : Proche Orient
inventoryNb : O.00690
objectName :
objectTitle :
objectCulture : Mésopotamienne
geography :
dating : 1934 BC - 1924 BC
material :
technique :
dimensions : Hauteur: 11 cm
legalRightOwner : Musées royaux d'art et d'histoire/Koninklijke Musea voor Kunst en Geschiedenis

objectDescription : Le règne de Lipit-Eshtar est mal connu. Ce clou de fondation mentionne la construction par Lipit-Eshtar d'une paire de supports de vases à la porte du palais d'Isin, en l'honneur des dieux Enlil et Ninlil. L'intérêt de cette inscription, dont il existe de nombreux duplicats, est d'être la seule inscription de Lipit-Eshtar en akkadien connue à ce jour, toutes les autres étant rédigées en sumérien. Les titres de Lipit-Eshtar, cités au complet, démontrent l'importance de Nippur dans la nomination des rois: l'épithète « humble pasteur de Nippur » est citée avant « roi d'Isin, roi du pays de Sumer et d'Akkad ». La mission archéologique de Munich a peut-être découvert les vestiges du palais d’Isin. D'autres clous de fondation font référence à un bâtiment appelé « Maison de la Justice », qui est probablement à mettre en rapport avec les textes de lois promulgués par Lipit-Eshtar deux siècles avant le fameux Code d'Hammurabi. C.J. Couvert de cristaux

↑ , Fragment de coupelle en forme de coquillage:

Fragment de coupelle en forme de coquillage :

collectionName : Proche Orient
inventoryNb : O.00710
objectName :
objectTitle : Fragment de coupelle en forme de coquillage
objectCulture : Mésopotamienne
geography :
dating : 2255 BC - 2219 BC
material :
technique :
dimensions : Hauteur: 14 cm, Largeur: 5 cm
legalRightOwner : Musées royaux d'art et d'histoire/Koninklijke Musea voor Kunst en Geschiedenis

objectDescription : Lorsque quatre sceaux-cylindres provenant d’un lot acheté par les musées au marchand E. Géjou se révélèrent être des faux, l’abbé H. de Genouillac offrit en compensation ce fragment de coupelle en forme de coquillage imitant le Fasciolaria trapezium ou Lambis truncata sebae. Le texte est rédigé comme suit : « Naram-Sîn, le puissant, roi des quatre directions, qui a fracassé la tête (vaincue) des (royaumes) d’Armanu et d’Ebla ». D’après des copies de l’époque paléo-babylonienne de textes akkadiens, il réalisa ces faits (de manière métaphorique) avec la massue du dieu Dagān à qui cette coupelle ou cette lampe était probablement dédiée. Grâce aux spectaculaires découvertes de P. Matthiae à Tell Mardikh depuis 1968, Ebla put être définitivement identifiée comme étant la capitale d’un vaste royaume de Syrie centrale. La ville d’Armanu (jadis erronément identifiée comme étant Alep ou même l’Arménie) revient souvent dans les archives d’Ebla, sous la forme Armi; le fouilleur estime qu’il s’agit d’un centre situé dans le nord du royaume d’Ebla, dans les environs de Karkemish (Tell Bazi et/ou Tell Banat ?). E.G.

↑ , Inscription lihyanite:

Inscription lihyanite :

collectionName : Proche Orient
inventoryNb : O.00715
objectName :
objectTitle : Inscription lihyanite
objectCulture : Arabie du Sud
geography :
dating : 500 BC - 301 BC
material :
technique :
dimensions : Hauteur: 35 cm, Largeur: 17 cm
legalRightOwner : Musées royaux d'art et d'histoire/Koninklijke Musea voor Kunst en Geschiedenis

objectDescription : Cette inscription lihyanite occupe quatre lignes : « Monument funéraire de ‘Abdsamin, fils / de Zaydharag qu’a construit/ Salmah, fille de/ Arshan ». Medaïn Saleh (al-Hijr), dans le nord-ouest de l’Arabie, fut pendant quelque temps la capitale méridionale du royaume nabatéen, pendant de Pétra, la capitale septentrionale. L’écriture lihyanite, une évolution du dédanite (nommé d’après une ville caravanière dans le Hijaz), fut utilisée entre le 6e et le 4e siècle, par des tribus qui s’enrichissaient grâce au commerce de l’encens et des épices. Le nom du propriétaire de la tombe, ‘Abdsamin ou « serviteur de Samin », se réfère probablement au Ba’al ouest-sémitique de la voûte céleste (Ba’al Shamim). E.G.

↑ , Coupe votive:

Coupe votive :

collectionName : Proche Orient
inventoryNb : O.00777
objectName :
objectTitle : Coupe votive
objectCulture : Mésopotamienne
geography :
dating : 2155 BC - 2142 BC
material :
technique :
dimensions : Hauteur: 5,8 cm
legalRightOwner : Musées royaux d'art et d'histoire/Koninklijke Musea voor Kunst en Geschiedenis

objectDescription : Coupe votive. Ce bol conservé intégralement a très probablement été façonné dans une variété de pierre exotique. Selon l’inscription de neuf lignes qui se développe sur la panse du bol, le roi de Lagash, Ur-Baba, a dédicacé pour sa propre vie le bol à l’esprit protecteur de Tarsirsir, l’une des formes de la déesse Baba. Ur-Baba, prédécesseur du roi Gudéa et le père de Nin-alla, son épouse, s’y présente comme le fils de la déesse Nin-agal pour laquelle il a fait construire un temple, comme l’indique par ailleurs le nom officiel que porte l’une des années de son règne. N.V.

↑ , Divinité guerrière:

Divinité guerrière :

collectionName : Proche Orient
inventoryNb : O.00783
objectName :
objectTitle : Divinité guerrière
objectCulture : syrien
geography :
dating : 1700 BC - 1600 BC
material :
technique :
dimensions : Hauteur: 15,8 cm, Largeur: 3,5 cm
legalRightOwner : Musées royaux d'art et d'histoire/Koninklijke Musea voor Kunst en Geschiedenis

objectDescription : O.00783 et O.00784: Ces deux figurines ont été repêchées dans le lac de Homs par l'entomologiste Jousset de Belllesme en 1893. Il s'agit d'un dieu au collier massif en argent et d'un autre, barbu, de dimensions plus réduites.Tous deux portent une couronne (de plumes?) en forme d'éventail pourvue d'une excroissance à l'avant qui rappelle la coiffure des guerriers représentés sur des sceaux-cylindres de Cappadoce. Leur pagne court est muni d'une ceinture dans le premier cas, retenant dans doute une épée.Le mode de diffusion de statuettes votives de ce type, divinités guerrières ou guerriers divinisés, doit probablement être mis en relation avec l'expansion du royaume de Qadesh, une ville qui contrôlait les routes caravanières reliant l'Anatolie à la Palestine.E.G.

↑ , Divinité guerrière:

Divinité guerrière :

collectionName : Proche Orient
inventoryNb : O.00784
objectName :
objectTitle : Divinité guerrière
objectCulture : syrien
geography :
dating : 1700 BC - 1600 BC
material :
technique :
dimensions : Hauteur: 8 cm, Largeur: 1,5 cm
legalRightOwner : Musées royaux d'art et d'histoire/Koninklijke Musea voor Kunst en Geschiedenis

objectDescription : O.00783 et O.00784: Ces deux figurines ont été repêchées dans le lac de Homs par l'entomologiste Jousset de Belllesme en 1893. Il s'agit d'un dieu au collier massif en argent et d'un autre, barbu, de dimensions plus réduites.Tous deux portent une couronne (de plumes?) en forme d'éventail pourvue d'une excroissance à l'avant qui rappelle la coiffure des guerriers représentés sur des sceaux-cylindres de Cappadoce. Leur pagne court est muni d'une ceinture dans le premier cas, retenant dans doute une épée.Le mode de diffusion de statuettes votives de ce type, divinités guerrières ou guerriers divinisés, doit probablement être mis en relation avec l'expansion du royaume de Qadesh, une ville qui contrôlait les routes caravanières reliant l'Anatolie à la Palestine.E.G.

↑ , Tablette cunéiforme avec empreinte de sceau-cylindre:

Tablette cunéiforme avec empreinte de sceau-cylindre :

collectionName : Proche Orient
inventoryNb : O.00836
objectName :
objectTitle : Tablette cunéiforme avec empreinte de sceau-cylindre
objectCulture : Mésopotamienne
geography :
dating : 2112 BC - 2004 BC
material :
technique :
dimensions : Hauteur: 4,1 cm, Largeur: 3,5 cm
legalRightOwner : Musées royaux d'art et d'histoire/Koninklijke Musea voor Kunst en Geschiedenis

objectDescription : Compte de boeufs et de moutons, année du temple de Sahar. Inscription encadrée, trois lignes, avec la dernière ligne en retrait, avec une partie de l'iconographie (un cavalier sur un âne). Même sceau sur O.0058 et O.0069; probablement le même individu sur O.0071 mais le sceau est différent. ab-ba-kal-la dub.sar dumu lú-dnin-/gír-su “Abba-kala, écrivain, fils de Lu-Ningirsu”.

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collectionName : Proche Orient
inventoryNb : O.01326
objectName :
objectTitle :
objectCulture : Mésopotamienne
geography :
dating : 2550 BC - 2400 BC
material :
technique :
dimensions : Hauteur: 3,3 cm
legalRightOwner : Musées royaux d'art et d'histoire/Koninklijke Musea voor Kunst en Geschiedenis

objectDescription : La découverte des « tombes royales d’Ur » par C.L. Woolley constitue une étape dans l’histoire de l’archéologie du Pays des Deux Fleuves et eut une répercussion sensationnelle dans la presse grâce aux riches offrandes funéraires qu’elles contenaient et au caractère macabre de l’inhumation. Dans une vaste antichambre de la tombe de Pu-abi, deuxième épouse du roi Meskalamdug, se trouvaient les dépouilles de plusieurs serviteurs tant masculins que féminins qui avaient suivi leur maîtresse dans la mort, par strangulation ou par suicide collectif suite à un empoisonnement. Les corps de dix dames de la cour (des musiciennes ?), à la coiffure richement parée, gisaient en deux rangées de cinq sous des nattes de roseau dans le secteur méridional, à côté, entre autres, d’une harpe et d’une lyre. Plusieurs feuilles d’or déchirées avaient été déposées entrecroisées sur et à côté des crânes et servaient à maintenir la coiffure. Deux petits anneaux en argent faisaient probablement partie d’une chaîne fixée dans les cheveux, à l’instar de l’exemplaire en or déposé sur la tête de la reine elle-même. Le poids atteint par la paire de boucles d’oreilles, composées d’éléments martelés en forme de croissant, était probablement supporté par une mèche de cheveux derrière l’oreille; à l’origine, ces bijoux étaient toujours remplis de bitume, ce qui les rendaient trop lourds pour un lobe d’oreille percé. Le collier, alternant des éléments triangulaires en or et en lapis-lazuli, est trop court pour être porté autour du cou. Par contre, s’il s’agit d’un bracelet, le bijou devait alors sans doute être cousu sur une bande de cuir ou de textile, à la manière d’un diadème. Un premier collier compte 12 petites perles biconiques en cornaline, provenant de la vallée de l’Indus, et 94 en lapis-lazuli du Baluchistan, dont une est recouverte d’une feuille d’or. Le deuxième exemplaire alterne des petites perles cylindriques en cornaline (66), lapis-lazuli (77) et or (37). Ce dernier type de collier était considéré comme un élément de la coiffure, originellement encore décorée d’une rangée de feuilles de hêtre en or. Une épingle à tige en argent surmontée d’une tête sphérique en lapis-lazuli comprise entre deux éléments en or ornait un vêtement (ou un linceul ?). Le contenu verdâtre d’une petite coquille de Cardium provenant du golfe Persique, constitue l’ombre à paupières avec lequel sa propriétaire se maquillait les yeux. E.G.

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collectionName : Proche Orient
inventoryNb : O.01327
objectName :
objectTitle :
objectCulture : Mésopotamienne
geography :
dating : 2550 BC - 2400 BC
material :
technique :
dimensions : Hauteur: 2,6 cm
legalRightOwner : Musées royaux d'art et d'histoire/Koninklijke Musea voor Kunst en Geschiedenis

objectDescription : La découverte des « tombes royales d’Ur » par C.L. Woolley constitue une étape dans l’histoire de l’archéologie du Pays des Deux Fleuves et eut une répercussion sensationnelle dans la presse grâce aux riches offrandes funéraires qu’elles contenaient et au caractère macabre de l’inhumation. Dans une vaste antichambre de la tombe de Pu-abi, deuxième épouse du roi Meskalamdug, se trouvaient les dépouilles de plusieurs serviteurs tant masculins que féminins qui avaient suivi leur maîtresse dans la mort, par strangulation ou par suicide collectif suite à un empoisonnement. Les corps de dix dames de la cour (des musiciennes ?), à la coiffure richement parée, gisaient en deux rangées de cinq sous des nattes de roseau dans le secteur méridional, à côté, entre autres, d’une harpe et d’une lyre. Plusieurs feuilles d’or déchirées avaient été déposées entrecroisées sur et à côté des crânes et servaient à maintenir la coiffure. Deux petits anneaux en argent faisaient probablement partie d’une chaîne fixée dans les cheveux, à l’instar de l’exemplaire en or déposé sur la tête de la reine elle-même. Le poids atteint par la paire de boucles d’oreilles, composées d’éléments martelés en forme de croissant, était probablement supporté par une mèche de cheveux derrière l’oreille; à l’origine, ces bijoux étaient toujours remplis de bitume, ce qui les rendaient trop lourds pour un lobe d’oreille percé. Le collier, alternant des éléments triangulaires en or et en lapis-lazuli, est trop court pour être porté autour du cou. Par contre, s’il s’agit d’un bracelet, le bijou devait alors sans doute être cousu sur une bande de cuir ou de textile, à la manière d’un diadème. Un premier collier compte 12 petites perles biconiques en cornaline, provenant de la vallée de l’Indus, et 94 en lapis-lazuli du Baluchistan, dont une est recouverte d’une feuille d’or. Le deuxième exemplaire alterne des petites perles cylindriques en cornaline (66), lapis-lazuli (77) et or (37). Ce dernier type de collier était considéré comme un élément de la coiffure, originellement encore décorée d’une rangée de feuilles de hêtre en or. Une épingle à tige en argent surmontée d’une tête sphérique en lapis-lazuli comprise entre deux éléments en or ornait un vêtement (ou un linceul ?). Le contenu verdâtre d’une petite coquille de Cardium provenant du golfe Persique, constitue l’ombre à paupières avec lequel sa propriétaire se maquillait les yeux. E.G.

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collectionName : Proche Orient
inventoryNb : O.01330
objectName :
objectTitle :
objectCulture : Mésopotamienne
geography :
dating : 2550 BC - 2400 BC
material :
technique :
dimensions :
legalRightOwner : Musées royaux d'art et d'histoire/Koninklijke Musea voor Kunst en Geschiedenis

objectDescription : La découverte des « tombes royales d’Ur » par C.L. Woolley constitue une étape dans l’histoire de l’archéologie du Pays des Deux Fleuves et eut une répercussion sensationnelle dans la presse grâce aux riches offrandes funéraires qu’elles contenaient et au caractère macabre de l’inhumation. Dans une vaste antichambre de la tombe de Pu-abi, deuxième épouse du roi Meskalamdug, se trouvaient les dépouilles de plusieurs serviteurs tant masculins que féminins qui avaient suivi leur maîtresse dans la mort, par strangulation ou par suicide collectif suite à un empoisonnement. Les corps de dix dames de la cour (des musiciennes ?), à la coiffure richement parée, gisaient en deux rangées de cinq sous des nattes de roseau dans le secteur méridional, à côté, entre autres, d’une harpe et d’une lyre. Plusieurs feuilles d’or déchirées avaient été déposées entrecroisées sur et à côté des crânes et servaient à maintenir la coiffure. Deux petits anneaux en argent faisaient probablement partie d’une chaîne fixée dans les cheveux, à l’instar de l’exemplaire en or déposé sur la tête de la reine elle-même. Le poids atteint par la paire de boucles d’oreilles, composées d’éléments martelés en forme de croissant, était probablement supporté par une mèche de cheveux derrière l’oreille; à l’origine, ces bijoux étaient toujours remplis de bitume, ce qui les rendaient trop lourds pour un lobe d’oreille percé. Le collier, alternant des éléments triangulaires en or et en lapis-lazuli, est trop court pour être porté autour du cou. Par contre, s’il s’agit d’un bracelet, le bijou devait alors sans doute être cousu sur une bande de cuir ou de textile, à la manière d’un diadème. Un premier collier compte 12 petites perles biconiques en cornaline, provenant de la vallée de l’Indus, et 94 en lapis-lazuli du Baluchistan, dont une est recouverte d’une feuille d’or. Le deuxième exemplaire alterne des petites perles cylindriques en cornaline (66), lapis-lazuli (77) et or (37). Ce dernier type de collier était considéré comme un élément de la coiffure, originellement encore décorée d’une rangée de feuilles de hêtre en or. Une épingle à tige en argent surmontée d’une tête sphérique en lapis-lazuli comprise entre deux éléments en or ornait un vêtement (ou un linceul ?). Le contenu verdâtre d’une petite coquille de Cardium provenant du golfe Persique, constitue l’ombre à paupières avec lequel sa propriétaire se maquillait les yeux. E.G.

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collectionName : Proche Orient
inventoryNb : O.01331
objectName :
objectTitle :
objectCulture : Mésopotamienne
geography :
dating : 2550 BC - 2400 BC
material :
technique :
dimensions : Hauteur: 110 cm
legalRightOwner : Musées royaux d'art et d'histoire/Koninklijke Musea voor Kunst en Geschiedenis

objectDescription : La découverte des « tombes royales d’Ur » par C.L. Woolley constitue une étape dans l’histoire de l’archéologie du Pays des Deux Fleuves et eut une répercussion sensationnelle dans la presse grâce aux riches offrandes funéraires qu’elles contenaient et au caractère macabre de l’inhumation. Dans une vaste antichambre de la tombe de Pu-abi, deuxième épouse du roi Meskalamdug, se trouvaient les dépouilles de plusieurs serviteurs tant masculins que féminins qui avaient suivi leur maîtresse dans la mort, par strangulation ou par suicide collectif suite à un empoisonnement. Les corps de dix dames de la cour (des musiciennes ?), à la coiffure richement parée, gisaient en deux rangées de cinq sous des nattes de roseau dans le secteur méridional, à côté, entre autres, d’une harpe et d’une lyre. Plusieurs feuilles d’or déchirées avaient été déposées entrecroisées sur et à côté des crânes et servaient à maintenir la coiffure. Deux petits anneaux en argent faisaient probablement partie d’une chaîne fixée dans les cheveux, à l’instar de l’exemplaire en or déposé sur la tête de la reine elle-même. Le poids atteint par la paire de boucles d’oreilles, composées d’éléments martelés en forme de croissant, était probablement supporté par une mèche de cheveux derrière l’oreille; à l’origine, ces bijoux étaient toujours remplis de bitume, ce qui les rendaient trop lourds pour un lobe d’oreille percé. Le collier, alternant des éléments triangulaires en or et en lapis-lazuli, est trop court pour être porté autour du cou. Par contre, s’il s’agit d’un bracelet, le bijou devait alors sans doute être cousu sur une bande de cuir ou de textile, à la manière d’un diadème. Un premier collier compte 12 petites perles biconiques en cornaline, provenant de la vallée de l’Indus, et 94 en lapis-lazuli du Baluchistan, dont une est recouverte d’une feuille d’or. Le deuxième exemplaire alterne des petites perles cylindriques en cornaline (66), lapis-lazuli (77) et or (37). Ce dernier type de collier était considéré comme un élément de la coiffure, originellement encore décorée d’une rangée de feuilles de hêtre en or. Une épingle à tige en argent surmontée d’une tête sphérique en lapis-lazuli comprise entre deux éléments en or ornait un vêtement (ou un linceul ?). Le contenu verdâtre d’une petite coquille de Cardium provenant du golfe Persique, constitue l’ombre à paupières avec lequel sa propriétaire se maquillait les yeux. E.G.

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collectionName : Proche Orient
inventoryNb : O.01332
objectName :
objectTitle :
objectCulture : Mésopotamienne
geography :
dating : 2550 BC - 2400 BC Inconnue
material :
technique :
dimensions : Hauteur: 2,8 cm, Largeur: 18 cm
legalRightOwner : Musées royaux d'art et d'histoire/Koninklijke Musea voor Kunst en Geschiedenis

objectDescription : 1) La découverte des « tombes royales d’Ur » par C.L. Woolley constitue une étape dans l’histoire de l’archéologie du Pays des Deux Fleuves et eut une répercussion sensationnelle dans la presse grâce aux riches offrandes funéraires qu’elles contenaient et au caractère macabre de l’inhumation. Dans une vaste antichambre de la tombe de Pu-abi, deuxième épouse du roi Meskalamdug, se trouvaient les dépouilles de plusieurs serviteurs tant masculins que féminins qui avaient suivi leur maîtresse dans la mort, par strangulation ou par suicide collectif suite à un empoisonnement. Les corps de dix dames de la cour (des musiciennes ?), à la coiffure richement parée, gisaient en deux rangées de cinq sous des nattes de roseau dans le secteur méridional, à côté, entre autres, d’une harpe et d’une lyre. Plusieurs feuilles d’or déchirées avaient été déposées entrecroisées sur et à côté des crânes et servaient à maintenir la coiffure. Deux petits anneaux en argent faisaient probablement partie d’une chaîne fixée dans les cheveux, à l’instar de l’exemplaire en or déposé sur la tête de la reine elle-même. Le poids atteint par la paire de boucles d’oreilles, composées d’éléments martelés en forme de croissant, était probablement supporté par une mèche de cheveux derrière l’oreille; à l’origine, ces bijoux étaient toujours remplis de bitume, ce qui les rendaient trop lourds pour un lobe d’oreille percé. Le collier, alternant des éléments triangulaires en or et en lapis-lazuli, est trop court pour être porté autour du cou. Par contre, s’il s’agit d’un bracelet, le bijou devait alors sans doute être cousu sur une bande de cuir ou de textile, à la manière d’un diadème. Un premier collier compte 12 petites perles biconiques en cornaline, provenant de la vallée de l’Indus, et 94 en lapis-lazuli du Baluchistan, dont une est recouverte d’une feuille d’or. Le deuxième exemplaire alterne des petites perles cylindriques en cornaline (66), lapis-lazuli (77) et or (37). Ce dernier type de collier était considéré comme un élément de la coiffure, originellement encore décorée d’une rangée de feuilles de hêtre en or. Une épingle à tige en argent surmontée d’une tête sphérique en lapis-lazuli comprise entre deux éléments en or ornait un vêtement (ou un linceul ?). Le contenu verdâtre d’une petite coquille de Cardium provenant du golfe Persique, constitue l’ombre à paupières avec lequel sa propriétaire se maquillait les yeux. E.G. Bracelet composé de tablettes triangulaires percées latéralement de 3 trous de suspension. (fiche)

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collectionName : Proche Orient
inventoryNb : O.01333
objectName :
objectTitle :
objectCulture : Mésopotamienne
geography :
dating : 2700 BC
material :
technique :
dimensions : Hauteur: 4 cm, Largeur: 3,5 cm, Profondeur: 3 cm
legalRightOwner : Musées royaux d'art et d'histoire/Koninklijke Musea voor Kunst en Geschiedenis

objectDescription : 1) Contenant la couleur verte, ombre à paupières. La découverte des « tombes royales d’Ur » par C.L. Woolley constitue une étape dans l’histoire de l’archéologie du Pays des Deux Fleuves et eut une répercussion sensationnelle dans la presse grâce aux riches offrandes funéraires qu’elles contenaient et au caractère macabre de l’inhumation. Dans une vaste antichambre de la tombe de Pu-abi, deuxième épouse du roi Meskalamdug, se trouvaient les dépouilles de plusieurs serviteurs tant masculins que féminins qui avaient suivi leur maîtresse dans la mort, par strangulation ou par suicide collectif suite à un empoisonnement. Les corps de dix dames de la cour (des musiciennes ?), à la coiffure richement parée, gisaient en deux rangées de cinq sous des nattes de roseau dans le secteur méridional, à côté, entre autres, d’une harpe et d’une lyre. Plusieurs feuilles d’or déchirées avaient été déposées entrecroisées sur et à côté des crânes et servaient à maintenir la coiffure. Deux petits anneaux en argent faisaient probablement partie d’une chaîne fixée dans les cheveux, à l’instar de l’exemplaire en or déposé sur la tête de la reine elle-même. Le poids atteint par la paire de boucles d’oreilles, composées d’éléments martelés en forme de croissant, était probablement supporté par une mèche de cheveux derrière l’oreille; à l’origine, ces bijoux étaient toujours remplis de bitume, ce qui les rendaient trop lourds pour un lobe d’oreille percé. Le collier, alternant des éléments triangulaires en or et en lapis-lazuli, est trop court pour être porté autour du cou. Par contre, s’il s’agit d’un bracelet, le bijou devait alors sans doute être cousu sur une bande de cuir ou de textile, à la manière d’un diadème. Un premier collier compte 12 petites perles biconiques en cornaline, provenant de la vallée de l’Indus, et 94 en lapis-lazuli du Baluchistan, dont une est recouverte d’une feuille d’or. Le deuxième exemplaire alterne des petites perles cylindriques en cornaline (66), lapis-lazuli (77) et or (37). Ce dernier type de collier était considéré comme un élément de la coiffure, originellement encore décorée d’une rangée de feuilles de hêtre en or. Une épingle à tige en argent surmontée d’une tête sphérique en lapis-lazuli comprise entre deux éléments en or ornait un vêtement (ou un linceul ?). Le contenu verdâtre d’une petite coquille de Cardium provenant du golfe Persique, constitue l’ombre à paupières avec lequel sa propriétaire se maquillait les yeux. E.G. 2) L'une d'elles est présentée avec son contenu de pigments détachés

↑ , Déesse ou prêtresse:

Déesse ou prêtresse :

collectionName : Proche Orient
inventoryNb : O.01379
objectName :
objectTitle : Déesse ou prêtresse
objectCulture : Mésopotamienne
geography :
dating : 2700 BC - 2550 BC
material :
technique :
dimensions : Hauteur: 8,2 cm, Largeur: 4 cm, Profondeur: 5,3 cm
legalRightOwner : Musées royaux d'art et d'histoire/Koninklijke Musea voor Kunst en Geschiedenis

objectDescription : Sculpture de déesse ou de prêtresse. Nous sommes ici en présence d’un exemple de la sculpture miniature sumérienne : une déesse assise sur un trône plein, tenant une coupe d’une main et un rameau dans l’autre, ce que Speleers a considéré, probablement de manière trop enthousiaste, comme étant les attributs de Nisaba, la déesse de l’agriculture. La datation est basée sur des concordances stylistiques avec des statuettes similaires provenant de Kish, Khafadje et autres sites de la Diyala. E.G.

↑ , Sceau-cylindre avec un roi qui sacrifie un ennemi:

Sceau-cylindre avec un roi qui sacrifie un ennemi :

collectionName : Proche Orient
inventoryNb : O.01484
objectName :
objectTitle : Sceau-cylindre avec un roi qui sacrifie un ennemi
objectCulture : syrien
geography :
dating : ca. 1750 BC - 1550 BC
material :
technique :
dimensions : Hauteur: 2,3 cm, Largeur: 1 cm
legalRightOwner : Musées royaux d'art et d'histoire/Koninklijke Musea voor Kunst en Geschiedenis

objectDescription : Un souverain, coiffé d’une couronne conique et vêtu d’un manteau, brandit une hache dans le dessein de sacrifier une prisonnière nue qu’il maintient de la main droite, devant (la statue cultuelle) Teshub (?), le dieu du temps. Le thème du roi qui sacrifie un ennemi a été emprunté à l’iconographie égyptienne, tout comme l’aigle aux ailes éployées surmonté du signe ankh, deux symboles de la royauté au Levant comme dans la vallée du Nil. Le personnage plus petit, à droite, tenant un lion en laisse, porte le lebbadé, une couronne inspirée de la couronne blanche de Haute-Égypte. Il s’agit probablement du successeur au trône représenté dans une attitude préfigurée par l’iconographie du dieu phénicien Ba’al.

↑ , Sceau-cylindre avec scène de lutte:

Sceau-cylindre avec scène de lutte :

collectionName : Proche Orient
inventoryNb : O.01576
objectName :
objectTitle : Sceau-cylindre avec scène de lutte
objectCulture : Akkadienne
geography :
dating : 2350 BC - 2154 BC
material :
technique :
dimensions : Hauteur: 3 cm, Largeur: 1,5 cm
legalRightOwner : Musées royaux d'art et d'histoire/Koninklijke Musea voor Kunst en Geschiedenis

objectDescription : Scène de lutte entre quatre animaux; le premier est surement un lion, les trois autres probablement aussi, mais ils sont difficilement distinguables. Un trait vertical barré par deux petits traits horizontaux complète la scène.

↑ , Tête portrait:

Tête portrait :

collectionName : Proche Orient
inventoryNb : O.01792
objectName :
objectTitle : Tête portrait
objectCulture : Arabie du Sud
geography :
dating : 300 BC - 101 BC
material :
technique :
dimensions : Hauteur: 26 cm, Largeur: 14,5 cm
legalRightOwner : Musées royaux d'art et d'histoire/Koninklijke Musea voor Kunst en Geschiedenis

objectDescription : Cumont acheta cette tête-portrait qatabanite à Damas et se laissa influencer par le fait qu’elle présente des traits plus réalistes que beaucoup d’autres exemplaires connus alors. Il ne reste plus de traces de la coiffure originelle en stuc et il est peu probable que les yeux aient un jour été incrustés de pierre noire et blanche. E.G.

↑ , Fragment de bas de colonne:

Fragment de bas de colonne :

collectionName : Iran
inventoryNb : O.01929
objectName :
objectTitle : Fragment de bas de colonne
objectCulture : Iranienne
geography :
dating : 486 BC - 424 BC
material :
technique :
dimensions : Hauteur: 14 cm, Largeur: 20,5 cm, Profondeur: 27 cm
legalRightOwner : Musées royaux d'art et d'histoire/Koninklijke Musea voor Kunst en Geschiedenis

objectDescription : Des salles de réception monumentales, couvertes d’un toit soutenu par des colonnes, constituent un des éléments caractéristiques des palais achéménides, peut-être les réminiscences d’une tradition architecturale remontant au début du 1er millénaire (Hasanlu, nord-ouest de l’Iran). La toiture de ces bâtiments, généralement appelés Apadana, était supportée par des colonnes en pierre ou en bois de cèdre avec des protomés de taureau placés dos à dos et affublés de têtes humaines. Dans les palais de Persépolis et de Suse, les bases campaniformes de ces colonnes étaient ornées d’un motif de feuilles stylisées. Cet exemple remonte au règne de Xerxès Ier (486-465) ou de son successeur Artaxerxès Ier (465-424) et porte, sous le tore, une inscription en vieux-perse dont seuls les mots « … grand (roi), roi des rois » sont conservés. Le fragment provient probablement plutôt de Babylone que d’Iran. E.G.

↑ , Tesson:

Tesson :

collectionName : Proche Orient
inventoryNb : O.02517
objectName :
objectTitle : Tesson
objectCulture : syrien
geography :
dating : 300 BC - 101 BC
material :
technique :
dimensions : Hauteur: 4 cm, Largeur: 3,9 cm, Profondeur: 0,4 cm
legalRightOwner : Musées royaux d'art et d'histoire/Koninklijke Musea voor Kunst en Geschiedenis

objectDescription : Probablement fragment de coupe, lisse à l'intérieur

↑ , Tesson:

Tesson :

collectionName : Proche Orient
inventoryNb : O.02518
objectName :
objectTitle : Tesson
objectCulture : syrien
geography :
dating : 300 BC - 101 BC
material :
technique :
dimensions : Hauteur: 7,5 cm, Largeur: 3,2 cm, Profondeur: 0,5 cm
legalRightOwner : Musées royaux d'art et d'histoire/Koninklijke Musea voor Kunst en Geschiedenis

objectDescription : Probablement fragment de jarre

↑ , Décoration d'harnachement de cheval:

Décoration d'harnachement de cheval :

collectionName : Proche Orient
inventoryNb : O.02636
objectName :
objectTitle : Décoration d'harnachement de cheval
objectCulture : Phénicienne
geography :
dating : 810 BC - 701 BC
material :
technique :
dimensions : Hauteur: 3,4 cm, Largeur: 2,6 cm, Profondeur: 1,1 cm
legalRightOwner : Musées royaux d'art et d'histoire/Koninklijke Musea voor Kunst en Geschiedenis

objectDescription : Une part non négligeable de la production de pièces en ivoire phénicienne était destinée aux harnachements des chevaux : œillères, plaquettes trapézoïdales et éléments décoratifs en forme d’éventail pour la tête des animaux. Contrairement aux répliques métalliques, ces éléments ornementaux ne servaient pas de protection pour les chevaux au cours de conflits armés, mais bien plus à leur parure à l’occasion de processions religieuses ou officielles. Ces têtes de lionnes étaient probablement fixées, au moyen d’un élément à tête dorée, à un support en cuir, par exemple les guides des brides. Les sourcils du félin étaient incrustés de pâte couleur lapis-lazuli et l’ensemble était recouvert de feuilles d’or. Il s’agissait donc d’une finition remarquablement soignée et onéreuse pour ces petits éléments. E.G.

↑ , Sceau-cylindre avec un dieu:

Sceau-cylindre avec un dieu :

collectionName : Proche Orient
inventoryNb : O.02784
objectName :
objectTitle : Sceau-cylindre avec un dieu
objectCulture : Phénicienne
geography :
dating : 500 BC - 301 BC
material :
technique :
dimensions : Hauteur: 2,8 cm
legalRightOwner : Musées royaux d'art et d'histoire/Koninklijke Musea voor Kunst en Geschiedenis

objectDescription : Le buste d’un dieu (Ahura Mazda?) apparaît dans un disque solaire à quatre ailes et est suivi du titre et du nom du capitaine de navire Padiaset écrits en hiéroglyphes égyptiens. Il s’agit probablement d’une transcription d’un nom phénicien formé sur le théonyme Asiti, une déesse vénérée à Sidon. Étant donné le rôle joué par la flotte de Sidon sous la domination perse, le matériau précieux et l’usage d’un type de sceau encore utilisé en Perse mais plus en Phénicie depuis longtemps, le titre se réfère sans doute à un haut fonctionnaire, peut-être même à un commandant de flotte.

↑ , Elément de toiture peint:

Elément de toiture peint :

collectionName : Proche Orient
inventoryNb : O.03304
objectName :
objectTitle : Elément de toiture peint
objectCulture : Asie antérieure
geography :
dating : 525 BC - 500 BC
material :
technique :
dimensions : Hauteur: 33 cm, Largeur: 44 cm
legalRightOwner : Musées royaux d'art et d'histoire/Koninklijke Musea voor Kunst en Geschiedenis

objectDescription : Divers éléments d’une décoration de toiture d’un temple de la ville grecque orientale de Düver, en Anatolie, sont peints dans le style de la fin du 6e siècle. Sur quelque 70 plaques geison* connues, un cavalier (Bellérophon chevauchant Pégase) suit une chimère ailée à queue de serpent. La croix en forme de spirale qui apparaît sur le flanc de sa monture est probablement un tatouage à fonction propitiatoire. Le motif symbolise le triomphe du bien sur le mal et représente une transition dans l’évolution du motif du tueur de griffon phénicien vers la légende de saint Georges (cf. cat. 482). D’autres éléments de l’ornementation architectonique comprennent une antéfixe avec une version tardive de la palmette levantine combinée à des méandres grecs qui apparaissent aussi dans une combinaison plus complexe sur une autre plaquette qui rehaussait sans doute les contours inclinés de la faîtière. Sur une dernière plaquette similaire, l’espace compris entre les éléments en croisillon d’une frise est rehaussé d’une bande de svastikas peints. E.G.

↑ , Elément de toiture peint:

Elément de toiture peint :

collectionName : Proche Orient
inventoryNb : O.03305
objectName :
objectTitle : Elément de toiture peint
objectCulture : Asie antérieure
geography :
dating : 525 BC - 500 BC
material :
technique :
dimensions : Hauteur: 16 cm
legalRightOwner : Musées royaux d'art et d'histoire/Koninklijke Musea voor Kunst en Geschiedenis

objectDescription : Divers éléments d’une décoration de toiture d’un temple de la ville grecque orientale de Düver, en Anatolie, sont peints dans le style de la fin du 6e siècle. Sur quelque 70 plaques geison* connues, un cavalier (Bellérophon chevauchant Pégase) suit une chimère ailée à queue de serpent. La croix en forme de spirale qui apparaît sur le flanc de sa monture est probablement un tatouage à fonction propitiatoire. Le motif symbolise le triomphe du bien sur le mal et représente une transition dans l’évolution du motif du tueur de griffon phénicien vers la légende de saint Georges (cf. cat. 482). D’autres éléments de l’ornementation architectonique comprennent une antéfixe avec une version tardive de la palmette levantine combinée à des méandres grecs qui apparaissent aussi dans une combinaison plus complexe sur une autre plaquette qui rehaussait sans doute les contours inclinés de la faîtière. Sur une dernière plaquette similaire, l’espace compris entre les éléments en croisillon d’une frise est rehaussé d’une bande de svastikas peints. E.G.

↑ , Elément de toiture peint:

Elément de toiture peint :

collectionName : Proche Orient
inventoryNb : O.03306
objectName :
objectTitle : Elément de toiture peint
objectCulture : Asie antérieure
geography :
dating : 525 BC - 500 BC
material :
technique :
dimensions : Hauteur: 23 cm, Largeur: 49 cm
legalRightOwner : Musées royaux d'art et d'histoire/Koninklijke Musea voor Kunst en Geschiedenis

objectDescription : Divers éléments d’une décoration de toiture d’un temple de la ville grecque orientale de Düver, en Anatolie, sont peints dans le style de la fin du 6e siècle. Sur quelque 70 plaques geison* connues, un cavalier (Bellérophon chevauchant Pégase) suit une chimère ailée à queue de serpent. La croix en forme de spirale qui apparaît sur le flanc de sa monture est probablement un tatouage à fonction propitiatoire. Le motif symbolise le triomphe du bien sur le mal et représente une transition dans l’évolution du motif du tueur de griffon phénicien vers la légende de saint Georges (cf. cat. 482). D’autres éléments de l’ornementation architectonique comprennent une antéfixe avec une version tardive de la palmette levantine combinée à des méandres grecs qui apparaissent aussi dans une combinaison plus complexe sur une autre plaquette qui rehaussait sans doute les contours inclinés de la faîtière. Sur une dernière plaquette similaire, l’espace compris entre les éléments en croisillon d’une frise est rehaussé d’une bande de svastikas peints. E.G.

↑ , Elément de toiture peint:

Elément de toiture peint :

collectionName : Proche Orient
inventoryNb : O.03307
objectName :
objectTitle : Elément de toiture peint
objectCulture : Asie antérieure
geography :
dating : 525 BC - 500 BC
material :
technique :
dimensions :
legalRightOwner : Musées royaux d'art et d'histoire/Koninklijke Musea voor Kunst en Geschiedenis

objectDescription : Divers éléments d’une décoration de toiture d’un temple de la ville grecque orientale de Düver, en Anatolie, sont peints dans le style de la fin du 6e siècle. Sur quelque 70 plaques geison* connues, un cavalier (Bellérophon chevauchant Pégase) suit une chimère ailée à queue de serpent. La croix en forme de spirale qui apparaît sur le flanc de sa monture est probablement un tatouage à fonction propitiatoire. Le motif symbolise le triomphe du bien sur le mal et représente une transition dans l’évolution du motif du tueur de griffon phénicien vers la légende de saint Georges (cf. cat. 482). D’autres éléments de l’ornementation architectonique comprennent une antéfixe avec une version tardive de la palmette levantine combinée à des méandres grecs qui apparaissent aussi dans une combinaison plus complexe sur une autre plaquette qui rehaussait sans doute les contours inclinés de la faîtière. Sur une dernière plaquette similaire, l’espace compris entre les éléments en croisillon d’une frise est rehaussé d’une bande de svastikas peints. E.G.

↑ , Sceau-cylindre avec personnage, prière et deux dieux:

Sceau-cylindre avec personnage, prière et deux dieux :

collectionName : Proche Orient
inventoryNb : O.03530
objectName :
objectTitle : Sceau-cylindre avec personnage, prière et deux dieux
objectCulture : Assyrienne
geography :
dating : 605 BC - 539 BC
material :
technique :
dimensions : Hauteur: 3,2 cm
legalRightOwner : Musées royaux d'art et d'histoire/Koninklijke Musea voor Kunst en Geschiedenis

objectDescription : Une figure humaine barbue portant un habit assyrien se tient debout en prière entre deux divinités: à droite, un dieu sur un taureau, probablement Adad, à gauche une déesse en habits d'homme sur une lionne, certainement Ishtar.

↑ , :

:

collectionName : Proche Orient
inventoryNb : O.03636
objectName :
objectTitle :
objectCulture : Levant méridional
geography :
dating : 1450 BC - 1100 BC
material :
technique :
dimensions : Hauteur: 38 cm
legalRightOwner : Musées royaux d'art et d'histoire/Koninklijke Musea voor Kunst en Geschiedenis

objectDescription : Au cours de la seconde moitié du 2e millénaire, l’ensemble du monde méditerranéen oriental utilisa des amphores comme conteneurs pour le transport de l’huile d’olive et du vin. Ces récipients à provisions, appelées « stirrup jars » en anglais, sont caractérisées par un bec filtrant redressé et des anses apposées sur l’épaule présentant un faux col au centre, probablement pour protéger le bec. Ce type d’amphore s’est propagé depuis Mycènes dans tout le reste du bassin méditerranéen. Il connut cependant un grand nombre d’imitations. L’exemplaire présenté ici possède, exceptionnellement, trois au lieu de deux anses et appartient, de ce fait, aux spécimens les plus anciens. La troisième anse était placée à l’opposé du bec filtrant, de l’autre côté du col. Généralement, de telles amphores étaient façonnées dans une argile plus fine avant d’être peintes de motifs linéaires ou stylisés. Les formes les plus petites auraient servi de cruchons à miel. I.M.S.

↑ , Pointe d'arme:

Pointe d'arme :

collectionName : Proche Orient
inventoryNb : O.03718
objectName :
objectTitle : Pointe d'arme
objectCulture : syrien
geography :
dating : 1900 BC - 1701 BC
material :
technique :
dimensions : Profondeur: 29,8 cm
legalRightOwner : Musées royaux d'art et d'histoire/Koninklijke Musea voor Kunst en Geschiedenis

objectDescription : Il s’agit d’une arme au nom de DU-kán-a-wi-ir, probablement un vassal anatolien de Zimri-Lim de Mari qui, comme Šennmam d’Ursum, offrit une lance (giššukur) à son souverain en route vers Karkemish. C’est en tout cas ce qu’il ressort des archives de cette ville située sur l’Euphrate. Selon l’assyriologue J.-R. Kupper, il s’agit même, plus précisément, d’une lance nazînu, signe honorifique de militaires de haut rang qui bénéficiaient du privilège de participer à des banquets royaux. E.G.

↑ , Ecuelle à bords biseautés:

Ecuelle à bords biseautés :

collectionName : Proche Orient
inventoryNb : O.04078
objectName :
objectTitle : Ecuelle à bords biseautés
objectCulture : syrien
geography :
dating : 3900 BC - 2950 BC
material :
technique :
dimensions : Hauteur: 9,5 cm
legalRightOwner : Musées royaux d'art et d'histoire/Koninklijke Musea voor Kunst en Geschiedenis

objectDescription : Parmi les nombreuses poteries complètes ou fragmentaires retrouvées en place dans les bâtiments de Tell Kannas, toutes les formes classiques du répertoire céramique urukéen sont représentées. À l’époque d’Uruk, la céramique, auparavant montée à la main, est réalisée au tour et le décor peint des époques précédentes est abandonné au profit d’un décor gravé ou pastillé. Les récipients utilitaires ou de luxe sont à présent produits en masse pour satisfaire la demande d’une population urbaine toujours croissante et d’énigmatiques écuelles sont confectionnées en série. Ces céramiques grossières en forme d’entonnoir sont probablement les récipients les plus caractéristiques de l’époque d’Uruk. Pour les fabriquer, une galette d’argile à gros dégraissant végétal était enfoncée dans un moule ou dans une cavité creusée dans le sol et préalablement sablée. Le bord de ces pots était ensuite égalisé au doigt de manière à obtenir un biseau. La plupart des sites urukéens ont livré ce type de pots, parfois empilés par dizaine à un même endroit. S’il ne fait aucun doute qu’il s’agit de récipients jetables, comparables à nos assiettes en carton, en revanche, il est difficile de se prononcer sur leur fonction exacte. Certains pensent qu’ils servaient à distribuer des rations en guise de salaire aux travailleurs employés par l’administration des cités mais la grande diversité de leur capacité rend cette hypothèse fort discutable. D’autres suggèrent qu’ils étaient utilisés comme vaisselle d’appoint lors de fêtes ou de banquets pour servir les convives. V.V.

↑ , Ecuelle à bords biseautés:

Ecuelle à bords biseautés :

collectionName : Proche Orient
inventoryNb : O.04079
objectName :
objectTitle : Ecuelle à bords biseautés
objectCulture : syrien
geography :
dating : 3900 BC - 2950 BC
material :
technique :
dimensions : Hauteur: 9,5 cm
legalRightOwner : Musées royaux d'art et d'histoire/Koninklijke Musea voor Kunst en Geschiedenis

objectDescription : Parmi les nombreuses poteries complètes ou fragmentaires retrouvées en place dans les bâtiments de Tell Kannas, toutes les formes classiques du répertoire céramique urukéen sont représentées. À l’époque d’Uruk, la céramique, auparavant montée à la main, est réalisée au tour et le décor peint des époques précédentes est abandonné au profit d’un décor gravé ou pastillé. Les récipients utilitaires ou de luxe sont à présent produits en masse pour satisfaire la demande d’une population urbaine toujours croissante et d’énigmatiques écuelles sont confectionnées en série. Ces céramiques grossières en forme d’entonnoir sont probablement les récipients les plus caractéristiques de l’époque d’Uruk. Pour les fabriquer, une galette d’argile à gros dégraissant végétal était enfoncée dans un moule ou dans une cavité creusée dans le sol et préalablement sablée. Le bord de ces pots était ensuite égalisé au doigt de manière à obtenir un biseau. La plupart des sites urukéens ont livré ce type de pots, parfois empilés par dizaine à un même endroit. S’il ne fait aucun doute qu’il s’agit de récipients jetables, comparables à nos assiettes en carton, en revanche, il est difficile de se prononcer sur leur fonction exacte. Certains pensent qu’ils servaient à distribuer des rations en guise de salaire aux travailleurs employés par l’administration des cités mais la grande diversité de leur capacité rend cette hypothèse fort discutable. D’autres suggèrent qu’ils étaient utilisés comme vaisselle d’appoint lors de fêtes ou de banquets pour servir les convives. V.V.

↑ , Ecuelle à bords biseautés:

Ecuelle à bords biseautés :

collectionName : Proche Orient
inventoryNb : O.04080
objectName :
objectTitle : Ecuelle à bords biseautés
objectCulture : syrien
geography :
dating : 3900 BC - 2950 BC
material :
technique :
dimensions : Hauteur: 9,5 cm
legalRightOwner : Musées royaux d'art et d'histoire/Koninklijke Musea voor Kunst en Geschiedenis

objectDescription : Parmi les nombreuses poteries complètes ou fragmentaires retrouvées en place dans les bâtiments de Tell Kannas, toutes les formes classiques du répertoire céramique urukéen sont représentées. À l’époque d’Uruk, la céramique, auparavant montée à la main, est réalisée au tour et le décor peint des époques précédentes est abandonné au profit d’un décor gravé ou pastillé. Les récipients utilitaires ou de luxe sont à présent produits en masse pour satisfaire la demande d’une population urbaine toujours croissante et d’énigmatiques écuelles sont confectionnées en série. Ces céramiques grossières en forme d’entonnoir sont probablement les récipients les plus caractéristiques de l’époque d’Uruk. Pour les fabriquer, une galette d’argile à gros dégraissant végétal était enfoncée dans un moule ou dans une cavité creusée dans le sol et préalablement sablée. Le bord de ces pots était ensuite égalisé au doigt de manière à obtenir un biseau. La plupart des sites urukéens ont livré ce type de pots, parfois empilés par dizaine à un même endroit. S’il ne fait aucun doute qu’il s’agit de récipients jetables, comparables à nos assiettes en carton, en revanche, il est difficile de se prononcer sur leur fonction exacte. Certains pensent qu’ils servaient à distribuer des rations en guise de salaire aux travailleurs employés par l’administration des cités mais la grande diversité de leur capacité rend cette hypothèse fort discutable. D’autres suggèrent qu’ils étaient utilisés comme vaisselle d’appoint lors de fêtes ou de banquets pour servir les convives. V.V.

↑ , Ecuelle à bords biseautés:

Ecuelle à bords biseautés :

collectionName : Proche Orient
inventoryNb : O.04086
objectName :
objectTitle : Ecuelle à bords biseautés
objectCulture : syrien
geography :
dating : 3900 BC - 2950 BC
material :
technique :
dimensions : Hauteur: 9 cm
legalRightOwner : Musées royaux d'art et d'histoire/Koninklijke Musea voor Kunst en Geschiedenis

objectDescription : Parmi les nombreuses poteries complètes ou fragmentaires retrouvées en place dans les bâtiments de Tell Kannas, toutes les formes classiques du répertoire céramique urukéen sont représentées. À l’époque d’Uruk, la céramique, auparavant montée à la main, est réalisée au tour et le décor peint des époques précédentes est abandonné au profit d’un décor gravé ou pastillé. Les récipients utilitaires ou de luxe sont à présent produits en masse pour satisfaire la demande d’une population urbaine toujours croissante et d’énigmatiques écuelles sont confectionnées en série. Ces céramiques grossières en forme d’entonnoir sont probablement les récipients les plus caractéristiques de l’époque d’Uruk. Pour les fabriquer, une galette d’argile à gros dégraissant végétal était enfoncée dans un moule ou dans une cavité creusée dans le sol et préalablement sablée. Le bord de ces pots était ensuite égalisé au doigt de manière à obtenir un biseau. La plupart des sites urukéens ont livré ce type de pots, parfois empilés par dizaine à un même endroit. S’il ne fait aucun doute qu’il s’agit de récipients jetables, comparables à nos assiettes en carton, en revanche, il est difficile de se prononcer sur leur fonction exacte. Certains pensent qu’ils servaient à distribuer des rations en guise de salaire aux travailleurs employés par l’administration des cités mais la grande diversité de leur capacité rend cette hypothèse fort discutable. D’autres suggèrent qu’ils étaient utilisés comme vaisselle d’appoint lors de fêtes ou de banquets pour servir les convives. V.V.

↑ , Ecuelle à bords biseautés:

Ecuelle à bords biseautés :

collectionName : Proche Orient
inventoryNb : O.04123
objectName :
objectTitle : Ecuelle à bords biseautés
objectCulture : syrien
geography :
dating : 3900 BC - 2950 BC
material :
technique :
dimensions : Hauteur: 10,3 cm
legalRightOwner : Musées royaux d'art et d'histoire/Koninklijke Musea voor Kunst en Geschiedenis

objectDescription : Parmi les nombreuses poteries complètes ou fragmentaires retrouvées en place dans les bâtiments de Tell Kannas, toutes les formes classiques du répertoire céramique urukéen sont représentées. À l’époque d’Uruk, la céramique, auparavant montée à la main, est réalisée au tour et le décor peint des époques précédentes est abandonné au profit d’un décor gravé ou pastillé. Les récipients utilitaires ou de luxe sont à présent produits en masse pour satisfaire la demande d’une population urbaine toujours croissante et d’énigmatiques écuelles sont confectionnées en série. Ces céramiques grossières en forme d’entonnoir sont probablement les récipients les plus caractéristiques de l’époque d’Uruk. Pour les fabriquer, une galette d’argile à gros dégraissant végétal était enfoncée dans un moule ou dans une cavité creusée dans le sol et préalablement sablée. Le bord de ces pots était ensuite égalisé au doigt de manière à obtenir un biseau. La plupart des sites urukéens ont livré ce type de pots, parfois empilés par dizaine à un même endroit. S’il ne fait aucun doute qu’il s’agit de récipients jetables, comparables à nos assiettes en carton, en revanche, il est difficile de se prononcer sur leur fonction exacte. Certains pensent qu’ils servaient à distribuer des rations en guise de salaire aux travailleurs employés par l’administration des cités mais la grande diversité de leur capacité rend cette hypothèse fort discutable. D’autres suggèrent qu’ils étaient utilisés comme vaisselle d’appoint lors de fêtes ou de banquets pour servir les convives. V.V.

↑ , Jarre fuselée à bec verseur:

Jarre fuselée à bec verseur :

collectionName : Proche Orient
inventoryNb : O.04164
objectName :
objectTitle : Jarre fuselée à bec verseur
objectCulture : syrien
geography :
dating : 3900 BC - 2950 BC
material :
technique :
dimensions : Hauteur: 40 cm
legalRightOwner : Musées royaux d'art et d'histoire/Koninklijke Musea voor Kunst en Geschiedenis

objectDescription : Fuselée. Flacon ovoïde élancé à fond plat, à goulot épaissi sur la face extérieure et à bec verseur rapporté, monté au tour dans une argile commune bien cuite à engobe lissé. Les jarres à bec courbe, caractéristiques de la période d’Uruk, font partie des céramiques d’usage courant. Elles présentent bien souvent une taille standard de 55-60 cm, mais il en existe de plus petites et de plus grandes. Compte tenu de l’étroitesse de la base des plus grandes d’entre elles, tout porte à croire que ces jarres étaient empilées contre les murs des pièces dans lesquelles elles étaient rangées. Ces jarres sont spécialement conçues pour contenir des liquides, probablement de l’eau potable. Non seulement leur forme fuselée et leur bec verseur courbe facilitent le service mais, en plus, la porosité de leur paroi, grâce à l’évaporation, maintient leur contenu au frais. Ce procédé est encore utilisé de nos jours chez les populations qui n’ont pas d’autres moyens de refroidissement à leur disposition. V.V.

↑ , :

:

collectionName : Proche Orient
inventoryNb : O.04464
objectName :
objectTitle :
objectCulture : Levant méridional
geography :
dating : 3200 BC (Incertaine)
material :
technique :
dimensions : Hauteur: 27,5 cm
legalRightOwner : Musées royaux d'art et d'histoire/Koninklijke Musea voor Kunst en Geschiedenis

objectDescription : Bab edh-Dhra’ est situé du côté jordanien de la mer Morte, à l’est de Ghor el Mzra’ et de la presqu’île de Lisan, à une altitude de 240 m sous le niveau de la mer. Il comprend, entre autres, une ville fortifiée qui se trouve sur la rive méridionale du Wadi Kerak et une vaste nécropole implantée au sud-ouest de l’établissement urbain. Ces deux emplacements sont datés du Bronze ancien. La tombe A 79 se composait de quatre chambres en puits contenant, outre des restes de squelettes, de nombreuses offrandes funéraires constituées essentiellement de vases en terre cuite. La céramique de cette période est toujours façonnée à la main et, parfois, achevée par une fine couche d’engobe de couleur rouge non poli. Elle se caractérise par diverses formes fonctionnelles, parmi lesquelles de profondes écuelles de format moyen à grand, des aiguières avec ou sans anses verticales, des jarres à provisions à anses en saillie, des cruchons miniatures et de petits plats peu profonds. Les coupes sont souvent pourvues de petites anses horizontales ou de petits boutons de terre qui étaient apposés à distance régulière sous le col du vase. Ces pièces pouvaient être décorées d’une ou de deux lignes de points imprimés par l’artisan dans l’argile encore humide, probablement à l’aide d’un morceau de roseau. Ce type d’ornementation apparaît également sur des cruches et est considéré comme typique de la céramique de Bab edh-Dhra’. Parfois, les coupes présentent un fond arrondi, contrairement aux cruches servant de conteneurs à liquides et dont les fonds étaient toujours aplanis pour stabiliser le récipient. Afin de faciliter la préhension des cruches et service ou de simplifier le puisage des liquides, elles étaient pourvues d’anses verticales. Sur la panse d’autres vases, c’étaient des anses horizontales en saillie qui étaient fixées. Pour améliorer la qualité de l’argile utilisée pour réaliser les récipients, les potiers ajoutaient du dégraissant dans la masse de terre. Il pouvait s’agir de sable, de quartz, de poussière de calcaire ou de fins cailloux. I.M.S.

↑ , Cruche:

Cruche :

collectionName : Proche Orient
inventoryNb : O.04466
objectName :
objectTitle : Cruche
objectCulture : Levant méridional
geography :
dating : ca. 3200 BC
material :
technique :
dimensions : Hauteur: 22,5 cm
legalRightOwner : Musées royaux d'art et d'histoire/Koninklijke Musea voor Kunst en Geschiedenis

objectDescription : Bab edh-Dhra’ est situé du côté jordanien de la mer Morte, à l’est de Ghor el Mzra’ et de la presqu’île de Lisan, à une altitude de 240 m sous le niveau de la mer. Il comprend, entre autres, une ville fortifiée qui se trouve sur la rive méridionale du Wadi Kerak et une vaste nécropole implantée au sud-ouest de l’établissement urbain. Ces deux emplacements sont datés du Bronze ancien. La tombe A 79 se composait de quatre chambres en puits contenant, outre des restes de squelettes, de nombreuses offrandes funéraires constituées essentiellement de vases en terre cuite. La céramique de cette période est toujours façonnée à la main et, parfois, achevée par une fine couche d’engobe de couleur rouge non poli. Elle se caractérise par diverses formes fonctionnelles, parmi lesquelles de profondes écuelles de format moyen à grand, des aiguières avec ou sans anses verticales, des jarres à provisions à anses en saillie, des cruchons miniatures et de petits plats peu profonds. Les coupes sont souvent pourvues de petites anses horizontales ou de petits boutons de terre qui étaient apposés à distance régulière sous le col du vase. Ces pièces pouvaient être décorées d’une ou de deux lignes de points imprimés par l’artisan dans l’argile encore humide, probablement à l’aide d’un morceau de roseau. Ce type d’ornementation apparaît également sur des cruches et est considéré comme typique de la céramique de Bab edh-Dhra’. Parfois, les coupes présentent un fond arrondi, contrairement aux cruches servant de conteneurs à liquides et dont les fonds étaient toujours aplanis pour stabiliser le récipient. Afin de faciliter la préhension des cruches et service ou de simplifier le puisage des liquides, elles étaient pourvues d’anses verticales. Sur la panse d’autres vases, c’étaient des anses horizontales en saillie qui étaient fixées. Pour améliorer la qualité de l’argile utilisée pour réaliser les récipients, les potiers ajoutaient du dégraissant dans la masse de terre. Il pouvait s’agir de sable, de quartz, de poussière de calcaire ou de fins cailloux. I.M.S.

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collectionName : Proche Orient
inventoryNb : O.04470
objectName :
objectTitle :
objectCulture : Levant méridional
geography :
dating : ca. 3200 BC
material :
technique :
dimensions : Hauteur: 20,8 cm
legalRightOwner : Musées royaux d'art et d'histoire/Koninklijke Musea voor Kunst en Geschiedenis

objectDescription : Bab edh-Dhra’ est situé du côté jordanien de la mer Morte, à l’est de Ghor el Mzra’ et de la presqu’île de Lisan, à une altitude de 240 m sous le niveau de la mer. Il comprend, entre autres, une ville fortifiée qui se trouve sur la rive méridionale du Wadi Kerak et une vaste nécropole implantée au sud-ouest de l’établissement urbain. Ces deux emplacements sont datés du Bronze ancien. La tombe A 79 se composait de quatre chambres en puits contenant, outre des restes de squelettes, de nombreuses offrandes funéraires constituées essentiellement de vases en terre cuite. La céramique de cette période est toujours façonnée à la main et, parfois, achevée par une fine couche d’engobe de couleur rouge non poli. Elle se caractérise par diverses formes fonctionnelles, parmi lesquelles de profondes écuelles de format moyen à grand, des aiguières avec ou sans anses verticales, des jarres à provisions à anses en saillie, des cruchons miniatures et de petits plats peu profonds. Les coupes sont souvent pourvues de petites anses horizontales ou de petits boutons de terre qui étaient apposés à distance régulière sous le col du vase. Ces pièces pouvaient être décorées d’une ou de deux lignes de points imprimés par l’artisan dans l’argile encore humide, probablement à l’aide d’un morceau de roseau. Ce type d’ornementation apparaît également sur des cruches et est considéré comme typique de la céramique de Bab edh-Dhra’. Parfois, les coupes présentent un fond arrondi, contrairement aux cruches servant de conteneurs à liquides et dont les fonds étaient toujours aplanis pour stabiliser le récipient. Afin de faciliter la préhension des cruches et service ou de simplifier le puisage des liquides, elles étaient pourvues d’anses verticales. Sur la panse d’autres vases, c’étaient des anses horizontales en saillie qui étaient fixées. Pour améliorer la qualité de l’argile utilisée pour réaliser les récipients, les potiers ajoutaient du dégraissant dans la masse de terre. Il pouvait s’agir de sable, de quartz, de poussière de calcaire ou de fins cailloux. I.M.S.

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collectionName : Proche Orient
inventoryNb : O.04473
objectName :
objectTitle :
objectCulture : Levant méridional
geography :
dating : ca. 3200 BC
material :
technique :
dimensions : Hauteur: 6,5 cm
legalRightOwner : Musées royaux d'art et d'histoire/Koninklijke Musea voor Kunst en Geschiedenis

objectDescription : Bab edh-Dhra’ est situé du côté jordanien de la mer Morte, à l’est de Ghor el Mzra’ et de la presqu’île de Lisan, à une altitude de 240 m sous le niveau de la mer. Il comprend, entre autres, une ville fortifiée qui se trouve sur la rive méridionale du Wadi Kerak et une vaste nécropole implantée au sud-ouest de l’établissement urbain. Ces deux emplacements sont datés du Bronze ancien. La tombe A 79 se composait de quatre chambres en puits contenant, outre des restes de squelettes, de nombreuses offrandes funéraires constituées essentiellement de vases en terre cuite. La céramique de cette période est toujours façonnée à la main et, parfois, achevée par une fine couche d’engobe de couleur rouge non poli. Elle se caractérise par diverses formes fonctionnelles, parmi lesquelles de profondes écuelles de format moyen à grand, des aiguières avec ou sans anses verticales, des jarres à provisions à anses en saillie, des cruchons miniatures et de petits plats peu profonds. Les coupes sont souvent pourvues de petites anses horizontales ou de petits boutons de terre qui étaient apposés à distance régulière sous le col du vase. Ces pièces pouvaient être décorées d’une ou de deux lignes de points imprimés par l’artisan dans l’argile encore humide, probablement à l’aide d’un morceau de roseau. Ce type d’ornementation apparaît également sur des cruches et est considéré comme typique de la céramique de Bab edh-Dhra’. Parfois, les coupes présentent un fond arrondi, contrairement aux cruches servant de conteneurs à liquides et dont les fonds étaient toujours aplanis pour stabiliser le récipient. Afin de faciliter la préhension des cruches et service ou de simplifier le puisage des liquides, elles étaient pourvues d’anses verticales. Sur la panse d’autres vases, c’étaient des anses horizontales en saillie qui étaient fixées. Pour améliorer la qualité de l’argile utilisée pour réaliser les récipients, les potiers ajoutaient du dégraissant dans la masse de terre. Il pouvait s’agir de sable, de quartz, de poussière de calcaire ou de fins cailloux. I.M.S.

↑ , Cruche:

Cruche :

collectionName : Proche Orient
inventoryNb : O.04482
objectName :
objectTitle : Cruche
objectCulture : Levant méridional
geography :
dating : ca. 3200 BC
material :
technique :
dimensions : Hauteur: 15,3 cm
legalRightOwner : Musées royaux d'art et d'histoire/Koninklijke Musea voor Kunst en Geschiedenis

objectDescription : Bab edh-Dhra’ est situé du côté jordanien de la mer Morte, à l’est de Ghor el Mzra’ et de la presqu’île de Lisan, à une altitude de 240 m sous le niveau de la mer. Il comprend, entre autres, une ville fortifiée qui se trouve sur la rive méridionale du Wadi Kerak et une vaste nécropole implantée au sud-ouest de l’établissement urbain. Ces deux emplacements sont datés du Bronze ancien. La tombe A 79 se composait de quatre chambres en puits contenant, outre des restes de squelettes, de nombreuses offrandes funéraires constituées essentiellement de vases en terre cuite. La céramique de cette période est toujours façonnée à la main et, parfois, achevée par une fine couche d’engobe de couleur rouge non poli. Elle se caractérise par diverses formes fonctionnelles, parmi lesquelles de profondes écuelles de format moyen à grand, des aiguières avec ou sans anses verticales, des jarres à provisions à anses en saillie, des cruchons miniatures et de petits plats peu profonds. Les coupes sont souvent pourvues de petites anses horizontales ou de petits boutons de terre qui étaient apposés à distance régulière sous le col du vase. Ces pièces pouvaient être décorées d’une ou de deux lignes de points imprimés par l’artisan dans l’argile encore humide, probablement à l’aide d’un morceau de roseau. Ce type d’ornementation apparaît également sur des cruches et est considéré comme typique de la céramique de Bab edh-Dhra’. Parfois, les coupes présentent un fond arrondi, contrairement aux cruches servant de conteneurs à liquides et dont les fonds étaient toujours aplanis pour stabiliser le récipient. Afin de faciliter la préhension des cruches et service ou de simplifier le puisage des liquides, elles étaient pourvues d’anses verticales. Sur la panse d’autres vases, c’étaient des anses horizontales en saillie qui étaient fixées. Pour améliorer la qualité de l’argile utilisée pour réaliser les récipients, les potiers ajoutaient du dégraissant dans la masse de terre. Il pouvait s’agir de sable, de quartz, de poussière de calcaire ou de fins cailloux. I.M.S.

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collectionName : Proche Orient
inventoryNb : O.04487
objectName :
objectTitle :
objectCulture : Levant méridional
geography :
dating : ca. 3200 BC
material :
technique :
dimensions : Hauteur: 15,2 cm
legalRightOwner : Musées royaux d'art et d'histoire/Koninklijke Musea voor Kunst en Geschiedenis

objectDescription : Bab edh-Dhra’ est situé du côté jordanien de la mer Morte, à l’est de Ghor el Mzra’ et de la presqu’île de Lisan, à une altitude de 240 m sous le niveau de la mer. Il comprend, entre autres, une ville fortifiée qui se trouve sur la rive méridionale du Wadi Kerak et une vaste nécropole implantée au sud-ouest de l’établissement urbain. Ces deux emplacements sont datés du Bronze ancien. La tombe A 79 se composait de quatre chambres en puits contenant, outre des restes de squelettes, de nombreuses offrandes funéraires constituées essentiellement de vases en terre cuite. La céramique de cette période est toujours façonnée à la main et, parfois, achevée par une fine couche d’engobe de couleur rouge non poli. Elle se caractérise par diverses formes fonctionnelles, parmi lesquelles de profondes écuelles de format moyen à grand, des aiguières avec ou sans anses verticales, des jarres à provisions à anses en saillie, des cruchons miniatures et de petits plats peu profonds. Les coupes sont souvent pourvues de petites anses horizontales ou de petits boutons de terre qui étaient apposés à distance régulière sous le col du vase. Ces pièces pouvaient être décorées d’une ou de deux lignes de points imprimés par l’artisan dans l’argile encore humide, probablement à l’aide d’un morceau de roseau. Ce type d’ornementation apparaît également sur des cruches et est considéré comme typique de la céramique de Bab edh-Dhra’. Parfois, les coupes présentent un fond arrondi, contrairement aux cruches servant de conteneurs à liquides et dont les fonds étaient toujours aplanis pour stabiliser le récipient. Afin de faciliter la préhension des cruches et service ou de simplifier le puisage des liquides, elles étaient pourvues d’anses verticales. Sur la panse d’autres vases, c’étaient des anses horizontales en saillie qui étaient fixées. Pour améliorer la qualité de l’argile utilisée pour réaliser les récipients, les potiers ajoutaient du dégraissant dans la masse de terre. Il pouvait s’agir de sable, de quartz, de poussière de calcaire ou de fins cailloux. I.M.S.

↑ , Cruche:

Cruche :

collectionName : Proche Orient
inventoryNb : O.04491
objectName :
objectTitle : Cruche
objectCulture : Levant méridional
geography :
dating : ca. 3200 BC
material :
technique :
dimensions : Hauteur: 12 cm
legalRightOwner : Musées royaux d'art et d'histoire/Koninklijke Musea voor Kunst en Geschiedenis

objectDescription : Bab edh-Dhra’ est situé du côté jordanien de la mer Morte, à l’est de Ghor el Mzra’ et de la presqu’île de Lisan, à une altitude de 240 m sous le niveau de la mer. Il comprend, entre autres, une ville fortifiée qui se trouve sur la rive méridionale du Wadi Kerak et une vaste nécropole implantée au sud-ouest de l’établissement urbain. Ces deux emplacements sont datés du Bronze ancien. La tombe A 79 se composait de quatre chambres en puits contenant, outre des restes de squelettes, de nombreuses offrandes funéraires constituées essentiellement de vases en terre cuite. La céramique de cette période est toujours façonnée à la main et, parfois, achevée par une fine couche d’engobe de couleur rouge non poli. Elle se caractérise par diverses formes fonctionnelles, parmi lesquelles de profondes écuelles de format moyen à grand, des aiguières avec ou sans anses verticales, des jarres à provisions à anses en saillie, des cruchons miniatures et de petits plats peu profonds. Les coupes sont souvent pourvues de petites anses horizontales ou de petits boutons de terre qui étaient apposés à distance régulière sous le col du vase. Ces pièces pouvaient être décorées d’une ou de deux lignes de points imprimés par l’artisan dans l’argile encore humide, probablement à l’aide d’un morceau de roseau. Ce type d’ornementation apparaît également sur des cruches et est considéré comme typique de la céramique de Bab edh-Dhra’. Parfois, les coupes présentent un fond arrondi, contrairement aux cruches servant de conteneurs à liquides et dont les fonds étaient toujours aplanis pour stabiliser le récipient. Afin de faciliter la préhension des cruches et service ou de simplifier le puisage des liquides, elles étaient pourvues d’anses verticales. Sur la panse d’autres vases, c’étaient des anses horizontales en saillie qui étaient fixées. Pour améliorer la qualité de l’argile utilisée pour réaliser les récipients, les potiers ajoutaient du dégraissant dans la masse de terre. Il pouvait s’agir de sable, de quartz, de poussière de calcaire ou de fins cailloux. I.M.S.

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collectionName : Proche Orient
inventoryNb : O.04493
objectName :
objectTitle :
objectCulture : Levant méridional
geography :
dating : ca. 3200 BC
material :
technique :
dimensions : Hauteur: 20 cm
legalRightOwner : Musées royaux d'art et d'histoire/Koninklijke Musea voor Kunst en Geschiedenis

objectDescription : Bab edh-Dhra’ est situé du côté jordanien de la mer Morte, à l’est de Ghor el Mzra’ et de la presqu’île de Lisan, à une altitude de 240 m sous le niveau de la mer. Il comprend, entre autres, une ville fortifiée qui se trouve sur la rive méridionale du Wadi Kerak et une vaste nécropole implantée au sud-ouest de l’établissement urbain. Ces deux emplacements sont datés du Bronze ancien. La tombe A 79 se composait de quatre chambres en puits contenant, outre des restes de squelettes, de nombreuses offrandes funéraires constituées essentiellement de vases en terre cuite. La céramique de cette période est toujours façonnée à la main et, parfois, achevée par une fine couche d’engobe de couleur rouge non poli. Elle se caractérise par diverses formes fonctionnelles, parmi lesquelles de profondes écuelles de format moyen à grand, des aiguières avec ou sans anses verticales, des jarres à provisions à anses en saillie, des cruchons miniatures et de petits plats peu profonds. Les coupes sont souvent pourvues de petites anses horizontales ou de petits boutons de terre qui étaient apposés à distance régulière sous le col du vase. Ces pièces pouvaient être décorées d’une ou de deux lignes de points imprimés par l’artisan dans l’argile encore humide, probablement à l’aide d’un morceau de roseau. Ce type d’ornementation apparaît également sur des cruches et est considéré comme typique de la céramique de Bab edh-Dhra’. Parfois, les coupes présentent un fond arrondi, contrairement aux cruches servant de conteneurs à liquides et dont les fonds étaient toujours aplanis pour stabiliser le récipient. Afin de faciliter la préhension des cruches et service ou de simplifier le puisage des liquides, elles étaient pourvues d’anses verticales. Sur la panse d’autres vases, c’étaient des anses horizontales en saillie qui étaient fixées. Pour améliorer la qualité de l’argile utilisée pour réaliser les récipients, les potiers ajoutaient du dégraissant dans la masse de terre. Il pouvait s’agir de sable, de quartz, de poussière de calcaire ou de fins cailloux. I.M.S.

↑ , Cruche:

Cruche :

collectionName : Proche Orient
inventoryNb : O.04498
objectName :
objectTitle : Cruche
objectCulture : Levant méridional
geography :
dating : ca. 3200 BC
material :
technique :
dimensions : Hauteur: 9,2 cm
legalRightOwner : Musées royaux d'art et d'histoire/Koninklijke Musea voor Kunst en Geschiedenis

objectDescription : Bab edh-Dhra’ est situé du côté jordanien de la mer Morte, à l’est de Ghor el Mzra’ et de la presqu’île de Lisan, à une altitude de 240 m sous le niveau de la mer. Il comprend, entre autres, une ville fortifiée qui se trouve sur la rive méridionale du Wadi Kerak et une vaste nécropole implantée au sud-ouest de l’établissement urbain. Ces deux emplacements sont datés du Bronze ancien. La tombe A 79 se composait de quatre chambres en puits contenant, outre des restes de squelettes, de nombreuses offrandes funéraires constituées essentiellement de vases en terre cuite. La céramique de cette période est toujours façonnée à la main et, parfois, achevée par une fine couche d’engobe de couleur rouge non poli. Elle se caractérise par diverses formes fonctionnelles, parmi lesquelles de profondes écuelles de format moyen à grand, des aiguières avec ou sans anses verticales, des jarres à provisions à anses en saillie, des cruchons miniatures et de petits plats peu profonds. Les coupes sont souvent pourvues de petites anses horizontales ou de petits boutons de terre qui étaient apposés à distance régulière sous le col du vase. Ces pièces pouvaient être décorées d’une ou de deux lignes de points imprimés par l’artisan dans l’argile encore humide, probablement à l’aide d’un morceau de roseau. Ce type d’ornementation apparaît également sur des cruches et est considéré comme typique de la céramique de Bab edh-Dhra’. Parfois, les coupes présentent un fond arrondi, contrairement aux cruches servant de conteneurs à liquides et dont les fonds étaient toujours aplanis pour stabiliser le récipient. Afin de faciliter la préhension des cruches et service ou de simplifier le puisage des liquides, elles étaient pourvues d’anses verticales. Sur la panse d’autres vases, c’étaient des anses horizontales en saillie qui étaient fixées. Pour améliorer la qualité de l’argile utilisée pour réaliser les récipients, les potiers ajoutaient du dégraissant dans la masse de terre. Il pouvait s’agir de sable, de quartz, de poussière de calcaire ou de fins cailloux. I.M.S.

↑ , Masque miniature d'un Dieu barbu:

Masque miniature d'un Dieu barbu :

collectionName : Proche Orient
inventoryNb : O.04570
objectName :
objectTitle : Masque miniature d'un Dieu barbu
objectCulture : Phénicienne
geography :
dating : 450 BC - 400 BC
material :
technique :
dimensions : Hauteur: 10,1 cm, Largeur: 7 cm
legalRightOwner : Musées royaux d'art et d'histoire/Koninklijke Musea voor Kunst en Geschiedenis

objectDescription : Ce petit masque aux yeux perforés représente la tête d’un dieu barbu, à moustache tombante, présentant deux rangées de boucles et un pampre dans les cheveux. Tous ces éléments rappellent fortement la physionomie du joyeux dieu grec Dionysos, associé au vin et à des orgies. Bien avant la période hellénistique, Dionysos et les Satyres de sa suite furent représentés, coupes à boire à la main, dans la glyptique phénicienne. Ba’al Markod, dieu de la danse, était probablement son pendant dans l’art phénicien où de petits masques de ce genre ont été trouvés dans les sanctuaires d’Amrit et de Bostan ech-Sheikh, près de Sidon. Une perforation pratiquée dans la partie supérieure de la masse de terre, à l’arrière, indique que ces masques décoraient –durant certains rituels– les murs de temples ou étaient suspendus à des branches d’arbre pendant que se déroulaient des pratiques cultuelles en plein air. E.G.

↑ , Amulettes phéniciennes et puniques:

Amulettes phéniciennes et puniques :

collectionName : Proche Orient
inventoryNb : O.04574
objectName :
objectTitle : Amulettes phéniciennes et puniques
objectCulture : Phénicienne
geography :
dating : 650 BC - 301 BC
material :
technique :
dimensions : Hauteur: 2,2 cm, Largeur: 1 cm
legalRightOwner : Musées royaux d'art et d'histoire/Koninklijke Musea voor Kunst en Geschiedenis

objectDescription : Thoëris Ces trois colliers sont un assemblage récent d’amulettes phéniciennes et puniques alternant avec des perles égyptiennes. Ce que l’on appelle les amulettes « phénico-puniques » se répartissent en différents types dont seule une minorité se compose d’amulettes à motifs phéniciens et puniques (masques, le signe de Tanit, …). La préférence accordée aux sujets égyptiens, comme en témoigne l’art phénicien, se retrouve à nouveau dans les amulettes : la grande majorité se réfère à des prototypes égyptiens, de telle sorte qu’il est difficile de distinguer la production locale du matériel d’importation égyptien. Dans cette sélection des amulettes phéniciennes (cat. 514-515), les symboles d’abondance dominent (grappes de raisins, amulettes phalliques, tiges de papyrus), alternant avec quelques animaux divins et deux coquilles de Cauris décorées d’hiéroglyphes. L’aspect égyptisant présent dans l’art va être diffusé depuis la métropole, en suivant l’expansion phénicienne, dans toute la Méditerranée. Ainsi, la série d’amulettes puniques (cat. 516) témoigne-t-elle de la même préférence pour les symboles de puissance, de protection ou d’abondance, tels que des divinités (Ptah, Touéris, Isis et son enfant Horus), certains hiéroglyphes (l’oeil wdjat, la tige de papyrus) ou des animaux divins (le scarabée, le crocodile, le chat, le lion, le cobra royal). Le manque de matériel de comparaison en provenance de sites de la Méditerranée occidentale, peut, pour des exemplaires bien précis, indiquer une origine égyptienne et non punique (par exemple, le scarabée-amulette), tandis que d’autres amulettes sont des produits probablement locaux ou, éventuellement, d’importation phénicienne. V.B.

↑ , Déesse assise:

Déesse assise :

collectionName : Proche Orient
inventoryNb : O.04601
objectName :
objectTitle : Déesse assise
objectCulture : Phénicienne
geography :
dating : 800 BC - 701 BC
material :
technique :
dimensions : Hauteur: 11,6 cm, Largeur: 5,2 cm
legalRightOwner : Musées royaux d'art et d'histoire/Koninklijke Musea voor Kunst en Geschiedenis

objectDescription : Lors de fouilles effectuées à Tell Arqa, dans la plaine libanaise du Akkar, à Tell Kazel ainsi que dans le port voisin de Mintar, dans la partie syrienne de la même plaine, des figurines en terre cuite ont été trouvées dans des sanctuaires. Ces objets représentaient, entre autres, des déesses enceintes assises sur un trône. Il s’agit d’une production typiquement régionale qui n’a pas été reprise dans d’autres centres de la côte phénicienne. Similaires à celles retrouvées dans les sites susmentionnés, cette figurine porte une couronne élevée qui ressemble à la couronne blanche de Haute-Égypte et qui, déjà au début du 2e millénaire, fut reprise dans l’art des cités-états levantines comme étant réservée aux dieux et souverains. Cette couronne, nommée lebbadé, tient son nom de l’analogie avec les bonnets en feutre des Druzes. Le trône de la déesse, soutenu par trois pieds seulement, est d’un type archaïsant qui n’apparaît dans aucun site fouillé jusqu’à présent. Il s’agit, dès lors, probablement d’une trouvaille fortuite provenant d’un quatrième site encore inconnu de la plaine du Akkar. E.G.

↑ , Céramique zoomorphe:

Céramique zoomorphe :

collectionName : Proche Orient
inventoryNb : O.04644
objectName :
objectTitle : Céramique zoomorphe
objectCulture : syrien
geography :
dating : 1800 BC - 1600 BC
material :
technique :
dimensions : Hauteur: 8 cm
legalRightOwner : Musées royaux d'art et d'histoire/Koninklijke Musea voor Kunst en Geschiedenis

objectDescription : zoomorphe. Des récipients en forme de hérisson, probablement utilisés lors de cultes, sont attestés dans l’art préhistorique de Syrie (Bouqras) et ce motif iconographique est de temps à autre repris sous forme d’amulettes ou de vaisselle en terre cuite aux périodes plus récentes. Notre exemplaire est intéressant en raison de sa grande taille. Un petit vase décoré de deux rangées de têtes d’oiseau relève d’un type présent à Ebla, où il pouvait être combiné à la représentation d’une figure masculine ou féminine, dans ce dernier cas, probablement la déesse Ishtar. E.G.

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collectionName : Proche Orient
inventoryNb : O.04645
objectName :
objectTitle :
objectCulture : syrien
geography :
dating : 1800 BC - 1600 BC
material :
technique :
dimensions :
legalRightOwner : Musées royaux d'art et d'histoire/Koninklijke Musea voor Kunst en Geschiedenis

objectDescription : Un petit vase décoré de deux rangées de têtes d’oiseau relève d’un type présent à Ebla, où il pouvait être combiné à la représentation d’une figure masculine ou féminine, dans ce dernier cas, probablement la déesse Ishtar. E.G.

↑ , Modèle de meuble:

Modèle de meuble :

collectionName : Proche Orient
inventoryNb : O.04675
objectName :
objectTitle : Modèle de meuble
objectCulture : syrien
geography :
dating : 1850 BC - 1800 BC
material :
technique :
dimensions : Hauteur: 5,5 cm, Largeur: 6,3 cm
legalRightOwner : Musées royaux d'art et d'histoire/Koninklijke Musea voor Kunst en Geschiedenis

objectDescription : miniaturisée avec galets de pain, dix gallettes disposées autour d'un pain au centre. Les meubles miniatures étaient particulièrement prisés au cours de la fin de la période du Bronze moyen sur le territoire des royaumes d’Alep, d’Ebla et de Qatna. Sur la tablette d’une petite table tripode, un lointain précurseur d’un modèle phénicien, sont disposés de petits pains d’offrande plats, cuits sur la paroi de fours en terre. Deux bassins d’offrande, également tripodes, se caractérisent par un rebord rehaussé de têtes humaines, probablement des prêtres, tandis qu’une dernière miniature figure un lit. E.G.

↑ , Modèle de meuble:

Modèle de meuble :

collectionName : Proche Orient
inventoryNb : O.04676
objectName :
objectTitle : Modèle de meuble
objectCulture : syrien
geography :
dating : 1850 BC - 1800 BC
material :
technique :
dimensions : Hauteur: 8,1 cm, Largeur: 7,6 cm, Profondeur: 5 cm
legalRightOwner : Musées royaux d'art et d'histoire/Koninklijke Musea voor Kunst en Geschiedenis

objectDescription : miniaturisé ; Les meubles miniatures étaient particulièrement prisés au cours de la fin de la période du Bronze moyen sur le territoire des royaumes d’Alep, d’Ebla et de Qatna. Sur la tablette d’une petite table tripode, un lointain précurseur d’un modèle phénicien, sont disposés de petits pains d’offrande plats, cuits sur la paroi de fours en terre. Deux bassins d’offrande, également tripodes, se caractérisent par un rebord rehaussé de têtes humaines, probablement des prêtres, tandis qu’une dernière miniature figure un lit. E.G.

↑ , Modèle de meuble:

Modèle de meuble :

collectionName : Proche Orient
inventoryNb : O.04677
objectName :
objectTitle : Modèle de meuble
objectCulture : syrien
geography :
dating : 1850 BC - 1800 BC
material :
technique :
dimensions :
legalRightOwner : Musées royaux d'art et d'histoire/Koninklijke Musea voor Kunst en Geschiedenis

objectDescription : Les meubles miniatures étaient particulièrement prisés au cours de la fin de la période du Bronze moyen sur le territoire des royaumes d’Alep, d’Ebla et de Qatna. Sur la tablette d’une petite table tripode, un lointain précurseur d’un modèle phénicien, sont disposés de petits pains d’offrande plats, cuits sur la paroi de fours en terre. Deux tables d’offrande, également tripodes, se caractérisent par un rebord rehaussé de têtes humaines, probablement des prêtres, tandis qu’une dernière miniature figure un lit. E.G.

↑ , Modèle de meuble:

Modèle de meuble :

collectionName : Proche Orient
inventoryNb : O.04678
objectName :
objectTitle : Modèle de meuble
objectCulture : syrien
geography :
dating : 1850 BC - 1800 BC
material :
technique :
dimensions :
legalRightOwner : Musées royaux d'art et d'histoire/Koninklijke Musea voor Kunst en Geschiedenis

objectDescription : Les meubles miniatures étaient particulièrement prisés au cours de la fin de la période du Bronze moyen sur le territoire des royaumes d’Alep, d’Ebla et de Qatna. Sur la tablette d’une petite table tripode, un lointain précurseur d’un modèle phénicien, sont disposés de petits pains d’offrande plats, cuits sur la paroi de fours en terre. Deux bassins d’offrande, également tripodes, se caractérisent par un rebord rehaussé de têtes humaines, probablement des prêtres, tandis qu’une dernière miniature figure un lit. E.G.

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collectionName : Proche Orient
inventoryNb : O.04794
objectName :
objectTitle :
objectCulture : syrien
geography :
dating : 810 BC - 801 BC
material :
technique :
dimensions : Diamètre: 25,4 cm
legalRightOwner : Musées royaux d'art et d'histoire/Koninklijke Musea voor Kunst en Geschiedenis

objectDescription : Cet umbo de bouclier ou élément de harnachement est rehaussé d’un décor martelé en forme de tête de taureau (symbole du dieu de la tempête et de la lune), entouré de trois symboles astraux. Dans la première hypothèse, les petites perforations pratiquées sur le bord devaient servir à clouer l’umbo sur un bouclier de bois et, dans la deuxième, à coudre la pièce sur le cuir d’un harnais. Divers arguments tendent à désigner Zincirli, capitale de l’État araméen de Sam’al, comme lieu de provenance probable de cette pièce. La population de cette cité-état, située entre l’Amanus à l’ouest et le Kurd Dağ à l’est, se composait de semi-nomades araméens et d’un groupe urbanisé d’origine louvite. D’après l’inscription, le propriétaire, Tarko(n)day, appartenait à ce dernier groupe, ce qui est confirmé par son haut rang (commandant de la garde royale). Elle est rédigée en phénicien, une écriture qui, dès le règne du roi Kilamuwa (vers 840-810), était la lingua franca du commerce dans le nord de la Syrie et en Cilicie. E.G.

↑ , Tablette cunéiforme:

Tablette cunéiforme :

collectionName : Proche Orient
inventoryNb : O.04981
objectName :
objectTitle : Tablette cunéiforme
objectCulture : Mésopotamienne
geography :
dating : 539 BC - AD 226
material :
technique :
dimensions : Hauteur: 6,5 cm, Largeur: 5 cm
legalRightOwner : Musées royaux d'art et d'histoire/Koninklijke Musea voor Kunst en Geschiedenis

objectDescription : Contrat de prêt de 10 gur de grain. Datée de l'an 20 d'un roi non identifié, probablement d'époque perse ou postérieure.

↑ , Portrait de deux dames ; probablement une mère et sa fille:

Portrait de deux dames ; probablement une mère et sa fille :

collectionName : Photos historiques
inventoryNb : PH 0000875
objectName :
objectTitle : Portrait de deux dames ; probablement une mère et sa fille
objectCulture :
geography :
dating : Inconnue
material :
technique :
dimensions : Hauteur: 10,5 cm, Largeur: 6,5 cm
legalRightOwner : Musées royaux d'art et d'histoire/Koninklijke Musea voor Kunst en Geschiedenis

objectDescription : item has no descption

↑ , Plaque de lanterne magique : "quatre scènes" (probablement tirées de contes de fées):

Plaque de lanterne magique : "quatre scènes" (probablement tirées de contes de fées) :

collectionName : Photos historiques
inventoryNb : PH 0004070
objectName :
objectTitle : Plaque de lanterne magique : "quatre scènes" (probablement tirées de contes de fées)
objectCulture :
geography :
dating : Inconnue
material :
technique :
dimensions : Hauteur: 10 cm, Largeur: 30 cm
legalRightOwner : Musées royaux d'art et d'histoire/Koninklijke Musea voor Kunst en Geschiedenis

objectDescription : item has no descption

↑ , Chaise à porteurs:

Chaise à porteurs :

collectionName : Voitures hippomobiles
inventoryNb : TR.131. A.B.C.
objectName :
objectTitle : Chaise à porteurs
objectCulture :
geography :
dating :
material :
technique :
dimensions : Hauteur: 29,4 cm, Largeur: 20,2 cm
legalRightOwner : Musées royaux d'art et d'histoire/Koninklijke Musea voor Kunst en Geschiedenis

objectDescription : Trois dessins au trait noir représentant, pour moitié, des relevés plans de chaises et pour moitié, la chaise et sa décoration sculptée. Les trois feuillets portent dans le coin supérieur droit, respectivement, Tab.XIII (131.B), Tab.XII (131.A) et Tab.XVI (131.C). Il s'agit probablement de feuillets détachés d'un ouvrage.

↑ , Berline royale:

Berline royale :

collectionName : Voitures hippomobiles
inventoryNb : TR.1723
objectName :
objectTitle : Berline royale
objectCulture :
geography :
dating : AD 1980 - AD 2000
material :
technique :
dimensions : Hauteur: 26,5 cm, Largeur: 63 cm, Profondeur: 22 cm
legalRightOwner : Musées royaux d'art et d'histoire/Koninklijke Musea voor Kunst en Geschiedenis

objectDescription : Maquette à l'échelle 1/10e en bois verni; panneaux de brisement et de portière garnis de cuir brun; deux banquettes intérieures en vis-à-vis; suspension par moutons et soupentes; siège de cocher garni de velours; train à flèche. Il s'agit d'un modèle ancien, probablement du XVIIIe siècle.

↑ , :

:

collectionName : Voitures hippomobiles
inventoryNb : TR.186
objectName :
objectTitle :
objectCulture :
geography :
dating : AD 1830 - AD 1920
material :
technique :
dimensions : Hauteur: 47 cm, Profondeur: 16,5 cm
legalRightOwner : Musées royaux d'art et d'histoire/Koninklijke Musea voor Kunst en Geschiedenis

objectDescription : Lanterne à corps cylindrique en tôle fortement corrodée, surmontée d'une cheminée à chapiteau circulaire, l'une des vitres est fendue. Dans le culot, la bougie est maintenue contre le sommet de la bobèche par un ressort. Le manche et l'encadrement de la vitre sont probablement en laiton.

↑ , Pendentif:

Pendentif :

collectionName : Voitures hippomobiles
inventoryNb : TR.2106
objectName :
objectTitle : Pendentif
objectCulture :
geography :
dating : AD 1852 - AD 1870
material :
technique :
dimensions : Hauteur: 20 cm, Largeur: 5 cm
legalRightOwner : Musées royaux d'art et d'histoire/Koninklijke Musea voor Kunst en Geschiedenis

objectDescription : Pendentif en forme de larme orné d'une applique représentant l'aigle impériale ceinte de la légion d'honneur et surmontée de la couronne impériale, qui se fixe à la tétière. Il s'agit probablement du pendentif de l'une des brides des Cent-Gardes.

↑ , Pendentif:

Pendentif :

collectionName : Voitures hippomobiles
inventoryNb : TR.2472
objectName :
objectTitle : Pendentif
objectCulture :
geography :
dating :
material :
technique :
dimensions : Hauteur: 32 cm, Largeur: 9 cm
legalRightOwner : Musées royaux d'art et d'histoire/Koninklijke Musea voor Kunst en Geschiedenis

objectDescription : Il s'agit probablement d'un fragment de martingale à bifurcationn, marqué au croisement d'une applique en croissant de lune.

↑ , Boucles et applique:

Boucles et applique :

collectionName : Voitures hippomobiles
inventoryNb : TR.2496
objectName :
objectTitle : Boucles et applique
objectCulture :
geography :
dating : AD 1852 - AD 1870
material :
technique :
dimensions : Hauteur: 9 cm, Largeur: 3,5 cm
legalRightOwner : Musées royaux d'art et d'histoire/Koninklijke Musea voor Kunst en Geschiedenis

objectDescription : Boucle à la couronne impériale, passe ornée de feuilles, applique en forme d'enroulement végétal (provient probablement d'une bride).

↑ , Sabots pour médecine vétérinaire:

Sabots pour médecine vétérinaire :

collectionName : Voitures hippomobiles
inventoryNb : TR.289
objectName :
objectTitle : Sabots pour médecine vétérinaire
objectCulture :
geography :
dating : AD 1801 - AD 1900
material :
technique :
dimensions :
legalRightOwner : Musées royaux d'art et d'histoire/Koninklijke Musea voor Kunst en Geschiedenis

objectDescription : Deux sabots ferrés, coupés au ras de la jambe,surface cimentée et peinte en noir, probablement issus d'une école de maréchalerie où ils sont utilisés dans l'apprentissage du ferrage.

↑ , :

:

collectionName : Voitures hippomobiles
inventoryNb : TR.393
objectName :
objectTitle :
objectCulture :
geography :
dating :
material :
technique :
dimensions : Hauteur: 42 cm, Largeur: 55 cm
legalRightOwner : Musées royaux d'art et d'histoire/Koninklijke Musea voor Kunst en Geschiedenis

objectDescription : Panneau aux armes de la famille royale de Belgique qui servait probablement de modèle au carrossier Snutsel.

↑ , Fragment de soie:

Fragment de soie :

collectionName : Textile
inventoryNb : Tx.0466
objectName :
objectTitle : Fragment de soie
objectCulture :
geography :
dating : AD 1301 - AD 1400 (Incertaine)
material :
technique :
dimensions : Hauteur: 21,5 cm, Largeur: 13,5 cm
legalRightOwner : Musées royaux d'art et d'histoire/Koninklijke Musea voor Kunst en Geschiedenis

objectDescription : item has no descption

↑ , :

:

collectionName : Textile
inventoryNb : Tx.0467
objectName :
objectTitle :
objectCulture :
geography :
dating : AD 1301 - AD 1500
material :
technique :
dimensions : Hauteur: 24,5 cm, Largeur: 28,5 cm
legalRightOwner : Musées royaux d'art et d'histoire/Koninklijke Musea voor Kunst en Geschiedenis

objectDescription : item has no descption

↑ , Bande de soie:

Bande de soie :

collectionName : Textile
inventoryNb : Tx.0468
objectName :
objectTitle : Bande de soie
objectCulture :
geography :
dating : AD 1301 - AD 1500
material :
technique :
dimensions : Hauteur: 46 cm, Largeur: 9 cm
legalRightOwner : Musées royaux d'art et d'histoire/Koninklijke Musea voor Kunst en Geschiedenis

objectDescription : item has no descption

↑ , :

:

collectionName : Textile
inventoryNb : Tx.0469
objectName :
objectTitle :
objectCulture :
geography :
dating : AD 1301 - AD 1500
material :
technique :
dimensions : Hauteur: 21 cm, Largeur: 46,5 cm
legalRightOwner : Musées royaux d'art et d'histoire/Koninklijke Musea voor Kunst en Geschiedenis

objectDescription : item has no descption

↑ , Écran de table (carreau):

Écran de table (carreau) :

collectionName : Chine
inventoryNb : V.1539
objectName :
objectTitle : Écran de table (carreau)
objectCulture :
geography :
dating : AD 1701 - AD 1725
material :
technique :
dimensions :
legalRightOwner : Musées royaux d'art et d'histoire/Koninklijke Musea voor Kunst en Geschiedenis

objectDescription : Compte tenu des ouvertures pratiquées sur la tranche, ce carreau rectangulaire était probablement destiné à être encadré. Le décor présente l'animation d'une scène de rue.
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