éventuellement


↑ objectName, objectTitle:

objectTitle :

collectionName : collectionName
inventoryNb : inventoryNb
objectName : objectName
objectTitle : objectTitle
objectCulture : objectCulture
geography : geography
dating : dating
material : material
technique : technique
dimensions : dimensions
legalRightOwner : legalRightOwner

objectDescription : objectDescription

↑ , Bateau avec des figures d'oiseaux, probablement des faucons divins:

Bateau avec des figures d'oiseaux, probablement des faucons divins :

collectionName : Égypte
inventoryNb : E.07067
objectName :
objectTitle : Bateau avec des figures d'oiseaux, probablement des faucons divins
objectCulture : Égyptienne
geography :
dating : 4000 BC - 3000 BC
material :
technique :
dimensions : Hauteur: 15 cm
legalRightOwner : Musées royaux d'art et d'histoire/Koninklijke Musea voor Kunst en Geschiedenis

objectDescription : Cinq oiseaux figurent sur le pont de ce bateau en ivoire en forme de faucille. Quatre d'entre eux, probablement des faucons, regardent dans la même direction. Le dernier de la rangée est doté d'un cou plus allongé et semble être d'une autre espèce, peut-être un oiseau aquatique. Il est tourné dans l'autre sens, mais cela pourrait résulter d'une erreur de restauration. Il s'agit très probablement d'un vaisseau royal ou d'une barque divine. Nous pourrions éventuellement établir une relation entre cet objet et la barque divine, plus récente, de Sokar, appelée 'barque henou', dont le gaillard est aussi décoré d'une rangée d'oiseaux (faucons ou hirondelles).

↑ , La lessive:

La lessive :

collectionName : Japon
inventoryNb : JP.00595
objectName :
objectTitle : La lessive
objectCulture :
geography :
dating : ca. AD 1767 - AD 1768
material :
technique :
dimensions : Hauteur: 27,5 cm, Largeur: 21 cm
legalRightOwner : Musées royaux d'art et d'histoire/Koninklijke Musea voor Kunst en Geschiedenis

objectDescription : Pour beaucoup d'auteurs occidentaux, l'ukiyo-e a exalté l'acteur et la courtisane aux dépens d'autres catégories sociales. C'est oublier que la femme ordinaire, épouse ou fille de l'homme de la rue d'Edo, a très souvent servi de modèle pour les premiers albums d'estampes érotiques du XVIIè siècle, ainsi d'ailleurs que pour les estampes indépendantes coloriées des années 1720, cette époque où la gravure ukiyo-e atteignait un premier sommet de popularité. Pendant la période des benizuri-e, estampes imprimées en deux ou trois couleurs, les artistes comme leur public semblent s'être de plus en plus intéressés aux scènes de la vie quotidienne ; et de telles scènes devinrent, avec le développement de l'impression polychrome, l'un des sujets favoris de Harunobu. Dans le cas de cette estampe, il pourrait bien s'agir d'un véritable portrait ; le blason, 'mon', de feuilles de chêne croisées sur le vêtement de la femme à droite devait permettre à ses contemporains de l'identifier aisément. On a dû tirer de nombreuses épreuves de cette estampe dans les années 1760 : en effet, le contour des visages trahit l'usure du bois de trait. Mais aujourd'hui, à part celle-ci, on n'en connaît qu'une autre, qui est très décolorée ; elle est conservée au Musée Guimet. Format chûban. Gaufrage. Une servante rince de la lingerie blanche qu'une jolie bourgeoise s'apprête à étendre sur une perche en bambou. Il faut remarquer qu'il s'agit ici de simples bandes de tissu d'égale largeur. Grâce à la formule très simple du vêtement, c'est-à-dire sept pièces, toutes prises dans la longueur d'un seul et même rouleau, sans occasionner aucune chute, il suffisait de les découdre pour les laver et éventuellement de les faufiler en une longue bande de tissu pour un séchage sous tension. Dans le cas de cette estampe, il pourrait s'agir d'un véritable portrait. Le blason des feuilles de chêne croisées sur le vêtement de la jeune femme debout a pu en effet permettre à ses contemporains de l'identifier aisément.

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collectionName : Proche-Orient
inventoryNb : O.03411
objectName :
objectTitle :
objectCulture : Asie antérieure
geography :
dating : 1450 BC - 1200 BC
material :
technique :
dimensions : Hauteur: 10,3 cm, Largeur: 8,4 cm
legalRightOwner : Musées royaux d'art et d'histoire/Koninklijke Musea voor Kunst en Geschiedenis

objectDescription : Cette statuette représente un quadrupède bicéphale. Le bas de la patte arrière droite manque. Le corps de l’animal est gravé d’incisions. Les deux têtes sont coiffées de bonnets à deux cornes. Cet objet éventuellement cultuel est assez unique. Sa datation reste difficile à établir, notamment en raison du manque d’informations relatives au contexte archéologique. L’inspiration anatolienne semble évidente en raison de la bicéphalité de l’animal; celle-ci est récurrente à la période hittite impériale: évoquons le canard à deux têtes retrouvé à Hattusa, la capitale hittite (14e siècle) ou les nombreuses attestations de l’aigle bicéphale (symbole possible d’une dignité) sur les sceaux ou sur certains reliefs. R.L.

↑ , Amulettes phéniciennes et puniques:

Amulettes phéniciennes et puniques :

collectionName : Proche-Orient
inventoryNb : O.04574
objectName :
objectTitle : Amulettes phéniciennes et puniques
objectCulture : Phénicienne
geography :
dating : 650 BC - 301 BC
material :
technique :
dimensions : Hauteur: 2,2 cm, Largeur: 1 cm
legalRightOwner : Musées royaux d'art et d'histoire/Koninklijke Musea voor Kunst en Geschiedenis

objectDescription : Thoëris Ces trois colliers sont un assemblage récent d’amulettes phéniciennes et puniques alternant avec des perles égyptiennes. Ce que l’on appelle les amulettes « phénico-puniques » se répartissent en différents types dont seule une minorité se compose d’amulettes à motifs phéniciens et puniques (masques, le signe de Tanit, …). La préférence accordée aux sujets égyptiens, comme en témoigne l’art phénicien, se retrouve à nouveau dans les amulettes : la grande majorité se réfère à des prototypes égyptiens, de telle sorte qu’il est difficile de distinguer la production locale du matériel d’importation égyptien. Dans cette sélection des amulettes phéniciennes (cat. 514-515), les symboles d’abondance dominent (grappes de raisins, amulettes phalliques, tiges de papyrus), alternant avec quelques animaux divins et deux coquilles de Cauris décorées d’hiéroglyphes. L’aspect égyptisant présent dans l’art va être diffusé depuis la métropole, en suivant l’expansion phénicienne, dans toute la Méditerranée. Ainsi, la série d’amulettes puniques (cat. 516) témoigne-t-elle de la même préférence pour les symboles de puissance, de protection ou d’abondance, tels que des divinités (Ptah, Touéris, Isis et son enfant Horus), certains hiéroglyphes (l’oeil wdjat, la tige de papyrus) ou des animaux divins (le scarabée, le crocodile, le chat, le lion, le cobra royal). Le manque de matériel de comparaison en provenance de sites de la Méditerranée occidentale, peut, pour des exemplaires bien précis, indiquer une origine égyptienne et non punique (par exemple, le scarabée-amulette), tandis que d’autres amulettes sont des produits probablement locaux ou, éventuellement, d’importation phénicienne. V.B.

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collectionName : Voitures hippomobiles
inventoryNb : TR.1388.A-B
objectName :
objectTitle :
objectCulture :
geography :
dating :
material :
technique :
dimensions : Hauteur: 13,5 cm, Largeur: 27,5 cm, Profondeur: 9,2 cm
legalRightOwner : Musées royaux d'art et d'histoire/Koninklijke Musea voor Kunst en Geschiedenis

objectDescription : Contour du sabot lisse; oeil formé par une traverse fixée à deux languettes, semelle à double courbure. Éventuellement fabriqués par l'établissement Poursin en France pour le marché sud-américain.
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