souvent


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collectionName : collectionName
inventoryNb : inventoryNb
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objectCulture : objectCulture
geography : geography
dating : dating
material : material
technique : technique
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legalRightOwner : legalRightOwner

objectDescription : objectDescription

↑ , Violon de Fer:

Violon de Fer :

collectionName : Instruments à cordes
inventoryNb : 0166
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objectTitle : Violon de Fer
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dating : AD 1780 - AD 1871
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technique :
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legalRightOwner : Musées royaux d'art et d'histoire/Koninklijke Musea voor Kunst en Geschiedenis

objectDescription : Violon de fer 0166 Le violon de fer est un idiophone à friction. Cet exemplaire-ci appartint à François-Joseph Fétis (1784-1871), premier directeur du Conservatoire royal de musique de Bruxelles et maître de chapelle de Léopold Ier. En 1872, sa collection d’instruments de musique fut acquise par l’État belge et entreposée au Conservatoire, jusqu’à l’ouverture du Musée instrumental en 1877. Le violon de fer inv. n° 0166 se compose d’une caisse de résonance circulaire sur laquelle sont fixées des tiges métalliques que l’on frotte à l’aide d’un archet. Les 49 tiges de longueur et d’épaisseur variable couvrent une tessiture de quatre octaves. Les tiges chromatiques se distinguent des tiges diatoniques par leur cambrure. La table d’harmonie est percée de trois roses et est recouverte de 15 x 2 cordes sympathiques. L’instrument se tient dans la main gauche grâce à une ouverture percée dans le fond de la caisse. L’archet est tenu dans la main droite. Le violon de fer fut inventé en 1740 par un violoniste allemand actif à Saint-Pétersbourg, Johann Wilde. En 1780, des cordes sympathiques furent ajoutées par un musicien viennois nommé Senal. Le violon de fer adopte souvent une forme semi-circulaire ou circulaire. La disposition des tiges et leur tessiture varie. Ancienne collection de François-Joseph Fétis. Voir Victor Mahillon, Catalogue descriptif & analytique du Musée instrumental du Conservatoire royal de musique de Bruxelles, vol. 1, R/1893, "Préface de la première édition [1880]", p. IX: "A la mort de [François-Joseph] Fétis, la belle collection d'instruments et la précieuse bibliothèque de l'illustre artiste furent acquises par l'État (Loi du 4 mai 1872); la première composée de 74 instruments, resta déposée au Conservatoire [Royal de Bruxelles]" Bibliographie Victor-Charles Mahillon, Catalogue descriptif et analytique du Musée Instrumental du Conservatoire Royal de Musique de Bruxelles, vol. 1, Gand, 1880, 2/1893, p. 206-208. Curt Sachs, Handbuch der Musikinstrumentenkunde, Leipzig, Breitkopf & Härtel, 2/1930, p. 66-68. Edward Heron-Allen et Hugh Davies, « Nail Violin », The Grove Dictionary of Musical Instruments, second edition, éd. Laurence Libin, Oxford, vol. 3, p. 566-567.

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collectionName : Instruments à cordes
inventoryNb : 0483
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geography :
dating : AD 1701 - AD 1800
material :
technique :
dimensions : Hauteur: 70,8 cm, Largeur: 25,7 cm, Profondeur: 10,5 cm
legalRightOwner : Musées royaux d'art et d'histoire/Koninklijke Musea voor Kunst en Geschiedenis

objectDescription : Dessus de viole de gambe à six cordes portant l’étiquette de Nicolas III Médard (1628-après 1673) de Nancy. Cet instrument a probablement été composé au XIXe siècle d'éléments anciens et nouveaux, peut-être par le luthier et collectionneur Tolbecque lui-même. Le dos est plat et construit en plusieurs parties. Dans les coins, il est décoré de fleurs de lys dorées et porte plusieurs filets dans le sens de la longueur. Il n’y a pas de filet le long du bord et la partie supérieure du dos n’est pas inclinée vers le manche. À l’intérieur de la caisse, le dos est renforcé par un large pont. Les éclisses font alterner le palissandre et le cyprès, séparés par de minces filets. La table est faite de deux pièces d’épicéa. Elle est percée d’une rosette bordée d’or et est également ornée de lys français peints. Elle présente quelques fractures qui ont été réparées. Les ouïes en C sont également entourées d’un bord doré et sont crantées à l’intérieur. Une petite ouverture circulaire est ajoutée à l’extérieur. Le manche, mince et plat, est en poirier et porte une touche plaquée d’ébène et un sillet d’ivoire. Le chevillier est orné simplement et présente à l’arrière un motif végétal ajouré. Il est couronné d’une tête féminine aux cheveux bouclés. Les chevilles d’accord sont en buis, tandis que le cordier et la tige à laquelle celle-ci est fixée sont en ébène. La table et le manche portent un vernis brun foncé ; le dos et les éclisses sont couverts d’une vernis transparent pratiquement incolore. L’angle qui marque la transition entre les épaules et le manche, ainsi que les caractéristiques inhabituelles de la caisse donnent à penser qu’un ancien manche a été greffé sur une caisse plus récente. L’intérieur de la caisse est pourvu d’une étiquette imprimée : “Nicolas Medar à Paris 1701”. Les deux derniers chiffres du millésime sont manuscrits. Le dessus de viole était accordé une octave au-dessus de la basse de viole et servait souvent à l’exécution des parties similaires. Longueur ca 71 cm Largeur ca 25,1 cm Hauteur des éclisses ca 4,4 cm Longueur vibrante ca 38 cm Cet instrument (inv. n° 0483) faisait partie de la collection d’Auguste Tolbecque. En 1879, celle-ci fut acquise par le Musée des instruments de musique. En 1885, une « viol » de « Nicholas Medaer » fut exposée à Londres. Sans doute s’agissait-il de cet instrument-ci. Bibliographie Victor-Charles Mahillon, Catalogue descriptif et analytique du Musée Instrumental du Conservatoire Royal de Musique de Bruxelles, vol. 1, Gand, 1880, 2/1893, p. 467.

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collectionName : Instruments à percussion
inventoryNb : 1975.027
objectName :
objectTitle :
objectCulture :
geography :
dating : AD 1664
material :
technique :
dimensions :
legalRightOwner : Musées royaux d'art et d'histoire/Koninklijke Musea voor Kunst en Geschiedenis

objectDescription : Pendant plus de trois siècles cette cloche fut l’âme du petit village d’Avignon-lès-Saint-Claude (Jura), protégeant de son tintement les alpages et forêts environnants. Fondue en 1664, elle était logée dans le clocher d’une chapelle édifiée quelques années plus tôt (1649). La peste ayant frappé la région par deux fois (1629 et 1636), cet édifice fut érigé en remerciement pour la préservation du village lors de ces deux épidémies, et consacré à Saint-Roch, protecteur contre la peste, comme le confirme l’inscription « ◊ STE ROCHAE ORA PRO NOBIS», posée sur la cloche elle-même. La robe de l’instrument porte plusieurs images : une grande croix décorée de rinceaux végétaux, un calvaire à l’esthétique très baroque surmonté du soleil et de la lune, une effigie de la Vierge Marie, de saint Roch lui-même avec son chien, ainsi que d’un évêque bénissant, aux pieds duquel apparaît un enfant. Il s’agit de saint Claude, qui avait en effet la réputation de ressusciter les enfants morts-nés, le temps d’un baptême. Fêlée, cette cloche fut remplacée par une nouvelle en 1975. C’est à cette époque qu’elle intégra les collections de notre musée. L’auteur de notre instrument est le fondeur – dit aussi « saintier » - Michel Jolly, du village de Breuvannes-en-Bassigny, où ses quatre fils continueront le métier de leur père. À l’époque le Bassigny (région de Langres) est en effet un vivier de fondeurs de cloches itinérants réputés. Dès le XVIème siècle, du printemps à l’automne, ils parcourent l’Est de la France et les cantons limitrophes de la Suisse, installant pour un temps leur atelier là où leurs services sont demandés. Les ateliers fixes n’apparaîtront en effet que tard dans le XIXème siècle. À l’époque qui nous intéresse les cloches sont donc fondues sur place, devant l’église ou parfois même à l’intérieur, comme en témoignent les deux moules encore visible dans le sous-sol de la toute proche église jurassienne de Saint-Lupicin. La fonte d’une cloche est un événement majeur dans la vie d’une communauté villageoise, faisant l’objet d’un contrat entre le saintier et la paroisse. Les documents conservés témoignent souvent de l’enthousiasme que cela suscite et donnent parfois des précisions étonnantes sur les quantités de matériaux mis à disposition du fondeur par les commanditaires : jusqu’à 30 charrettes de terre et de pierre pour la réalisation du moule et du fourneau, jusqu’à 30 charrettes de bois et de charbon pour le combustible, l’engagement de manœuvres pour pétrir la terre, fendre le bois, transporter la cloche finie dans le clocher, … Le fondeur est donc souvent entouré de l’aide enthousiaste de la population locale. Une fois le moule réalisé et enfoui dans une fosse sous-terraine soigneusement comblée , le métal est chauffé dans le four. Il s’agit d’un alliage particulier appelé « airain », constitué de cuivre (80 %) et d’étain (20 %), même si chaque fondeur peut avoir ses « petits secrets », entretenant soigneusement le mystère autour de la fonte. Arrivé à 1200°, le métal se liquéfie et la trappe du four est alors ouverte. Tel un serpent de feu, la coulée incandescente s’échappe par un canal creusé jusqu’au moule et disparaît dans la terre. Cela ne dure qu’un instant, et les fondeurs d’autrefois aimaient faire cette opération à la nuit tombée, rendant l’événement plus magique et spectaculaire encore aux yeux de la population émerveillée, assemblée pour assister au « miracle ». Une fois démoulée et lavée, la cloche est ensuite consacrée – le langage populaire la dit « baptisée ». Elle reçoit en effet un prénom (celle-ci se nomme Marie-Joseph), ainsi qu’un parrain et une marraine, dont les noms sont ici « F. IAILLO» et « DENISE COLIN» , patronymes attestés en Avignon-lès-Saint-Claude à cette époque, sans qu’on sache précisément de qui il s’agit ici. Notons toutefois que le nom de Jaillot est important pour cette bourgade, qui donna naissance à deux frères dont la carrière à la cour de Louis XIV fut remarquable : Hubert (1640-1712) y fut un géographe de premier ordre et Pierre Simon (1631-1681) un sculpteur sur ivoire très réputé. D’autres Jaillot du village firent carrière à Paris. Dans un bourg comptant à l’époque à peine 120 habitants, sans doute ont-ils un lien de parenté avec le parrain de notre instrument. Reste à trouver lequel. Stéphane Colin Inscription: + IHS MAR JOSEPH ◊ STE ROCHAE ORA PRO NOBIS ◊1664 ◊ + HON ◊F◊ IAILLO FILӠ DE FEUT ◊P◊ IAILLO DAVIGNON BOURGOIS DE ST CLAUDE PARAIN + ◊ ET DENISE COLIN FEMME DHON IACQUE WILLERME DUDICT AVIGNON BOURGOIS DE ST CLAUDE MARAINE ◊

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collectionName : Instruments africains
inventoryNb : 2013.076
objectName :
objectTitle :
objectCulture : Moosé (Population)
geography :
dating : AD 2012
material :
technique :
dimensions : Hauteur: 48,5 cm, Largeur: 25 cm, Profondeur: 11,5 cm
legalRightOwner : Musées royaux d'art et d'histoire/Koninklijke Musea voor Kunst en Geschiedenis

objectDescription : Le ruudga est une vièle monocorde jouée par le peuple mossi au Burkina Faso. Les Mossis constituent le plus important groupe ethnique du pays avec plus de 50 % de la population. Ils occupent le centre du Burkina, sur un plateau s’étendant dans une grande partie du pays. La savane y est le paysage principal, avec de vastes étendues herbeuses parsemées de quelques collines. L’empire mossi, fondé vers le XIe siècle, est organisé en un royaume central entouré de différents districts plus petits ayant chacun leur propre souverain et leur propre cour. Cette organisation a perduré, inchangée, jusqu’à notre époque. Le ruudga est une vièle à pointe, un type de vièle largement répandu dans toute l’Afrique de l’Ouest. Le goge hausa, le gondze dagbamba et le nyanyeru peul sont des exemples du même type. Comme sur la plupart des vièles d’Afrique occidentale, le résonateur du ruudga est formé d’une demi-calebasse de forme arrondie, dont la partie évidée est recouverte de peau animale. Si la peau de lézard (du varan) est traditionnellement utilisée, beaucoup de facteurs ont aujourd’hui recours à de la peau de chèvre, plus facilement disponible. Lorsque la table d’harmonie est confectionnée à partir de peau de chèvre, celle-ci est tendue à l’aide de bandelettes en cuir encerclant le résonateur, le tout étant ensuite fixé par des liens en coton. Si une peau de reptile est employée, celle-ci est préalablement collée aux bords de la calebasse à l’aide d’une bande de cuir, tandis que des chevilles métalliques viennent renforcer l’assemblage. Un manche en bois, se terminant en pointe à son extrémité inférieure, est inséré à travers la calebasse. L’unique corde est constituée de crin de cheval. Elle est tendue entre la pointe inférieure et l’extrémité supérieure du manche où elle est fixée par une cordelette, en passant par le chevalet. Ce petit chevalet, aux contours en V inversé, est un petit morceau de bois qui a naturellement cette forme ; ses deux « pieds » se placent sur la peau et il est maintenu grâce à la tension de la corde. Une ouïe ronde est découpée dans la peau, le plus souvent du côté gauche. Le ruudga s’accorde habituellement au moyen de la cordelette qui maintient la corde au-dessus du manche ou grâce à une petite pièce triangulaire en bois ou en os, insérée plus ou moins profondément entre la corde et la base du résonateur. Sur notre instrument du mois, on trouve par contre un procédé plus moderne dû au facteur et instrumentiste Nouss Nabil. Il s’agit d’un système d’accord en métal implanté dans la partie supérieure du manche. La corde, qui est attachée à la partie saillante du dispositif, peut être tendue ou détendue grâce à la partie plate de la cheville que l’on tourne comme une cheville de guitare. Le ruudga est traditionnellement associé à des musiciens aveugles qui en jouent dans différents lieux et à diverses occasions. Tout d’abord, il leur permet de gagner de l’argent quand ils interviennent sur les marchés et dans les cabarets – ces cafés locaux où l’on sert la bière au millet – où ils chantent des chansons en s’accompagnant de l’instrument. Ces chansons sont tantôt basées sur des histoires populaires, tantôt sur des proverbes ou s’inspirent de nouvelles récentes. Leur texte est souvent improvisé, ce qui permet au musicien de s’adapter à toutes les situations. S’il se produit par exemple au marché le musicien peut relater un événement récent en y incorporant ses propres commentaires ou alors souhaiter la bienvenue à des visiteurs qui viennent d’arriver d’un autre village. Ensuite, les joueurs de vièle peuvent être invités à la cour pour y entonner des chants de louange. Cette coutume existe partout dans le royaume mossi, du palais royal central aux petites cours dans les communautés et les villages. Depuis la fondation de l’empire mossi, et aujourd’hui encore, la vièle joue un rôle important à la cour en tant qu’élément essentiel de différents rituels et cérémonies. Les joueurs de ruudga occupent donc une position ambivalente dans la société mossi. D’un côté, ils appartiennent aux couches socio-économiques les plus modestes et dépendent des dons du public dans les cafés pour subsister. Et d’un autre côté, ils jouissent d’une grande estime grâce à leurs interventions à la cour royale. Le fait de jouer devant le roi ne leur assure pas seulement davantage de stabilité financière mais améliore aussi leur statut social. L’instrument du mois (inv. 2013.076) a été fabriqué par Nouss Nabil de Bobo-Dioulasso, qui l’a ensuite offert au mim. Carolien Hulshof

↑ , Méditons souvent sur la croix:

Méditons souvent sur la croix :

collectionName : Ethnologie européenne
inventoryNb : 2014.291.0140
objectName :
objectTitle : Méditons souvent sur la croix
objectCulture :
geography :
dating : AD 1900 - AD 1920
material :
technique :
dimensions : Hauteur: 9,6 cm, Largeur: 6,8 cm
legalRightOwner : Musées royaux d'art et d'histoire/Koninklijke Musea voor Kunst en Geschiedenis

objectDescription : item has no descption

↑ , Mémento mori - L'on méprise facilement toutes choses quand on pense souvent qu'il faut mourir. Nemini Parco. (…):

Mémento mori - L'on méprise facilement toutes choses quand on pense souvent qu'il faut mourir. Nemini Parco. (…) :

collectionName : Ethnologie européenne
inventoryNb : 2014.677.0004
objectName :
objectTitle : Mémento mori - L'on méprise facilement toutes choses quand on pense souvent qu'il faut mourir. Nemini Parco. (…)
objectCulture :
geography :
dating : AD 1750 - AD 1880
material :
technique :
dimensions : Hauteur: 9,3 cm, Largeur: 6,6 cm
legalRightOwner : Musées royaux d'art et d'histoire/Koninklijke Musea voor Kunst en Geschiedenis

objectDescription : item has no descption

↑ , Pendeloque suspendue à un collier:

Pendeloque suspendue à un collier :

collectionName : Mérovingiens
inventoryNb : B002162-009
objectName :
objectTitle : Pendeloque suspendue à un collier
objectCulture : Mérovingienne
geography :
dating : ca. AD 470 - AD 530
material :
technique :
dimensions : Hauteur: 3,1 cm
legalRightOwner : Musées royaux d'art et d'histoire/Koninklijke Musea voor Kunst en Geschiedenis

objectDescription : Les femmes franques portent souvent de longs et élégants colliers qu'elles emmènent avec elles dans leur tombe. L'inspiration pour le choix et l'agencement de leurs perles trouve son origine dans des contrées lointaines. Les petites perles en verre vert viennent d'Asie du Sud-Est.

↑ , Gobelet sur pied, Céramique « coquille d’œuf »:

Gobelet sur pied, Céramique « coquille d’œuf » :

collectionName : Chine
inventoryNb : CH.0183
objectName :
objectTitle : Gobelet sur pied, Céramique « coquille d’œuf »
objectCulture :
geography :
dating : ca. 3500 BC - 2600 BC
material :
technique :
dimensions :
legalRightOwner : Musées royaux d'art et d'histoire/Koninklijke Musea voor Kunst en Geschiedenis

objectDescription : À partir de 3500 av. J.-C., les sociétés néolithiques devinrent sans cesse plus complexes. La différence statutaire, l’architecture publique et la spécialisation artisanale reçurent de nouveaux développements au cours de la période. La culture Dawenku (3500-2600 av. J.-C.), sur la côte orientale de la Chine, se distingue non seulement par une mise en œuvre développée du jade mais également par une céramique de grande qualité. L’emploi d’un tour rapide permit d’obtenir un produit aux parois extrêmement fines, appelé également « céramique coquille d’œuf ». La couleur noire régulière était obtenue grâce à la cuisson en atmosphère réductrice. De plus, le façonnage avec poignées, becs verseurs et pieds est relativement complexe. Le pied lui-même est souvent décoré à l’aide de bandes incisées ou gravées. Ces objets prestigieux ont été retrouvés à titre d’offrandes dans les tombes d’une élite restreinte.

↑ , Gobelet sur pied, Céramique « coquille d’œuf »:

Gobelet sur pied, Céramique « coquille d’œuf » :

collectionName : Chine
inventoryNb : CH.0184
objectName :
objectTitle : Gobelet sur pied, Céramique « coquille d’œuf »
objectCulture :
geography :
dating : ca. 3500 BC - 2600 BC
material :
technique :
dimensions :
legalRightOwner : Musées royaux d'art et d'histoire/Koninklijke Musea voor Kunst en Geschiedenis

objectDescription : À partir de 3500 av. J.-C., les sociétés néolithiques devinrent sans cesse plus complexes. La différence statutaire, l’architecture publique et la spécialisation artisanale reçurent de nouveaux développements au cours de la période. La culture Dawenku (3500-2600 av. J.-C.), sur la côte orientale de la Chine, se distingue non seulement par une mise en œuvre développée du jade mais également par une céramique de grande qualité. L’emploi d’un tour rapide permit d’obtenir un produit aux parois extrêmement fines, appelé également « céramique coquille d’œuf ». La couleur noire régulière était obtenue grâce à la cuisson en atmosphère réductrice. De plus, le façonnage avec poignées, becs verseurs et pieds est relativement complexe. Le pied lui-même est souvent décoré à l’aide de bandes incisées ou gravées. Ces objets prestigieux ont été retrouvés à titre d’offrandes dans les tombes d’une élite restreinte.

↑ , Garçon couché sous une feuille de lotus:

Garçon couché sous une feuille de lotus :

collectionName : Chine
inventoryNb : CH.0224
objectName :
objectTitle : Garçon couché sous une feuille de lotus
objectCulture :
geography :
dating : ca. AD 1101 - AD 1200
material :
technique :
dimensions :
legalRightOwner : Musées royaux d'art et d'histoire/Koninklijke Musea voor Kunst en Geschiedenis

objectDescription : Dans l’art populaire chinois, on représente souvent un garçon auprès d’un lotus. « Lotus » et « fils » forment, en effet, le mot composé « lian-zi » qui peut se comprendre comme un jeu de mot : « graines de lotus » ou bien « des fils en série ». L’idée exprimée est donc un vœu d’abondante progéniture masculine. La production de Ding (au Hebei) est remarquable par la qualité de la porcelaine, cuite à haute température (1300-1340° C) à partir de kaolin secondaire additionné d’un fondant à forte teneur de chaux et de magnésium. La couverte ivoire est transparente. Au XIe siècle, ces fours sont à l’origine de l’invention de la casette qui protège les objets des poussières du feu et régularise la cuisson. Le présent objet offre une belle démonstration de ces innovations décisives dans l’histoire de la céramique.

↑ , Robe de dame (corsage et jupe):

Robe de dame (corsage et jupe) :

collectionName : Dentelle
inventoryNb : D.4374.00
objectName :
objectTitle : Robe de dame (corsage et jupe)
objectCulture :
geography :
dating : AD 1901 - AD 1910
material :
technique :
dimensions : Hauteur: 152 cm
legalRightOwner :

objectDescription : Cette robe de mariée est un bel exemple de la dentelle « Duchesse de Bruxelles ». Quand elle était Duchesse de Brabant, Marie-Henriette, épouse de Léopold II, raffolait de la dentelle dite « Fin Fleuri », un type de dentelle à petites fleurs très en vogue dans les années 1850. C’est d’ailleurs parce qu’elle en portait souvent que le nom de « Duchesse » lui fut attribué. La « Duchesse de Bruxelles » se caractérise par l’usage conjoint dans un même ouvrage de dentelle aux fuseaux et de dentelle à l’aiguille. Elle se différencie ainsi de la dentelle « Duchesse de Bruges » réalisée exclusivement aux fuseaux. Cette robe de mariée, associant dentelle aux fuseaux et dentelle à l’aiguille, est donc un ouvrage mixte. Son fond formé de motifs aux fuseaux reliés par des tresses est typique de la « Duchesse de Bruxelles ». Le mat, soit le remplissage des feuilles, est réalisé en passées et demi-passées. Les fleurs et les feuilles sont soulignées par un relief. Les motifs travaillés à l’aiguille, nommés « point de Gaze », sont également caractéristiques de la « Duchesse de Bruxelles ». Comme sur cette robe, ces motifs de dentelle à l’aiguille prennent généralement la forme de médaillons. Cette robe est une pièce unique car les vêtements entièrement réalisés en dentelle sont extrêmement rares. Très coûteuses, ces robes n’étaient portées qu’à des occasions particulières et seuls les citoyens aisés pouvaient se permettre d’en commander. Les robes entièrement réalisées en dentelle sont à la mode entre 1900 et 1906. L’exemplaire exposé peut être daté des années 1905-1906, moment où les manches gigot descendant jusqu’aux coudes étaient particulièrement en vogue. La robe se compose de deux parties : une jupe à traîne et un corsage à col droit. Les différents motifs de fleurs stylisées, telles les marguerites ou les violettes en dentelle aux fuseaux ou les roses en dentelle à l’aiguille, présentent une finition de grande qualité.

↑ , Vase à fond pointu:

Vase à fond pointu :

collectionName : Égypte
inventoryNb : E.00656a
objectName :
objectTitle : Vase à fond pointu
objectCulture : Égyptienne
geography :
dating : 1291 BC - 1188 BC
material :
technique :
dimensions : Dimensions H x D: 41,5 cm, 15 cm
legalRightOwner : Musées royaux d'art et d'histoire/Koninklijke Musea voor Kunst en Geschiedenis

objectDescription : Ce vase en terre cuite provient des fouilles de W. Loat à Gourob en 1903-1904. Il se caractérise par une panse allongée à fond pointu et pourvue de deux anses. Le long goulot, qui porte à la base une décoration peinte en rouge (une corde ?), est délimité d'un petit bord en saillie. Ce type de récipient, qui nécessitait l'usage d'un support, est souvent représenté dans les tombes thébaines de la XVIIIème Dynastie.

↑ , Vase à fond pointu:

Vase à fond pointu :

collectionName : Égypte
inventoryNb : E.00656b
objectName :
objectTitle : Vase à fond pointu
objectCulture : Égyptienne
geography :
dating : 1291 BC - 1188 BC
material :
technique :
dimensions : Dimensions H x D: 38 cm, 15 cm
legalRightOwner : Musées royaux d'art et d'histoire/Koninklijke Musea voor Kunst en Geschiedenis

objectDescription : Ce vase en terre cuite provient des fouilles de W. Loat à Gourob en 1903-1904. Il se caractérise par une panse allongée à fond pointu et pourvue de deux anses. Le long goulot, qui porte à la base une décoration peinte en rouge (une corde ?), est délimité d'un petit bord en saillie. Ce type de récipient, qui nécessitait l'usage d'un support, est souvent représenté dans les tombes thébaines de la XVIIIème Dynastie.

↑ , Vase à fond pointu:

Vase à fond pointu :

collectionName : Égypte
inventoryNb : E.00656c
objectName :
objectTitle : Vase à fond pointu
objectCulture : Égyptienne
geography :
dating : 1291 BC - 1188 BC
material :
technique :
dimensions : Dimensions H x D: 37,5 cm, 14 cm
legalRightOwner : Musées royaux d'art et d'histoire/Koninklijke Musea voor Kunst en Geschiedenis

objectDescription : Ce vase en terre cuite provient des fouilles de W. Loat à Gourob en 1903-1904. Il se caractérise par une panse allongée à fond pointu et pourvue de deux anses. Le long goulot arrondi est délimité d'un petit bord en saillie. Ce type de récipient, qui nécessitait l'usage d'un support, est souvent représenté dans les tombes thébaines de la XVIIIème Dynastie.

↑ , Modèle de "boulangerie" et de "brasserie":

Modèle de "boulangerie" et de "brasserie" :

collectionName : Égypte
inventoryNb : E.00786
objectName :
objectTitle : Modèle de "boulangerie" et de "brasserie"
objectCulture : Égyptienne
geography :
dating : 1985 BC - 1773 BC
material :
technique :
dimensions : Hauteur: 46 cm, Largeur: 23 cm, Profondeur: 17 cm
legalRightOwner : Musées royaux d'art et d'histoire/Koninklijke Musea voor Kunst en Geschiedenis

objectDescription : Ce modèle d'atelier est composé de quatorze figurines d'hommes fixées sur une planche. A droite, on distingue l'activité de la boulangerie, à gauche celle de la brasserie. Ces deux activités sont souvent représentées ensemble; le pain et la bière, fabriquée à partir de céréales, constituaient les aliments de base des Égyptiens.

↑ , Boucle d'oreille en or:

Boucle d'oreille en or :

collectionName : Égypte
inventoryNb : E.01018c
objectName :
objectTitle : Boucle d'oreille en or
objectCulture : Égyptienne
geography :
dating : 332 BC - AD 395
material :
technique :
dimensions : Hauteur: 2,7 cm, Largeur: 3,4 cm
legalRightOwner : Musées royaux d'art et d'histoire/Koninklijke Musea voor Kunst en Geschiedenis

objectDescription : Cette boucle d'oreille constitue une tige très mince en forme d'un "S" dont la partie supérieure se replie en crochet et la partie inférieure se termine en trois perles, deux en or et une, au milieu, de verre plus petite et de teinte verte. La pièce ressemble au type de bijoux très en vogue aux Ier et IIe siècles et souvent représentés sur les portraits de momie.

↑ , Moule pour amulette en faïence:

Moule pour amulette en faïence :

collectionName : Égypte
inventoryNb : E.01618
objectName :
objectTitle : Moule pour amulette en faïence
objectCulture : Égyptienne
geography :
dating : 1349 BC - 1333 BC
material :
technique :
dimensions : Hauteur: 4,7 cm, Largeur: 5 cm, Profondeur: 2,2 cm
legalRightOwner : Musées royaux d'art et d'histoire/Koninklijke Musea voor Kunst en Geschiedenis

objectDescription : Ce type de moule a été retrouvé par milliers sur le site d'Amarna, par Flinders Petrie d'abord, lors de sa campagne de fouilles de 1891-1892, puis par d'autres missions postérieures. On les retrouve aussi bien dans les ateliers de production de faïence et de verre répartis dans la ville que dans les habitations proches, probablement occupées par les artisans. Petrie a fait don au musée de 93 exemplaires (E.01618-E.01711) en 1905. Ces petits moules en terre cuite permettaient de produire en série des amulettes et pendentifs en faïence de formes diverses, fleurs, plantes, divinités ou autres, à caractère symbolique et protecteur. Ils portent souvent sur leur face postérieure des empreintes de paume ou de doigts. Le présent moule était probablement destiné à une bague.

↑ , Moule pour amulette en faïence:

Moule pour amulette en faïence :

collectionName : Égypte
inventoryNb : E.01619
objectName :
objectTitle : Moule pour amulette en faïence
objectCulture : Égyptienne
geography :
dating : 1349 BC - 1333 BC
material :
technique :
dimensions : Hauteur: 3,1 cm, Largeur: 2,9 cm, Profondeur: 1,4 cm
legalRightOwner : Musées royaux d'art et d'histoire/Koninklijke Musea voor Kunst en Geschiedenis

objectDescription : Ce type de moule a été retrouvé par milliers sur le site d'Amarna, par Flinders Petrie d'abord, lors de sa campagne de fouilles de 1891-1892, puis par d'autres missions postérieures. On les retrouve aussi bien dans les ateliers de production de faïence et de verre répartis dans la ville que dans les habitations proches, probablement occupées par les artisans. Petrie a fait don au musée de 93 exemplaires (E.01618-E.01711) en 1905. Ces petits moules en terre cuite permettaient de produire en série des amulettes et pendentifs en faïence de formes diverses, fleurs, plantes, divinités ou autres, à caractère symbolique et protecteur. Ils portent souvent sur leur face postérieure des empreintes de paume ou de doigts. Le présent moule était destiné à un scarabée.

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Moule pour amulette en faïence :

collectionName : Égypte
inventoryNb : E.01620
objectName :
objectTitle : Moule pour amulette en faïence
objectCulture : Égyptienne
geography :
dating : 1349 BC - 1333 BC
material :
technique :
dimensions :
legalRightOwner : Musées royaux d'art et d'histoire/Koninklijke Musea voor Kunst en Geschiedenis

objectDescription : Ce type de moule a été retrouvé par milliers sur le site d'Amarna, par Flinders Petrie d'abord, lors de sa campagne de fouilles de 1891-1892, puis par d'autres missions postérieures. On les retrouve aussi bien dans les ateliers de production de faïence et de verre répartis dans la ville que dans les habitations proches, probablement occupées par les artisans. Petrie a fait don au musée de 93 exemplaires (E.01618-E.01711) en 1905. Ces petits moules en terre cuite permettaient de produire en série des amulettes et pendentifs en faïence de formes diverses, fleurs, plantes, divinités ou autres, à caractère symbolique et protecteur. Ils portent souvent sur leur face postérieure des empreintes de paume ou de doigts.

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Moule pour amulette en faïence :

collectionName : Égypte
inventoryNb : E.01621
objectName :
objectTitle : Moule pour amulette en faïence
objectCulture : Égyptienne
geography :
dating : 1349 BC - 1333 BC
material :
technique :
dimensions : Hauteur: 5,3 cm, Largeur: 3,2 cm, Profondeur: 1,5 cm
legalRightOwner : Musées royaux d'art et d'histoire/Koninklijke Musea voor Kunst en Geschiedenis

objectDescription : Ce type de moule a été retrouvé par milliers sur le site d'Amarna, par Flinders Petrie d'abord, lors de sa campagne de fouilles de 1891-1892, puis par d'autres missions postérieures. On les retrouve aussi bien dans les ateliers de production de faïence et de verre répartis dans la ville que dans les habitations proches, probablement occupées par les artisans. Petrie a fait don au musée de 93 exemplaires (E.01618-E.01711) en 1905. Ces petits moules en terre cuite permettaient de produire en série des amulettes et pendentifs en faïence de formes diverses, fleurs, plantes, divinités ou autres, à caractère symbolique et protecteur. Ils portent souvent sur leur face postérieure des empreintes de paume ou de doigts. Le présent moule était destiné à la production d'une feuille de palmier-doum.

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Moule pour amulette en faïence :

collectionName : Égypte
inventoryNb : E.01622
objectName :
objectTitle : Moule pour amulette en faïence
objectCulture : Égyptienne
geography :
dating : 1349 BC - 1333 BC
material :
technique :
dimensions :
legalRightOwner : Musées royaux d'art et d'histoire/Koninklijke Musea voor Kunst en Geschiedenis

objectDescription : Ce type de moule a été retrouvé par milliers sur le site d'Amarna, par Flinders Petrie d'abord, lors de sa campagne de fouilles de 1891-1892, puis par d'autres missions postérieures. On les retrouve aussi bien dans les ateliers de production de faïence et de verre répartis dans la ville que dans les habitations proches, probablement occupées par les artisans. Petrie a fait don au musée de 93 exemplaires (E.01618-E.01711) en 1905. Ces petits moules en terre cuite permettaient de produire en série des amulettes et pendentifs en faïence de formes diverses, fleurs, plantes, divinités ou autres, à caractère symbolique et protecteur. Ils portent souvent sur leur face postérieure des empreintes de paume ou de doigts.

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Moule pour amulette en faïence :

collectionName : Égypte
inventoryNb : E.01623
objectName :
objectTitle : Moule pour amulette en faïence
objectCulture : Égyptienne
geography :
dating : 1349 BC - 1333 BC
material :
technique :
dimensions : Hauteur: 3,1 cm, Largeur: 2,1 cm, Profondeur: 1,4 cm
legalRightOwner : Musées royaux d'art et d'histoire/Koninklijke Musea voor Kunst en Geschiedenis

objectDescription : Ce type de moule a été retrouvé par milliers sur le site d'Amarna, par Flinders Petrie d'abord, lors de sa campagne de fouilles de 1891-1892, puis par d'autres missions postérieures. On les retrouve aussi bien dans les ateliers de production de faïence et de verre répartis dans la ville que dans les habitations proches, probablement occupées par les artisans. Petrie a fait don au musée de 93 exemplaires (E.01618-E.01711) en 1905. Ces petits moules en terre cuite permettaient de produire en série des amulettes et pendentifs en faïence de formes diverses, fleurs, plantes, divinités ou autres, à caractère symbolique et protecteur. Ils portent souvent sur leur face postérieure des empreintes de paume ou de doigts. Le présent moule était peut-être destiné à une façade de naos.

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Moule pour amulette en faïence :

collectionName : Égypte
inventoryNb : E.01624
objectName :
objectTitle : Moule pour amulette en faïence
objectCulture : Égyptienne
geography :
dating : 1349 BC - 1333 BC
material :
technique :
dimensions : Hauteur: 3,1 cm, Largeur: 2,1 cm, Profondeur: 1,4 cm
legalRightOwner : Musées royaux d'art et d'histoire/Koninklijke Musea voor Kunst en Geschiedenis

objectDescription : Ce type de moule a été retrouvé par milliers sur le site d'Amarna, par Flinders Petrie d'abord, lors de sa campagne de fouilles de 1891-1892, puis par d'autres missions postérieures. On les retrouve aussi bien dans les ateliers de production de faïence et de verre répartis dans la ville que dans les habitations proches, probablement occupées par les artisans. Petrie a fait don au musée de 93 exemplaires (E.01618-E.01711) en 1905. Ces petits moules en terre cuite permettaient de produire en série des amulettes et pendentifs en faïence de formes diverses, fleurs, plantes, divinités ou autres, à caractère symbolique et protecteur. Ils portent souvent sur leur face postérieure des empreintes de paume ou de doigts. Le présent moule était destiné à la production d'une plaque cintrée avec figure de phénix au centre.

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Moule pour amulette en faïence :

collectionName : Égypte
inventoryNb : E.01625
objectName :
objectTitle : Moule pour amulette en faïence
objectCulture : Égyptienne
geography :
dating : 1349 BC - 1333 BC
material :
technique :
dimensions : Hauteur: 3,2 cm, Largeur: 2,3 cm, Profondeur: 1,2 cm
legalRightOwner : Musées royaux d'art et d'histoire/Koninklijke Musea voor Kunst en Geschiedenis

objectDescription : Ce type de moule a été retrouvé par milliers sur le site d'Amarna, par Flinders Petrie d'abord, lors de sa campagne de fouilles de 1891-1892, puis par d'autres missions postérieures. On les retrouve aussi bien dans les ateliers de production de faïence et de verre répartis dans la ville que dans les habitations proches, probablement occupées par les artisans. Petrie a fait don au musée de 93 exemplaires (E.01618-E.01711) en 1905. Ces petits moules en terre cuite permettaient de produire en série des amulettes et pendentifs en faïence de formes diverses, fleurs, plantes, divinités ou autres, à caractère symbolique et protecteur. Ils portent souvent sur leur face postérieure des empreintes de paume ou de doigts. Le présent moule était destiné à la production d'un bleuet.

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Moule pour amulette en faïence :

collectionName : Égypte
inventoryNb : E.01626
objectName :
objectTitle : Moule pour amulette en faïence
objectCulture : Égyptienne
geography :
dating : 1349 BC - 1333 BC
material :
technique :
dimensions : Hauteur: 5,2 cm, Largeur: 4,2 cm, Profondeur: 1,4 cm
legalRightOwner : Musées royaux d'art et d'histoire/Koninklijke Musea voor Kunst en Geschiedenis

objectDescription : Ce type de moule a été retrouvé par milliers sur le site d'Amarna, par Flinders Petrie d'abord, lors de sa campagne de fouilles de 1891-1892, puis par d'autres missions postérieures. On les retrouve aussi bien dans les ateliers de production de faïence et de verre répartis dans la ville que dans les habitations proches, probablement occupées par les artisans. Petrie a fait don au musée de 93 exemplaires (E.01618-E.01711) en 1905. Ces petits moules en terre cuite permettaient de produire en série des amulettes et pendentifs en faïence de formes diverses, fleurs, plantes, divinités ou autres, à caractère symbolique et protecteur. Ils portent souvent sur leur face postérieure des empreintes de paume ou de doigts. Le présent moule était destiné à la production d'une grappe de raisin.

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Moule pour amulette en faïence :

collectionName : Égypte
inventoryNb : E.01627
objectName :
objectTitle : Moule pour amulette en faïence
objectCulture : Égyptienne
geography :
dating : 1349 BC - 1333 BC
material :
technique :
dimensions : Dimensions H x D: 1,2 cm, 2,8 cm
legalRightOwner : Musées royaux d'art et d'histoire/Koninklijke Musea voor Kunst en Geschiedenis

objectDescription : Ce type de moule a été retrouvé par milliers sur le site d'Amarna, par Flinders Petrie d'abord, lors de sa campagne de fouilles de 1891-1892, puis par d'autres missions postérieures. On les retrouve aussi bien dans les ateliers de production de faïence et de verre répartis dans la ville que dans les habitations proches, probablement occupées par les artisans. Petrie a fait don au musée de 93 exemplaires (E.01618-E.01711) en 1905. Ces petits moules en terre cuite permettaient de produire en série des amulettes et pendentifs en faïence de formes diverses, fleurs, plantes, divinités ou autres, à caractère symbolique et protecteur. Ils portent souvent sur leur face postérieure des empreintes de paume ou de doigts. Le présent moule était sans doute destiné à la production d'un petit carreau décoratif.

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Moule pour amulette en faïence :

collectionName : Égypte
inventoryNb : E.01628
objectName :
objectTitle : Moule pour amulette en faïence
objectCulture : Égyptienne
geography :
dating : 1349 BC - 1333 BC
material :
technique :
dimensions : Hauteur: 3,7 cm, Largeur: 2,9 cm, Profondeur: 1,5 cm
legalRightOwner : Musées royaux d'art et d'histoire/Koninklijke Musea voor Kunst en Geschiedenis

objectDescription : Ce type de moule a été retrouvé par milliers sur le site d'Amarna, par Flinders Petrie d'abord, lors de sa campagne de fouilles de 1891-1892, puis par d'autres missions postérieures. On les retrouve aussi bien dans les ateliers de production de faïence et de verre répartis dans la ville que dans les habitations proches, probablement occupées par les artisans. Petrie a fait don au musée de 93 exemplaires (E.01618-E.01711) en 1905. Ces petits moules en terre cuite permettaient de produire en série des amulettes et pendentifs en faïence de formes diverses, fleurs, plantes, divinités ou autres, à caractère symbolique et protecteur. Ils portent souvent sur leur face postérieure des empreintes de paume ou de doigts. Le présent moule était destiné à la production d'un double cartouche du dieu solaire Aton.

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Moule pour amulette en faïence :

collectionName : Égypte
inventoryNb : E.01629
objectName :
objectTitle : Moule pour amulette en faïence
objectCulture : Égyptienne
geography :
dating : 1349 BC - 1333 BC
material :
technique :
dimensions :
legalRightOwner : Musées royaux d'art et d'histoire/Koninklijke Musea voor Kunst en Geschiedenis

objectDescription : Ce type de moule a été retrouvé par milliers sur le site d'Amarna, par Flinders Petrie d'abord, lors de sa campagne de fouilles de 1891-1892, puis par d'autres missions postérieures. On les retrouve aussi bien dans les ateliers de production de faïence et de verre répartis dans la ville que dans les habitations proches, probablement occupées par les artisans. Petrie a fait don au musée de 93 exemplaires (E.01618-E.01711) en 1905. Ces petits moules en terre cuite permettaient de produire en série des amulettes et pendentifs en faïence de formes diverses, fleurs, plantes, divinités ou autres, à caractère symbolique et protecteur. Ils portent souvent sur leur face postérieure des empreintes de paume ou de doigts.

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Moule pour amulette en faïence :

collectionName : Égypte
inventoryNb : E.01630
objectName :
objectTitle : Moule pour amulette en faïence
objectCulture : Égyptienne
geography :
dating : 1349 BC - 1333 BC
material :
technique :
dimensions :
legalRightOwner : Musées royaux d'art et d'histoire/Koninklijke Musea voor Kunst en Geschiedenis

objectDescription : Ce type de moule a été retrouvé par milliers sur le site d'Amarna, par Flinders Petrie d'abord, lors de sa campagne de fouilles de 1891-1892, puis par d'autres missions postérieures. On les retrouve aussi bien dans les ateliers de production de faïence et de verre répartis dans la ville que dans les habitations proches, probablement occupées par les artisans. Petrie a fait don au musée de 93 exemplaires (E.01618-E.01711) en 1905. Ces petits moules en terre cuite permettaient de produire en série des amulettes et pendentifs en faïence de formes diverses, fleurs, plantes, divinités ou autres, à caractère symbolique et protecteur. Ils portent souvent sur leur face postérieure des empreintes de paume ou de doigts. Le présent moule était destiné à la production d'un bleuet.

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Moule pour amulette en faïence :

collectionName : Égypte
inventoryNb : E.01631
objectName :
objectTitle : Moule pour amulette en faïence
objectCulture : Égyptienne
geography :
dating : 1349 BC - 1333 BC
material :
technique :
dimensions : Dimensions H x D: 1,2 cm, 2,5 cm
legalRightOwner : Musées royaux d'art et d'histoire/Koninklijke Musea voor Kunst en Geschiedenis

objectDescription : Ce type de moule a été retrouvé par milliers sur le site d'Amarna, par Flinders Petrie d'abord, lors de sa campagne de fouilles de 1891-1892, puis par d'autres missions postérieures. On les retrouve aussi bien dans les ateliers de production de faïence et de verre répartis dans la ville que dans les habitations proches, probablement occupées par les artisans. Petrie a fait don au musée de 93 exemplaires (E.01618-E.01711) en 1905. Ces petits moules en terre cuite permettaient de produire en série des amulettes et pendentifs en faïence de formes diverses, fleurs, plantes, divinités ou autres, à caractère symbolique et protecteur. Ils portent souvent sur leur face postérieure des empreintes de paume ou de doigts. Le présent moule était destiné à la production d'un fruit du persea.

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Moule pour amulette en faïence :

collectionName : Égypte
inventoryNb : E.01632
objectName :
objectTitle : Moule pour amulette en faïence
objectCulture : Égyptienne
geography :
dating : 1349 BC - 1333 BC
material :
technique :
dimensions :
legalRightOwner : Musées royaux d'art et d'histoire/Koninklijke Musea voor Kunst en Geschiedenis

objectDescription : Ce type de moule a été retrouvé par milliers sur le site d'Amarna, par Flinders Petrie d'abord, lors de sa campagne de fouilles de 1891-1892, puis par d'autres missions postérieures. On les retrouve aussi bien dans les ateliers de production de faïence et de verre répartis dans la ville que dans les habitations proches, probablement occupées par les artisans. Petrie a fait don au musée de 93 exemplaires (E.01618-E.01711) en 1905. Ces petits moules en terre cuite permettaient de produire en série des amulettes et pendentifs en faïence de formes diverses, fleurs, plantes, divinités ou autres, à caractère symbolique et protecteur. Ils portent souvent sur leur face postérieure des empreintes de paume ou de doigts.

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Moule pour amulette en faïence :

collectionName : Égypte
inventoryNb : E.01633
objectName :
objectTitle : Moule pour amulette en faïence
objectCulture : Égyptienne
geography :
dating : 1349 BC - 1333 BC
material :
technique :
dimensions : Hauteur: 3,1 cm, Largeur: 1,2 cm
legalRightOwner : Musées royaux d'art et d'histoire/Koninklijke Musea voor Kunst en Geschiedenis

objectDescription : Ce type de moule a été retrouvé par milliers sur le site d'Amarna, par Flinders Petrie d'abord, lors de sa campagne de fouilles de 1891-1892, puis par d'autres missions postérieures. On les retrouve aussi bien dans les ateliers de production de faïence et de verre répartis dans la ville que dans les habitations proches, probablement occupées par les artisans. Petrie a fait don au musée de 93 exemplaires (E.01618-E.01711) en 1905. Ces petits moules en terre cuite permettaient de produire en série des amulettes et pendentifs en faïence de formes diverses, fleurs, plantes, divinités ou autres, à caractère symbolique et protecteur. Ils portent souvent sur leur face postérieure des empreintes de paume ou de doigts. Le présent moule était destiné à la production d'une rosette.

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Moule pour amulette en faïence :

collectionName : Égypte
inventoryNb : E.01634
objectName :
objectTitle : Moule pour amulette en faïence
objectCulture : Égyptienne
geography :
dating : 1349 BC - 1333 BC
material :
technique :
dimensions :
legalRightOwner : Musées royaux d'art et d'histoire/Koninklijke Musea voor Kunst en Geschiedenis

objectDescription : Ce type de moule a été retrouvé par milliers sur le site d'Amarna, par Flinders Petrie d'abord, lors de sa campagne de fouilles de 1891-1892, puis par d'autres missions postérieures. On les retrouve aussi bien dans les ateliers de production de faïence et de verre répartis dans la ville que dans les habitations proches, probablement occupées par les artisans. Petrie a fait don au musée de 93 exemplaires (E.01618-E.01711) en 1905. Ces petits moules en terre cuite permettaient de produire en série des amulettes et pendentifs en faïence de formes diverses, fleurs, plantes, divinités ou autres, à caractère symbolique et protecteur. Ils portent souvent sur leur face postérieure des empreintes de paume ou de doigts.

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Moule pour amulette en faïence :

collectionName : Égypte
inventoryNb : E.01635
objectName :
objectTitle : Moule pour amulette en faïence
objectCulture : Égyptienne
geography :
dating : 1349 BC - 1333 BC
material :
technique :
dimensions : Hauteur: 3,5 cm, Largeur: 3 cm, Profondeur: 1,5 cm
legalRightOwner : Musées royaux d'art et d'histoire/Koninklijke Musea voor Kunst en Geschiedenis

objectDescription : Ce type de moule a été retrouvé par milliers sur le site d'Amarna, par Flinders Petrie d'abord, lors de sa campagne de fouilles de 1891-1892, puis par d'autres missions postérieures. On les retrouve aussi bien dans les ateliers de production de faïence et de verre répartis dans la ville que dans les habitations proches, probablement occupées par les artisans. Petrie a fait don au musée de 93 exemplaires (E.01618-E.01711) en 1905. Ces petits moules en terre cuite permettaient de produire en série des amulettes et pendentifs en faïence de formes diverses, fleurs, plantes, divinités ou autres, à caractère symbolique et protecteur. Ils portent souvent sur leur face postérieure des empreintes de paume ou de doigts.

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Moule pour amulette en faïence :

collectionName : Égypte
inventoryNb : E.01636
objectName :
objectTitle : Moule pour amulette en faïence
objectCulture : Égyptienne
geography :
dating : 1349 BC - 1333 BC
material :
technique :
dimensions : Hauteur: 3,9 cm, Largeur: 3,2 cm, Profondeur: 1,3 cm
legalRightOwner : Musées royaux d'art et d'histoire/Koninklijke Musea voor Kunst en Geschiedenis

objectDescription : Ce type de moule a été retrouvé par milliers sur le site d'Amarna, par Flinders Petrie d'abord, lors de sa campagne de fouilles de 1891-1892, puis par d'autres missions postérieures. On les retrouve aussi bien dans les ateliers de production de faïence et de verre répartis dans la ville que dans les habitations proches, probablement occupées par les artisans. Petrie a fait don au musée de 93 exemplaires (E.01618-E.01711) en 1905. Ces petits moules en terre cuite permettaient de produire en série des amulettes et pendentifs en faïence de formes diverses, fleurs, plantes, divinités ou autres, à caractère symbolique et protecteur. Ils portent souvent sur leur face postérieure des empreintes de paume ou de doigts. Cet moule était destiné à produire un double cartouche au nom de Néfertiti

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Moule pour amulette en faïence :

collectionName : Égypte
inventoryNb : E.01637
objectName :
objectTitle : Moule pour amulette en faïence
objectCulture : Égyptienne
geography :
dating : 1349 BC - 1333 BC
material :
technique :
dimensions : Hauteur: 4,7 cm, Largeur: 3,1 cm, Profondeur: 1,5 cm
legalRightOwner : Musées royaux d'art et d'histoire/Koninklijke Musea voor Kunst en Geschiedenis

objectDescription : Ce type de moule a été retrouvé par milliers sur le site d'Amarna, par Flinders Petrie d'abord, lors de sa campagne de fouilles de 1891-1892, puis par d'autres missions postérieures. On les retrouve aussi bien dans les ateliers de production de faïence et de verre répartis dans la ville que dans les habitations proches, probablement occupées par les artisans. Petrie a fait don au musée de 93 exemplaires (E.01618-E.01711) en 1905. Ces petits moules en terre cuite permettaient de produire en série des amulettes et pendentifs en faïence de formes diverses, fleurs, plantes, divinités ou autres, à caractère symbolique et protecteur. Ils portent souvent sur leur face postérieure des empreintes de paume ou de doigts. Le présent moule était destiné à la production d'une datte.

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Moule pour amulette en faïence :

collectionName : Égypte
inventoryNb : E.01638
objectName :
objectTitle : Moule pour amulette en faïence
objectCulture : Égyptienne
geography :
dating : 1349 BC - 1333 BC
material :
technique :
dimensions : Hauteur: 2,4 cm, Largeur: 1,2 cm, Profondeur: 1,5 cm
legalRightOwner : Musées royaux d'art et d'histoire/Koninklijke Musea voor Kunst en Geschiedenis

objectDescription : Ce type de moule a été retrouvé par milliers sur le site d'Amarna, par Flinders Petrie d'abord, lors de sa campagne de fouilles de 1891-1892, puis par d'autres missions postérieures. On les retrouve aussi bien dans les ateliers de production de faïence et de verre répartis dans la ville que dans les habitations proches, probablement occupées par les artisans. Petrie a fait don au musée de 93 exemplaires (E.01618-E.01711) en 1905. Ces petits moules en terre cuite permettaient de produire en série des amulettes et pendentifs en faïence de formes diverses, fleurs, plantes, divinités ou autres, à caractère symbolique et protecteur. Ils portent souvent sur leur face postérieure des empreintes de paume ou de doigts. Le présent moule était destiné à la production d'une ombelle de papyrus.

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Moule pour amulette en faïence :

collectionName : Égypte
inventoryNb : E.01639
objectName :
objectTitle : Moule pour amulette en faïence
objectCulture : Égyptienne
geography :
dating : 1349 BC - 1333 BC
material :
technique :
dimensions : Hauteur: 2,9 cm, Largeur: 2,3 cm, Profondeur: 1,5 cm
legalRightOwner : Musées royaux d'art et d'histoire/Koninklijke Musea voor Kunst en Geschiedenis

objectDescription : Ce type de moule a été retrouvé par milliers sur le site d'Amarna, par Flinders Petrie d'abord, lors de sa campagne de fouilles de 1891-1892, puis par d'autres missions postérieures. On les retrouve aussi bien dans les ateliers de production de faïence et de verre répartis dans la ville que dans les habitations proches, probablement occupées par les artisans. Petrie a fait don au musée de 93 exemplaires (E.01618-E.01711) en 1905. Ces petits moules en terre cuite permettaient de produire en série des amulettes et pendentifs en faïence de formes diverses, fleurs, plantes, divinités ou autres, à caractère symbolique et protecteur. Ils portent souvent sur leur face postérieure des empreintes de paume ou de doigts. Le présent moule était destiné à la production d'un bleuet.

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Moule pour amulette en faïence :

collectionName : Égypte
inventoryNb : E.01640
objectName :
objectTitle : Moule pour amulette en faïence
objectCulture : Égyptienne
geography :
dating : 1349 BC - 1333 BC
material :
technique :
dimensions : Hauteur: 2,9 cm, Largeur: 1,4 cm, Profondeur: 1,5 cm
legalRightOwner : Musées royaux d'art et d'histoire/Koninklijke Musea voor Kunst en Geschiedenis

objectDescription : Ce type de moule a été retrouvé par milliers sur le site d'Amarna, par Flinders Petrie d'abord, lors de sa campagne de fouilles de 1891-1892, puis par d'autres missions postérieures. On les retrouve aussi bien dans les ateliers de production de faïence et de verre répartis dans la ville que dans les habitations proches, probablement occupées par les artisans. Petrie a fait don au musée de 93 exemplaires (E.01618-E.01711) en 1905. Ces petits moules en terre cuite permettaient de produire en série des amulettes et pendentifs en faïence de formes diverses, fleurs, plantes, divinités ou autres, à caractère symbolique et protecteur. Ils portent souvent sur leur face postérieure des empreintes de paume ou de doigts. Le présent moule était destiné à la production d'une grenouille.

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Moule pour amulette en faïence :

collectionName : Égypte
inventoryNb : E.01641
objectName :
objectTitle : Moule pour amulette en faïence
objectCulture : Égyptienne
geography :
dating : 1349 BC - 1333 BC
material :
technique :
dimensions : Hauteur: 2,8 cm, Largeur: 2,3 cm, Profondeur: 0,7 cm
legalRightOwner : Musées royaux d'art et d'histoire/Koninklijke Musea voor Kunst en Geschiedenis

objectDescription : Ce type de moule a été retrouvé par milliers sur le site d'Amarna, par Flinders Petrie d'abord, lors de sa campagne de fouilles de 1891-1892, puis par d'autres missions postérieures. On les retrouve aussi bien dans les ateliers de production de faïence et de verre répartis dans la ville que dans les habitations proches, probablement occupées par les artisans. Petrie a fait don au musée de 93 exemplaires (E.01618-E.01711) en 1905. Ces petits moules en terre cuite permettaient de produire en série des amulettes et pendentifs en faïence de formes diverses, fleurs, plantes, divinités ou autres, à caractère symbolique et protecteur. Ils portent souvent sur leur face postérieure des empreintes de paume ou de doigts. Le présent moule était destiné à la production d'un bleuet.

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Moule pour amulette en faïence :

collectionName : Égypte
inventoryNb : E.01642
objectName :
objectTitle : Moule pour amulette en faïence
objectCulture : Égyptienne
geography :
dating : 1349 BC - 1333 BC
material :
technique :
dimensions :
legalRightOwner : Musées royaux d'art et d'histoire/Koninklijke Musea voor Kunst en Geschiedenis

objectDescription : Ce type de moule a été retrouvé par milliers sur le site d'Amarna, par Flinders Petrie d'abord, lors de sa campagne de fouilles de 1891-1892, puis par d'autres missions postérieures. On les retrouve aussi bien dans les ateliers de production de faïence et de verre répartis dans la ville que dans les habitations proches, probablement occupées par les artisans. Petrie a fait don au musée de 93 exemplaires (E.01618-E.01711) en 1905. Ces petits moules en terre cuite permettaient de produire en série des amulettes et pendentifs en faïence de formes diverses, fleurs, plantes, divinités ou autres, à caractère symbolique et protecteur. Ils portent souvent sur leur face postérieure des empreintes de paume ou de doigts.

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Moule pour amulette en faïence :

collectionName : Égypte
inventoryNb : E.01643
objectName :
objectTitle : Moule pour amulette en faïence
objectCulture : Égyptienne
geography :
dating : 1349 BC - 1333 BC
material :
technique :
dimensions : Hauteur: 3 cm, Largeur: 2,5 cm, Profondeur: 0,7 cm
legalRightOwner : Musées royaux d'art et d'histoire/Koninklijke Musea voor Kunst en Geschiedenis

objectDescription : Ce type de moule a été retrouvé par milliers sur le site d'Amarna, par Flinders Petrie d'abord, lors de sa campagne de fouilles de 1891-1892, puis par d'autres missions postérieures. On les retrouve aussi bien dans les ateliers de production de faïence et de verre répartis dans la ville que dans les habitations proches, probablement occupées par les artisans. Petrie a fait don au musée de 93 exemplaires (E.01618-E.01711) en 1905. Ces petits moules en terre cuite permettaient de produire en série des amulettes et pendentifs en faïence de formes diverses, fleurs, plantes, divinités ou autres, à caractère symbolique et protecteur. Ils portent souvent sur leur face postérieure des empreintes de paume ou de doigts. Le présent moule était destiné à la production d'une rosette.

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Moule pour amulette en faïence :

collectionName : Égypte
inventoryNb : E.01644
objectName :
objectTitle : Moule pour amulette en faïence
objectCulture : Égyptienne
geography :
dating : 1349 BC - 1333 BC
material :
technique :
dimensions : Hauteur: 3,2 cm, Largeur: 2,3 cm, Profondeur: 1,2 cm
legalRightOwner : Musées royaux d'art et d'histoire/Koninklijke Musea voor Kunst en Geschiedenis

objectDescription : Ce type de moule a été retrouvé par milliers sur le site d'Amarna, par Flinders Petrie d'abord, lors de sa campagne de fouilles de 1891-1892, puis par d'autres missions postérieures. On les retrouve aussi bien dans les ateliers de production de faïence et de verre répartis dans la ville que dans les habitations proches, probablement occupées par les artisans. Petrie a fait don au musée de 93 exemplaires (E.01618-E.01711) en 1905. Ces petits moules en terre cuite permettaient de produire en série des amulettes et pendentifs en faïence de formes diverses, fleurs, plantes, divinités ou autres, à caractère symbolique et protecteur. Ils portent souvent sur leur face postérieure des empreintes de paume ou de doigts.

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Moule pour amulette en faïence :

collectionName : Égypte
inventoryNb : E.01645
objectName :
objectTitle : Moule pour amulette en faïence
objectCulture : Égyptienne
geography :
dating : 1349 BC - 1333 BC
material :
technique :
dimensions : Hauteur: 2,9 cm, Largeur: 2,6 cm, Profondeur: 1,3 cm
legalRightOwner : Musées royaux d'art et d'histoire/Koninklijke Musea voor Kunst en Geschiedenis

objectDescription : Ce type de moule a été retrouvé par milliers sur le site d'Amarna, par Flinders Petrie d'abord, lors de sa campagne de fouilles de 1891-1892, puis par d'autres missions postérieures. On les retrouve aussi bien dans les ateliers de production de faïence et de verre répartis dans la ville que dans les habitations proches, probablement occupées par les artisans. Petrie a fait don au musée de 93 exemplaires (E.01618-E.01711) en 1905. Ces petits moules en terre cuite permettaient de produire en série des amulettes et pendentifs en faïence de formes diverses, fleurs, plantes, divinités ou autres, à caractère symbolique et protecteur. Ils portent souvent sur leur face postérieure des empreintes de paume ou de doigts. Le présent moule était destiné à la production d'un bleuet.

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Moule pour amulette en faïence :

collectionName : Égypte
inventoryNb : E.01646
objectName :
objectTitle : Moule pour amulette en faïence
objectCulture : Égyptienne
geography :
dating : 1349 BC - 1333 BC
material :
technique :
dimensions : Hauteur: 3,6 cm, Largeur: 2,7 cm, Profondeur: 1,1 cm
legalRightOwner : Musées royaux d'art et d'histoire/Koninklijke Musea voor Kunst en Geschiedenis

objectDescription : Ce type de moule a été retrouvé par milliers sur le site d'Amarna, par Flinders Petrie d'abord, lors de sa campagne de fouilles de 1891-1892, puis par d'autres missions postérieures. On les retrouve aussi bien dans les ateliers de production de faïence et de verre répartis dans la ville que dans les habitations proches, probablement occupées par les artisans. Petrie a fait don au musée de 93 exemplaires (E.01618-E.01711) en 1905. Ces petits moules en terre cuite permettaient de produire en série des amulettes et pendentifs en faïence de formes diverses, fleurs, plantes, divinités ou autres, à caractère symbolique et protecteur. Ils portent souvent sur leur face postérieure des empreintes de paume ou de doigts.

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Moule pour amulette en faïence :

collectionName : Égypte
inventoryNb : E.01647
objectName :
objectTitle : Moule pour amulette en faïence
objectCulture : Égyptienne
geography :
dating : 1349 BC - 1333 BC
material :
technique :
dimensions : Hauteur: 2,2 cm, Largeur: 1 cm
legalRightOwner : Musées royaux d'art et d'histoire/Koninklijke Musea voor Kunst en Geschiedenis

objectDescription : Ce type de moule a été retrouvé par milliers sur le site d'Amarna, par Flinders Petrie d'abord, lors de sa campagne de fouilles de 1891-1892, puis par d'autres missions postérieures. On les retrouve aussi bien dans les ateliers de production de faïence et de verre répartis dans la ville que dans les habitations proches, probablement occupées par les artisans. Petrie a fait don au musée de 93 exemplaires (E.01618-E.01711) en 1905. Ces petits moules en terre cuite permettaient de produire en série des amulettes et pendentifs en faïence de formes diverses, fleurs, plantes, divinités ou autres, à caractère symbolique et protecteur. Ils portent souvent sur leur face postérieure des empreintes de paume ou de doigts. Le présent moule était destiné à la production d'une fleur.

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Moule pour amulette en faïence :

collectionName : Égypte
inventoryNb : E.01648
objectName :
objectTitle : Moule pour amulette en faïence
objectCulture : Égyptienne
geography :
dating : 1349 BC - 1333 BC
material :
technique :
dimensions : Hauteur: 2,4 cm, Largeur: 1,3 cm
legalRightOwner : Musées royaux d'art et d'histoire/Koninklijke Musea voor Kunst en Geschiedenis

objectDescription : Ce type de moule a été retrouvé par milliers sur le site d'Amarna, par Flinders Petrie d'abord, lors de sa campagne de fouilles de 1891-1892, puis par d'autres missions postérieures. On les retrouve aussi bien dans les ateliers de production de faïence et de verre répartis dans la ville que dans les habitations proches, probablement occupées par les artisans. Petrie a fait don au musée de 93 exemplaires (E.01618-E.01711) en 1905. Ces petits moules en terre cuite permettaient de produire en série des amulettes et pendentifs en faïence de formes diverses, fleurs, plantes, divinités ou autres, à caractère symbolique et protecteur. Ils portent souvent sur leur face postérieure des empreintes de paume ou de doigts. Le présent moule était destiné à la production d'une rosette.

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Moule pour amulette en faïence :

collectionName : Égypte
inventoryNb : E.01649
objectName :
objectTitle : Moule pour amulette en faïence
objectCulture : Égyptienne
geography :
dating : 1349 BC - 1333 BC
material :
technique :
dimensions : Hauteur: 3,3 cm, Largeur: 2,5 cm, Profondeur: 1,2 cm
legalRightOwner : Musées royaux d'art et d'histoire/Koninklijke Musea voor Kunst en Geschiedenis

objectDescription : Ce type de moule a été retrouvé par milliers sur le site d'Amarna, par Flinders Petrie d'abord, lors de sa campagne de fouilles de 1891-1892, puis par d'autres missions postérieures. On les retrouve aussi bien dans les ateliers de production de faïence et de verre répartis dans la ville que dans les habitations proches, probablement occupées par les artisans. Petrie a fait don au musée de 93 exemplaires (E.01618-E.01711) en 1905. Ces petits moules en terre cuite permettaient de produire en série des amulettes et pendentifs en faïence de formes diverses, fleurs, plantes, divinités ou autres, à caractère symbolique et protecteur. Ils portent souvent sur leur face postérieure des empreintes de paume ou de doigts. Le présent moule était destiné à la production d'une datte.

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Moule pour amulette en faïence :

collectionName : Égypte
inventoryNb : E.01650
objectName :
objectTitle : Moule pour amulette en faïence
objectCulture : Égyptienne
geography :
dating : 1349 BC - 1333 BC
material :
technique :
dimensions : Hauteur: 2,5 cm, Largeur: 2 cm, Profondeur: 1,3 cm
legalRightOwner : Musées royaux d'art et d'histoire/Koninklijke Musea voor Kunst en Geschiedenis

objectDescription : Ce type de moule a été retrouvé par milliers sur le site d'Amarna, par Flinders Petrie d'abord, lors de sa campagne de fouilles de 1891-1892, puis par d'autres missions postérieures. On les retrouve aussi bien dans les ateliers de production de faïence et de verre répartis dans la ville que dans les habitations proches, probablement occupées par les artisans. Petrie a fait don au musée de 93 exemplaires (E.01618-E.01711) en 1905. Ces petits moules en terre cuite permettaient de produire en série des amulettes et pendentifs en faïence de formes diverses, fleurs, plantes, divinités ou autres, à caractère symbolique et protecteur. Ils portent souvent sur leur face postérieure des empreintes de paume ou de doigts. Le présent moule était destiné à la production d'un lys.

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Moule pour amulette en faïence :

collectionName : Égypte
inventoryNb : E.01651
objectName :
objectTitle : Moule pour amulette en faïence
objectCulture : Égyptienne
geography :
dating : 1349 BC - 1333 BC
material :
technique :
dimensions : Hauteur: 3,3 cm, Largeur: 2,8 cm, Profondeur: 1,3 cm
legalRightOwner : Musées royaux d'art et d'histoire/Koninklijke Musea voor Kunst en Geschiedenis

objectDescription : Ce type de moule a été retrouvé par milliers sur le site d'Amarna, par Flinders Petrie d'abord, lors de sa campagne de fouilles de 1891-1892, puis par d'autres missions postérieures. On les retrouve aussi bien dans les ateliers de production de faïence et de verre répartis dans la ville que dans les habitations proches, probablement occupées par les artisans. Petrie a fait don au musée de 93 exemplaires (E.01618-E.01711) en 1905. Ces petits moules en terre cuite permettaient de produire en série des amulettes et pendentifs en faïence de formes diverses, fleurs, plantes, divinités ou autres, à caractère symbolique et protecteur. Ils portent souvent sur leur face postérieure des empreintes de paume ou de doigts. Le présent moule était destiné à la production d'un lys.

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Moule pour amulette en faïence :

collectionName : Égypte
inventoryNb : E.01652
objectName :
objectTitle : Moule pour amulette en faïence
objectCulture : Égyptienne
geography :
dating : 1349 BC - 1333 BC
material :
technique :
dimensions : Hauteur: 2,4 cm, Largeur: 1,3 cm
legalRightOwner : Musées royaux d'art et d'histoire/Koninklijke Musea voor Kunst en Geschiedenis

objectDescription : Ce type de moule a été retrouvé par milliers sur le site d'Amarna, par Flinders Petrie d'abord, lors de sa campagne de fouilles de 1891-1892, puis par d'autres missions postérieures. On les retrouve aussi bien dans les ateliers de production de faïence et de verre répartis dans la ville que dans les habitations proches, probablement occupées par les artisans. Petrie a fait don au musée de 93 exemplaires (E.01618-E.01711) en 1905. Ces petits moules en terre cuite permettaient de produire en série des amulettes et pendentifs en faïence de formes diverses, fleurs, plantes, divinités ou autres, à caractère symbolique et protecteur. Ils portent souvent sur leur face postérieure des empreintes de paume ou de doigts. Le présent moule était destiné à la production d'une fleur.

↑ , Moule pour amulette en faïence:

Moule pour amulette en faïence :

collectionName : Égypte
inventoryNb : E.01653
objectName :
objectTitle : Moule pour amulette en faïence
objectCulture : Égyptienne
geography :
dating : 1349 BC - 1333 BC
material :
technique :
dimensions : Hauteur: 4,9 cm, Largeur: 3,4 cm, Profondeur: 1,4 cm
legalRightOwner : Musées royaux d'art et d'histoire/Koninklijke Musea voor Kunst en Geschiedenis

objectDescription : Ce type de moule a été retrouvé par milliers sur le site d'Amarna, par Flinders Petrie d'abord, lors de sa campagne de fouilles de 1891-1892, puis par d'autres missions postérieures. On les retrouve aussi bien dans les ateliers de production de faïence et de verre répartis dans la ville que dans les habitations proches, probablement occupées par les artisans. Petrie a fait don au musée de 93 exemplaires (E.01618-E.01711) en 1905. Ces petits moules en terre cuite permettaient de produire en série des amulettes et pendentifs en faïence de formes diverses, fleurs, plantes, divinités ou autres, à caractère symbolique et protecteur. Ils portent souvent sur leur face postérieure des empreintes de paume ou de doigts. Le présent moule était destiné à la production d'une perle oblongue.

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Moule pour amulette en faïence :

collectionName : Égypte
inventoryNb : E.01654
objectName :
objectTitle : Moule pour amulette en faïence
objectCulture : Égyptienne
geography :
dating : 1349 BC - 1333 BC
material :
technique :
dimensions : Hauteur: 3,3 cm, Largeur: 1,3 cm
legalRightOwner : Musées royaux d'art et d'histoire/Koninklijke Musea voor Kunst en Geschiedenis

objectDescription : Ce type de moule a été retrouvé par milliers sur le site d'Amarna, par Flinders Petrie d'abord, lors de sa campagne de fouilles de 1891-1892, puis par d'autres missions postérieures. On les retrouve aussi bien dans les ateliers de production de faïence et de verre répartis dans la ville que dans les habitations proches, probablement occupées par les artisans. Petrie a fait don au musée de 93 exemplaires (E.01618-E.01711) en 1905. Ces petits moules en terre cuite permettaient de produire en série des amulettes et pendentifs en faïence de formes diverses, fleurs, plantes, divinités ou autres, à caractère symbolique et protecteur. Ils portent souvent sur leur face postérieure des empreintes de paume ou de doigts. Le présent moule était destiné à la production d'une mandragore.

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Moule pour amulette en faïence :

collectionName : Égypte
inventoryNb : E.01655
objectName :
objectTitle : Moule pour amulette en faïence
objectCulture : Égyptienne
geography :
dating : 1349 BC - 1333 BC
material :
technique :
dimensions : Hauteur: 3,3 cm, Largeur: 1,2 cm
legalRightOwner : Musées royaux d'art et d'histoire/Koninklijke Musea voor Kunst en Geschiedenis

objectDescription : Ce type de moule a été retrouvé par milliers sur le site d'Amarna, par Flinders Petrie d'abord, lors de sa campagne de fouilles de 1891-1892, puis par d'autres missions postérieures. On les retrouve aussi bien dans les ateliers de production de faïence et de verre répartis dans la ville que dans les habitations proches, probablement occupées par les artisans. Petrie a fait don au musée de 93 exemplaires (E.01618-E.01711) en 1905. Ces petits moules en terre cuite permettaient de produire en série des amulettes et pendentifs en faïence de formes diverses, fleurs, plantes, divinités ou autres, à caractère symbolique et protecteur. Ils portent souvent sur leur face postérieure des empreintes de paume ou de doigts. Le présent moule était destiné à la production d'une rosette.

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Moule pour amulette en faïence :

collectionName : Égypte
inventoryNb : E.01656
objectName :
objectTitle : Moule pour amulette en faïence
objectCulture : Égyptienne
geography :
dating : 1349 BC - 1333 BC
material :
technique :
dimensions : Hauteur: 5,7 cm, Largeur: 3 cm, Profondeur: 1,2 cm
legalRightOwner : Musées royaux d'art et d'histoire/Koninklijke Musea voor Kunst en Geschiedenis

objectDescription : Ce type de moule a été retrouvé par milliers sur le site d'Amarna, par Flinders Petrie d'abord, lors de sa campagne de fouilles de 1891-1892, puis par d'autres missions postérieures. On les retrouve aussi bien dans les ateliers de production de faïence et de verre répartis dans la ville que dans les habitations proches, probablement occupées par les artisans. Petrie a fait don au musée de 93 exemplaires (E.01618-E.01711) en 1905. Ces petits moules en terre cuite permettaient de produire en série des amulettes et pendentifs en faïence de formes diverses, fleurs, plantes, divinités ou autres, à caractère symbolique et protecteur. Ils portent souvent sur leur face postérieure des empreintes de paume ou de doigts. Le présent moule était destiné à la production d'une feuille.

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Moule pour amulette en faïence :

collectionName : Égypte
inventoryNb : E.01657
objectName :
objectTitle : Moule pour amulette en faïence
objectCulture : Égyptienne
geography :
dating : 1349 BC - 1333 BC
material :
technique :
dimensions :
legalRightOwner : Musées royaux d'art et d'histoire/Koninklijke Musea voor Kunst en Geschiedenis

objectDescription : Ce type de moule a été retrouvé par milliers sur le site d'Amarna, par Flinders Petrie d'abord, lors de sa campagne de fouilles de 1891-1892, puis par d'autres missions postérieures. On les retrouve aussi bien dans les ateliers de production de faïence et de verre répartis dans la ville que dans les habitations proches, probablement occupées par les artisans. Petrie a fait don au musée de 93 exemplaires (E.01618-E.01711) en 1905. Ces petits moules en terre cuite permettaient de produire en série des amulettes et pendentifs en faïence de formes diverses, fleurs, plantes, divinités ou autres, à caractère symbolique et protecteur. Ils portent souvent sur leur face postérieure des empreintes de paume ou de doigts.

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Moule pour amulette en faïence :

collectionName : Égypte
inventoryNb : E.01658
objectName :
objectTitle : Moule pour amulette en faïence
objectCulture : Égyptienne
geography :
dating : 1349 BC - 1333 BC
material :
technique :
dimensions : Hauteur: 2,3 cm, Largeur: 1,2 cm
legalRightOwner : Musées royaux d'art et d'histoire/Koninklijke Musea voor Kunst en Geschiedenis

objectDescription : Ce type de moule a été retrouvé par milliers sur le site d'Amarna, par Flinders Petrie d'abord, lors de sa campagne de fouilles de 1891-1892, puis par d'autres missions postérieures. On les retrouve aussi bien dans les ateliers de production de faïence et de verre répartis dans la ville que dans les habitations proches, probablement occupées par les artisans. Petrie a fait don au musée de 93 exemplaires (E.01618-E.01711) en 1905. Ces petits moules en terre cuite permettaient de produire en série des amulettes et pendentifs en faïence de formes diverses, fleurs, plantes, divinités ou autres, à caractère symbolique et protecteur. Ils portent souvent sur leur face postérieure des empreintes de paume ou de doigts. Le présent moule était destiné à la production d'une fleur de lys.

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Moule pour amulette en faïence :

collectionName : Égypte
inventoryNb : E.01659
objectName :
objectTitle : Moule pour amulette en faïence
objectCulture : Égyptienne
geography :
dating : 1349 BC - 1333 BC
material :
technique :
dimensions : Hauteur: 2,9 cm, Largeur: 2,1 cm, Profondeur: 1 cm
legalRightOwner : Musées royaux d'art et d'histoire/Koninklijke Musea voor Kunst en Geschiedenis

objectDescription : Ce type de moule a été retrouvé par milliers sur le site d'Amarna, par Flinders Petrie d'abord, lors de sa campagne de fouilles de 1891-1892, puis par d'autres missions postérieures. On les retrouve aussi bien dans les ateliers de production de faïence et de verre répartis dans la ville que dans les habitations proches, probablement occupées par les artisans. Petrie a fait don au musée de 93 exemplaires (E.01618-E.01711) en 1905. Ces petits moules en terre cuite permettaient de produire en série des amulettes et pendentifs en faïence de formes diverses, fleurs, plantes, divinités ou autres, à caractère symbolique et protecteur. Ils portent souvent sur leur face postérieure des empreintes de paume ou de doigts. Le présent moule était destiné à la production d'un bleuet.

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Moule pour amulette en faïence :

collectionName : Égypte
inventoryNb : E.01660
objectName :
objectTitle : Moule pour amulette en faïence
objectCulture : Égyptienne
geography :
dating : 1349 BC - 1333 BC
material :
technique :
dimensions : Hauteur: 3,3 cm, Largeur: 2,8 cm, Profondeur: 1,3 cm
legalRightOwner : Musées royaux d'art et d'histoire/Koninklijke Musea voor Kunst en Geschiedenis

objectDescription : Ce type de moule a été retrouvé par milliers sur le site d'Amarna, par Flinders Petrie d'abord, lors de sa campagne de fouilles de 1891-1892, puis par d'autres missions postérieures. On les retrouve aussi bien dans les ateliers de production de faïence et de verre répartis dans la ville que dans les habitations proches, probablement occupées par les artisans. Petrie a fait don au musée de 93 exemplaires (E.01618-E.01711) en 1905. Ces petits moules en terre cuite permettaient de produire en série des amulettes et pendentifs en faïence de formes diverses, fleurs, plantes, divinités ou autres, à caractère symbolique et protecteur. Ils portent souvent sur leur face postérieure des empreintes de paume ou de doigts. Le présent moule était destiné à la production d'une grappe de raisin.

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Moule pour amulette en faïence :

collectionName : Égypte
inventoryNb : E.01661
objectName :
objectTitle : Moule pour amulette en faïence
objectCulture : Égyptienne
geography :
dating : 1349 BC - 1333 BC
material :
technique :
dimensions : Hauteur: 4 cm, Largeur: 2,3 cm, Profondeur: 1,4 cm
legalRightOwner : Musées royaux d'art et d'histoire/Koninklijke Musea voor Kunst en Geschiedenis

objectDescription : Ce type de moule a été retrouvé par milliers sur le site d'Amarna, par Flinders Petrie d'abord, lors de sa campagne de fouilles de 1891-1892, puis par d'autres missions postérieures. On les retrouve aussi bien dans les ateliers de production de faïence et de verre répartis dans la ville que dans les habitations proches, probablement occupées par les artisans. Petrie a fait don au musée de 93 exemplaires (E.01618-E.01711) en 1905. Ces petits moules en terre cuite permettaient de produire en série des amulettes et pendentifs en faïence de formes diverses, fleurs, plantes, divinités ou autres, à caractère symbolique et protecteur. Ils portent souvent sur leur face postérieure des empreintes de paume ou de doigts. Le présent moule était destiné à un élément décoratif d'incrustation.

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Moule pour amulette en faïence :

collectionName : Égypte
inventoryNb : E.01662
objectName :
objectTitle : Moule pour amulette en faïence
objectCulture : Égyptienne
geography :
dating : 1349 BC - 1333 BC
material :
technique :
dimensions : Hauteur: 3,7 cm, Largeur: 1,3 cm
legalRightOwner : Musées royaux d'art et d'histoire/Koninklijke Musea voor Kunst en Geschiedenis

objectDescription : Ce type de moule a été retrouvé par milliers sur le site d'Amarna, par Flinders Petrie d'abord, lors de sa campagne de fouilles de 1891-1892, puis par d'autres missions postérieures. On les retrouve aussi bien dans les ateliers de production de faïence et de verre répartis dans la ville que dans les habitations proches, probablement occupées par les artisans. Petrie a fait don au musée de 93 exemplaires (E.01618-E.01711) en 1905. Ces petits moules en terre cuite permettaient de produire en série des amulettes et pendentifs en faïence de formes diverses, fleurs, plantes, divinités ou autres, à caractère symbolique et protecteur. Ils portent souvent sur leur face postérieure des empreintes de paume ou de doigts. Le présent moule était destiné à la production d'une perle.

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Moule pour amulette en faïence :

collectionName : Égypte
inventoryNb : E.01663
objectName :
objectTitle : Moule pour amulette en faïence
objectCulture : Égyptienne
geography :
dating : 1349 BC - 1333 BC
material :
technique :
dimensions : Hauteur: 2,4 cm, Largeur: 1,3 cm
legalRightOwner : Musées royaux d'art et d'histoire/Koninklijke Musea voor Kunst en Geschiedenis

objectDescription : Ce type de moule a été retrouvé par milliers sur le site d'Amarna, par Flinders Petrie d'abord, lors de sa campagne de fouilles de 1891-1892, puis par d'autres missions postérieures. On les retrouve aussi bien dans les ateliers de production de faïence et de verre répartis dans la ville que dans les habitations proches, probablement occupées par les artisans. Petrie a fait don au musée de 93 exemplaires (E.01618-E.01711) en 1905. Ces petits moules en terre cuite permettaient de produire en série des amulettes et pendentifs en faïence de formes diverses, fleurs, plantes, divinités ou autres, à caractère symbolique et protecteur. Ils portent souvent sur leur face postérieure des empreintes de paume ou de doigts. Le présent moule était destiné à la production d'une rosette.

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Moule pour amulette en faïence :

collectionName : Égypte
inventoryNb : E.01664
objectName :
objectTitle : Moule pour amulette en faïence
objectCulture : Égyptienne
geography :
dating : 1349 BC - 1333 BC
material :
technique :
dimensions : Hauteur: 3,7 cm, Largeur: 1,3 cm
legalRightOwner : Musées royaux d'art et d'histoire/Koninklijke Musea voor Kunst en Geschiedenis

objectDescription : Ce type de moule a été retrouvé par milliers sur le site d'Amarna, par Flinders Petrie d'abord, lors de sa campagne de fouilles de 1891-1892, puis par d'autres missions postérieures. On les retrouve aussi bien dans les ateliers de production de faïence et de verre répartis dans la ville que dans les habitations proches, probablement occupées par les artisans. Petrie a fait don au musée de 93 exemplaires (E.01618-E.01711) en 1905. Ces petits moules en terre cuite permettaient de produire en série des amulettes et pendentifs en faïence de formes diverses, fleurs, plantes, divinités ou autres, à caractère symbolique et protecteur. Ils portent souvent sur leur face postérieure des empreintes de paume ou de doigts. Le présent moule était destiné à la production d'une applique quadrangulaire.

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Moule pour amulette en faïence :

collectionName : Égypte
inventoryNb : E.01665
objectName :
objectTitle : Moule pour amulette en faïence
objectCulture : Égyptienne
geography :
dating : 1349 BC - 1333 BC
material :
technique :
dimensions : Hauteur: 3,2 cm, Largeur: 2,9 cm, Profondeur: 1,5 cm
legalRightOwner : Musées royaux d'art et d'histoire/Koninklijke Musea voor Kunst en Geschiedenis

objectDescription : Ce type de moule a été retrouvé par milliers sur le site d'Amarna, par Flinders Petrie d'abord, lors de sa campagne de fouilles de 1891-1892, puis par d'autres missions postérieures. On les retrouve aussi bien dans les ateliers de production de faïence et de verre répartis dans la ville que dans les habitations proches, probablement occupées par les artisans. Petrie a fait don au musée de 93 exemplaires (E.01618-E.01711) en 1905. Ces petits moules en terre cuite permettaient de produire en série des amulettes et pendentifs en faïence de formes diverses, fleurs, plantes, divinités ou autres, à caractère symbolique et protecteur. Ils portent souvent sur leur face postérieure des empreintes de paume ou de doigts. Le présent moule était destiné à la production d'un babouin.

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Moule pour amulette en faïence :

collectionName : Égypte
inventoryNb : E.01666
objectName :
objectTitle : Moule pour amulette en faïence
objectCulture : Égyptienne
geography :
dating : 1349 BC - 1333 BC
material :
technique :
dimensions : Hauteur: 3,7 cm, Largeur: 3,5 cm, Profondeur: 1,6 cm
legalRightOwner : Musées royaux d'art et d'histoire/Koninklijke Musea voor Kunst en Geschiedenis

objectDescription : Ce type de moule a été retrouvé par milliers sur le site d'Amarna, par Flinders Petrie d'abord, lors de sa campagne de fouilles de 1891-1892, puis par d'autres missions postérieures. On les retrouve aussi bien dans les ateliers de production de faïence et de verre répartis dans la ville que dans les habitations proches, probablement occupées par les artisans. Petrie a fait don au musée de 93 exemplaires (E.01618-E.01711) en 1905. Ces petits moules en terre cuite permettaient de produire en série des amulettes et pendentifs en faïence de formes diverses, fleurs, plantes, divinités ou autres, à caractère symbolique et protecteur. Ils portent souvent sur leur face postérieure des empreintes de paume ou de doigts.

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Moule pour amulette en faïence :

collectionName : Égypte
inventoryNb : E.01667
objectName :
objectTitle : Moule pour amulette en faïence
objectCulture : Égyptienne
geography :
dating : 1349 BC - 1333 BC
material :
technique :
dimensions : Hauteur: 4,4 cm, Largeur: 1,8 cm
legalRightOwner : Musées royaux d'art et d'histoire/Koninklijke Musea voor Kunst en Geschiedenis

objectDescription : Ce type de moule a été retrouvé par milliers sur le site d'Amarna, par Flinders Petrie d'abord, lors de sa campagne de fouilles de 1891-1892, puis par d'autres missions postérieures. On les retrouve aussi bien dans les ateliers de production de faïence et de verre répartis dans la ville que dans les habitations proches, probablement occupées par les artisans. Petrie a fait don au musée de 93 exemplaires (E.01618-E.01711) en 1905. Ces petits moules en terre cuite permettaient de produire en série des amulettes et pendentifs en faïence de formes diverses, fleurs, plantes, divinités ou autres, à caractère symbolique et protecteur. Ils portent souvent sur leur face postérieure des empreintes de paume ou de doigts. Le présent moule était destiné à la production d'une partie d'un anneau de bague.

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Moule pour amulette en faïence :

collectionName : Égypte
inventoryNb : E.01668
objectName :
objectTitle : Moule pour amulette en faïence
objectCulture : Égyptienne
geography :
dating : 1349 BC - 1333 BC
material :
technique :
dimensions : Hauteur: 4,5 cm, Largeur: 3,3 cm, Profondeur: 1,3 cm
legalRightOwner : Musées royaux d'art et d'histoire/Koninklijke Musea voor Kunst en Geschiedenis

objectDescription : Ce type de moule a été retrouvé par milliers sur le site d'Amarna, par Flinders Petrie d'abord, lors de sa campagne de fouilles de 1891-1892, puis par d'autres missions postérieures. On les retrouve aussi bien dans les ateliers de production de faïence et de verre répartis dans la ville que dans les habitations proches, probablement occupées par les artisans. Petrie a fait don au musée de 93 exemplaires (E.01618-E.01711) en 1905. Ces petits moules en terre cuite permettaient de produire en série des amulettes et pendentifs en faïence de formes diverses, fleurs, plantes, divinités ou autres, à caractère symbolique et protecteur. Ils portent souvent sur leur face postérieure des empreintes de paume ou de doigts. Le présent moule était destiné à la production d'une figurine du dieu Bès de face.

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Moule pour amulette en faïence :

collectionName : Égypte
inventoryNb : E.01669
objectName :
objectTitle : Moule pour amulette en faïence
objectCulture : Égyptienne
geography :
dating : 1349 BC - 1333 BC
material :
technique :
dimensions : Hauteur: 4,4 cm, Largeur: 3,2 cm, Profondeur: 1,2 cm
legalRightOwner : Musées royaux d'art et d'histoire/Koninklijke Musea voor Kunst en Geschiedenis

objectDescription : Ce type de moule a été retrouvé par milliers sur le site d'Amarna, par Flinders Petrie d'abord, lors de sa campagne de fouilles de 1891-1892, puis par d'autres missions postérieures. On les retrouve aussi bien dans les ateliers de production de faïence et de verre répartis dans la ville que dans les habitations proches, probablement occupées par les artisans. Petrie a fait don au musée de 93 exemplaires (E.01618-E.01711) en 1905. Ces petits moules en terre cuite permettaient de produire en série des amulettes et pendentifs en faïence de formes diverses, fleurs, plantes, divinités ou autres, à caractère symbolique et protecteur. Ils portent souvent sur leur face postérieure des empreintes de paume ou de doigts. Le présent moule était destiné à la production d'un bleuet.

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Moule pour amulette en faïence :

collectionName : Égypte
inventoryNb : E.01670
objectName :
objectTitle : Moule pour amulette en faïence
objectCulture : Égyptienne
geography :
dating : 1349 BC - 1333 BC
material :
technique :
dimensions : Hauteur: 3,9 cm, Largeur: 3,2 cm, Profondeur: 1,4 cm
legalRightOwner : Musées royaux d'art et d'histoire/Koninklijke Musea voor Kunst en Geschiedenis

objectDescription : Ce type de moule a été retrouvé par milliers sur le site d'Amarna, par Flinders Petrie d'abord, lors de sa campagne de fouilles de 1891-1892, puis par d'autres missions postérieures. On les retrouve aussi bien dans les ateliers de production de faïence et de verre répartis dans la ville que dans les habitations proches, probablement occupées par les artisans. Petrie a fait don au musée de 93 exemplaires (E.01618-E.01711) en 1905. Ces petits moules en terre cuite permettaient de produire en série des amulettes et pendentifs en faïence de formes diverses, fleurs, plantes, divinités ou autres, à caractère symbolique et protecteur. Ils portent souvent sur leur face postérieure des empreintes de paume ou de doigts. Le présent moule était destiné à la production d'une amulette en forme de double cartouche au nom d'Aton.

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Moule pour amulette en faïence :

collectionName : Égypte
inventoryNb : E.01671
objectName :
objectTitle : Moule pour amulette en faïence
objectCulture : Égyptienne
geography :
dating : 1349 BC - 1333 BC
material :
technique :
dimensions : Hauteur: 4,3 cm, Largeur: 2,7 cm, Profondeur: 1,5 cm
legalRightOwner : Musées royaux d'art et d'histoire/Koninklijke Musea voor Kunst en Geschiedenis

objectDescription : Ce type de moule a été retrouvé par milliers sur le site d'Amarna, par Flinders Petrie d'abord, lors de sa campagne de fouilles de 1891-1892, puis par d'autres missions postérieures. On les retrouve aussi bien dans les ateliers de production de faïence et de verre répartis dans la ville que dans les habitations proches, probablement occupées par les artisans. Petrie a fait don au musée de 93 exemplaires (E.01618-E.01711) en 1905. Ces petits moules en terre cuite permettaient de produire en série des amulettes et pendentifs en faïence de formes diverses, fleurs, plantes, divinités ou autres, à caractère symbolique et protecteur. Ils portent souvent sur leur face postérieure des empreintes de paume ou de doigts. Le présent moule était destiné à la production d'une feuille.

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Moule pour amulette en faïence :

collectionName : Égypte
inventoryNb : E.01672
objectName :
objectTitle : Moule pour amulette en faïence
objectCulture : Égyptienne
geography :
dating : 1349 BC - 1333 BC
material :
technique :
dimensions : Hauteur: 4,4 cm, Largeur: 2,7 cm, Profondeur: 1,4 cm
legalRightOwner : Musées royaux d'art et d'histoire/Koninklijke Musea voor Kunst en Geschiedenis

objectDescription : Ce type de moule a été retrouvé par milliers sur le site d'Amarna, par Flinders Petrie d'abord, lors de sa campagne de fouilles de 1891-1892, puis par d'autres missions postérieures. On les retrouve aussi bien dans les ateliers de production de faïence et de verre répartis dans la ville que dans les habitations proches, probablement occupées par les artisans. Petrie a fait don au musée de 93 exemplaires (E.01618-E.01711) en 1905. Ces petits moules en terre cuite permettaient de produire en série des amulettes et pendentifs en faïence de formes diverses, fleurs, plantes, divinités ou autres, à caractère symbolique et protecteur. Ils portent souvent sur leur face postérieure des empreintes de paume ou de doigts. Le présent moule était destiné à la production d'une patte antérieure de boeuf.

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Moule pour amulette en faïence :

collectionName : Égypte
inventoryNb : E.01673
objectName :
objectTitle : Moule pour amulette en faïence
objectCulture : Égyptienne
geography :
dating : 1349 BC - 1333 BC
material :
technique :
dimensions :
legalRightOwner : Musées royaux d'art et d'histoire/Koninklijke Musea voor Kunst en Geschiedenis

objectDescription : Ce type de moule a été retrouvé par milliers sur le site d'Amarna, par Flinders Petrie d'abord, lors de sa campagne de fouilles de 1891-1892, puis par d'autres missions postérieures. On les retrouve aussi bien dans les ateliers de production de faïence et de verre répartis dans la ville que dans les habitations proches, probablement occupées par les artisans. Petrie a fait don au musée de 93 exemplaires (E.01618-E.01711) en 1905. Ces petits moules en terre cuite permettaient de produire en série des amulettes et pendentifs en faïence de formes diverses, fleurs, plantes, divinités ou autres, à caractère symbolique et protecteur. Ils portent souvent sur leur face postérieure des empreintes de paume ou de doigts.

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Moule pour amulette en faïence :

collectionName : Égypte
inventoryNb : E.01674
objectName :
objectTitle : Moule pour amulette en faïence
objectCulture : Égyptienne
geography :
dating : 1349 BC - 1333 BC
material :
technique :
dimensions : Hauteur: 3,5 cm, Largeur: 2,7 cm, Profondeur: 1,2 cm
legalRightOwner : Musées royaux d'art et d'histoire/Koninklijke Musea voor Kunst en Geschiedenis

objectDescription : Ce type de moule a été retrouvé par milliers sur le site d'Amarna, par Flinders Petrie d'abord, lors de sa campagne de fouilles de 1891-1892, puis par d'autres missions postérieures. On les retrouve aussi bien dans les ateliers de production de faïence et de verre répartis dans la ville que dans les habitations proches, probablement occupées par les artisans. Petrie a fait don au musée de 93 exemplaires (E.01618-E.01711) en 1905. Ces petits moules en terre cuite permettaient de produire en série des amulettes et pendentifs en faïence de formes diverses, fleurs, plantes, divinités ou autres, à caractère symbolique et protecteur. Ils portent souvent sur leur face postérieure des empreintes de paume ou de doigts. Le présent moule était destiné à la production d'une figurine du dieu Bès jouant du tambour.

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Moule pour amulette en faïence :

collectionName : Égypte
inventoryNb : E.01675
objectName :
objectTitle : Moule pour amulette en faïence
objectCulture : Égyptienne
geography :
dating : 1349 BC - 1333 BC
material :
technique :
dimensions : Hauteur: 3,6 cm, Largeur: 2 cm, Profondeur: 1,1 cm
legalRightOwner : Musées royaux d'art et d'histoire/Koninklijke Musea voor Kunst en Geschiedenis

objectDescription : Ce type de moule a été retrouvé par milliers sur le site d'Amarna, par Flinders Petrie d'abord, lors de sa campagne de fouilles de 1891-1892, puis par d'autres missions postérieures. On les retrouve aussi bien dans les ateliers de production de faïence et de verre répartis dans la ville que dans les habitations proches, probablement occupées par les artisans. Petrie a fait don au musée de 93 exemplaires (E.01618-E.01711) en 1905. Ces petits moules en terre cuite permettaient de produire en série des amulettes et pendentifs en faïence de formes diverses, fleurs, plantes, divinités ou autres, à caractère symbolique et protecteur. Ils portent souvent sur leur face postérieure des empreintes de paume ou de doigts. Le présent moule était destiné à la production d'une feuille.

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Moule pour amulette en faïence :

collectionName : Égypte
inventoryNb : E.01676
objectName :
objectTitle : Moule pour amulette en faïence
objectCulture : Égyptienne
geography :
dating : 1349 BC - 1333 BC
material :
technique :
dimensions : Hauteur: 2,7 cm, Largeur: 2,3 cm, Profondeur: 1,2 cm
legalRightOwner : Musées royaux d'art et d'histoire/Koninklijke Musea voor Kunst en Geschiedenis

objectDescription : Ce type de moule a été retrouvé par milliers sur le site d'Amarna, par Flinders Petrie d'abord, lors de sa campagne de fouilles de 1891-1892, puis par d'autres missions postérieures. On les retrouve aussi bien dans les ateliers de production de faïence et de verre répartis dans la ville que dans les habitations proches, probablement occupées par les artisans. Petrie a fait don au musée de 93 exemplaires (E.01618-E.01711) en 1905. Ces petits moules en terre cuite permettaient de produire en série des amulettes et pendentifs en faïence de formes diverses, fleurs, plantes, divinités ou autres, à caractère symbolique et protecteur. Ils portent souvent sur leur face postérieure des empreintes de paume ou de doigts. Le présent moule était destiné à la production d'une figurine du dieu Bès jouant du tambour.

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Moule pour amulette en faïence :

collectionName : Égypte
inventoryNb : E.01677
objectName :
objectTitle : Moule pour amulette en faïence
objectCulture : Égyptienne
geography :
dating : 1349 BC - 1333 BC
material :
technique :
dimensions : Hauteur: 2,9 cm, Largeur: 1,1 cm
legalRightOwner : Musées royaux d'art et d'histoire/Koninklijke Musea voor Kunst en Geschiedenis

objectDescription : Ce type de moule a été retrouvé par milliers sur le site d'Amarna, par Flinders Petrie d'abord, lors de sa campagne de fouilles de 1891-1892, puis par d'autres missions postérieures. On les retrouve aussi bien dans les ateliers de production de faïence et de verre répartis dans la ville que dans les habitations proches, probablement occupées par les artisans. Petrie a fait don au musée de 93 exemplaires (E.01618-E.01711) en 1905. Ces petits moules en terre cuite permettaient de produire en série des amulettes et pendentifs en faïence de formes diverses, fleurs, plantes, divinités ou autres, à caractère symbolique et protecteur. Ils portent souvent sur leur face postérieure des empreintes de paume ou de doigts. Le présent moule était destiné à la production d'une fleur de lys.

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Moule pour amulette en faïence :

collectionName : Égypte
inventoryNb : E.01678
objectName :
objectTitle : Moule pour amulette en faïence
objectCulture : Égyptienne
geography :
dating : 1349 BC - 1333 BC
material :
technique :
dimensions : Hauteur: 3,1 cm, Largeur: 2,3 cm, Profondeur: 1,3 cm
legalRightOwner : Musées royaux d'art et d'histoire/Koninklijke Musea voor Kunst en Geschiedenis

objectDescription : Ce type de moule a été retrouvé par milliers sur le site d'Amarna, par Flinders Petrie d'abord, lors de sa campagne de fouilles de 1891-1892, puis par d'autres missions postérieures. On les retrouve aussi bien dans les ateliers de production de faïence et de verre répartis dans la ville que dans les habitations proches, probablement occupées par les artisans. Petrie a fait don au musée de 93 exemplaires (E.01618-E.01711) en 1905. Ces petits moules en terre cuite permettaient de produire en série des amulettes et pendentifs en faïence de formes diverses, fleurs, plantes, divinités ou autres, à caractère symbolique et protecteur. Ils portent souvent sur leur face postérieure des empreintes de paume ou de doigts. Le présent moule était destiné à la production d'un bleuet.

↑ , Moule pour amulette en faïence:

Moule pour amulette en faïence :

collectionName : Égypte
inventoryNb : E.01679
objectName :
objectTitle : Moule pour amulette en faïence
objectCulture : Égyptienne
geography :
dating : 1349 BC - 1333 BC
material :
technique :
dimensions : Hauteur: 3,6 cm, Largeur: 2,1 cm, Profondeur: 1,3 cm
legalRightOwner : Musées royaux d'art et d'histoire/Koninklijke Musea voor Kunst en Geschiedenis

objectDescription : Ce type de moule a été retrouvé par milliers sur le site d'Amarna, par Flinders Petrie d'abord, lors de sa campagne de fouilles de 1891-1892, puis par d'autres missions postérieures. On les retrouve aussi bien dans les ateliers de production de faïence et de verre répartis dans la ville que dans les habitations proches, probablement occupées par les artisans. Petrie a fait don au musée de 93 exemplaires (E.01618-E.01711) en 1905. Ces petits moules en terre cuite permettaient de produire en série des amulettes et pendentifs en faïence de formes diverses, fleurs, plantes, divinités ou autres, à caractère symbolique et protecteur. Ils portent souvent sur leur face postérieure des empreintes de paume ou de doigts.

↑ , Moule pour amulette en faïence:

Moule pour amulette en faïence :

collectionName : Égypte
inventoryNb : E.01680
objectName :
objectTitle : Moule pour amulette en faïence
objectCulture : Égyptienne
geography :
dating : 1349 BC - 1333 BC
material :
technique :
dimensions : Hauteur: 3,5 cm, Largeur: 2,9 cm, Profondeur: 1,6 cm
legalRightOwner : Musées royaux d'art et d'histoire/Koninklijke Musea voor Kunst en Geschiedenis

objectDescription : Ce type de moule a été retrouvé par milliers sur le site d'Amarna, par Flinders Petrie d'abord, lors de sa campagne de fouilles de 1891-1892, puis par d'autres missions postérieures. On les retrouve aussi bien dans les ateliers de production de faïence et de verre répartis dans la ville que dans les habitations proches, probablement occupées par les artisans. Petrie a fait don au musée de 93 exemplaires (E.01618-E.01711) en 1905. Ces petits moules en terre cuite permettaient de produire en série des amulettes et pendentifs en faïence de formes diverses, fleurs, plantes, divinités ou autres, à caractère symbolique et protecteur. Ils portent souvent sur leur face postérieure des empreintes de paume ou de doigts. Le présent moule était destiné à la production d'une perle oblongue.

↑ , Moule à amulette:

Moule à amulette :

collectionName : Égypte
inventoryNb : E.01681
objectName :
objectTitle : Moule à amulette
objectCulture : Égyptienne
geography :
dating : 1349 BC - 1333 BC
material :
technique :
dimensions :
legalRightOwner : Musées royaux d'art et d'histoire/Koninklijke Musea voor Kunst en Geschiedenis

objectDescription : Ce type de moule a été retrouvé par milliers sur le site d'Amarna, par Flinders Petrie d'abord, lors de sa campagne de fouilles de 1891-1892, puis par d'autres missions postérieures. On les retrouve aussi bien dans les ateliers de production de faïence et de verre répartis dans la ville que dans les habitations proches, probablement occupées par les artisans. Petrie a fait don au musée de 93 exemplaires (E.01618-E.01711) en 1905. Ces petits moules en terre cuite permettaient de produire en série des amulettes et pendentifs en faïence de formes diverses, fleurs, plantes, divinités ou autres, à caractère symbolique et protecteur. Ils portent souvent sur leur face postérieure des empreintes de paume ou de doigts.

↑ , Moule pour amulette en faïence:

Moule pour amulette en faïence :

collectionName : Égypte
inventoryNb : E.01682
objectName :
objectTitle : Moule pour amulette en faïence
objectCulture : Égyptienne
geography :
dating : 1349 BC - 1333 BC
material :
technique :
dimensions : Hauteur: 2,9 cm, Largeur: 2,7 cm, Profondeur: 1,2 cm
legalRightOwner : Musées royaux d'art et d'histoire/Koninklijke Musea voor Kunst en Geschiedenis

objectDescription : Ce type de moule a été retrouvé par milliers sur le site d'Amarna, par Flinders Petrie d'abord, lors de sa campagne de fouilles de 1891-1892, puis par d'autres missions postérieures. On les retrouve aussi bien dans les ateliers de production de faïence et de verre répartis dans la ville que dans les habitations proches, probablement occupées par les artisans. Petrie a fait don au musée de 93 exemplaires (E.01618-E.01711) en 1905. Ces petits moules en terre cuite permettaient de produire en série des amulettes et pendentifs en faïence de formes diverses, fleurs, plantes, divinités ou autres, à caractère symbolique et protecteur. Ils portent souvent sur leur face postérieure des empreintes de paume ou de doigts. Le présent moule était destiné à la production d'une datte.

↑ , Moule pour amulette en faïence:

Moule pour amulette en faïence :

collectionName : Égypte
inventoryNb : E.01683
objectName :
objectTitle : Moule pour amulette en faïence
objectCulture : Égyptienne
geography :
dating : 1349 BC - 1333 BC
material :
technique :
dimensions : Hauteur: 2,7 cm, Largeur: 1,8 cm, Profondeur: 1,1 cm
legalRightOwner : Musées royaux d'art et d'histoire/Koninklijke Musea voor Kunst en Geschiedenis

objectDescription : Ce type de moule a été retrouvé par milliers sur le site d'Amarna, par Flinders Petrie d'abord, lors de sa campagne de fouilles de 1891-1892, puis par d'autres missions postérieures. On les retrouve aussi bien dans les ateliers de production de faïence et de verre répartis dans la ville que dans les habitations proches, probablement occupées par les artisans. Petrie a fait don au musée de 93 exemplaires (E.01618-E.01711) en 1905. Ces petits moules en terre cuite permettaient de produire en série des amulettes et pendentifs en faïence de formes diverses, fleurs, plantes, divinités ou autres, à caractère symbolique et protecteur. Ils portent souvent sur leur face postérieure des empreintes de paume ou de doigts. Le présent moule était destiné à la production d'un signe "nefer"

↑ , Moule pour amulette en faïence:

Moule pour amulette en faïence :

collectionName : Égypte
inventoryNb : E.01684
objectName :
objectTitle : Moule pour amulette en faïence
objectCulture : Égyptienne
geography :
dating : 1349 BC - 1333 BC
material :
technique :
dimensions :
legalRightOwner : Musées royaux d'art et d'histoire/Koninklijke Musea voor Kunst en Geschiedenis

objectDescription : Ce type de moule a été retrouvé par milliers sur le site d'Amarna, par Flinders Petrie d'abord, lors de sa campagne de fouilles de 1891-1892, puis par d'autres missions postérieures. On les retrouve aussi bien dans les ateliers de production de faïence et de verre répartis dans la ville que dans les habitations proches, probablement occupées par les artisans. Petrie a fait don au musée de 93 exemplaires (E.01618-E.01711) en 1905. Ces petits moules en terre cuite permettaient de produire en série des amulettes et pendentifs en faïence de formes diverses, fleurs, plantes, divinités ou autres, à caractère symbolique et protecteur. Ils portent souvent sur leur face postérieure des empreintes de paume ou de doigts.

↑ , Moule pour amulette en faïence:

Moule pour amulette en faïence :

collectionName : Égypte
inventoryNb : E.01685
objectName :
objectTitle : Moule pour amulette en faïence
objectCulture : Égyptienne
geography :
dating : 1349 BC - 1333 BC
material :
technique :
dimensions : Hauteur: 3,2 cm, Largeur: 3,1 cm, Profondeur: 1,2 cm
legalRightOwner : Musées royaux d'art et d'histoire/Koninklijke Musea voor Kunst en Geschiedenis

objectDescription : Ce type de moule a été retrouvé par milliers sur le site d'Amarna, par Flinders Petrie d'abord, lors de sa campagne de fouilles de 1891-1892, puis par d'autres missions postérieures. On les retrouve aussi bien dans les ateliers de production de faïence et de verre répartis dans la ville que dans les habitations proches, probablement occupées par les artisans. Petrie a fait don au musée de 93 exemplaires (E.01618-E.01711) en 1905. Ces petits moules en terre cuite permettaient de produire en série des amulettes et pendentifs en faïence de formes diverses, fleurs, plantes, divinités ou autres, à caractère symbolique et protecteur. Ils portent souvent sur leur face postérieure des empreintes de paume ou de doigts. Le présent moule était destiné à la production d'un oeil "oudjat".

↑ , Moule pour amulette en faïence:

Moule pour amulette en faïence :

collectionName : Égypte
inventoryNb : E.01686
objectName :
objectTitle : Moule pour amulette en faïence
objectCulture : Égyptienne
geography :
dating : 1349 BC - 1333 BC
material :
technique :
dimensions : Hauteur: 3,2 cm, Largeur: 1,4 cm
legalRightOwner : Musées royaux d'art et d'histoire/Koninklijke Musea voor Kunst en Geschiedenis

objectDescription : Ce type de moule a été retrouvé par milliers sur le site d'Amarna, par Flinders Petrie d'abord, lors de sa campagne de fouilles de 1891-1892, puis par d'autres missions postérieures. On les retrouve aussi bien dans les ateliers de production de faïence et de verre répartis dans la ville que dans les habitations proches, probablement occupées par les artisans. Petrie a fait don au musée de 93 exemplaires (E.01618-E.01711) en 1905. Ces petits moules en terre cuite permettaient de produire en série des amulettes et pendentifs en faïence de formes diverses, fleurs, plantes, divinités ou autres, à caractère symbolique et protecteur. Ils portent souvent sur leur face postérieure des empreintes de paume ou de doigts. Le présent moule était destiné à la production d'une partie d'anneau de bague.

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Moule pour amulette en faïence :

collectionName : Égypte
inventoryNb : E.01687
objectName :
objectTitle : Moule pour amulette en faïence
objectCulture : Égyptienne
geography :
dating : 1349 BC - 1333 BC
material :
technique :
dimensions : Hauteur: 2 cm, Largeur: 1,3 cm
legalRightOwner : Musées royaux d'art et d'histoire/Koninklijke Musea voor Kunst en Geschiedenis

objectDescription : Ce type de moule a été retrouvé par milliers sur le site d'Amarna, par Flinders Petrie d'abord, lors de sa campagne de fouilles de 1891-1892, puis par d'autres missions postérieures. On les retrouve aussi bien dans les ateliers de production de faïence et de verre répartis dans la ville que dans les habitations proches, probablement occupées par les artisans. Petrie a fait don au musée de 93 exemplaires (E.01618-E.01711) en 1905. Ces petits moules en terre cuite permettaient de produire en série des amulettes et pendentifs en faïence de formes diverses, fleurs, plantes, divinités ou autres, à caractère symbolique et protecteur. Ils portent souvent sur leur face postérieure des empreintes de paume ou de doigts. Le présent moule était destiné à la production d'une ombelle de papyrus.

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Moule pour amulette en faïence :

collectionName : Égypte
inventoryNb : E.01688
objectName :
objectTitle : Moule pour amulette en faïence
objectCulture : Égyptienne
geography :
dating : 1349 BC - 1333 BC
material :
technique :
dimensions : Hauteur: 2,3 cm, Largeur: 1,9 cm, Profondeur: 1,1 cm
legalRightOwner : Musées royaux d'art et d'histoire/Koninklijke Musea voor Kunst en Geschiedenis

objectDescription : Ce type de moule a été retrouvé par milliers sur le site d'Amarna, par Flinders Petrie d'abord, lors de sa campagne de fouilles de 1891-1892, puis par d'autres missions postérieures. On les retrouve aussi bien dans les ateliers de production de faïence et de verre répartis dans la ville que dans les habitations proches, probablement occupées par les artisans. Petrie a fait don au musée de 93 exemplaires (E.01618-E.01711) en 1905. Ces petits moules en terre cuite permettaient de produire en série des amulettes et pendentifs en faïence de formes diverses, fleurs, plantes, divinités ou autres, à caractère symbolique et protecteur. Ils portent souvent sur leur face postérieure des empreintes de paume ou de doigts. Le présent moule était destiné à la production d'un vase "hes".

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Moule pour amulette en faïence :

collectionName : Égypte
inventoryNb : E.01689
objectName :
objectTitle : Moule pour amulette en faïence
objectCulture : Égyptienne
geography :
dating : 1349 BC - 1333 BC
material :
technique :
dimensions : Hauteur: 2,3 cm, Largeur: 1,8 cm, Profondeur: 1 cm
legalRightOwner : Musées royaux d'art et d'histoire/Koninklijke Musea voor Kunst en Geschiedenis

objectDescription : Ce type de moule a été retrouvé par milliers sur le site d'Amarna, par Flinders Petrie d'abord, lors de sa campagne de fouilles de 1891-1892, puis par d'autres missions postérieures. On les retrouve aussi bien dans les ateliers de production de faïence et de verre répartis dans la ville que dans les habitations proches, probablement occupées par les artisans. Petrie a fait don au musée de 93 exemplaires (E.01618-E.01711) en 1905. Ces petits moules en terre cuite permettaient de produire en série des amulettes et pendentifs en faïence de formes diverses, fleurs, plantes, divinités ou autres, à caractère symbolique et protecteur. Ils portent souvent sur leur face postérieure des empreintes de paume ou de doigts. Le présent moule était destiné à la production d'un sceptre "ouas".

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Moule pour amulette en faïence :

collectionName : Égypte
inventoryNb : E.01690
objectName :
objectTitle : Moule pour amulette en faïence
objectCulture : Égyptienne
geography :
dating : 1349 BC - 1333 BC
material :
technique :
dimensions : Hauteur: 3,6 cm, Largeur: 2,1 cm, Profondeur: 1,3 cm
legalRightOwner : Musées royaux d'art et d'histoire/Koninklijke Musea voor Kunst en Geschiedenis

objectDescription : Ce type de moule a été retrouvé par milliers sur le site d'Amarna, par Flinders Petrie d'abord, lors de sa campagne de fouilles de 1891-1892, puis par d'autres missions postérieures. On les retrouve aussi bien dans les ateliers de production de faïence et de verre répartis dans la ville que dans les habitations proches, probablement occupées par les artisans. Petrie a fait don au musée de 93 exemplaires (E.01618-E.01711) en 1905. Ces petits moules en terre cuite permettaient de produire en série des amulettes et pendentifs en faïence de formes diverses, fleurs, plantes, divinités ou autres, à caractère symbolique et protecteur. Ils portent souvent sur leur face postérieure des empreintes de paume ou de doigts. Le présent moule était destiné à la production d'un bleuet.

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Moule pour amulette en faïence :

collectionName : Égypte
inventoryNb : E.01691
objectName :
objectTitle : Moule pour amulette en faïence
objectCulture : Égyptienne
geography :
dating : 1349 BC - 1333 BC
material :
technique :
dimensions : Hauteur: 2,1 cm, Largeur: 1,1 cm
legalRightOwner : Musées royaux d'art et d'histoire/Koninklijke Musea voor Kunst en Geschiedenis

objectDescription : Ce type de moule a été retrouvé par milliers sur le site d'Amarna, par Flinders Petrie d'abord, lors de sa campagne de fouilles de 1891-1892, puis par d'autres missions postérieures. On les retrouve aussi bien dans les ateliers de production de faïence et de verre répartis dans la ville que dans les habitations proches, probablement occupées par les artisans. Petrie a fait don au musée de 93 exemplaires (E.01618-E.01711) en 1905. Ces petits moules en terre cuite permettaient de produire en série des amulettes et pendentifs en faïence de formes diverses, fleurs, plantes, divinités ou autres, à caractère symbolique et protecteur. Ils portent souvent sur leur face postérieure des empreintes de paume ou de doigts.

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Moule pour amulette en faïence :

collectionName : Égypte
inventoryNb : E.01692
objectName :
objectTitle : Moule pour amulette en faïence
objectCulture : Égyptienne
geography :
dating : 1349 BC - 1333 BC
material :
technique :
dimensions : Hauteur: 2,1 cm, Largeur: 2,1 cm, Profondeur: 0,9 cm
legalRightOwner : Musées royaux d'art et d'histoire/Koninklijke Musea voor Kunst en Geschiedenis

objectDescription : Ce type de moule a été retrouvé par milliers sur le site d'Amarna, par Flinders Petrie d'abord, lors de sa campagne de fouilles de 1891-1892, puis par d'autres missions postérieures. On les retrouve aussi bien dans les ateliers de production de faïence et de verre répartis dans la ville que dans les habitations proches, probablement occupées par les artisans. Petrie a fait don au musée de 93 exemplaires (E.01618-E.01711) en 1905. Ces petits moules en terre cuite permettaient de produire en série des amulettes et pendentifs en faïence de formes diverses, fleurs, plantes, divinités ou autres, à caractère symbolique et protecteur. Ils portent souvent sur leur face postérieure des empreintes de paume ou de doigts. Le présent moule était destiné à la production d'une rosette.

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Moule pour amulette en faïence :

collectionName : Égypte
inventoryNb : E.01693
objectName :
objectTitle : Moule pour amulette en faïence
objectCulture : Égyptienne
geography :
dating : 1349 BC - 1333 BC
material :
technique :
dimensions : Hauteur: 2,4 cm, Largeur: 2 cm, Profondeur: 0,8 cm
legalRightOwner : Musées royaux d'art et d'histoire/Koninklijke Musea voor Kunst en Geschiedenis

objectDescription : Ce type de moule a été retrouvé par milliers sur le site d'Amarna, par Flinders Petrie d'abord, lors de sa campagne de fouilles de 1891-1892, puis par d'autres missions postérieures. On les retrouve aussi bien dans les ateliers de production de faïence et de verre répartis dans la ville que dans les habitations proches, probablement occupées par les artisans. Petrie a fait don au musée de 93 exemplaires (E.01618-E.01711) en 1905. Ces petits moules en terre cuite permettaient de produire en série des amulettes et pendentifs en faïence de formes diverses, fleurs, plantes, divinités ou autres, à caractère symbolique et protecteur. Ils portent souvent sur leur face postérieure des empreintes de paume ou de doigts. Le présent moule était destiné à la production d'un cartouche d'Akhenaton.

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Moule pour amulette en faïence :

collectionName : Égypte
inventoryNb : E.01694
objectName :
objectTitle : Moule pour amulette en faïence
objectCulture : Égyptienne
geography :
dating : 1349 BC - 1333 BC
material :
technique :
dimensions : Hauteur: 2,1 cm, Largeur: 1,7 cm, Profondeur: 0,8 cm
legalRightOwner : Musées royaux d'art et d'histoire/Koninklijke Musea voor Kunst en Geschiedenis

objectDescription : Ce type de moule a été retrouvé par milliers sur le site d'Amarna, par Flinders Petrie d'abord, lors de sa campagne de fouilles de 1891-1892, puis par d'autres missions postérieures. On les retrouve aussi bien dans les ateliers de production de faïence et de verre répartis dans la ville que dans les habitations proches, probablement occupées par les artisans. Petrie a fait don au musée de 93 exemplaires (E.01618-E.01711) en 1905. Ces petits moules en terre cuite permettaient de produire en série des amulettes et pendentifs en faïence de formes diverses, fleurs, plantes, divinités ou autres, à caractère symbolique et protecteur. Ils portent souvent sur leur face postérieure des empreintes de paume ou de doigts.

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Moule pour amulette en faïence :

collectionName : Égypte
inventoryNb : E.01695
objectName :
objectTitle : Moule pour amulette en faïence
objectCulture : Égyptienne
geography :
dating : 1349 BC - 1333 BC
material :
technique :
dimensions : Hauteur: 2,6 cm, Largeur: 2,6 cm, Profondeur: 1,2 cm
legalRightOwner : Musées royaux d'art et d'histoire/Koninklijke Musea voor Kunst en Geschiedenis

objectDescription : Ce type de moule a été retrouvé par milliers sur le site d'Amarna, par Flinders Petrie d'abord, lors de sa campagne de fouilles de 1891-1892, puis par d'autres missions postérieures. On les retrouve aussi bien dans les ateliers de production de faïence et de verre répartis dans la ville que dans les habitations proches, probablement occupées par les artisans. Petrie a fait don au musée de 93 exemplaires (E.01618-E.01711) en 1905. Ces petits moules en terre cuite permettaient de produire en série des amulettes et pendentifs en faïence de formes diverses, fleurs, plantes, divinités ou autres, à caractère symbolique et protecteur. Ils portent souvent sur leur face postérieure des empreintes de paume ou de doigts. Le présent moule était destiné à la production d'une rosette.

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Moule pour amulette en faïence :

collectionName : Égypte
inventoryNb : E.01696
objectName :
objectTitle : Moule pour amulette en faïence
objectCulture : Égyptienne
geography :
dating : 1349 BC - 1333 BC
material :
technique :
dimensions : Hauteur: 2,4 cm, Largeur: 1,7 cm, Profondeur: 0,8 cm
legalRightOwner : Musées royaux d'art et d'histoire/Koninklijke Musea voor Kunst en Geschiedenis

objectDescription : Ce type de moule a été retrouvé par milliers sur le site d'Amarna, par Flinders Petrie d'abord, lors de sa campagne de fouilles de 1891-1892, puis par d'autres missions postérieures. On les retrouve aussi bien dans les ateliers de production de faïence et de verre répartis dans la ville que dans les habitations proches, probablement occupées par les artisans. Petrie a fait don au musée de 93 exemplaires (E.01618-E.01711) en 1905. Ces petits moules en terre cuite permettaient de produire en série des amulettes et pendentifs en faïence de formes diverses, fleurs, plantes, divinités ou autres, à caractère symbolique et protecteur. Ils portent souvent sur leur face postérieure des empreintes de paume ou de doigts. Le présent moule était destiné à la production d'une feuille.

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Moule pour amulette en faïence :

collectionName : Égypte
inventoryNb : E.01697
objectName :
objectTitle : Moule pour amulette en faïence
objectCulture : Égyptienne
geography :
dating : 1349 BC - 1333 BC
material :
technique :
dimensions :
legalRightOwner : Musées royaux d'art et d'histoire/Koninklijke Musea voor Kunst en Geschiedenis

objectDescription : Ce type de moule a été retrouvé par milliers sur le site d'Amarna, par Flinders Petrie d'abord, lors de sa campagne de fouilles de 1891-1892, puis par d'autres missions postérieures. On les retrouve aussi bien dans les ateliers de production de faïence et de verre répartis dans la ville que dans les habitations proches, probablement occupées par les artisans. Petrie a fait don au musée de 93 exemplaires (E.01618-E.01711) en 1905. Ces petits moules en terre cuite permettaient de produire en série des amulettes et pendentifs en faïence de formes diverses, fleurs, plantes, divinités ou autres, à caractère symbolique et protecteur. Ils portent souvent sur leur face postérieure des empreintes de paume ou de doigts.

↑ , Moule pour amulette en faïence:

Moule pour amulette en faïence :

collectionName : Égypte
inventoryNb : E.01698
objectName :
objectTitle : Moule pour amulette en faïence
objectCulture : Égyptienne
geography :
dating : 1349 BC - 1333 BC
material :
technique :
dimensions :
legalRightOwner : Musées royaux d'art et d'histoire/Koninklijke Musea voor Kunst en Geschiedenis

objectDescription : Ce type de moule a été retrouvé par milliers sur le site d'Amarna, par Flinders Petrie d'abord, lors de sa campagne de fouilles de 1891-1892, puis par d'autres missions postérieures. On les retrouve aussi bien dans les ateliers de production de faïence et de verre répartis dans la ville que dans les habitations proches, probablement occupées par les artisans. Petrie a fait don au musée de 93 exemplaires (E.01618-E.01711) en 1905. Ces petits moules en terre cuite permettaient de produire en série des amulettes et pendentifs en faïence de formes diverses, fleurs, plantes, divinités ou autres, à caractère symbolique et protecteur. Ils portent souvent sur leur face postérieure des empreintes de paume ou de doigts.

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Moule pour amulette en faïence :

collectionName : Égypte
inventoryNb : E.01699
objectName :
objectTitle : Moule pour amulette en faïence
objectCulture : Égyptienne
geography :
dating : 1349 BC - 1333 BC
material :
technique :
dimensions : Hauteur: 3,6 cm, Largeur: 2,3 cm, Profondeur: 1,1 cm
legalRightOwner : Musées royaux d'art et d'histoire/Koninklijke Musea voor Kunst en Geschiedenis

objectDescription : Ce type de moule a été retrouvé par milliers sur le site d'Amarna, par Flinders Petrie d'abord, lors de sa campagne de fouilles de 1891-1892, puis par d'autres missions postérieures. On les retrouve aussi bien dans les ateliers de production de faïence et de verre répartis dans la ville que dans les habitations proches, probablement occupées par les artisans. Petrie a fait don au musée de 93 exemplaires (E.01618-E.01711) en 1905. Ces petits moules en terre cuite permettaient de produire en série des amulettes et pendentifs en faïence de formes diverses, fleurs, plantes, divinités ou autres, à caractère symbolique et protecteur. Ils portent souvent sur leur face postérieure des empreintes de paume ou de doigts. Le présent moule était destiné à la production d'une feuille.

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Moule pour amulette en faïence :

collectionName : Égypte
inventoryNb : E.01700
objectName :
objectTitle : Moule pour amulette en faïence
objectCulture : Égyptienne
geography :
dating : 1349 BC - 1333 BC
material :
technique :
dimensions : Hauteur: 2,7 cm, Largeur: 2,7 cm, Profondeur: 1 cm
legalRightOwner : Musées royaux d'art et d'histoire/Koninklijke Musea voor Kunst en Geschiedenis

objectDescription : Ce type de moule a été retrouvé par milliers sur le site d'Amarna, par Flinders Petrie d'abord, lors de sa campagne de fouilles de 1891-1892, puis par d'autres missions postérieures. On les retrouve aussi bien dans les ateliers de production de faïence et de verre répartis dans la ville que dans les habitations proches, probablement occupées par les artisans. Petrie a fait don au musée de 93 exemplaires (E.01618-E.01711) en 1905. Ces petits moules en terre cuite permettaient de produire en série des amulettes et pendentifs en faïence de formes diverses, fleurs, plantes, divinités ou autres, à caractère symbolique et protecteur. Ils portent souvent sur leur face postérieure des empreintes de paume ou de doigts.

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Moule pour amulette en faïence :

collectionName : Égypte
inventoryNb : E.01701
objectName :
objectTitle : Moule pour amulette en faïence
objectCulture : Égyptienne
geography :
dating : 1349 BC - 1333 BC
material :
technique :
dimensions : Hauteur: 3,3 cm, Largeur: 2,7 cm, Profondeur: 1,4 cm
legalRightOwner : Musées royaux d'art et d'histoire/Koninklijke Musea voor Kunst en Geschiedenis

objectDescription : Ce type de moule a été retrouvé par milliers sur le site d'Amarna, par Flinders Petrie d'abord, lors de sa campagne de fouilles de 1891-1892, puis par d'autres missions postérieures. On les retrouve aussi bien dans les ateliers de production de faïence et de verre répartis dans la ville que dans les habitations proches, probablement occupées par les artisans. Petrie a fait don au musée de 93 exemplaires (E.01618-E.01711) en 1905. Ces petits moules en terre cuite permettaient de produire en série des amulettes et pendentifs en faïence de formes diverses, fleurs, plantes, divinités ou autres, à caractère symbolique et protecteur. Ils portent souvent sur leur face postérieure des empreintes de paume ou de doigts.

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Moule pour amulette en faïence :

collectionName : Égypte
inventoryNb : E.01702
objectName :
objectTitle : Moule pour amulette en faïence
objectCulture : Égyptienne
geography :
dating : 1349 BC - 1333 BC
material :
technique :
dimensions : Hauteur: 2,2 cm, Largeur: 2,2 cm, Profondeur: 1,1 cm
legalRightOwner : Musées royaux d'art et d'histoire/Koninklijke Musea voor Kunst en Geschiedenis

objectDescription : Ce type de moule a été retrouvé par milliers sur le site d'Amarna, par Flinders Petrie d'abord, lors de sa campagne de fouilles de 1891-1892, puis par d'autres missions postérieures. On les retrouve aussi bien dans les ateliers de production de faïence et de verre répartis dans la ville que dans les habitations proches, probablement occupées par les artisans. Petrie a fait don au musée de 93 exemplaires (E.01618-E.01711) en 1905. Ces petits moules en terre cuite permettaient de produire en série des amulettes et pendentifs en faïence de formes diverses, fleurs, plantes, divinités ou autres, à caractère symbolique et protecteur. Ils portent souvent sur leur face postérieure des empreintes de paume ou de doigts. Le présent moule était destiné à la production d'une rosette.

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Moule pour amulette en faïence :

collectionName : Égypte
inventoryNb : E.01703
objectName :
objectTitle : Moule pour amulette en faïence
objectCulture : Égyptienne
geography :
dating : 1349 BC - 1333 BC
material :
technique :
dimensions : Hauteur: 2,6 cm, Largeur: 2,2 cm, Profondeur: 1,2 cm
legalRightOwner : Musées royaux d'art et d'histoire/Koninklijke Musea voor Kunst en Geschiedenis

objectDescription : Ce type de moule a été retrouvé par milliers sur le site d'Amarna, par Flinders Petrie d'abord, lors de sa campagne de fouilles de 1891-1892, puis par d'autres missions postérieures. On les retrouve aussi bien dans les ateliers de production de faïence et de verre répartis dans la ville que dans les habitations proches, probablement occupées par les artisans. Petrie a fait don au musée de 93 exemplaires (E.01618-E.01711) en 1905. Ces petits moules en terre cuite permettaient de produire en série des amulettes et pendentifs en faïence de formes diverses, fleurs, plantes, divinités ou autres, à caractère symbolique et protecteur. Ils portent souvent sur leur face postérieure des empreintes de paume ou de doigts. Le présent moule était destiné à la production d'une figurine de la déesse Thouéris.

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Moule pour amulette en faïence :

collectionName : Égypte
inventoryNb : E.01704
objectName :
objectTitle : Moule pour amulette en faïence
objectCulture : Égyptienne
geography :
dating : 1349 BC - 1333 BC
material :
technique :
dimensions : Hauteur: 2,2 cm, Largeur: 2 cm, Profondeur: 1,1 cm
legalRightOwner : Musées royaux d'art et d'histoire/Koninklijke Musea voor Kunst en Geschiedenis

objectDescription : Ce type de moule a été retrouvé par milliers sur le site d'Amarna, par Flinders Petrie d'abord, lors de sa campagne de fouilles de 1891-1892, puis par d'autres missions postérieures. On les retrouve aussi bien dans les ateliers de production de faïence et de verre répartis dans la ville que dans les habitations proches, probablement occupées par les artisans. Petrie a fait don au musée de 93 exemplaires (E.01618-E.01711) en 1905. Ces petits moules en terre cuite permettaient de produire en série des amulettes et pendentifs en faïence de formes diverses, fleurs, plantes, divinités ou autres, à caractère symbolique et protecteur. Ils portent souvent sur leur face postérieure des empreintes de paume ou de doigts. Le présent moule était destiné à la production d'un poisson.

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Moule pour amulette en faïence :

collectionName : Égypte
inventoryNb : E.01705
objectName :
objectTitle : Moule pour amulette en faïence
objectCulture : Égyptienne
geography :
dating : 1349 BC - 1333 BC
material :
technique :
dimensions : Hauteur: 2,7 cm, Largeur: 2,2 cm, Profondeur: 1,1 cm
legalRightOwner : Musées royaux d'art et d'histoire/Koninklijke Musea voor Kunst en Geschiedenis

objectDescription : Ce type de moule a été retrouvé par milliers sur le site d'Amarna, par Flinders Petrie d'abord, lors de sa campagne de fouilles de 1891-1892, puis par d'autres missions postérieures. On les retrouve aussi bien dans les ateliers de production de faïence et de verre répartis dans la ville que dans les habitations proches, probablement occupées par les artisans. Petrie a fait don au musée de 93 exemplaires (E.01618-E.01711) en 1905. Ces petits moules en terre cuite permettaient de produire en série des amulettes et pendentifs en faïence de formes diverses, fleurs, plantes, divinités ou autres, à caractère symbolique et protecteur. Ils portent souvent sur leur face postérieure des empreintes de paume ou de doigts. Le présent moule était destiné à la production d'un poisson.

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Moule pour amulette en faïence :

collectionName : Égypte
inventoryNb : E.01706
objectName :
objectTitle : Moule pour amulette en faïence
objectCulture : Égyptienne
geography :
dating : 1349 BC - 1333 BC
material :
technique :
dimensions : Hauteur: 2,4 cm, Largeur: 2 cm, Profondeur: 1 cm
legalRightOwner : Musées royaux d'art et d'histoire/Koninklijke Musea voor Kunst en Geschiedenis

objectDescription : Ce type de moule a été retrouvé par milliers sur le site d'Amarna, par Flinders Petrie d'abord, lors de sa campagne de fouilles de 1891-1892, puis par d'autres missions postérieures. On les retrouve aussi bien dans les ateliers de production de faïence et de verre répartis dans la ville que dans les habitations proches, probablement occupées par les artisans. Petrie a fait don au musée de 93 exemplaires (E.01618-E.01711) en 1905. Ces petits moules en terre cuite permettaient de produire en série des amulettes et pendentifs en faïence de formes diverses, fleurs, plantes, divinités ou autres, à caractère symbolique et protecteur. Ils portent souvent sur leur face postérieure des empreintes de paume ou de doigts. Le présent moule était destiné à la production d'un bleuet.

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Moule pour amulette en faïence :

collectionName : Égypte
inventoryNb : E.01707
objectName :
objectTitle : Moule pour amulette en faïence
objectCulture : Égyptienne
geography :
dating : 1349 BC - 1333 BC
material :
technique :
dimensions : Hauteur: 2,9 cm, Largeur: 2,9 cm, Profondeur: 1,1 cm
legalRightOwner : Musées royaux d'art et d'histoire/Koninklijke Musea voor Kunst en Geschiedenis

objectDescription : Ce type de moule a été retrouvé par milliers sur le site d'Amarna, par Flinders Petrie d'abord, lors de sa campagne de fouilles de 1891-1892, puis par d'autres missions postérieures. On les retrouve aussi bien dans les ateliers de production de faïence et de verre répartis dans la ville que dans les habitations proches, probablement occupées par les artisans. Petrie a fait don au musée de 93 exemplaires (E.01618-E.01711) en 1905. Ces petits moules en terre cuite permettaient de produire en série des amulettes et pendentifs en faïence de formes diverses, fleurs, plantes, divinités ou autres, à caractère symbolique et protecteur. Ils portent souvent sur leur face postérieure des empreintes de paume ou de doigts.

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Moule pour amulette en faïence :

collectionName : Égypte
inventoryNb : E.01708
objectName :
objectTitle : Moule pour amulette en faïence
objectCulture : Égyptienne
geography :
dating : 1349 BC - 1333 BC
material :
technique :
dimensions : Hauteur: 3,5 cm, Largeur: 2,8 cm, Profondeur: 1,2 cm
legalRightOwner : Musées royaux d'art et d'histoire/Koninklijke Musea voor Kunst en Geschiedenis

objectDescription : Ce type de moule a été retrouvé par milliers sur le site d'Amarna, par Flinders Petrie d'abord, lors de sa campagne de fouilles de 1891-1892, puis par d'autres missions postérieures. On les retrouve aussi bien dans les ateliers de production de faïence et de verre répartis dans la ville que dans les habitations proches, probablement occupées par les artisans. Petrie a fait don au musée de 93 exemplaires (E.01618-E.01711) en 1905. Ces petits moules en terre cuite permettaient de produire en série des amulettes et pendentifs en faïence de formes diverses, fleurs, plantes, divinités ou autres, à caractère symbolique et protecteur. Ils portent souvent sur leur face postérieure des empreintes de paume ou de doigts. Le présent moule était destiné à la production d'un oeil "oudjat".

↑ , Moule pour amulette en faïence:

Moule pour amulette en faïence :

collectionName : Égypte
inventoryNb : E.01709
objectName :
objectTitle : Moule pour amulette en faïence
objectCulture : Égyptienne
geography :
dating : 1349 BC - 1333 BC
material :
technique :
dimensions :
legalRightOwner : Musées royaux d'art et d'histoire/Koninklijke Musea voor Kunst en Geschiedenis

objectDescription : Ce type de moule a été retrouvé par milliers sur le site d'Amarna, par Flinders Petrie d'abord, lors de sa campagne de fouilles de 1891-1892, puis par d'autres missions postérieures. On les retrouve aussi bien dans les ateliers de production de faïence et de verre répartis dans la ville que dans les habitations proches, probablement occupées par les artisans. Petrie a fait don au musée de 93 exemplaires (E.01618-E.01711) en 1905. Ces petits moules en terre cuite permettaient de produire en série des amulettes et pendentifs en faïence de formes diverses, fleurs, plantes, divinités ou autres, à caractère symbolique et protecteur. Ils portent souvent sur leur face postérieure des empreintes de paume ou de doigts.

↑ , Moule pour amulette en faïence:

Moule pour amulette en faïence :

collectionName : Égypte
inventoryNb : E.01710
objectName :
objectTitle : Moule pour amulette en faïence
objectCulture : Égyptienne
geography :
dating : 1349 BC - 1333 BC
material :
technique :
dimensions : Hauteur: 2,9 cm, Largeur: 2,9 cm, Profondeur: 1,2 cm
legalRightOwner : Musées royaux d'art et d'histoire/Koninklijke Musea voor Kunst en Geschiedenis

objectDescription : Ce type de moule a été retrouvé par milliers sur le site d'Amarna, par Flinders Petrie d'abord, lors de sa campagne de fouilles de 1891-1892, puis par d'autres missions postérieures. On les retrouve aussi bien dans les ateliers de production de faïence et de verre répartis dans la ville que dans les habitations proches, probablement occupées par les artisans. Petrie a fait don au musée de 93 exemplaires (E.01618-E.01711) en 1905. Ces petits moules en terre cuite permettaient de produire en série des amulettes et pendentifs en faïence de formes diverses, fleurs, plantes, divinités ou autres, à caractère symbolique et protecteur. Ils portent souvent sur leur face postérieure des empreintes de paume ou de doigts. Le présent moule était destiné à la production d'une rosette.

↑ , Moule pour amulette en faïence:

Moule pour amulette en faïence :

collectionName : Égypte
inventoryNb : E.01711
objectName :
objectTitle : Moule pour amulette en faïence
objectCulture : Égyptienne
geography :
dating : 1349 BC - 1333 BC
material :
technique :
dimensions :
legalRightOwner : Musées royaux d'art et d'histoire/Koninklijke Musea voor Kunst en Geschiedenis

objectDescription : Ce type de moule a été retrouvé par milliers sur le site d'Amarna, par Flinders Petrie d'abord, lors de sa campagne de fouilles de 1891-1892, puis par d'autres missions postérieures. On les retrouve aussi bien dans les ateliers de production de faïence et de verre répartis dans la ville que dans les habitations proches, probablement occupées par les artisans. Petrie a fait don au musée de 93 exemplaires (E.01618-E.01711) en 1905. Ces petits moules en terre cuite permettaient de produire en série des amulettes et pendentifs en faïence de formes diverses, fleurs, plantes, divinités ou autres, à caractère symbolique et protecteur. Ils portent souvent sur leur face postérieure des empreintes de paume ou de doigts.

↑ , Fuseau à disque:

Fuseau à disque :

collectionName : Égypte
inventoryNb : E.01966
objectName :
objectTitle : Fuseau à disque
objectCulture : Égyptienne
geography :
dating : 2066 BC - 1650 BC (Incertaine)
material :
technique :
dimensions : Hauteur: 18,5 cm, Largeur: 4,5 cm
legalRightOwner : Musées royaux d'art et d'histoire/Koninklijke Musea voor Kunst en Geschiedenis

objectDescription : Ce fuseau en bois provient des fouilles de W. M. F. Petrie à El-Lahoun en 1905. L'instrument, qui pourrait dater du Moyen Empire, servait à filer le lin ou la laine. Les disques étaient souvent pourvus d'un crochet pour mener le fil. Fouille : Petrie 1905

↑ , Modèle de chambranle:

Modèle de chambranle :

collectionName : Égypte
inventoryNb : E.02222
objectName :
objectTitle : Modèle de chambranle
objectCulture : Égyptienne
geography :
dating : 664 BC - 332 BC
material :
technique :
dimensions : Hauteur: 13,7 cm, Largeur: 5,7 cm, Profondeur: 4,1 cm
legalRightOwner : Musées royaux d'art et d'histoire/Koninklijke Musea voor Kunst en Geschiedenis

objectDescription : Ce modèle remarquable et rare représente un fragment d'une porte d'entrée d'un vestibule, un espace qu'on retrouve souvent dans les temples tardifs et qui était délimité par une rangée de colonnes et de murs. La pièce montre le chambranle droit de la porte. L'extérieur est composé d'une colonne et d'une base demi-rondes. La partie supérieure de la colonne, le chapiteau et le linteau manquent totalement.

↑ , Scarabée avec scène de chasse:

Scarabée avec scène de chasse :

collectionName : Égypte
inventoryNb : E.03042
objectName :
objectTitle : Scarabée avec scène de chasse
objectCulture : Égyptienne
geography :
dating : 1069 BC - 900 BC
material :
technique :
dimensions : Hauteur: 1,5 cm, Largeur: 1,2 cm, Profondeur: 0,8 cm
legalRightOwner : Musées royaux d'art et d'histoire/Koninklijke Musea voor Kunst en Geschiedenis

objectDescription : La morphologie du scarabée est caractéristique de la production dite post-ramesside des XXIème - début XXIIème dynasties. Parmi les thèmes les plus populaires se trouvent les scènes de chasse, souvent avec un archer parmi des lions et/ou animaux à cornes (ibex, bouquetin, antilope, …). Cfr. aussi E.6629A-6629D.

↑ , "Deux doigts":

"Deux doigts" :

collectionName : Égypte
inventoryNb : E.03419
objectName :
objectTitle : "Deux doigts"
objectCulture : Égyptienne
geography :
dating : 664 BC - 332 BC
material :
technique :
dimensions : Hauteur: 8,7 cm, Largeur: 2,5 cm, Profondeur: 0,8 cm
legalRightOwner : Musées royaux d'art et d'histoire/Koninklijke Musea voor Kunst en Geschiedenis

objectDescription : Cette amulette en obsidienne se rapporte au Rituel de l' Ouverture de la Bouche qui s'effectuait devant la tombe du défunt. Il s'agissait d'ouvrir magiquement les organes des sens en les touchant avec divers instruments et avec deux doigts. L'amulette se trouvait souvent sur la poitrine ou le ventre de la momie pour protéger le mort et lui assurer d' "ouvertures de la bouche" perpétuelles.

↑ , Momie avec masque en stuc doré:

Momie avec masque en stuc doré :

collectionName : Égypte
inventoryNb : E.03975
objectName :
objectTitle : Momie avec masque en stuc doré
objectCulture : Égyptienne
geography :
dating : AD 50 - AD 100
material :
technique :
dimensions : Longueur: 177 cm, Largeur: 59 cm, Hauteur: 29,4 cm
legalRightOwner : Musées royaux d'art et d'histoire/Koninklijke Musea voor Kunst en Geschiedenis

objectDescription : Momie avec masque en stuc doré Momie, stuc doré, pâte de verre Époque romaine, seconde moitié du 1er siècle ap. J.-C. Hawara Cette momie d’un homme âgé d’environ 20 ou 30 ans illustre bien la manière dont les coutumes funéraires égyptiennes sont influencées par les usages romains au début de notre ère. La dorure du masque en stuc confère au défunt un statut divin, et rappelle l’ancienne conception égyptienne selon laquelle la chair des dieux est faite d’or. Le style n’est cependant plus pharaonique. Ainsi, le défunt porte un himation, et les mèches de cheveux qui en dépassent sont d’un style très grec. La disposition en losanges des fines bandelettes est également typique de la période romaine. Le décor de l’arrière du masque fait à nouveau référence à l’iconographie traditionnelle égyptienne. Une des scènes montre par exemple Osiris entre ses deux sœurs, Isis et Nephthys. Sous le masque, la tête de la momie est manquante. Sous l’occupation romaine, ces momies jouaient certainement un rôle important dans le contexte du culte des ancêtres. A cette époque, les momies étaient souvent inhumées plusieurs années après le décès! Entretemps, elles étaient exposées afin de maintenir vivace le souvenir du défunt. C’est ainsi qu’elles ont souvent accumulé beaucoup de poussière et que leurs bandelettes ont été décolorées par le soleil. Par rapport aux périodes plus anciennes de l’histoire égyptienne, bien peu d’attention était consacrée à l’inhumation et à la tombe. De nouvelles conceptions de la mort engendrent d’autres rites funéraires. Fouille : Petrie 1910-1911

↑ , Deux serpents, Isis et Sérapis:

Deux serpents, Isis et Sérapis :

collectionName : Égypte
inventoryNb : E.05115
objectName :
objectTitle : Deux serpents, Isis et Sérapis
objectCulture : Égyptienne
geography :
dating : 332 BC - AD 395
material :
technique :
dimensions : Hauteur: 28 cm, Largeur: 20 cm
legalRightOwner : Musées royaux d'art et d'histoire/Koninklijke Musea voor Kunst en Geschiedenis

objectDescription : Ce morceau de tissu peint, qui date de la Période Gréco-romaine, représente deux divinités en forme de serpent. Il s'agit sans aucun doute d'Agathos Daimon, le bon génie protecteur de la ville d'Alexandrie, et d'Isis-Uraeus. Ils sont respectivement coiffés du pschent, la couronne double pharaonique de Haute Égypte et de Basse Égypte, et d'une couronne composée du disque solaire et des cornes de vache. Les corps sont traités aux couleurs noire et rougeâtre. Les deux serpents divins, qui sont des créations du syncrétisme religieux de la Période Gréco-romaine, décorent souvent des stèles, des monnaies et des parois de tombes.

↑ , Perle de collier en forme de mouche:

Perle de collier en forme de mouche :

collectionName : Égypte
inventoryNb : E.05296
objectName :
objectTitle : Perle de collier en forme de mouche
objectCulture : Égyptienne
geography :
dating : 1550 BC - 1069 BC
material :
technique :
dimensions : Hauteur: 1,2 cm, Largeur: 0,6 cm, Profondeur: 0,3 cm
legalRightOwner : Musées royaux d'art et d'histoire/Koninklijke Musea voor Kunst en Geschiedenis

objectDescription : Ce petit objet en or représente une mouche. Elle faisait vraisemblablement partie d'un collier qui était composé de pendentifs en forme de cet insecte. La mouche, servant souvent d'amulette et protégeant ainsi son propriétaire, était en Égypte un symbole de la combativité et du courage.

↑ , Uraeus en forme de serpent:

Uraeus en forme de serpent :

collectionName : Égypte
inventoryNb : E.05591
objectName :
objectTitle : Uraeus en forme de serpent
objectCulture : Égyptienne
geography :
dating : Inconnue
material :
technique :
dimensions : Hauteur: 10 cm, Largeur: 3 cm
legalRightOwner : Musées royaux d'art et d'histoire/Koninklijke Musea voor Kunst en Geschiedenis

objectDescription : Cet objet en bronze représente un cobra dressé, aussi appelé uraeus. L'animal symbolise la déesse de Basse Égypte Ouadjet, assimilée à l'oeil brûlant du soleil. C'est pour cette raison que l'uraeus orne le front du pharaon et qu'il est souvent coiffé du disque solaire. Il servait également à protéger des objets précieux, comme des chapelles et des naos de temples. Il se peut que cet exemplaire décorât une tête royale.

↑ , Stèle d'offrande à Aton:

Stèle d'offrande à Aton :

collectionName : Égypte
inventoryNb : E.05858
objectName :
objectTitle : Stèle d'offrande à Aton
objectCulture : Égyptienne
geography :
dating : 1349 BC - 1333 BC
material :
technique :
dimensions : Hauteur: 34,5 cm, Largeur: 33,5 cm, Profondeur: 9 cm
legalRightOwner : Musées royaux d'art et d'histoire/Koninklijke Musea voor Kunst en Geschiedenis

objectDescription : Lors de sa campagne de fouilles de 1921, l’Egypt Exploration Society découvre dans une maison de la ville d’Amarna un fragment de stèle figurant le pharaon Akhenaton, dont le visage et les cartouches ont été mutilés. La scène, classique sous son règne, le représente en adoration devant le dieu solaire Aton qui l’enveloppe de ses rayons protecteurs. Akhenaton lui présente deux vases à libation tandis que, devant lui, se dresse une table chargée d’offrandes. La présence du dieu dans la partie droite du cintre, et non au centre, indique que, comme le voulait l’iconographie religieuse de l’époque, d’autres membres de la famille royale devaient se tenir initialement derrière le roi, probablement Néfertiti et une ou plusieurs de leurs filles. De nombreuses stèles et statues de la famille royale ont été retrouvées dans les quartiers d’habitation de la ville. Elles étaient exposées sur les autels domestiques des maisons ou dans une chapelle construite à cet effet dans le jardin des villas de l’élite. Elles reflètent la piété des habitants. Selon la nouvelle théologie, le roi est l’unique interlocuteur des croyants vis-à-vis du dieu, celui par qui les requêtes peuvent être relayées à Aton. Il est donc le centre du culte divin, le plus souvent accompagné de la famille royale.

↑ , Ouchebti de Piânkhi:

Ouchebti de Piânkhi :

collectionName : Égypte
inventoryNb : E.06105
objectName :
objectTitle : Ouchebti de Piânkhi
objectCulture : Égyptienne
geography :
dating : 747 BC - 656 BC
material :
technique :
dimensions : Hauteur: 10,5 cm
legalRightOwner : Musées royaux d'art et d'histoire/Koninklijke Musea voor Kunst en Geschiedenis

objectDescription : Cet ouchebti en faïence grisâtre provient sans aucun doute de la pyramide du roi Piânkhi située dans la nécropole d'El Kurru (nr. de fouille : 1643). Le troisième roi de la XXVème Dynastie est représenté momiforme. Il est coiffé d'une perruque tripartite surmontée d'un uraeus et il porte une barbe postiche. Très caractéristique pour les ouchebtis de ce roi, est l'absence des mains souvent croisées qui tiennent des instruments agricoles. La statuette porte comme seule inscription le titre de "fils de Rê" suivi du nom royal dans un cartouche.

↑ , Amulette décorée de têtes d'oiseaux:

Amulette décorée de têtes d'oiseaux :

collectionName : Égypte
inventoryNb : E.06188c
objectName :
objectTitle : Amulette décorée de têtes d'oiseaux
objectCulture : Égyptienne
geography :
dating : 4000 BC - 3000 BC (Incertaine)
material :
technique :
dimensions :
legalRightOwner : Musées royaux d'art et d'histoire/Koninklijke Musea voor Kunst en Geschiedenis

objectDescription : La partie supérieure de cette amulette en greywacke est décorée de deux têtes d'oiseaux fortement stylisées tournées vers l'extérieur. Le corps, en forme de trapèze, présente une entaille dans le bas. De telles amulettes sont fréquemment découvertes dans des sépultures prédynastiques, souvent par paire. Peut-être étaient-elles portées comme pendentifs ou attachées au corps au moyen d'une cordelette en cuir. La signification exacte de ces objets est inconnue.

↑ , Amulette décorée de têtes d'oiseaux:

Amulette décorée de têtes d'oiseaux :

collectionName : Égypte
inventoryNb : E.06188e
objectName :
objectTitle : Amulette décorée de têtes d'oiseaux
objectCulture : Égyptienne
geography :
dating : 4000 BC - 3000 BC (Incertaine)
material :
technique :
dimensions :
legalRightOwner : Musées royaux d'art et d'histoire/Koninklijke Musea voor Kunst en Geschiedenis

objectDescription : La partie supérieure de cette amulette en greywacke est décorée de deux têtes d'oiseaux fortement stylisées tournées vers l'extérieur. Le corps rectangulaire présente une entaille dans le bas et un petit trou de suspension(?).De telles amulettes sont fréquemment découvertes dans des sépultures prédynastiques, souvent par paire. Peut-être étaient-elles portées comme pendentifs ou attachées au corps au moyen d'une cordelette en cuir. La signification exacte de ces objets est inconnue.

↑ , Incrustation en forme de marguerite:

Incrustation en forme de marguerite :

collectionName : Égypte
inventoryNb : E.06297
objectName :
objectTitle : Incrustation en forme de marguerite
objectCulture : Égyptienne
geography :
dating : 1349 BC - 1333 BC
material :
technique :
dimensions :
legalRightOwner : Musées royaux d'art et d'histoire/Koninklijke Musea voor Kunst en Geschiedenis

objectDescription : Cette applique en faïence prend la forme d'une marguerite ou d'une camomille. L' absence de trou de suspension tend en effet à prouver qu'il ne s'agit pas ici d'un pendentif de collier, mais plutôt d'un élément d'incrustation. Il fut découvert en 1927 à Amarna lors des fouilles de l'Egypt Exploration Society, dans le secteur nord de la ville. A l'époque amarnienne, la décoration architecturale se compose souvent de scènes peintes ou incrustées de motifs en faïence multicolores reproduisant la flore et la faune dans un style très naturaliste.

↑ , L'ennemi vaincu:

L'ennemi vaincu :

collectionName : Égypte
inventoryNb : E.06421
objectName :
objectTitle : L'ennemi vaincu
objectCulture : Égyptienne
geography :
dating : 1550 BC - 1295 BC
material :
technique :
dimensions : Hauteur: 13,3 cm, Largeur: 9,5 cm
legalRightOwner : Musées royaux d'art et d'histoire/Koninklijke Musea voor Kunst en Geschiedenis

objectDescription : Le fragment représente une tête d'Asiatique reconnaissable à son visage mince et allongé, et à une courte barbe en pointe. Il faisait vraisemblablement partie d'un groupe, qui figurait le pharaon debout, en taille héroïque, menaçant d'une massue une ou plusieurs figures d'étrangers qu'il maîtrisait en les tenant par les cheveux. Il s'agit d'un thème très connu de l'iconographie du Nouvel Empire, souvent exécuté sur les pylônes des temples. Un autre exemple de ce thème dans la sculpture est fourni, quoique d'une qualité inférieure, par une statue de Ramsès IV, de style bien inférieur, conservée au Musée du Caire (CG 42125).

↑ , Fragment de décoration murale:

Fragment de décoration murale :

collectionName : Égypte
inventoryNb : E.06558
objectName :
objectTitle : Fragment de décoration murale
objectCulture : Égyptienne
geography :
dating : 1349 BC - 1333 BC
material :
technique :
dimensions : Hauteur: 3,2 cm, Largeur: 4,1 cm, Profondeur: 1 cm
legalRightOwner : Musées royaux d'art et d'histoire/Koninklijke Musea voor Kunst en Geschiedenis

objectDescription : Cette pièce en faïence multicolore est un des milliers de fragments de décoration murale retrouvés dans les palais et maisons d'Amarna. Celui-ci a été retrouvé dans une maison de la Ville Nord en 1030-1931, lors des fouilles de l'Egypt Exploration Society. Sur le fond vert se détachent de fines tiges végétales tandis qu'un des bords du fragment est marqué d'une dépression en forme de demi-cercle qui pourrait avoir accueilli à l'origine une incrustation de marguerite ou de camomille en faïence comme dans d'autres exemples connus. À l'époque amarnienne, la décoration architecturale est souvent constituée de panneaux peints ou incrustés de carreaux ou de motifs en faïence de couleurs diverses qui reproduisent la faune et la flore des marais dans un style naturaliste caractéristique.

↑ , Scarabée avec scène de chasse:

Scarabée avec scène de chasse :

collectionName : Égypte
inventoryNb : E.06629a
objectName :
objectTitle : Scarabée avec scène de chasse
objectCulture : Égyptienne
geography :
dating : 1069 BC - 900 BC
material :
technique :
dimensions : Hauteur: 1,5 cm, Largeur: 1,1 cm, Profondeur: 0,8 cm
legalRightOwner : Musées royaux d'art et d'histoire/Koninklijke Musea voor Kunst en Geschiedenis

objectDescription : La morphologie du scarabée est caractéristique de la production dite post-ramesside des XXIème - début XXIIème dynasties. Parmi les thèmes les plus populaires se trouvent les scènes de chasse, souvent avec un archer parmi des lions et/ou animaux à cornes (ibex, bouquetin, antilope, …) (par exemple, E.3042, E.6629A-6629D).

↑ , Scarabée avec scène de chasse:

Scarabée avec scène de chasse :

collectionName : Égypte
inventoryNb : E.06629b
objectName :
objectTitle : Scarabée avec scène de chasse
objectCulture : Égyptienne
geography :
dating : 1069 BC - 900 BC
material :
technique :
dimensions : Hauteur: 1,7 cm, Largeur: 1,3 cm, Profondeur: 0,8 cm
legalRightOwner : Musées royaux d'art et d'histoire/Koninklijke Musea voor Kunst en Geschiedenis

objectDescription : La morphologie du scarabée est caractéristique de la production dite post-ramesside des XXIème - début XXIIème dynasties. Parmi les thèmes les plus populaires se trouvent les scènes de chasse, souvent avec un archer parmi des lions et/ou animaux à cornes (ibex, bouquetin, antilope, …) (par exemple, E.3042, E.6629A-6629D).

↑ , Scarabée avec scène de chasse:

Scarabée avec scène de chasse :

collectionName : Égypte
inventoryNb : E.06629c
objectName :
objectTitle : Scarabée avec scène de chasse
objectCulture : Égyptienne
geography :
dating : 1069 BC - 900 BC
material :
technique :
dimensions : Hauteur: 1,7 cm, Largeur: 1,4 cm, Profondeur: 0,8 cm
legalRightOwner : Musées royaux d'art et d'histoire/Koninklijke Musea voor Kunst en Geschiedenis

objectDescription : La morphologie du scarabée est caractéristique de la production dite post-ramesside des XXIème - début XXIIème dynasties. Parmi les thèmes les plus populaires se trouvent les scènes de chasse, souvent avec un archer parmi des lions et/ou animaux à cornes (ibex, bouquetin, antilope, …) (par exemple, E.3042, E.6629A-6629D).

↑ , Scarabée avec scène de chasse:

Scarabée avec scène de chasse :

collectionName : Égypte
inventoryNb : E.06629d
objectName :
objectTitle : Scarabée avec scène de chasse
objectCulture : Égyptienne
geography :
dating : 1069 BC - 900 BC
material :
technique :
dimensions : Hauteur: 1,5 cm, Largeur: 1,1 cm, Profondeur: 0,7 cm
legalRightOwner : Musées royaux d'art et d'histoire/Koninklijke Musea voor Kunst en Geschiedenis

objectDescription : La morphologie du scarabée est caractéristique de la production dite post-ramesside des XXIème - début XXIIème dynasties. Parmi les thèmes les plus populaires se trouvent les scènes de chasse, souvent avec un archer parmi des lions et/ou animaux à cornes (ibex, bouquetin, antilope, …) (par exemple, E.3042, E.6629A-6629D).

↑ , La souris et le chat:

La souris et le chat :

collectionName : Égypte
inventoryNb : E.06727
objectName :
objectTitle : La souris et le chat
objectCulture : Égyptienne
geography :
dating : 1550 BC - 1069 BC
material :
technique :
dimensions : Hauteur: 9 cm, Largeur: 12,5 cm
legalRightOwner : Musées royaux d'art et d'histoire/Koninklijke Musea voor Kunst en Geschiedenis

objectDescription : Cet ostracon figuré fait partie de la catégorie de représentations satiriques. Elles mettent en scène des animaux, le plus souvent des chats et des souris, en usant à la fois de la parodie et de l'inversion. Leur composition est inspirée des représentations funéraires et des bas-reliefs des temples. Sur les ostraca satiriques, les chats jouent le rôle de serviteurs des dames souris. Cet exemplaire des Musées de Bruxelles montre une souris assise devant une table d'offrandes. Elle renifle l'odeur d'une fleur de lotus qu'elle tient dans sa main gauche. De l'autre côté de la table un chat, dressé debout sur les pattes arrières, manie un éventail.

↑ , Fragment de décoration murale:

Fragment de décoration murale :

collectionName : Égypte
inventoryNb : E.06739a
objectName :
objectTitle : Fragment de décoration murale
objectCulture : Égyptienne
geography :
dating : 1349 BC - 1333 BC
material :
technique :
dimensions : Hauteur: 3,4 cm, Largeur: 1,5 cm
legalRightOwner : Musées royaux d'art et d'histoire/Koninklijke Musea voor Kunst en Geschiedenis

objectDescription : Cette pièce en faïence colorée est un des milliers de fragments de décoration murale retrouvés dans les bâtiments de la ville d'Amarna. Il a été retrouvé en 1932-1933 lors des fouilles de l'Egypt Exploration Society. À l'époque amarnienne, la décoration architecturale est souvent constituée de panneaux peints ou incrustés de carreaux ou de motifs en faïence de couleurs diverses qui reproduisent la faune et la flore des marais dans un style naturaliste caractéristique.

↑ , Fragment de décoration murale:

Fragment de décoration murale :

collectionName : Égypte
inventoryNb : E.06739b
objectName :
objectTitle : Fragment de décoration murale
objectCulture : Égyptienne
geography :
dating : 1349 BC - 1333 BC
material :
technique :
dimensions : Hauteur: 2,7 cm, Largeur: 2,8 cm
legalRightOwner : Musées royaux d'art et d'histoire/Koninklijke Musea voor Kunst en Geschiedenis

objectDescription : Cette pièce en faïence colorée est un des milliers de fragments de décoration murale retrouvés dans les bâtiments de la ville d'Amarna. Il a été retrouvé en 1932-1933 lors des fouilles de l'Egypt Exploration Society. À l'époque amarnienne, la décoration architecturale est souvent constituée de panneaux peints ou incrustés de carreaux ou de motifs en faïence de couleurs diverses qui reproduisent la faune et la flore des marais dans un style naturaliste caractéristique.

↑ , Fragment de décoration murale:

Fragment de décoration murale :

collectionName : Égypte
inventoryNb : E.06739c
objectName :
objectTitle : Fragment de décoration murale
objectCulture : Égyptienne
geography :
dating : 1349 BC - 1333 BC
material :
technique :
dimensions : Hauteur: 4,7 cm, Largeur: 4,2 cm
legalRightOwner : Musées royaux d'art et d'histoire/Koninklijke Musea voor Kunst en Geschiedenis

objectDescription : Cette pièce en faïence colorée est un des milliers de fragments de décoration murale retrouvés dans les bâtiments de la ville d'Amarna. Il a été retrouvé en 1932-1933 lors des fouilles de l'Egypt Exploration Society. À l'époque amarnienne, la décoration architecturale est souvent constituée de panneaux peints ou incrustés de carreaux ou de motifs en faïence de couleurs diverses qui reproduisent la faune et la flore des marais dans un style naturaliste caractéristique.

↑ , Fragment de décoration murale:

Fragment de décoration murale :

collectionName : Égypte
inventoryNb : E.06739d
objectName :
objectTitle : Fragment de décoration murale
objectCulture : Égyptienne
geography :
dating : 1349 BC - 1333 BC
material :
technique :
dimensions : Hauteur: 3,2 cm, Largeur: 2,5 cm
legalRightOwner : Musées royaux d'art et d'histoire/Koninklijke Musea voor Kunst en Geschiedenis

objectDescription : Cette pièce en faïence colorée est un des milliers de fragments de décoration murale retrouvés dans les bâtiments de la ville d'Amarna. Il a été retrouvé en 1932-1933 lors des fouilles de l'Egypt Exploration Society. À l'époque amarnienne, la décoration architecturale est souvent constituée de panneaux peints ou incrustés de carreaux ou de motifs en faïence de couleurs diverses qui reproduisent la faune et la flore des marais dans un style naturaliste caractéristique.

↑ , Fragment de décoration murale:

Fragment de décoration murale :

collectionName : Égypte
inventoryNb : E.06739e
objectName :
objectTitle : Fragment de décoration murale
objectCulture : Égyptienne
geography :
dating : 1349 BC - 1333 BC
material :
technique :
dimensions : Hauteur: 5,9 cm, Largeur: 3,1 cm
legalRightOwner : Musées royaux d'art et d'histoire/Koninklijke Musea voor Kunst en Geschiedenis

objectDescription : Cette pièce en faïence colorée est un des milliers de fragments de décoration murale retrouvés dans les bâtiments de la ville d'Amarna. Il a été retrouvé en 1932-1933 lors des fouilles de l'Egypt Exploration Society. À l'époque amarnienne, la décoration architecturale est souvent constituée de panneaux peints ou incrustés de carreaux ou de motifs en faïence de couleurs diverses qui reproduisent la faune et la flore des marais dans un style naturaliste caractéristique.

↑ , Fragment de décoration murale:

Fragment de décoration murale :

collectionName : Égypte
inventoryNb : E.06739f
objectName :
objectTitle : Fragment de décoration murale
objectCulture : Égyptienne
geography :
dating : 1349 BC - 1333 BC
material :
technique :
dimensions : Hauteur: 3,7 cm, Largeur: 2,5 cm
legalRightOwner : Musées royaux d'art et d'histoire/Koninklijke Musea voor Kunst en Geschiedenis

objectDescription : Cette pièce en faïence colorée est un des milliers de fragments de décoration murale retrouvés dans les bâtiments de la ville d'Amarna. Il a été retrouvé en 1932-1933 lors des fouilles de l'Egypt Exploration Society. À l'époque amarnienne, la décoration architecturale est souvent constituée de panneaux peints ou incrustés de carreaux ou de motifs en faïence de couleurs diverses qui reproduisent la faune et la flore des marais dans un style naturaliste caractéristique.

↑ , Sarcophage de chat:

Sarcophage de chat :

collectionName : Égypte
inventoryNb : E.06750
objectName :
objectTitle : Sarcophage de chat
objectCulture : Égyptienne
geography :
dating : 664 BC - 331 BC
material :
technique :
dimensions : Hauteur: 45 cm, Largeur: 19,1 cm, Profondeur: 28 cm
legalRightOwner : Musées royaux d'art et d'histoire/Koninklijke Musea voor Kunst en Geschiedenis

objectDescription : A partir de la Basse Époque les momies de chat étaient souvent disposées dans des sarcophages en bois ou en bronze. Elles étaient glissées par une ouverture dans le bas du sarcophage, sculpté à l'image du félin vivant. L'exemplaire de Bruxelles montre un chat dont les yeux étaient incrustés et dont les oreilles, percées chacune de deux trous, portaient vraisemblablement des anneaux en or (?). Les sarcophages de chat ont été retrouvés dans les nombreuses nécropoles tardives d'animaux sacrés.

↑ , Fragment d'une plaquette de revêtemement avec papyrus:

Fragment d'une plaquette de revêtemement avec papyrus :

collectionName : Égypte
inventoryNb : E.07257a
objectName :
objectTitle : Fragment d'une plaquette de revêtemement avec papyrus
objectCulture : Égyptienne
geography :
dating : 1349 BC - 1333 BC
material :
technique :
dimensions : Hauteur: 5 cm, Largeur: 4 cm
legalRightOwner : Musées royaux d'art et d'histoire/Koninklijke Musea voor Kunst en Geschiedenis

objectDescription : Cette pièce en faïence colorée est un des milliers de fragments de décoration murale retrouvés dans les bâtiments de la ville d'Amarna. Il a été découvert dans la cour du Grand Palais en 1934-1935, lors des fouilles de l'Egypt Exploration Society. Le fragment représente les tiges d'un fourré de papyrus. À l'époque amarnienne, la décoration architecturale est souvent constituée de panneaux peints ou incrustés de carreaux ou de motifs en faïence de couleurs diverses qui reproduisent la faune et la flore des marais dans un style naturaliste caractéristique.

↑ , Fragment de décoration murale : écailles de poisson:

Fragment de décoration murale : écailles de poisson :

collectionName : Égypte
inventoryNb : E.07259
objectName :
objectTitle : Fragment de décoration murale : écailles de poisson
objectCulture : Égyptienne
geography :
dating : 1349 BC - 1333 BC
material :
technique :
dimensions :
legalRightOwner : Musées royaux d'art et d'histoire/Koninklijke Musea voor Kunst en Geschiedenis

objectDescription : Cette pièce en faïence colorée est un des milliers de fragments de décoration murale retrouvés dans les bâtiments de la ville d'Amarna. Celui-ci provient du Grand Palais où il a été retrouvé en 1934-1935 lors des fouilles de l'Egypt Exploration Society. Les écailles d'un poisson sont tracées sur un fond gris-brun. À l'époque amarnienne, la décoration architecturale est souvent constituée de panneaux peints ou incrustés de carreaux ou de motifs en faïence de couleurs diverses qui reproduisent la faune et la flore des marais dans un style naturaliste caractéristique.

↑ , Fragment de plaquette de revêtement avec décor floral:

Fragment de plaquette de revêtement avec décor floral :

collectionName : Égypte
inventoryNb : E.07339
objectName :
objectTitle : Fragment de plaquette de revêtement avec décor floral
objectCulture : Égyptienne
geography :
dating : 1349 BC - 1333 BC
material :
technique :
dimensions : Hauteur: 6 cm, Largeur: 3,8 cm
legalRightOwner : Musées royaux d'art et d'histoire/Koninklijke Musea voor Kunst en Geschiedenis

objectDescription : Cette pièce en faïence multicolore est un des milliers de fragments de décoration murale retrouvés sur le site d'Amarna. Il a été découvert dans l'immense tas de déchets du Grand Temple d'Aton lors des fouilles de l'Egypt Exploration Society en 1936-1937. Le fragment représente avec beaucoup d'élégance des ombelles de papyrus d'un vert vif sur fond crème dont émergent des épillets bruns. À l'époque amarnienne, la décoration architecturale est souvent constituée de panneaux peints ou incrustés de carreaux ou de motifs en faïence de couleurs diverses qui reproduisent la faune et la flore des marais dans un style naturaliste caractéristique.

↑ , Fragment de plaquette de revêtement avec décor floral:

Fragment de plaquette de revêtement avec décor floral :

collectionName : Égypte
inventoryNb : E.07339a
objectName :
objectTitle : Fragment de plaquette de revêtement avec décor floral
objectCulture : Égyptienne
geography :
dating : 1352 BC - 1336 BC
material :
technique :
dimensions : Hauteur: 6 cm, Largeur: 3,8 cm
legalRightOwner : Musées royaux d'art et d'histoire/Koninklijke Musea voor Kunst en Geschiedenis

objectDescription : Cette pièce en faïence multicolore est un des milliers de fragments de décoration murale retrouvés sur le site d'Amarna. Il a été découvert dans l'immense tas de déchets du Grand Temple d'Aton lors des fouilles de l'Egypt Exploration Society en 1936-1937. Le fragment représente avec beaucoup d'élégance des ombelles de papyrus d'un vert vif sur fond crème dont émergent des épillets bruns. À l'époque amarnienne, la décoration architecturale est souvent constituée de panneaux peints ou incrustés de carreaux ou de motifs en faïence de couleurs diverses qui reproduisent la faune et la flore des marais dans un style naturaliste caractéristique.

↑ , Uraeus:

Uraeus :

collectionName : Égypte
inventoryNb : E.07358
objectName :
objectTitle : Uraeus
objectCulture : Égyptienne
geography :
dating : 664 BC - 331 BC
material :
technique :
dimensions : Hauteur: 6,9 cm, Largeur: 4,2 cm, Profondeur: 5,1 cm
legalRightOwner : Musées royaux d'art et d'histoire/Koninklijke Musea voor Kunst en Geschiedenis

objectDescription : Cet objet en bronze représente un cobra dressé, aussi appelé "uraeus". L'animal symbolise la déesse de Basse Égypte Ouadjet, assimilée à l'oeil brûlant du soleil. C'est pour cette raison que l'uraeus orne le front du pharaon et qu'il est souvent coiffé du disque solaire. Il servait également à protéger des objets précieux, comme des chapelles et des naos de temples. Il est fort probable que cet exemplaire décorait une tête royale et que les yeux et les différentes parties du corps dressé étaient incrustés.

↑ , Hérôn:

Hérôn :

collectionName : Égypte
inventoryNb : E.07409
objectName :
objectTitle : Hérôn
objectCulture : Égyptienne
geography :
dating : Inconnue
material :
technique :
dimensions : Hauteur: 24,5 cm, Largeur: 19,5 cm
legalRightOwner : Musées royaux d'art et d'histoire/Koninklijke Musea voor Kunst en Geschiedenis

objectDescription : Ce petit tableau montre deux figures de dieux. A droite, Hérôn, dieu militaire d'origine thrace, est vêtu en officier. Il a la tête couronnée de lauriers. Dans sa main gauche, il tient une lance et un "volumen"; dans sa main droite, une patère, pour effectuer une libation sur le petit autel qui se trouve à ses pieds. L'autre personnage, portant un "kalathos" (un panier) sur la tête, est vêtu d'un pantalon à damiers, d'une tunique bariolée et d'un manteau. Il serre dans sa main droite une hache bipenne, dans sa main gauche un épi et une lance autour de laquelle s'enroule un serpent. L'identité de ce dernier personnage n'est pas certaine: il peut s'agir d'une divinité carienne, souvent représentée de la même façon. L'objet est vraisemblablement un ex-voto offert à un sanctuaire du dieu Hérôn au Fayoum. La petite silhouette à gauche semble être la dédicante. Cadre original

↑ , Fragment de parchemin en copte avec formules magiques:

Fragment de parchemin en copte avec formules magiques :

collectionName : Égypte
inventoryNb : E.07410
objectName :
objectTitle : Fragment de parchemin en copte avec formules magiques
objectCulture : Égyptienne
geography :
dating : AD 395 - AD 640
material :
technique :
dimensions : Hauteur: 10,8 cm, Largeur: 7,3 cm
legalRightOwner : Musées royaux d'art et d'histoire/Koninklijke Musea voor Kunst en Geschiedenis

objectDescription : Ce fragment fut probablement porté en amulette. Dans l’Antiquité, les longs textes sont écrits sur des rouleaux constitués d’environ 20 feuilles de papyrus collées l’une à l’autre. Pour lire le texte écrit en colonnes, ils étaient déroulés horizontalement. À partir de la fin du IVe siècle, le codex, notre livre actuel, beaucoup plus pratique et fait de papyrus ou de parchemin, remplace de plus en plus souvent le rouleau. Le papier a été introduit dans le monde islamique (y compris l'Égypte) à partir du VIIIe siècle et s'est répandu via l'Espagne vers le reste de l'Europe à partir du XIe siècle.

↑ , Statuette-Shebet:

Statuette-Shebet :

collectionName : Égypte
inventoryNb : E.07597
objectName :
objectTitle : Statuette-Shebet
objectCulture : Égyptienne
geography :
dating : 664 BC - 332 BC
material :
technique :
dimensions : Hauteur: 9 cm, Largeur: 4,9 cm, Profondeur: 5,1 cm
legalRightOwner : Musées royaux d'art et d'histoire/Koninklijke Musea voor Kunst en Geschiedenis

objectDescription : Cette statuette en bronze représente un babouin, l'animal sacré du dieu Thoth, accroupi, les mains posées sur les genoux. Il est sur une base en forme de corbeille, décorée de fleurs et de chevrons. Le pilier contre lequel il s'appuie est incisé de lignes verticales et horizontales. La statuette, qui faisait partie du mobilier liturgique d'un temple, joue le rôle principal dans le rituel ''l'offrande de la shebet", souvent représenté en relief sur les murs des temples à partir du Nouvel Empire.

↑ , Fragment de frise:

Fragment de frise :

collectionName : Égypte
inventoryNb : E.08033
objectName :
objectTitle : Fragment de frise
objectCulture : Égyptienne
geography :
dating : AD 395 - AD 640
material :
technique :
dimensions : Hauteur: 22,6 cm, Largeur: 19,1 cm
legalRightOwner : Musées royaux d'art et d'histoire/Koninklijke Musea voor Kunst en Geschiedenis

objectDescription : Au début de la Période Copte, les éléments architecturaux sont souvent décorés de frises à motifs naturalistes. Composées de vignes, acanthes et palmes, les scènes montrent également de représentations animales. Ce fragment, qui date du Ve siècle, porte deux vignes nouées sur lesquelles repose un oiseau qui semble picorer une des feuilles. Le bord inférieur est décoré d'un galon de perles et de pirouettes.

↑ , Relief amarnien : trois Nubiens brandissant des hampes de flabellums:

Relief amarnien : trois Nubiens brandissant des hampes de flabellums :

collectionName : Égypte
inventoryNb : E.08194
objectName :
objectTitle : Relief amarnien : trois Nubiens brandissant des hampes de flabellums
objectCulture : Égyptienne
geography :
dating : 1349 BC - 1333 BC
material :
technique :
dimensions : Hauteur: 10 cm, Largeur: 21 cm
legalRightOwner : Musées royaux d'art et d'histoire/Koninklijke Musea voor Kunst en Geschiedenis

objectDescription : Fragment de relief sculpté dans le creux de trois visages de Nubiens de profil ayant conservé leur polychromie. La boucle d'oreille portée par le personnage à l'avant-plan indique qu'il ne s'agit pas de prisonniers mais qu'ils disposaient d'un certain statut. Tous trois portent la coiffe à plume d'autruche qu'ont leur voit souvent sur les reliefs égyptiens. Il s'agit probablement de soldats de la garde royale. Ce relief a été retrouvé à Hermopolis comme bloc de remploi mais vient très très probablement d'Amarna à l'origine.

↑ , Ouchebti du roi Séthi I:

Ouchebti du roi Séthi I :

collectionName : Égypte
inventoryNb : E.08386
objectName :
objectTitle : Ouchebti du roi Séthi I
objectCulture : Égyptienne
geography :
dating : 1291 BC - 1188 BC
material :
technique :
dimensions : Hauteur: 10,3 cm, Largeur: 5 cm
legalRightOwner : Musées royaux d'art et d'histoire/Koninklijke Musea voor Kunst en Geschiedenis

objectDescription : Les ouchebtis sont déjà attestés dans le matériel funéraire des tombes du Moyen Empire. A partir du Nouvel Empire, ils étaient théoriquement au nombre de 365 et 37 chefs d'équipes de 10 ouvriers. Censés exécuter dans l'Au-delà les corvées à la place du défunt, ils étaient souvent pourvus de petits modèles d'outils. Ce bel ouchebti en faïence bleue faisait partie de la grande collection des figurines funéraires du pharaon Séthi I. La perruque, les sourcils, le collier et les instruments agricoles, que l'ouchebti porte dans les mains, sont peints en noir. Le texte est emprunté au chapitre 6 du ''Livre des Morts''.

↑ , Cachet avec Gayomard.:

Cachet avec Gayomard. :

collectionName : Iran
inventoryNb : IR.0035
objectName :
objectTitle : Cachet avec Gayomard.
objectCulture : Sassanide
geography :
dating : AD 224 - AD 642
material :
technique :
dimensions :
legalRightOwner : Musées royaux d'art et d'histoire/Koninklijke Musea voor Kunst en Geschiedenis

objectDescription : Circulaire. Le Gayomard est un thème religieux qui est souvent repris. Cet anthropoïde velu, affublé d’un long phallus, tient deux bâtons et surmonte un chien. Cet être revient dans divers mythes et récits consacrés à la lutte contre le mal, Ahriman, à la naissance du premier homme et aux constellations Orion et Canis Major. Les Sassanides disposaient d’une administration très développée dont les seuls témoins sont les bulles en terre qui accompagnaient les documents et un certain nombre de sceaux et d’anneaux sigillaires. Tant les anneaux sigillaires que les cachets en pierre indépendants ont été en usage ; ils étaient taillés dans diverses sortes de pierres et affectaient des formes variées. Généralement, les inscriptions mentionnent les noms, professions et fonctions des propriétaires. Les décors figuratifs ont souvent une signification religieuse ou se réfèrent à la vie à la cour. Ancien numéro: O.00809.

↑ , Mors de cheval avec plaques décorées:

Mors de cheval avec plaques décorées :

collectionName : Iran
inventoryNb : IR.0042
objectName :
objectTitle : Mors de cheval avec plaques décorées
objectCulture : Iranienne
geography :
dating : 1300 BC - 801 BC
material :
technique :
dimensions : Hauteur: 15 cm, Largeur: 11 cm
legalRightOwner : Musées royaux d'art et d'histoire/Koninklijke Musea voor Kunst en Geschiedenis

objectDescription : Mors de cheval composé de la tige centrale et de deux plaquettes. Celles-ci ont la forme d'un bouquetin ailé, passant de profil et tournant la tête vers le spectateur. Les mors de chevaux à plaques latérales décorées constituent un groupe important au sein de l’ensemble des bronzes du Luristan. De simples plaques de mors figuratives en forme de chevaux marchant sont également attestées, entre autres à Marlik Tepe, dans le Nord de l’Iran, et sont représentées de temps à autres sur les reliefs néo-assyriens des palais mésopotamiens. Ce n’est toutefois qu’au Luristan que l’iconographie des plaques de mors est aussi diversifiée. On y retrouve des animaux réels à côté d’êtres fabuleux, de scènes mythologiques et de combat. Les plaques de mors sont parfois particulièrement grandes et lourdes. Ainsi, cat. 274, représentant des lions ailés qui maintiennent un bouquetin, mesure-t-elle 12,4 sur 14,4 cm. C’est pourquoi il est souvent suggéré que de tels mors n’étaient pas destinés à un usage courant, mais étaient produits pour servir d’offrandes votives ou funéraires. De nettes traces d’utilisation apparaissent cependant sur nombre de ces mors, ce qui contredit l’hypothèse précédente et indique un emploi intensif et de longue durée. Jusqu’à présent, aucun mors à plaques figuratives n’a été mis au jour lors de fouilles scientifiques, ce qui empêche une datation précise, mais aussi de circonscrire leur aire de développement. De même, leur arrivée via le commerce de l’art explique également la raison pour laquelle les plaques d’un même mors ont souvent été séparées et ont abouti dans différentes collections ou divers musées (voir aussi cat. 252, garniture de carquois). C’est ainsi que l’une des plaques latérales des mors cat. 272 et 274 n’appartient pas aux collections des MRAH Par analogie avec d’autres groupes caractéristiques de bronzes du Luristan, comme les idoles et les haches, de manière générale nous pouvons conclure à une évolution dans le temps allant d’un décor naturaliste très simple à une iconographie toujours plus complexe et proposer une datation comprise entre le 13e siècle et le 9e/début 8e siècle.

↑ , Vase à bec verseur:

Vase à bec verseur :

collectionName : Iran
inventoryNb : IR.0277
objectName :
objectTitle : Vase à bec verseur
objectCulture : Iranienne
geography :
dating : ca. 1180 BC - AD 300
material :
technique :
dimensions : Hauteur: 16 cm, Largeur: 29 cm
legalRightOwner : Musées royaux d'art et d'histoire/Koninklijke Musea voor Kunst en Geschiedenis

objectDescription : Vase, à panse aplatie à base plate, à goulot munie d'une tête de bélier. La terre cuite dont la teinte va du gris au noir est caractéristique de la migration indo-européenne en Iran au cours du 2e millénaire. Ce genre de céramique se retrouve souvent dans des tombes, surtout dans le nord-ouest de l’Iran et dans la région de Téhéran, entre autres à Khurvin, Hasanlu et Tepe Siyalk. La surface de ces récipients est généralement polie, lui conférant un brillant intense. B.O.

↑ , Rhyton à double ouvertures:

Rhyton à double ouvertures :

collectionName : Iran
inventoryNb : IR.0300
objectName :
objectTitle : Rhyton à double ouvertures
objectCulture : Iranienne
geography :
dating : 500 BC - 201 BC
material :
technique :
dimensions : Hauteur: 22,5 cm, Largeur: 15,5 cm
legalRightOwner : Musées royaux d'art et d'histoire/Koninklijke Musea voor Kunst en Geschiedenis

objectDescription : Ce rhyton en forme d’amphore présente deux becs verseurs dans sa partie inférieure et des anses en forme d’animaux cornus pourvus de longs cous et tournant la tête vers l’arrière, comme pour s’éloigner du bord du vase. Leurs cornes, à l’horizontale, sont reliées par le bord du récipient. Des rhytons de ce type, à double ouverture, sont caractéristiques de la période qui s’étend des Achéménides aux Sassanides. Des exemplaires à anses zoomorphes, souvent rehaussées de peinture, étaient populaires principalement dans l’Azerbaïdjan iranien et le Caucase durant la période achéménide et au début de l’époque parthe. B.O.

↑ , Poignée en bronze:

Poignée en bronze :

collectionName : Iran
inventoryNb : IR.0509
objectName :
objectTitle : Poignée en bronze
objectCulture : Iranienne
geography :
dating : 2750 BC - 2250 BC
material :
technique :
dimensions : Hauteur: 18 cm
legalRightOwner : Musées royaux d'art et d'histoire/Koninklijke Musea voor Kunst en Geschiedenis

objectDescription : Ces trois objets coulés de forme tubulaire (IR.0509, IR.0512, IR.1188) appartiennent à un type de poignées dont quelques-unes ont été mises au jour à Suse tandis que de nombreux exemplaires proviendraient du Luristan. Ils ont été datés approximativement du milieu du 3e millénaire. Sans doute s’agit-il essentiellement de poignées, certaines d’entre elles ont été trouvées clairement associées à des haches. L’ornementation, faite de boutons et de zigzags, est souvent complétée d’éléments figuratifs tels que des serpents ou des hommes. B.O.

↑ , Poignée en bronze:

Poignée en bronze :

collectionName : Iran
inventoryNb : IR.0512
objectName :
objectTitle : Poignée en bronze
objectCulture : Iranienne
geography :
dating : 2750 BC - 2250 BC
material :
technique :
dimensions : Hauteur: 11 cm
legalRightOwner : Musées royaux d'art et d'histoire/Koninklijke Musea voor Kunst en Geschiedenis

objectDescription : Ces trois objets coulés de forme tubulaire (IR.0509, IR.0512, IR.1188) appartiennent à un type de poignées dont quelques-unes ont été mises au jour à Suse tandis que de nombreux exemplaires proviendraient du Luristan. Ils ont été datés approximativement du milieu du 3e millénaire. Sans doute s’agit-il essentiellement de poignées, certaines d’entre elles ont été trouvées clairement associées à des haches. L’ornementation, faite de boutons et de zigzags, est souvent complétée d’éléments figuratifs tels que des serpents ou des hommes. B.O.

↑ , Plaque décorée d'un mors de cheval:

Plaque décorée d'un mors de cheval :

collectionName : Iran
inventoryNb : IR.0782
objectName :
objectTitle : Plaque décorée d'un mors de cheval
objectCulture : Iranienne
geography :
dating : 1300 BC - 791 BC
material :
technique :
dimensions : Hauteur: 19 cm, Largeur: 16 cm
legalRightOwner : Musées royaux d'art et d'histoire/Koninklijke Musea voor Kunst en Geschiedenis

objectDescription : Fragment de mors. Taureau ailé à tête cornue d'un génie protecteur. Au milieu du corps un trou de passage pour le pontet du mors. Les mors de chevaux à plaques latérales décorées constituent un groupe important au sein de l’ensemble des bronzes du Luristan. De simples plaques de mors figuratives en forme de chevaux marchant sont également attestées, entre autres à Marlik Tepe, dans le Nord de l’Iran, et sont représentées de temps à autres sur les reliefs néo-assyriens des palais mésopotamiens. Ce n’est toutefois qu’au Luristan que l’iconographie des plaques de mors est aussi diversifiée. On y retrouve des animaux réels à côté d’êtres fabuleux, de scènes mythologiques et de combat. Les plaques de mors sont parfois particulièrement grandes et lourdes. C’est pourquoi il est souvent suggéré que de tels mors n’étaient pas destinés à un usage courant, mais étaient produits pour servir d’offrandes votives ou funéraires. De nettes traces d’utilisation apparaissent cependant sur nombre de ces mors, ce qui contredit l’hypothèse précédente et indique un emploi intensif et de longue durée. Jusqu’à présent, aucun mors à plaques figuratives n’a été mis au jour lors de fouilles scientifiques, ce qui empêche une datation précise, mais aussi de circonscrire leur aire de développement. De même, leur arrivée via le commerce de l’art explique également la raison pour laquelle les plaques d’un même mors ont souvent été séparées et ont abouti dans différentes collections ou divers musées. Par analogie avec d’autres groupes caractéristiques de bronzes du Luristan, comme les idoles et les haches, nous pouvons conclure de manière générale à une évolution dans le temps allant d’un décor naturaliste très simple à une iconographie toujours plus complexe et proposer une datation comprise entre le 13e siècle et le 9e/début 8e siècle.

↑ , Plaque décorée d'un mors de cheval:

Plaque décorée d'un mors de cheval :

collectionName : Iran
inventoryNb : IR.0783
objectName :
objectTitle : Plaque décorée d'un mors de cheval
objectCulture : Iranienne
geography :
dating : 1300 BC - 750 BC
material :
technique :
dimensions : Hauteur: 12 cm, Largeur: 14,5 cm
legalRightOwner : Musées royaux d'art et d'histoire/Koninklijke Musea voor Kunst en Geschiedenis

objectDescription : Fragment de mors. Deux lions ailés debout face à face (les têtes saillantes et de face) tiennent deux capridés par leurs pattes de derrière. Une patte de derrière des lions appuyée sur la tête des capridés. Au milieu des corps des capridés un trou de passage pour le pontet de mors. Les mors de chevaux à plaques latérales décorées constituent un groupe important au sein de l’ensemble des bronzes du Luristan. De simples plaques de mors figuratives en forme de chevaux marchant sont également attestées, entre autres à Marlik Tepe, dans le Nord de l’Iran, et sont représentées de temps à autres sur les reliefs néo-assyriens des palais mésopotamiens. Ce n’est toutefois qu’au Luristan que l’iconographie des plaques de mors est aussi diversifiée. On y retrouve des animaux réels à côté d’êtres fabuleux, de scènes mythologiques et de combat. Les plaques de mors sont parfois particulièrement grandes et lourdes. C’est pourquoi il est souvent suggéré que de tels mors n’étaient pas destinés à un usage courant, mais étaient produits pour servir d’offrandes votives ou funéraires. De nettes traces d’utilisation apparaissent cependant sur nombre de ces mors, ce qui contredit l’hypothèse précédente et indique un emploi intensif et de longue durée. Jusqu’à présent, aucun mors à plaques figuratives n’a été mis au jour lors de fouilles scientifiques, ce qui empêche une datation précise, mais aussi de circonscrire leur aire de développement. De même, leur arrivée via le commerce de l’art explique également la raison pour laquelle les plaques d’un même mors ont souvent été séparées et ont abouti dans différentes collections ou divers musées. Par analogie avec d’autres groupes caractéristiques de bronzes du Luristan, comme les idoles et les haches, nous pouvons conclure de manière générale à une évolution dans le temps allant d’un décor naturaliste très simple à une iconographie toujours plus complexe et proposer une datation comprise entre le 13e siècle et le 9e/début 8e siècle.

↑ , Mors de chevaux à plaques latérales décorées:

Mors de chevaux à plaques latérales décorées :

collectionName : Iran
inventoryNb : IR.0785
objectName :
objectTitle : Mors de chevaux à plaques latérales décorées
objectCulture : Iranienne
geography :
dating : 1300 BC - 750 BC
material :
technique :
dimensions :
legalRightOwner : Musées royaux d'art et d'histoire/Koninklijke Musea voor Kunst en Geschiedenis

objectDescription : Les mors de chevaux à plaques latérales décorées constituent un groupe important au sein de l’ensemble des bronzes du Luristan. De simples plaques de mors figuratives en forme de chevaux marchant sont également attestées, entre autres à Marlik Tepe, dans le Nord de l’Iran, et sont représentées de temps à autres sur les reliefs néo-assyriens des palais mésopotamiens. Ce n’est toutefois qu’au Luristan que l’iconographie des plaques de mors est aussi diversifiée. On y retrouve des animaux réels à côté d’êtres fabuleux, de scènes mythologiques et de combat. Les plaques de mors sont parfois particulièrement grandes et lourdes. C’est pourquoi il est souvent suggéré que de tels mors n’étaient pas destinés à un usage courant, mais étaient produits pour servir d’offrandes votives ou funéraires. De nettes traces d’utilisation apparaissent cependant sur nombre de ces mors, ce qui contredit l’hypothèse précédente et indique un emploi intensif et de longue durée. Jusqu’à présent, aucun mors à plaques figuratives n’a été mis au jour lors de fouilles scientifiques, ce qui empêche une datation précise, mais aussi de circonscrire leur aire de développement. De même, leur arrivée via le commerce de l’art explique également la raison pour laquelle les plaques d’un même mors ont souvent été séparées et ont abouti dans différentes collections ou divers musées. Par analogie avec d’autres groupes caractéristiques de bronzes du Luristan, comme les idoles et les haches, nous pouvons conclure de manière générale à une évolution dans le temps allant d’un décor naturaliste très simple à une iconographie toujours plus complexe et proposer une datation comprise entre le 13e siècle et le 9e/début 8e siècle.

↑ , Mors de chevaux à plaques latérales décorées:

Mors de chevaux à plaques latérales décorées :

collectionName : Iran
inventoryNb : IR.0788
objectName :
objectTitle : Mors de chevaux à plaques latérales décorées
objectCulture : Iranienne
geography :
dating : 1300 BC - 750 BC
material :
technique :
dimensions : Hauteur: 10,8 cm, Largeur: 10 cm
legalRightOwner : Musées royaux d'art et d'histoire/Koninklijke Musea voor Kunst en Geschiedenis

objectDescription : Mors représentant deux chevaux à tête allongée et à queue longue. Sous le cou le trou de passage de la barre; la croupe présente l'anneau pour le harnachement. Les mors de chevaux à plaques latérales décorées constituent un groupe important au sein de l’ensemble des bronzes du Luristan. De simples plaques de mors figuratives en forme de chevaux marchant sont également attestées, entre autres à Marlik Tepe, dans le Nord de l’Iran, et sont représentées de temps à autres sur les reliefs néo-assyriens des palais mésopotamiens. Ce n’est toutefois qu’au Luristan que l’iconographie des plaques de mors est aussi diversifiée. On y retrouve des animaux réels à côté d’êtres fabuleux, de scènes mythologiques et de combat. Les plaques de mors sont parfois particulièrement grandes et lourdes. C’est pourquoi il est souvent suggéré que de tels mors n’étaient pas destinés à un usage courant, mais étaient produits pour servir d’offrandes votives ou funéraires. De nettes traces d’utilisation apparaissent cependant sur nombre de ces mors, ce qui contredit l’hypothèse précédente et indique un emploi intensif et de longue durée. Jusqu’à présent, aucun mors à plaques figuratives n’a été mis au jour lors de fouilles scientifiques, ce qui empêche une datation précise, mais aussi de circonscrire leur aire de développement. De même, leur arrivée via le commerce de l’art explique également la raison pour laquelle les plaques d’un même mors ont souvent été séparées et ont abouti dans différentes collections ou divers musées. Par analogie avec d’autres groupes caractéristiques de bronzes du Luristan, comme les idoles et les haches, nous pouvons conclure de manière générale à une évolution dans le temps allant d’un décor naturaliste très simple à une iconographie toujours plus complexe et proposer une datation comprise entre le 13e siècle et le 9e/début 8e siècle.

↑ , Mors de chevaux à plaques latérales décorées:

Mors de chevaux à plaques latérales décorées :

collectionName : Iran
inventoryNb : IR.0790
objectName :
objectTitle : Mors de chevaux à plaques latérales décorées
objectCulture : Iranienne
geography :
dating : 1300 BC - 750 BC
material :
technique :
dimensions : Hauteur: 15 cm, Largeur: 13 cm
legalRightOwner : Musées royaux d'art et d'histoire/Koninklijke Musea voor Kunst en Geschiedenis

objectDescription : Mors représentant deux animaux fantastiques sur le dos duquel a poussé un taureau qui remplace l'aile. Le sphinx à la tête d'un génie protecteur marche sur deux lièvres ou capridés. Les mors de chevaux à plaques latérales décorées constituent un groupe important au sein de l’ensemble des bronzes du Luristan. De simples plaques de mors figuratives en forme de chevaux marchant sont également attestées, entre autres à Marlik Tepe, dans le Nord de l’Iran, et sont représentées de temps à autres sur les reliefs néo-assyriens des palais mésopotamiens. Ce n’est toutefois qu’au Luristan que l’iconographie des plaques de mors est aussi diversifiée. On y retrouve des animaux réels à côté d’êtres fabuleux, de scènes mythologiques et de combat. Les plaques de mors sont parfois particulièrement grandes et lourdes. C’est pourquoi il est souvent suggéré que de tels mors n’étaient pas destinés à un usage courant, mais étaient produits pour servir d’offrandes votives ou funéraires. De nettes traces d’utilisation apparaissent cependant sur nombre de ces mors, ce qui contredit l’hypothèse précédente et indique un emploi intensif et de longue durée. Jusqu’à présent, aucun mors à plaques figuratives n’a été mis au jour lors de fouilles scientifiques, ce qui empêche une datation précise, mais aussi de circonscrire leur aire de développement. De même, leur arrivée via le commerce de l’art explique également la raison pour laquelle les plaques d’un même mors ont souvent été séparées et ont abouti dans différentes collections ou divers musées. Par analogie avec d’autres groupes caractéristiques de bronzes du Luristan, comme les idoles et les haches, nous pouvons conclure de manière générale à une évolution dans le temps allant d’un décor naturaliste très simple à une iconographie toujours plus complexe et proposer une datation comprise entre le 13e siècle et le 9e/début 8e siècle.

↑ , Mors de chevaux à plaques latérales décorées:

Mors de chevaux à plaques latérales décorées :

collectionName : Iran
inventoryNb : IR.0791
objectName :
objectTitle : Mors de chevaux à plaques latérales décorées
objectCulture : Iranienne
geography :
dating : 1300 BC - 750 BC
material :
technique :
dimensions : Hauteur: 10 cm, Largeur: 11 cm
legalRightOwner : Musées royaux d'art et d'histoire/Koninklijke Musea voor Kunst en Geschiedenis

objectDescription : Mors. Deux chevaux ailés, stylisés. La queue tombe en angle droit jusqu'au socle. Des épérons aux genoux et aux paturons du train avant et du train arrière. Les mors de chevaux à plaques latérales décorées constituent un groupe important au sein de l’ensemble des bronzes du Luristan. De simples plaques de mors figuratives en forme de chevaux marchant sont également attestées, entre autres à Marlik Tepe, dans le Nord de l’Iran, et sont représentées de temps à autres sur les reliefs néo-assyriens des palais mésopotamiens. Ce n’est toutefois qu’au Luristan que l’iconographie des plaques de mors est aussi diversifiée. On y retrouve des animaux réels à côté d’êtres fabuleux, de scènes mythologiques et de combat. Les plaques de mors sont parfois particulièrement grandes et lourdes. C’est pourquoi il est souvent suggéré que de tels mors n’étaient pas destinés à un usage courant, mais étaient produits pour servir d’offrandes votives ou funéraires. De nettes traces d’utilisation apparaissent cependant sur nombre de ces mors, ce qui contredit l’hypothèse précédente et indique un emploi intensif et de longue durée. Jusqu’à présent, aucun mors à plaques figuratives n’a été mis au jour lors de fouilles scientifiques, ce qui empêche une datation précise, mais aussi de circonscrire leur aire de développement. De même, leur arrivée via le commerce de l’art explique également la raison pour laquelle les plaques d’un même mors ont souvent été séparées et ont abouti dans différentes collections ou divers musées. Par analogie avec d’autres groupes caractéristiques de bronzes du Luristan, comme les idoles et les haches, nous pouvons conclure de manière générale à une évolution dans le temps allant d’un décor naturaliste très simple à une iconographie toujours plus complexe et proposer une datation comprise entre le 13e siècle et le 9e/début 8e siècle.

↑ , Cachet avec oiseau:

Cachet avec oiseau :

collectionName : Iran
inventoryNb : IR.0868
objectName :
objectTitle : Cachet avec oiseau
objectCulture : Sassanide
geography :
dating : AD 224 - AD 642
material :
technique :
dimensions : Hauteur: 10,8 mm, Largeur: 13,7 mm, Profondeur: 12,2 mm
legalRightOwner : Musées royaux d'art et d'histoire/Koninklijke Musea voor Kunst en Geschiedenis

objectDescription : Circulaire. Oiseau avec deux larges traits sur le bord. Les Sassanides disposaient d’une administration très développée dont les seuls témoins sont les bulles en terre qui accompagnaient les documents et un certain nombre de sceaux et d’anneaux sigillaires. Tant les anneaux sigillaires que les cachets en pierre indépendants ont été en usage ; ils étaient taillés dans diverses sortes de pierres et affectaient des formes variées. Généralement, les inscriptions mentionnent les noms, professions et fonctions des propriétaires. Les décors figuratifs ont souvent une signification religieuse ou se réfèrent à la vie à la cour. Ancien numéro: O.02384.

↑ , Cachet avec monogramme:

Cachet avec monogramme :

collectionName : Iran
inventoryNb : IR.0869
objectName :
objectTitle : Cachet avec monogramme
objectCulture : Sassanide
geography :
dating : AD 224 - AD 642
material :
technique :
dimensions : Hauteur: 11,7 mm, Largeur: 14,3 mm, Profondeur: 13,8 mm
legalRightOwner : Musées royaux d'art et d'histoire/Koninklijke Musea voor Kunst en Geschiedenis

objectDescription : Ellipsoïde. Monogramme de composition symétrique. Les Sassanides disposaient d’une administration très développée dont les seuls témoins sont les bulles en terre qui accompagnaient les documents et un certain nombre de sceaux et d’anneaux sigillaires. Tant les anneaux sigillaires que les cachets en pierre indépendants ont été en usage ; ils étaient taillés dans diverses sortes de pierres et affectaient des formes variées. Généralement, les inscriptions mentionnent les noms, professions et fonctions des propriétaires. Les décors figuratifs ont souvent une signification religieuse ou se réfèrent à la vie à la cour. Ancien numéro: O.02812.

↑ , Cachet avec antilopiné, debout:

Cachet avec antilopiné, debout :

collectionName : Iran
inventoryNb : IR.0870
objectName :
objectTitle : Cachet avec antilopiné, debout
objectCulture : Sassanide
geography :
dating : AD 224 - AD 642
material :
technique :
dimensions : Hauteur: 16,3 mm, Largeur: 19,7 mm, Profondeur: 18,8 mm
legalRightOwner : Musées royaux d'art et d'histoire/Koninklijke Musea voor Kunst en Geschiedenis

objectDescription : Cachet circulaire avec la représentation d'une antilope. Les Sassanides disposaient d’une administration très développée dont les seuls témoins sont les bulles en terre qui accompagnaient les documents et un certain nombre de sceaux et d’anneaux sigillaires. Tant les anneaux sigillaires que les cachets en pierre indépendants ont été en usage ; ils étaient taillés dans diverses sortes de pierres et affectaient des formes variées. Généralement, les inscriptions mentionnent les noms, professions et fonctions des propriétaires. Les décors figuratifs ont souvent une signification religieuse ou se réfèrent à la vie à la cour. Ancien numéro: O.02813.

↑ , Cachet avec un homme et antilope:

Cachet avec un homme et antilope :

collectionName : Iran
inventoryNb : IR.0871
objectName :
objectTitle : Cachet avec un homme et antilope
objectCulture : Sassanide
geography :
dating : AD 224 - AD 642
material :
technique :
dimensions : Hauteur: 12,3 mm, Largeur: 17,4 mm, Profondeur: 17,4 mm
legalRightOwner : Musées royaux d'art et d'histoire/Koninklijke Musea voor Kunst en Geschiedenis

objectDescription : Circulaire. Un homme et une antilope (couchée). Les Sassanides disposaient d’une administration très développée dont les seuls témoins sont les bulles en terre qui accompagnaient les documents et un certain nombre de sceaux et d’anneaux sigillaires. Tant les anneaux sigillaires que les cachets en pierre indépendants ont été en usage ; ils étaient taillés dans diverses sortes de pierres et affectaient des formes variées. Généralement, les inscriptions mentionnent les noms, professions et fonctions des propriétaires. Les décors figuratifs ont souvent une signification religieuse ou se réfèrent à la vie à la cour. Ancien numéro: O.02814.

↑ , Cachet avec monogramme:

Cachet avec monogramme :

collectionName : Iran
inventoryNb : IR.0872
objectName :
objectTitle : Cachet avec monogramme
objectCulture : Sassanide
geography :
dating : AD 224 - AD 642
material :
technique :
dimensions : Hauteur: 10,5 mm, Largeur: 15 mm, Profondeur: 13,3 mm
legalRightOwner : Musées royaux d'art et d'histoire/Koninklijke Musea voor Kunst en Geschiedenis

objectDescription : Ellipsoïde. Monogramme de composition symétrique. Deux globules et deux croissants (?). Les Sassanides disposaient d’une administration très développée dont les seuls témoins sont les bulles en terre qui accompagnaient les documents et un certain nombre de sceaux et d’anneaux sigillaires. Tant les anneaux sigillaires que les cachets en pierre indépendants ont été en usage ; ils étaient taillés dans diverses sortes de pierres et affectaient des formes variées. Généralement, les inscriptions mentionnent les noms, professions et fonctions des propriétaires. Les décors figuratifs ont souvent une signification religieuse ou se réfèrent à la vie à la cour. Ancien numéro: O.02815.

↑ , Cachet avec zébu, couché:

Cachet avec zébu, couché :

collectionName : Iran
inventoryNb : IR.0873
objectName :
objectTitle : Cachet avec zébu, couché
objectCulture : Sassanide
geography :
dating : AD 224 - AD 642
material :
technique :
dimensions : Hauteur: 13,2 mm, Largeur: 16,4 mm, Profondeur: 14,3 mm
legalRightOwner : Musées royaux d'art et d'histoire/Koninklijke Musea voor Kunst en Geschiedenis

objectDescription : Circulaire. Zébu, couché. Les Sassanides disposaient d’une administration très développée dont les seuls témoins sont les bulles en terre qui accompagnaient les documents et un certain nombre de sceaux et d’anneaux sigillaires. Tant les anneaux sigillaires que les cachets en pierre indépendants ont été en usage ; ils étaient taillés dans diverses sortes de pierres et affectaient des formes variées. Généralement, les inscriptions mentionnent les noms, professions et fonctions des propriétaires. Les décors figuratifs ont souvent une signification religieuse ou se réfèrent à la vie à la cour. Ancien numéro: O.02816.

↑ , Cachet avec griffon:

Cachet avec griffon :

collectionName : Iran
inventoryNb : IR.0874
objectName :
objectTitle : Cachet avec griffon
objectCulture : Sassanide
geography :
dating : AD 224 - AD 642
material :
technique :
dimensions : Hauteur: 17,9 mm, Largeur: 19 mm, Profondeur: 18,3 mm
legalRightOwner : Musées royaux d'art et d'histoire/Koninklijke Musea voor Kunst en Geschiedenis

objectDescription : Ellipsoïde. Griffon. Les Sassanides disposaient d’une administration très développée dont les seuls témoins sont les bulles en terre qui accompagnaient les documents et un certain nombre de sceaux et d’anneaux sigillaires. Tant les anneaux sigillaires que les cachets en pierre indépendants ont été en usage ; ils étaient taillés dans diverses sortes de pierres et affectaient des formes variées. Généralement, les inscriptions mentionnent les noms, professions et fonctions des propriétaires. Les décors figuratifs ont souvent une signification religieuse ou se réfèrent à la vie à la cour. Ancien numéro: O.02817.

↑ , Cachet avec scorpion:

Cachet avec scorpion :

collectionName : Iran
inventoryNb : IR.0875
objectName :
objectTitle : Cachet avec scorpion
objectCulture : Sassanide
geography :
dating : AD 224 - AD 642
material :
technique :
dimensions : Hauteur: 16,6 mm, Largeur: 20,8 mm, Profondeur: 14,7 mm
legalRightOwner : Musées royaux d'art et d'histoire/Koninklijke Musea voor Kunst en Geschiedenis

objectDescription : Ellipsoïde. Scorpion avec, dans le champ, une étoile (?). Les Sassanides disposaient d’une administration très développée dont les seuls témoins sont les bulles en terre qui accompagnaient les documents et un certain nombre de sceaux et d’anneaux sigillaires. Tant les anneaux sigillaires que les cachets en pierre indépendants ont été en usage ; ils étaient taillés dans diverses sortes de pierres et affectaient des formes variées. Généralement, les inscriptions mentionnent les noms, professions et fonctions des propriétaires. Les décors figuratifs ont souvent une signification religieuse ou se réfèrent à la vie à la cour. Ancien numéro: O.02818.

↑ , Cachet avec oiseau de proie:

Cachet avec oiseau de proie :

collectionName : Iran
inventoryNb : IR.0877
objectName :
objectTitle : Cachet avec oiseau de proie
objectCulture : Sassanide
geography :
dating : AD 224 - AD 642
material :
technique :
dimensions : Hauteur: 15,4 mm, Largeur: 19,9 mm, Profondeur: 18,5 mm
legalRightOwner : Musées royaux d'art et d'histoire/Koninklijke Musea voor Kunst en Geschiedenis

objectDescription : Circulaire. Oiseau de proie, la tête baissée. Une bandelette et des globules. Les Sassanides disposaient d’une administration très développée dont les seuls témoins sont les bulles en terre qui accompagnaient les documents et un certain nombre de sceaux et d’anneaux sigillaires. Tant les anneaux sigillaires que les cachets en pierre indépendants ont été en usage ; ils étaient taillés dans diverses sortes de pierres et affectaient des formes variées. Généralement, les inscriptions mentionnent les noms, professions et fonctions des propriétaires. Les décors figuratifs ont souvent une signification religieuse ou se réfèrent à la vie à la cour. Ancien numéro: O.02820.

↑ , Cachet avec monogramme:

Cachet avec monogramme :

collectionName : Iran
inventoryNb : IR.0879
objectName :
objectTitle : Cachet avec monogramme
objectCulture : Sassanide
geography :
dating : AD 224 - AD 642
material :
technique :
dimensions : Hauteur: 10 mm, Largeur: 13 mm, Profondeur: 10,7 mm
legalRightOwner : Musées royaux d'art et d'histoire/Koninklijke Musea voor Kunst en Geschiedenis

objectDescription : Circulaire. Monogramme de composition symétrique. Tout autour un cercle (guirlande?). Les Sassanides disposaient d’une administration très développée dont les seuls témoins sont les bulles en terre qui accompagnaient les documents et un certain nombre de sceaux et d’anneaux sigillaires. Tant les anneaux sigillaires que les cachets en pierre indépendants ont été en usage ; ils étaient taillés dans diverses sortes de pierres et affectaient des formes variées. Généralement, les inscriptions mentionnent les noms, professions et fonctions des propriétaires. Les décors figuratifs ont souvent une signification religieuse ou se réfèrent à la vie à la cour. Ancien numéro: O.02822.

↑ , Cachet avec des animals indéfinis:

Cachet avec des animals indéfinis :

collectionName : Iran
inventoryNb : IR.0881
objectName :
objectTitle : Cachet avec des animals indéfinis
objectCulture : Sassanide
geography :
dating : AD 224 - AD 642 (Incertaine)
material :
technique :
dimensions : Hauteur: 11,3 mm, Largeur: 14,8 mm, Profondeur: 14,8 mm
legalRightOwner : Musées royaux d'art et d'histoire/Koninklijke Musea voor Kunst en Geschiedenis

objectDescription : Circulaire. Animal indéfini avec au-dessus des bandelettes. Au-dessous, un petit animal indéfini. Les Sassanides disposaient d’une administration très développée dont les seuls témoins sont les bulles en terre qui accompagnaient les documents et un certain nombre de sceaux et d’anneaux sigillaires. Tant les anneaux sigillaires que les cachets en pierre indépendants ont été en usage ; ils étaient taillés dans diverses sortes de pierres et affectaient des formes variées. Généralement, les inscriptions mentionnent les noms, professions et fonctions des propriétaires. Les décors figuratifs ont souvent une signification religieuse ou se réfèrent à la vie à la cour. Ancien numéro: O.02824.

↑ , Cachet avec monogramme:

Cachet avec monogramme :

collectionName : Iran
inventoryNb : IR.0882
objectName :
objectTitle : Cachet avec monogramme
objectCulture : Sassanide
geography :
dating : AD 224 - AD 642
material :
technique :
dimensions : Hauteur: 12,6 mm, Largeur: 15,7 mm, Profondeur: 10,5 mm
legalRightOwner : Musées royaux d'art et d'histoire/Koninklijke Musea voor Kunst en Geschiedenis

objectDescription : Ellipsoïde. Monogramme de composition symétrique. Les Sassanides disposaient d’une administration très développée dont les seuls témoins sont les bulles en terre qui accompagnaient les documents et un certain nombre de sceaux et d’anneaux sigillaires. Tant les anneaux sigillaires que les cachets en pierre indépendants ont été en usage ; ils étaient taillés dans diverses sortes de pierres et affectaient des formes variées. Généralement, les inscriptions mentionnent les noms, professions et fonctions des propriétaires. Les décors figuratifs ont souvent une signification religieuse ou se réfèrent à la vie à la cour. Ancien numéro: O.02825.

↑ , Cachet avec des personnes et animaux:

Cachet avec des personnes et animaux :

collectionName : Iran
inventoryNb : IR.0883
objectName :
objectTitle : Cachet avec des personnes et animaux
objectCulture : Sassanide
geography :
dating : AD 224 - AD 642
material :
technique :
dimensions : Hauteur: 15,4 mm, Largeur: 23,8 mm, Profondeur: 20,8 mm
legalRightOwner : Musées royaux d'art et d'histoire/Koninklijke Musea voor Kunst en Geschiedenis

objectDescription : Circulaire. Plusieurs personnes et animaux, exécutés très sommairement. Le dos a un scorpion et un oiseau, avec une inscription pehlevie: n/wkdl (?). Les Sassanides disposaient d’une administration très développée dont les seuls témoins sont les bulles en terre qui accompagnaient les documents et un certain nombre de sceaux et d’anneaux sigillaires. Tant les anneaux sigillaires que les cachets en pierre indépendants ont été en usage ; ils étaient taillés dans diverses sortes de pierres et affectaient des formes variées. Généralement, les inscriptions mentionnent les noms, professions et fonctions des propriétaires. Les décors figuratifs ont souvent une signification religieuse ou se réfèrent à la vie à la cour. Ancien numéro: O.02826.

↑ , Cachet avec lion, couché:

Cachet avec lion, couché :

collectionName : Iran
inventoryNb : IR.0884
objectName :
objectTitle : Cachet avec lion, couché
objectCulture : Sassanide
geography :
dating : AD 224 - AD 642
material :
technique :
dimensions : Hauteur: 12,2 mm, Largeur: 15,3 mm, Profondeur: 12,2 mm
legalRightOwner : Musées royaux d'art et d'histoire/Koninklijke Musea voor Kunst en Geschiedenis

objectDescription : Ellipsoïde. Lion, couché. Dans le champ, la tête d'un animal (antilope?). Les Sassanides disposaient d’une administration très développée dont les seuls témoins sont les bulles en terre qui accompagnaient les documents et un certain nombre de sceaux et d’anneaux sigillaires. Tant les anneaux sigillaires que les cachets en pierre indépendants ont été en usage ; ils étaient taillés dans diverses sortes de pierres et affectaient des formes variées. Généralement, les inscriptions mentionnent les noms, professions et fonctions des propriétaires. Les décors figuratifs ont souvent une signification religieuse ou se réfèrent à la vie à la cour. Ancien numéro: O.02827.

↑ , Cachet avec bélier, couché:

Cachet avec bélier, couché :

collectionName : Iran
inventoryNb : IR.0885
objectName :
objectTitle : Cachet avec bélier, couché
objectCulture : Sassanide
geography :
dating : AD 224 - AD 642
material :
technique :
dimensions : Hauteur: 11,4 mm, Largeur: 14 mm, Profondeur: 13,2 mm
legalRightOwner : Musées royaux d'art et d'histoire/Koninklijke Musea voor Kunst en Geschiedenis

objectDescription : Ellipsoïde. Bélier, couché. Une bandelette derrière la tête. Les Sassanides disposaient d’une administration très développée dont les seuls témoins sont les bulles en terre qui accompagnaient les documents et un certain nombre de sceaux et d’anneaux sigillaires. Tant les anneaux sigillaires que les cachets en pierre indépendants ont été en usage ; ils étaient taillés dans diverses sortes de pierres et affectaient des formes variées. Généralement, les inscriptions mentionnent les noms, professions et fonctions des propriétaires. Les décors figuratifs ont souvent une signification religieuse ou se réfèrent à la vie à la cour. Ancien numéro: O.02828.

↑ , Cachet avec griffon:

Cachet avec griffon :

collectionName : Iran
inventoryNb : IR.0886
objectName :
objectTitle : Cachet avec griffon
objectCulture : Sassanide
geography :
dating : AD 224 - AD 642
material :
technique :
dimensions : Hauteur: 14 mm, Largeur: 14,6 mm, Profondeur: 14,4 mm
legalRightOwner : Musées royaux d'art et d'histoire/Koninklijke Musea voor Kunst en Geschiedenis

objectDescription : Circulaire. Griffon. Les Sassanides disposaient d’une administration très développée dont les seuls témoins sont les bulles en terre qui accompagnaient les documents et un certain nombre de sceaux et d’anneaux sigillaires. Tant les anneaux sigillaires que les cachets en pierre indépendants ont été en usage ; ils étaient taillés dans diverses sortes de pierres et affectaient des formes variées. Généralement, les inscriptions mentionnent les noms, professions et fonctions des propriétaires. Les décors figuratifs ont souvent une signification religieuse ou se réfèrent à la vie à la cour. Ancien numéro: O.02829.

↑ , Cachet avec cervidé, debout:

Cachet avec cervidé, debout :

collectionName : Iran
inventoryNb : IR.0888
objectName :
objectTitle : Cachet avec cervidé, debout
objectCulture : Sassanide
geography :
dating : AD 224 - AD 642
material :
technique :
dimensions : Hauteur: 9,7 mm, Largeur: 13,9 mm, Profondeur: 13,1 mm
legalRightOwner : Musées royaux d'art et d'histoire/Koninklijke Musea voor Kunst en Geschiedenis

objectDescription : Circulaire. Un animal (cervidé?), debout. Les Sassanides disposaient d’une administration très développée dont les seuls témoins sont les bulles en terre qui accompagnaient les documents et un certain nombre de sceaux et d’anneaux sigillaires. Tant les anneaux sigillaires que les cachets en pierre indépendants ont été en usage ; ils étaient taillés dans diverses sortes de pierres et affectaient des formes variées. Généralement, les inscriptions mentionnent les noms, professions et fonctions des propriétaires. Les décors figuratifs ont souvent une signification religieuse ou se réfèrent à la vie à la cour. Ancien numéro: O.02831.

↑ , Cachet avec oviné ailé:

Cachet avec oviné ailé :

collectionName : Iran
inventoryNb : IR.0889
objectName :
objectTitle : Cachet avec oviné ailé
objectCulture : Sassanide
geography :
dating : AD 224 - AD 642
material :
technique :
dimensions : Hauteur: 15,5 mm, Largeur: 18,9 mm, Profondeur: 10,9 mm
legalRightOwner : Musées royaux d'art et d'histoire/Koninklijke Musea voor Kunst en Geschiedenis

objectDescription : Ellipsoïde. Oviné à deux ailes, couché. Dans le champ, un croissant. Les Sassanides disposaient d’une administration très développée dont les seuls témoins sont les bulles en terre qui accompagnaient les documents et un certain nombre de sceaux et d’anneaux sigillaires. Tant les anneaux sigillaires que les cachets en pierre indépendants ont été en usage ; ils étaient taillés dans diverses sortes de pierres et affectaient des formes variées. Généralement, les inscriptions mentionnent les noms, professions et fonctions des propriétaires. Les décors figuratifs ont souvent une signification religieuse ou se réfèrent à la vie à la cour. Ancien numéro: O.02832.

↑ , Cachet avec deux chevaux:

Cachet avec deux chevaux :

collectionName : Iran
inventoryNb : IR.0890
objectName :
objectTitle : Cachet avec deux chevaux
objectCulture : Sassanide
geography :
dating : AD 224 - AD 642
material :
technique :
dimensions : Hauteur: 15,5 mm, Largeur: 18 mm, Profondeur: 12,6 mm
legalRightOwner : Musées royaux d'art et d'histoire/Koninklijke Musea voor Kunst en Geschiedenis

objectDescription : Ellipsoïde. Cheval, avec (au-dessous) un petit animal. Une inscription pehlevie: yzdklty l'ty, "Yazdgird, généreux". Les Sassanides disposaient d’une administration très développée dont les seuls témoins sont les bulles en terre qui accompagnaient les documents et un certain nombre de sceaux et d’anneaux sigillaires. Tant les anneaux sigillaires que les cachets en pierre indépendants ont été en usage ; ils étaient taillés dans diverses sortes de pierres et affectaient des formes variées. Généralement, les inscriptions mentionnent les noms, professions et fonctions des propriétaires. Les décors figuratifs ont souvent une signification religieuse ou se réfèrent à la vie à la cour. Ancien numéro: O.02833.

↑ , Cachet avec zébu:

Cachet avec zébu :

collectionName : Iran
inventoryNb : IR.0896
objectName :
objectTitle : Cachet avec zébu
objectCulture : Sassanide
geography :
dating : AD 224 - AD 642
material :
technique :
dimensions : Hauteur: 15,7 mm, Largeur: 19,5 mm, Profondeur: 12,7 mm
legalRightOwner : Musées royaux d'art et d'histoire/Koninklijke Musea voor Kunst en Geschiedenis

objectDescription : Ellipsoïde. Zébu debout. Lettres (pour la décoration?): 'pst'n. Les Sassanides disposaient d’une administration très développée dont les seuls témoins sont les bulles en terre qui accompagnaient les documents et un certain nombre de sceaux et d’anneaux sigillaires. Tant les anneaux sigillaires que les cachets en pierre indépendants ont été en usage ; ils étaient taillés dans diverses sortes de pierres et affectaient des formes variées. Généralement, les inscriptions mentionnent les noms, professions et fonctions des propriétaires. Les décors figuratifs ont souvent une signification religieuse ou se réfèrent à la vie à la cour. Ancien numéro: O.02840.

↑ , Cachet avec antilopiné:

Cachet avec antilopiné :

collectionName : Iran
inventoryNb : IR.0897
objectName :
objectTitle : Cachet avec antilopiné
objectCulture : Sassanide
geography :
dating : AD 224 - AD 642
material :
technique :
dimensions : Hauteur: 12,2 mm, Largeur: 14,2 mm, Profondeur: 10,5 mm
legalRightOwner : Musées royaux d'art et d'histoire/Koninklijke Musea voor Kunst en Geschiedenis

objectDescription : Cachet circulaire avec antilope. Les Sassanides disposaient d’une administration très développée dont les seuls témoins sont les bulles en terre qui accompagnaient les documents et un certain nombre de sceaux et d’anneaux sigillaires. Tant les anneaux sigillaires que les cachets en pierre indépendants ont été en usage ; ils étaient taillés dans diverses sortes de pierres et affectaient des formes variées. Généralement, les inscriptions mentionnent les noms, professions et fonctions des propriétaires. Les décors figuratifs ont souvent une signification religieuse ou se réfèrent à la vie à la cour. Ancien numéro: O.02841.

↑ , Cachet avec cheval ailé:

Cachet avec cheval ailé :

collectionName : Iran
inventoryNb : IR.0899
objectName :
objectTitle : Cachet avec cheval ailé
objectCulture : Sassanide
geography :
dating : AD 224 - AD 642
material :
technique :
dimensions : Hauteur: 13,5 mm, Largeur: 16 mm, Profondeur: 12,3 mm
legalRightOwner : Musées royaux d'art et d'histoire/Koninklijke Musea voor Kunst en Geschiedenis

objectDescription : Circulaire. Cheval ailé et inscription en pehlevie: ‘pst’n ‘L yzd’n, "dépendance aux dieux". Les Sassanides disposaient d’une administration très développée dont les seuls témoins sont les bulles en terre qui accompagnaient les documents et un certain nombre de sceaux et d’anneaux sigillaires. Tant les anneaux sigillaires que les cachets en pierre indépendants ont été en usage ; ils étaient taillés dans diverses sortes de pierres et affectaient des formes variées. Généralement, les inscriptions mentionnent les noms, professions et fonctions des propriétaires. Les décors figuratifs ont souvent une signification religieuse ou se réfèrent à la vie à la cour. Ancien numéro: O.02843.

↑ , Cachet avec bélier:

Cachet avec bélier :

collectionName : Iran
inventoryNb : IR.0900
objectName :
objectTitle : Cachet avec bélier
objectCulture : Sassanide
geography :
dating : AD 224 - AD 642
material :
technique :
dimensions : Hauteur: 13,3 mm, Largeur: 16 mm, Profondeur: 13,6 mm
legalRightOwner : Musées royaux d'art et d'histoire/Koninklijke Musea voor Kunst en Geschiedenis

objectDescription : Circulaire. Bélier couché, devant un arbuste. Larges traits sur le pourtour. Les Sassanides disposaient d’une administration très développée dont les seuls témoins sont les bulles en terre qui accompagnaient les documents et un certain nombre de sceaux et d’anneaux sigillaires. Tant les anneaux sigillaires que les cachets en pierre indépendants ont été en usage ; ils étaient taillés dans diverses sortes de pierres et affectaient des formes variées. Généralement, les inscriptions mentionnent les noms, professions et fonctions des propriétaires. Les décors figuratifs ont souvent une signification religieuse ou se réfèrent à la vie à la cour. Ancien numéro: O.02844.

↑ , Cachet avec monogramme:

Cachet avec monogramme :

collectionName : Iran
inventoryNb : IR.0903
objectName :
objectTitle : Cachet avec monogramme
objectCulture : Sassanide
geography :
dating : AD 224 - AD 642
material :
technique :
dimensions : Hauteur: 12,9 mm, Largeur: 14,8 mm, Profondeur: 9,7 mm
legalRightOwner : Musées royaux d'art et d'histoire/Koninklijke Musea voor Kunst en Geschiedenis

objectDescription : Ellipsoïde. Monogramme de composition symétrique. Les Sassanides disposaient d’une administration très développée dont les seuls témoins sont les bulles en terre qui accompagnaient les documents et un certain nombre de sceaux et d’anneaux sigillaires. Tant les anneaux sigillaires que les cachets en pierre indépendants ont été en usage ; ils étaient taillés dans diverses sortes de pierres et affectaient des formes variées. Généralement, les inscriptions mentionnent les noms, professions et fonctions des propriétaires. Les décors figuratifs ont souvent une signification religieuse ou se réfèrent à la vie à la cour. Ancien numéro: O.02847.

↑ , Cachet avec antilope:

Cachet avec antilope :

collectionName : Iran
inventoryNb : IR.0915
objectName :
objectTitle : Cachet avec antilope
objectCulture : Sassanide
geography :
dating : AD 224 - AD 642
material :
technique :
dimensions : Hauteur: 2,2 cm, Largeur: 2,5 cm, Profondeur: 0,9 cm
legalRightOwner : Musées royaux d'art et d'histoire/Koninklijke Musea voor Kunst en Geschiedenis

objectDescription : Ellipsoïde. Un anneau. Antilopiné, couchée. Les Sassanides disposaient d’une administration très développée dont les seuls témoins sont les bulles en terre qui accompagnaient les documents et un certain nombre de sceaux et d’anneaux sigillaires. Tant les anneaux sigillaires que les cachets en pierre indépendants ont été en usage ; ils étaient taillés dans diverses sortes de pierres et affectaient des formes variées. Généralement, les inscriptions mentionnent les noms, professions et fonctions des propriétaires. Les décors figuratifs ont souvent une signification religieuse ou se réfèrent à la vie à la cour. Ancien numéro: O.02859.

↑ , Cachet avec une femme:

Cachet avec une femme :

collectionName : Iran
inventoryNb : IR.0987
objectName :
objectTitle : Cachet avec une femme
objectCulture : Sassanide
geography :
dating : AD 224 - AD 642
material :
technique :
dimensions : Hauteur: 18,7 mm, Largeur: 22,7 mm, Profondeur: 15,5 mm
legalRightOwner : Musées royaux d'art et d'histoire/Koninklijke Musea voor Kunst en Geschiedenis

objectDescription : Ellipsoïde. Une femme parée des rubans royaux et tenant en main une bague d’investiture. Ce thème apparaît également sur le relief rupestre du roi Narseh, à Naqsh-i Rustam où c’est la déesse Anahita qui est représentée. L'inscription en pehlevie dit le nom de la femme. Les Sassanides disposaient d’une administration très développée dont les seuls témoins sont les bulles en terre qui accompagnaient les documents et un certain nombre de sceaux et d’anneaux sigillaires. Tant les anneaux sigillaires que les cachets en pierre indépendants ont été en usage ; ils étaient taillés dans diverses sortes de pierres et affectaient des formes variées. Généralement, les inscriptions mentionnent les noms, professions et fonctions des propriétaires. Les décors figuratifs ont souvent une signification religieuse ou se réfèrent à la vie à la cour. Ancien numéro: O.02931.

↑ , Cachet avec l’offrande de Jacob:

Cachet avec l’offrande de Jacob :

collectionName : Iran
inventoryNb : IR.0988
objectName :
objectTitle : Cachet avec l’offrande de Jacob
objectCulture : Sassanide
geography :
dating : AD 224 - AD 642
material :
technique :
dimensions : Hauteur: 14,3 cm, Largeur: 19,8 cm, Profondeur: 18,3 cm
legalRightOwner : Musées royaux d'art et d'histoire/Koninklijke Musea voor Kunst en Geschiedenis

objectDescription : Circulaire. Le sceau en pierre porte une inscription en hébreu (hyll bl k...... "Hillel, fils de...") et la représentation de « l’offrande de Jacob » laisse entendre que le propriétaire était de croyance juive. Les Sassanides disposaient d’une administration très développée dont les seuls témoins sont les bulles en terre qui accompagnaient les documents et un certain nombre de sceaux et d’anneaux sigillaires. Tant les anneaux sigillaires que les cachets en pierre indépendants ont été en usage ; ils étaient taillés dans diverses sortes de pierres et affectaient des formes variées. Généralement, les inscriptions mentionnent les noms, professions et fonctions des propriétaires. Les décors figuratifs ont souvent une signification religieuse ou se réfèrent à la vie à la cour. Ancien numéro: O.02932.

↑ , Cachet avec cheval ailé:

Cachet avec cheval ailé :

collectionName : Iran
inventoryNb : IR.0991
objectName :
objectTitle : Cachet avec cheval ailé
objectCulture : Sassanide
geography :
dating : AD 224 - AD 642
material :
technique :
dimensions : Hauteur: 18,6 mm, Largeur: 22,6 mm, Profondeur: 16,1 mm
legalRightOwner : Musées royaux d'art et d'histoire/Koninklijke Musea voor Kunst en Geschiedenis

objectDescription : Ellipsoïde. Cheval ailé. Un croissant et inscription pehlevie: 'pst['n], "Confiance". Les Sassanides disposaient d’une administration très développée dont les seuls témoins sont les bulles en terre qui accompagnaient les documents et un certain nombre de sceaux et d’anneaux sigillaires. Tant les anneaux sigillaires que les cachets en pierre indépendants ont été en usage ; ils étaient taillés dans diverses sortes de pierres et affectaient des formes variées. Généralement, les inscriptions mentionnent les noms, professions et fonctions des propriétaires. Les décors figuratifs ont souvent une signification religieuse ou se réfèrent à la vie à la cour. Ancien numéro: O.02935.

↑ , Cachet avec cervidé:

Cachet avec cervidé :

collectionName : Iran
inventoryNb : IR.0993
objectName :
objectTitle : Cachet avec cervidé
objectCulture : Sassanide
geography :
dating : AD 224 - AD 642
material :
technique :
dimensions : Hauteur: 16,9 mm, Largeur: 20,9 mm, Profondeur: 17,5 mm
legalRightOwner : Musées royaux d'art et d'histoire/Koninklijke Musea voor Kunst en Geschiedenis

objectDescription : Circulaire. Cervidé, couché, la tête retournée à gauche. Bandelette sur le cou. Plusieurs traits. Un élément floral dans le champ? Les Sassanides disposaient d’une administration très développée dont les seuls témoins sont les bulles en terre qui accompagnaient les documents et un certain nombre de sceaux et d’anneaux sigillaires. Tant les anneaux sigillaires que les cachets en pierre indépendants ont été en usage ; ils étaient taillés dans diverses sortes de pierres et affectaient des formes variées. Généralement, les inscriptions mentionnent les noms, professions et fonctions des propriétaires. Les décors figuratifs ont souvent une signification religieuse ou se réfèrent à la vie à la cour. Ancien numéro: O.02937.

↑ , Cachet avec scorpion:

Cachet avec scorpion :

collectionName : Iran
inventoryNb : IR.0998
objectName :
objectTitle : Cachet avec scorpion
objectCulture : Sassanide
geography :
dating : AD 224 - AD 642
material :
technique :
dimensions : Hauteur: 20,9 mm, Largeur: 24,4 mm, Profondeur: 16,1 mm
legalRightOwner : Musées royaux d'art et d'histoire/Koninklijke Musea voor Kunst en Geschiedenis

objectDescription : Circulaire. Scorpion avec, au-dessus, une paire d'ailes. Les Sassanides disposaient d’une administration très développée dont les seuls témoins sont les bulles en terre qui accompagnaient les documents et un certain nombre de sceaux et d’anneaux sigillaires. Tant les anneaux sigillaires que les cachets en pierre indépendants ont été en usage ; ils étaient taillés dans diverses sortes de pierres et affectaient des formes variées. Généralement, les inscriptions mentionnent les noms, professions et fonctions des propriétaires. Les décors figuratifs ont souvent une signification religieuse ou se réfèrent à la vie à la cour. Ancien numéro: O.02942.

↑ , Cachet avec buste:

Cachet avec buste :

collectionName : Iran
inventoryNb : IR.1009
objectName :
objectTitle : Cachet avec buste
objectCulture : Sassanide
geography :
dating : AD 224 - AD 642
material :
technique :
dimensions : Hauteur: 3,3 mm, Largeur: 15,9 mm, Profondeur: 12,2 mm
legalRightOwner : Musées royaux d'art et d'histoire/Koninklijke Musea voor Kunst en Geschiedenis

objectDescription : Ce sceau en pierre présente un buste d’homme, surmontant une paire d’ailes, à côté duquel une inscription en arabe donne ses nom et fonction (écrivain). Les Sassanides disposaient d’une administration très développée dont les seuls témoins sont les bulles en terre qui accompagnaient les documents et un certain nombre de sceaux et d’anneaux sigillaires. Tant les anneaux sigillaires que les cachets en pierre indépendants ont été en usage ; ils étaient taillés dans diverses sortes de pierres et affectaient des formes variées. Généralement, les inscriptions mentionnent les noms, professions et fonctions des propriétaires. Les décors figuratifs ont souvent une signification religieuse ou se réfèrent à la vie à la cour. Ancien numéro: O.02953.

↑ , Sceau-cylindre avec arbre sacré et orants:

Sceau-cylindre avec arbre sacré et orants :

collectionName : Iran
inventoryNb : IR.1127
objectName :
objectTitle : Sceau-cylindre avec arbre sacré et orants
objectCulture : mitannienne
geography :
dating : 1500 BC - 1300 BC
material :
technique :
dimensions :
legalRightOwner : Musées royaux d'art et d'histoire/Koninklijke Musea voor Kunst en Geschiedenis

objectDescription : L'Arbre Sacré est associé à des orants et à des bêtes à cornes. De même, les bandes torsadées et les motifs de remplissage sont souvent copiés de la glyptique des périodes antérieures, telles que la frise de têtes sur ce cylindre. Porte une pseudo-inscription. Ancien numéro: O.02808.

↑ , Sceau-cylindre avec arbre sacré:

Sceau-cylindre avec arbre sacré :

collectionName : Iran
inventoryNb : IR.1128
objectName :
objectTitle : Sceau-cylindre avec arbre sacré
objectCulture : mitannienne
geography :
dating : 1500 BC - 1300 BC
material :
technique :
dimensions :
legalRightOwner : Musées royaux d'art et d'histoire/Koninklijke Musea voor Kunst en Geschiedenis

objectDescription : L'Arbre Sacré est associé à des orants et à des bêtes à cornes. De même, les bandes torsadées et les motifs de remplissage sont souvent copiés de la glyptique des périodes antérieures. Ancien numéro: O.02809.

↑ , Poignée en bronze:

Poignée en bronze :

collectionName : Iran
inventoryNb : IR.1188
objectName :
objectTitle : Poignée en bronze
objectCulture : Iranienne
geography :
dating : 2750 BC - 2250 BC
material :
technique :
dimensions :
legalRightOwner : Musées royaux d'art et d'histoire/Koninklijke Musea voor Kunst en Geschiedenis

objectDescription : Ces trois objets coulés de forme tubulaire (IR.0509, IR.0512, IR.1188) appartiennent à un type de poignées dont quelques-unes ont été mises au jour à Suse tandis que de nombreux exemplaires proviendraient du Luristan. Ils ont été datés approximativement du milieu du 3e millénaire. Sans doute s’agit-il essentiellement de poignées, certaines d’entre elles ont été trouvées clairement associées à des haches. L’ornementation, faite de boutons et de zigzags, est souvent complétée d’éléments figuratifs tels que des serpents ou des hommes. B.O.

↑ , Cachet avec un buste:

Cachet avec un buste :

collectionName : Iran
inventoryNb : IR.1249
objectName :
objectTitle : Cachet avec un buste
objectCulture : Sassanide
geography :
dating : AD 224 - AD 642
material :
technique :
dimensions : Hauteur: 3,3 mm, Largeur: 15,9 mm, Profondeur: 12,2 mm
legalRightOwner : Musées royaux d'art et d'histoire/Koninklijke Musea voor Kunst en Geschiedenis

objectDescription : Circulaire, part d'un anneau. La bague sigillaire en or présente une inscription syriaque (dsbt’ dysw‘, "De Sabta, de Jesus") ainsi que le buste du propriétaire surmonté par une croix, ce qui indique sa foi chrétienne. Les Sassanides disposaient d’une administration très développée dont les seuls témoins sont les bulles en terre qui accompagnaient les documents et un certain nombre de sceaux et d’anneaux sigillaires. Tant les anneaux sigillaires que les cachets en pierre indépendants ont été en usage ; ils étaient taillés dans diverses sortes de pierres et affectaient des formes variées. Généralement, les inscriptions mentionnent les noms, professions et fonctions des propriétaires. Les décors figuratifs ont souvent une signification religieuse ou se réfèrent à la vie à la cour. Ancien numéro: O.03227.

↑ , Bulle avec quatre empreintes de sceaux:

Bulle avec quatre empreintes de sceaux :

collectionName : Iran
inventoryNb : IR.1292
objectName :
objectTitle : Bulle avec quatre empreintes de sceaux
objectCulture : Sassanide
geography :
dating : AD 224 - AD 642
material :
technique :
dimensions : Hauteur: 5,5 cm, Largeur: 5 cm
legalRightOwner : Musées royaux d'art et d'histoire/Koninklijke Musea voor Kunst en Geschiedenis

objectDescription : Circulaire. Quatre sceaux sont présents sur cette bulle: un sceau administrative avec inscription, un grand sceau avec un chameau et inscription, un sceau avec quadrupède et un quatrième, non identifié. Les Sassanides disposaient d’une administration très développée dont les seuls témoins sont les bulles en terre qui accompagnaient les documents et un certain nombre de sceaux et d’anneaux sigillaires. Tant les anneaux sigillaires que les cachets en pierre indépendants ont été en usage ; ils étaient taillés dans diverses sortes de pierres et affectaient des formes variées. Généralement, les inscriptions mentionnent les noms, professions et fonctions des propriétaires. Les décors figuratifs ont souvent une signification religieuse ou se réfèrent à la vie à la cour. Ancien numéro: O.03283.

↑ , Vase à bec verseur:

Vase à bec verseur :

collectionName : Iran
inventoryNb : IR.1742
objectName :
objectTitle : Vase à bec verseur
objectCulture : Iranienne
geography :
dating : 1750 BC - 1250 BC
material :
technique :
dimensions : Hauteur: 18,5 cm
legalRightOwner : Musées royaux d'art et d'histoire/Koninklijke Musea voor Kunst en Geschiedenis

objectDescription : La terre cuite dont la teinte va du gris au noir est caractéristique de la migration indo-européenne en Iran au cours du 2e millénaire. La cruche à bec semble représenter une grue ou une cigogne. Ce genre de céramique se retrouve souvent dans des tombes, surtout dans le nord-ouest de l’Iran et dans la région de Téhéran, entre autres à Khurvin, Hasanlu et Tepe Siyalk. La surface de ces récipients est généralement polie, lui conférant un brillant intense. B.O.

↑ , Vase à long bec versoir:

Vase à long bec versoir :

collectionName : Iran
inventoryNb : IR.1743
objectName :
objectTitle : Vase à long bec versoir
objectCulture : Iranienne
geography :
dating : 1750 BC - 1250 BC
material :
technique :
dimensions : Hauteur: 11 cm
legalRightOwner : Musées royaux d'art et d'histoire/Koninklijke Musea voor Kunst en Geschiedenis

objectDescription : La terre cuite dont la teinte va du gris au noir, comme c’est le cas de cette cruche à long bec et de ce gobelet, est caractéristique de la migration indo-européenne en Iran au cours du 2e millénaire. La cruche à bec semble représenter une grue ou une cigogne. Ce genre de céramique se retrouve souvent dans des tombes, surtout dans le nord-ouest de l’Iran et dans la région de Téhéran, entre autres à Khurvin, Hasanlu et Tepe Siyalk. La surface de ces récipients est généralement polie, lui conférant un brillant intense. B.O.

↑ , Gobelet à anse et pied:

Gobelet à anse et pied :

collectionName : Iran
inventoryNb : IR.1784
objectName :
objectTitle : Gobelet à anse et pied
objectCulture : Iranienne
geography :
dating : 1750 BC - 1250 BC
material :
technique :
dimensions :
legalRightOwner : Musées royaux d'art et d'histoire/Koninklijke Musea voor Kunst en Geschiedenis

objectDescription : La terre cuite dont la teinte va du gris au noir est caractéristique de la migration indo-européenne en Iran au cours du 2e millénaire. Ce genre de céramique se retrouve souvent dans des tombes, surtout dans le nord-ouest de l’Iran et dans la région de Téhéran, entre autres à Khurvin, Hasanlu et Tepe Siyalk. La surface de ces récipients est généralement polie, lui conférant un brillant intense. B.O.

↑ , Hache en pierre:

Hache en pierre :

collectionName : Iran
inventoryNb : IR.2330
objectName :
objectTitle : Hache en pierre
objectCulture : Iranienne
geography :
dating : 4500 BC - 3501 BC
material :
technique :
dimensions : Largeur: 10 cm
legalRightOwner : Musées royaux d'art et d'histoire/Koninklijke Musea voor Kunst en Geschiedenis

objectDescription : Les haches en pierre retrouvées à Hakalan sont de dimensions et de formes fort variées. Souvent, elles ne mesurent que quelques centimètres. Cet exemplaire est le plus grand jamais trouvé à Hakalan. La hache fortement polie doit être davantage considérée comme un outil que comme une arme. B.O.

↑ , Panneau de revêtement mural avec homme fuyant des lions:

Panneau de revêtement mural avec homme fuyant des lions :

collectionName : Art du monde islamique
inventoryNb : IS.0038
objectName :
objectTitle : Panneau de revêtement mural avec homme fuyant des lions
objectCulture : Safavide
geography :
dating : AD 1600 - AD 1700
material :
technique :
dimensions : Hauteur: 120 cm, Largeur: 96 cm, Profondeur: 2 cm
legalRightOwner : Musées royaux d'art et d'histoire/Koninklijke Musea voor Kunst en Geschiedenis

objectDescription : Les panneaux de carreaux colorés réalisés selon la technique de la cuerda seca devinrent populaires sous le règne du Shah safawide Abbas le Grand (1587-1629) qui installa sa capitale à Isfahan et y déploya une importante activité de construction. Ils se caractérisent souvent par un style narratif ou moralisateur. La scène figurée sur ce fragment, détaché d'un panneau plus vaste, semble inspiré d'un récit tiré du Shahnama, l'épopée nationale perse rédigée par le poète Firdawsi. Elle illustre un épisode dans lequel un homme a grimpé dans un platane pour échapper à des lions. Ses armes sont suspendues aux branches de l'arbre au pied duquel il a abandonné son service à boire. Le style narratif est conforme à celui de l'art de la miniature de cette époque. Des animaux et des plantes envahissent le paysage et le rendu des nuages témoigne d'une influence chinoise.

↑ , :

:

collectionName : Japon
inventoryNb : JP.00517
objectName :
objectTitle :
objectCulture :
geography :
dating : ca.
material :
technique :
dimensions : Dimensions H x Lo: 52,5 cm, 19,5 cm
legalRightOwner : Musées royaux d'art et d'histoire/Koninklijke Musea voor Kunst en Geschiedenis

objectDescription : Éditeur : Iwatoya Chô. Format naga-ôban. Fond gris, mica clair. Bien que retenu par sa grande sœur, un tout petit garçon, accroupi par terre, joue à regarder sa mère à travers l'étoffe transparente de sa tunique d'été. Utamaro a dessiné huit planches sans titre, dans le format de long ôban vertical (naga-ôban), pour cet éditeur, dont on ne cerne pas exactement l'identité. Leurs sujets sont des scènes à deux personnages - sauf dans ce cas-ci - tirées de la vie quotidienne ; elles auraient pu s'intituler : appontement sous la neige, femmes prises de boisson, pêche sous un pont, miroir, brasero, lave-mains, cerisiers en fleur. Rares et souvent mal conservées, ces estampes, au dessin remarquable, ont été impeccablement gravées et imprimées. Elles montrent presque toutes des raffinements d'édition : ici c'est le fond gris et l'application de mica sur le col de la mère ; ailleurs, c'est l'utilisation d'or, de mica, de couleurs laquées.

↑ , Les cinq vertus cardinales: La droiture (Gojô: Gi):

Les cinq vertus cardinales: La droiture (Gojô: Gi) :

collectionName : Japon
inventoryNb : JP.00571
objectName :
objectTitle : Les cinq vertus cardinales: La droiture (Gojô: Gi)
objectCulture :
geography :
dating : ca. AD 1767
material :
technique :
dimensions : Hauteur: 27,5 cm, Largeur: 20,4 cm
legalRightOwner : Musées royaux d'art et d'histoire/Koninklijke Musea voor Kunst en Geschiedenis

objectDescription : Format chûban. Une définition de la vertu en question apparaît dans le cartouche du titre : Être humble en tout, se garder de la duplicité et suivre la voie de la raison, telle est la droiture. Harunobu illustre cette maxime par une scène : on y voit deux jeunes gens discuter d'une planche de livre qui évoque un exemple chinois de loyauté envers un seigneur, allant jusqu'à l'assassinat et au suicide. D'après les études de D. Waterhouse, il ne s'agit pas ici d'un couple, mais de deux jeunes prostitués, dont un travesti, dans un des lupanars appelés "maisons d'enfants" (kodomoya). De même que les maisons ordinaires de prostitution masculine, celles-ci se situaient près des théâtres de kabuki à Edo ; elles étaient d'ailleurs souvent gérées par des acteurs. Leur recrutement s'opérait en grande partie, sinon totalement parmi les jeunes garçons. Comme le montre cette estampe, les maisons d'enfants avaient leurs fenêtres munies de barreaux de bois (un détail architectural qui se retrouvait dans les quartiers réservés) ; quant à leurs pensionnaires, ils se signalaient par les glands attachés au bout de leur ceinture. C'est ici le lieu de rappeler que la pédérastie était pratique courante depuis des siècles parmi les moines, les guerriers et les nobles ; au XVIIIe siècle, elle s'était répandue dans les autres couches de la société, à la portée de quiconque en avait les moyens.

↑ , La lessive:

La lessive :

collectionName : Japon
inventoryNb : JP.00595
objectName :
objectTitle : La lessive
objectCulture :
geography :
dating : ca. AD 1767 - AD 1768
material :
technique :
dimensions : Hauteur: 27,5 cm, Largeur: 21 cm
legalRightOwner : Musées royaux d'art et d'histoire/Koninklijke Musea voor Kunst en Geschiedenis

objectDescription : Pour beaucoup d'auteurs occidentaux, l'ukiyo-e a exalté l'acteur et la courtisane aux dépens d'autres catégories sociales. C'est oublier que la femme ordinaire, épouse ou fille de l'homme de la rue d'Edo, a très souvent servi de modèle pour les premiers albums d'estampes érotiques du XVIIè siècle, ainsi d'ailleurs que pour les estampes indépendantes coloriées des années 1720, cette époque où la gravure ukiyo-e atteignait un premier sommet de popularité. Pendant la période des benizuri-e, estampes imprimées en deux ou trois couleurs, les artistes comme leur public semblent s'être de plus en plus intéressés aux scènes de la vie quotidienne ; et de telles scènes devinrent, avec le développement de l'impression polychrome, l'un des sujets favoris de Harunobu. Dans le cas de cette estampe, il pourrait bien s'agir d'un véritable portrait ; le blason, 'mon', de feuilles de chêne croisées sur le vêtement de la femme à droite devait permettre à ses contemporains de l'identifier aisément. On a dû tirer de nombreuses épreuves de cette estampe dans les années 1760 : en effet, le contour des visages trahit l'usure du bois de trait. Mais aujourd'hui, à part celle-ci, on n'en connaît qu'une autre, qui est très décolorée ; elle est conservée au Musée Guimet. Format chûban. Gaufrage. Une servante rince de la lingerie blanche qu'une jolie bourgeoise s'apprête à étendre sur une perche en bambou. Il faut remarquer qu'il s'agit ici de simples bandes de tissu d'égale largeur. Grâce à la formule très simple du vêtement, c'est-à-dire sept pièces, toutes prises dans la longueur d'un seul et même rouleau, sans occasionner aucune chute, il suffisait de les découdre pour les laver et éventuellement de les faufiler en une longue bande de tissu pour un séchage sous tension. Dans le cas de cette estampe, il pourrait s'agir d'un véritable portrait. Le blason des feuilles de chêne croisées sur le vêtement de la jeune femme debout a pu en effet permettre à ses contemporains de l'identifier aisément.

↑ , Danseuse d'Asazuma:

Danseuse d'Asazuma :

collectionName : Japon
inventoryNb : JP.00649
objectName :
objectTitle : Danseuse d'Asazuma
objectCulture :
geography :
dating : AD 1766
material :
technique :
dimensions : Hauteur: 28 cm, Largeur: 20,8 cm
legalRightOwner : Musées royaux d'art et d'histoire/Koninklijke Musea voor Kunst en Geschiedenis

objectDescription : Format chûban. Fond bleu. Une jeune femme en costume de shirabyôshi se tient assise dans une barque amarrée sous un saule. Shirabyôshi est le nom originel donné à des danseuses de métier, souvent fort cultivées et bien introduites dans la société supérieure à la fin de l'époque de Heian (794-1185). Grâce à leurs talents professionnels souvent associés à ceux des courtisanes de haute volée, certaines devenaient même maîtresses ou concubines de grands personnages. Dans les temps troublés de la fin du XIIe siècle et du début du XIIIe, des femmes de l'aristocratie, démunies de toute ressource, se virent contraintes d'embrasser la profession de shirabyôshi, où d'ailleurs elles brillèrent par la danse, le chant et la poésie, grâce à leur parfaite éducation. Quant à la crique d'Asazuma sur la rive orientale du lac Biwa, elle était dessservie autrefois par un bac sur la route de la capitale impériale aux provinces orientales. Comme à tout point de halte ou tout relais de poste, la prostitution y avait prospéré et les femmes y vendaient leurs charmes sur des bateaux. Cependant Asazuma est aussi le nom d'une maîtresse du shôgun Tokugawa Tsunayoshi (1646-1709), avec laquelle il préférait s'adonner aux joies du canotage plutôt que de s'intéresser aux affaires de l'État. Harunobu a peut-être voulu dans cette scène évoquer à la fois les temps anciens et le passé récent. Il faut noter néanmoins que toute allusion à la vie privée d'un shôgun ou aux affaires politiques était très sévèrement réprimée par le gouvernement à l'époque d'Edo. Mais cette estampe présente surtout un très grand intérêt quant au genre des estampes-calendriers. En effet, une indication de l'année, Meiwa inu (1766), gravée dans le bois de trait se dissimule dans les dernières branches de gauche du saule pleureur, mais la numérotation des mois, le plus souvent gravée dans un bois de teinte, ne figure sur aucune épreuve connue : c'est comme si durant le processus de la gravure des bois, le commanditaire avait changé d'avis sur la finalité de cette estampe. En quelque sorte, elle semble montrer que, dans la production d'estampes, les promoteurs privés ne s'intéressaient plus désormais à leur fonction de calendrier, mais à leur contenu lui-même, c'est-à-dire à la transposition ou à la parodie de sujets classiques.

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:

collectionName : Japon
inventoryNb : JP.01390
objectName :
objectTitle :
objectCulture :
geography :
dating : Inconnue
material :
technique :
dimensions :
legalRightOwner : Musées royaux d'art et d'histoire/Koninklijke Musea voor Kunst en Geschiedenis

objectDescription : Éditeur : Tsutaya Jûsaburô. Cachet de censure : kiwame. Format ôban. Fond micacé blanc rosé. Directeur du théâtre Miyako-za, Shinozuka Uraemon est en train de lire le prologue d'une séance. Ce portrait semble se rattacher au deuxième groupe d'estampes de Sharaku en rapport avec des drames joués les 7e et 8e mois 1794. À côté de vingt-quatre estampes au format étroit hosoban, ce groupe compte sept doubles portraits d'acteurs en pied, de format ôban, à fond micacé clair, souvent rosé - à l'exception d'un seul, à fond micacé gris foncé. Cette estampe, qui partage ces caractéristiques techniques, pourrait avoir servi de frontispice à la série. En effet, voici le texte du prologue : "Nous allons soumettre à votre appréciation une deuxième série de portraits qui viennent de paraître." On connaît deux versions de cette estampe : l'une avec un texte imprimé (variant d'ailleurs selon les tirages) sur le rouleau tenu par le directeur, l'autre sans texte.

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collectionName : Japon
inventoryNb : JP.02403
objectName :
objectTitle :
objectCulture :
geography :
dating : ca. AD 1794
material :
technique :
dimensions : Dimensions H x Lo: 37,1 cm, 72,6 cm
legalRightOwner : Musées royaux d'art et d'histoire/Koninklijke Musea voor Kunst en Geschiedenis

objectDescription : Éditeur : Wakasaya Yoichi. Cachet de censure : kiwame. Triptyque d'ôban. Dans un vaste jardin, un homme aux yeux bandés engage une partie de colin-maillard avec le personnel du restaurant, ainsi qu'avec des courtisanes et leurs jeunes suivantes. Le grand restaurant donne sur l'artère principale, Nakanochô, qui divisait le Shin-Yoshiwara en deux parties. Dans la perspective de l'artère se profile, au loin, la Grande Porte, seul accès officiel au quartier réservé dont le périmètre était ceint d'une haute palissade, doublée de larges douves. Il s'agit ici de la deuxième édition du triptyque ; dans la première, publiée par Iseya Jisuke, les toits étaient vert olive. Par ailleurs, comme on le remarque ici, la censure inhérente au régime s'exprima de manière claire sur les estampes commerciales à partir de 1790, avec l'apparition d'un cachet spécial (kiwamé). Ce cachet de censure allait par la suite se multiplier et se diversifier. Pendant longtemps, le Shin-Yoshiwara fut fréquenté essentiellement par une élite politique et financière, ainsi que culturelle. Ses maisons closes de grande classe étaient couramment utilisées pour des banquets entre hommes d'affaires et bureaucrates militaires, bien qu'officiellement le gouvernement jugeât le lieu infréquentable par la classe militaire dans son ensemble. Elles servaient souvent aussi de lieu de réunion pour les cercles littéraires et poétiques, où se mêlaient samurai, marchands, auteurs et artistes. Les courtisanes de haut rang, versées dans tous les arts d'agrément, faisaient la réputation du Shin-Yoshiwara par leur esprit de repartie. Avec son climat d'exclusivité et son statut de salon littéraire, le célèbre quartier l'emportait sur les autres lieux de prostitution et justifiait ses prix élevés. Mais vu leur teneur économique, les réformes de Kansei (1787-1793) allaient porter un coup très rude à ce monde distingué. L'une des mesures prises en 1789 fut de réguler le cours financier du riz et, dans la foulée, d'abroger les dettes que les seigneurs avaient contractées auprès des courtiers en riz actifs à Edo. Ceux-ci, bénéficiant d'un monopole, avaient amassé de très grandes fortunes en servant de banquiers à la classe militaire : ils monnayaient en effet les rentes qui lui étaient allouées sour la forme de balles de riz. Ils perdirent ainsi d'un coup des sommes colossales. Le Shin-Yoshiwara se trouva donc ébranlé par la désertion de ces riches habitués, qui y avaient mené grand train. Parallèlement, l'élite cultivée, qui jusque-là se recrutait dans la classe militaire de rang moyen, délaissa alors les passe-temps littéraires et, négligeant désormais le quartier, lui fit perdre sa réputation de centre raffiné. En 1795, pour se refaire une clientèle, le Shin-Yoshiwara imposa des règles dans la tarification de tous les services, jusqu'aux pourboires. Mais en dépit de la réduction des prix, son déclin s'amorça inéluctablement. Certaines maisons célèbres et le fameux restaurant Kankanrô durent d'ailleurs cesser peu après leurs activités.

↑ , Fugaku sanjūrokkei (Trente-six vues du Mont Fuji): Nihonbashi à Edo (Edo Nihonbashi):

Fugaku sanjūrokkei (Trente-six vues du Mont Fuji): Nihonbashi à Edo (Edo Nihonbashi) :

collectionName : Japon
inventoryNb : JP.03199
objectName :
objectTitle : Fugaku sanjūrokkei (Trente-six vues du Mont Fuji): Nihonbashi à Edo (Edo Nihonbashi)
objectCulture :
geography :
dating : ca. AD 1830 - AD 1832
material :
technique :
dimensions :
legalRightOwner : Musées royaux d'art et d'histoire/Koninklijke Musea voor Kunst en Geschiedenis

objectDescription : L’observateur domine ici le pont Nihonbashi, qui était le point de départ de la grand-route du Tôkaidô et le centre à partir duquel s’évaluaient toutes les distances à travers le pays. De ce pont au premier plan, on distingue uniquement un poteau du parapet, mais on le devine à la cohue qui s’y presse. Le canal enjambé par Nihonbashi desservait les très nombreux entrepôts alignés sur ses deux rives. Leur construction (dozô-zukuri) répondait aux normes de sécurité les plus élevées d’alors contre les incendies, avec des murs fort compacts en pisé et enduits d’un épais plâtre blanc, avec de petites fenêtres hautes et un toit de tuiles. Ce type de bâtiment à l’épreuve du feu était une nécessité absolue dans des villes aussi sujettes aux incendies, souvent catastrophiques. À Edo, les biens de consommation et les denrées alimentaires étaient acheminés principalement par mer et se distribuaient dans les différents quartiers, à travers un réseau de canaux fort dense. Hokusai combine ici une perspective linéaire ayant pour point de fuite le pont Ikkokubashi à l’horizon et une perspective aérienne avec les traditionnels bancs de nuages pour évoquer les lointains – c’est-à-dire le château fort shôgunal dans la ville et le mont Fuji à grande distance.

↑ , La chasse aux lucioles:

La chasse aux lucioles :

collectionName : Japon
inventoryNb : JP.04179
objectName :
objectTitle : La chasse aux lucioles
objectCulture :
geography :
dating : ca. AD 1755 - AD 1760
material :
technique :
dimensions :
legalRightOwner : Musées royaux d'art et d'histoire/Koninklijke Musea voor Kunst en Geschiedenis

objectDescription : Impression en couleurs à l’aide de trois bois de teinte, dite « image imprimée en rose » (benizuri-e) Les estampes ukiyo-e imprimées à l’aide de trois bois de teinte apparaissent à partir de la fin des années 1750. Le plus souvent, elles combinent le rose, le vert et le bleu, ou le rose, le vert et le jaune.

↑ , Le jeune champion de sumō, Shakagatake Kumoemon:

Le jeune champion de sumō, Shakagatake Kumoemon :

collectionName : Japon
inventoryNb : JP.04324
objectName :
objectTitle : Le jeune champion de sumō, Shakagatake Kumoemon
objectCulture :
geography :
dating : ca. AD 1770
material :
technique :
dimensions :
legalRightOwner : Musées royaux d'art et d'histoire/Koninklijke Musea voor Kunst en Geschiedenis

objectDescription : Format chûban. Oshi-e. Cette estampe représente le jeune lutteur Shakagatake Kumoemon à l'entrée du temple Ekô-in à Edo, où s'organisaient deux fois par an des tournois de sumô. Au 11e mois de 1770, Shakagatake, un géant originaire de la province d'Izumo, atteignit le grade de champion (ôzeki) et affronta au combat le plus célèbre lutteur de son temps, Raiden Tame'emon, et justement à l'Ekô-in. L'inscription précédant son nom sur la planche précise qu'il mesurait 6,76 pieds et le texte dans la zone festonnée indique qu'avec cette taille, il pouvait de la tête heurter les coucous. Dans sa tenue de ville, Shakagatake porte deux sabres à la ceinture, privilège accordé à la seule classe militaire. En effet, les lutteurs, qui se recrutaient souvent dans la maison d'un seigneur, obtenaient le statut de samurai et en même temps le privilège en question. Il faut se rappeler que, si à l'origine, la lutte avait été un divertissement de la cour impériale, elle fut adoptée plus tard par la gent militaire, comme mise en condition physique et comme distraction pour guerriers. Mais à partir du xviieIIe siècle, le sumô entra dans la culture populaire, avec l'organisation de véritables compétitions aux entrées payantes. Cette estampe se distingue par une particularité technique : le collage de morceaux de tissu. Les images ainsi retravaillées étaient très en vogue dans la région de Kyôto-Ôsaka au milieu du xvmIIIe siècle et se dénommaient "images de brocart" (nishiki-e). Mais peu après, les premières estampes en pleine polychromie firent leur apparition à Edo. Leurs couleurs vives rappelant ces collages, elles furent désignées d'abord "images de brocart de l'Est" (Azuma nishiki-e) pour indiquer ainsi leur origine géographique, puis tout simplement "images de brocart", tandis que les images de tissu prirent alors le nom d'"images en relief" (oshi-e). À la fin des années 1760 et au début de la décennie suivante, des estampes polychromes devinrent le support de tels collages, avec découpes laborieuses des zones correspondant aux vêtements des personnages pour y substituer du brocart véritable. L'effet obtenu est généralement curieux, mais parfois assez réussi.

↑ , Divertissement de pélerinage à Kasuga:

Divertissement de pélerinage à Kasuga :

collectionName : Japon
inventoryNb : JP.04425
objectName :
objectTitle : Divertissement de pélerinage à Kasuga
objectCulture :
geography :
dating :
material :
technique :
dimensions :
legalRightOwner : Musées royaux d'art et d'histoire/Koninklijke Musea voor Kunst en Geschiedenis

objectDescription : Esquisse d’artiste (shita-e) La contribution d’un artiste à la réalisation d’une estampe se limite, le plus souvent, à l’esquisse. Très fréquemment, elle est ensuite retravaillée par un copiste qui en fait un dessin prêt à l’impression (hanshita-e) à l’intention du graveur. Celui-ci est en principe détruit lors de la réalisation du bois de trait.

↑ , Fugaku sanjūrokkei (Trente-six vues du Mont Fuji): Le pavillon Sazai du Temple des Cinq Cents Arhats (Gohyaku rankanji Sazaidō):

Fugaku sanjūrokkei (Trente-six vues du Mont Fuji): Le pavillon Sazai du Temple des Cinq Cents Arhats (Gohyaku rankanji Sazaidō) :

collectionName : Japon
inventoryNb : JP.04705
objectName :
objectTitle : Fugaku sanjūrokkei (Trente-six vues du Mont Fuji): Le pavillon Sazai du Temple des Cinq Cents Arhats (Gohyaku rankanji Sazaidō)
objectCulture :
geography :
dating : ca. AD 1830 - AD 1832
material :
technique :
dimensions :
legalRightOwner : Musées royaux d'art et d'histoire/Koninklijke Musea voor Kunst en Geschiedenis

objectDescription : Aux confins orientaux d’Edo, le pavillon Sazai, haut de deux étages, était à la fois un but de pèlerinage et de promenade. Sur ses trois niveaux desservis par un escalier tournant, il reproduisait en miniature les trois circuits du Japon consacrés au culte de Kannon bosatsu (Avalokiteśvara, le bodhisattva de la Compassion). Et, cerise sur le gâteau, il offrait du haut de sa terrasse supérieure – représentée ici - une magnifique vue panoramique d’Edo, au-delà d’une vaste plaine cultivée. Pour la composition de cette estampe, Hokusai a adopté la perspective linéaire : le mont Fuji est le point de fuite vers lequel convergent toutes les lignes du premier plan (plancher, garde-corps, surplomb du toit). Et comme souvent dans cette suite, l’artiste a veillé à signaler sa collaboration avec l’éditeur, Nishimuraya Yohachi (dont le sceau ne figure pas sur cette impression), en incorporant son logo dans le dessin ; il apparaît ici sur le baluchon du garçon à gauche. Cette édition se distingue des premiers tirages de l’estampe par la détérioration du bois de trait (colonnes au cerne endommagé) et par l’impression des bagages des deux voyageurs assis, en gris clair plutôt qu’en noir.

↑ , Tōkaidō gojūsan tsugi: Nihonbashi:

Tōkaidō gojūsan tsugi: Nihonbashi :

collectionName : Japon
inventoryNb : JP.06752
objectName :
objectTitle : Tōkaidō gojūsan tsugi: Nihonbashi
objectCulture :
geography :
dating : ca. AD 1806
material :
technique :
dimensions :
legalRightOwner : Musées royaux d'art et d'histoire/Koninklijke Musea voor Kunst en Geschiedenis

objectDescription : Les cinquante-trois relais du Tōkaidō : Départ de la grand-route du Tōkaidō au Pont Nihonbashi (Tōkaidō gojūsan tsugi : Nihonbashi) Cette suite consacrée aux cinquante-trois relais du Tōkaidō et éditée par Iseya Rihei (Kinjudō) est probablement la dernière que Hokusai a dessinée au début du XIXe siècle. Il n’en a pas signé les estampes, sauf la finale. Mais son nom apparaît sur l’enveloppe qui les contenait dans la première édition. D’après la tradition, les suites du Tōkaidō comptent cinquante-cinq estampes, le plus souvent numérotées, incluant le point de départ à Edo (n°1) et son terminus à Kyōto (n°55). Le départ du Tōkaidō avait lieu sur un pont : Nihonbashi (à partir duquel se calculaient toutes les distances à travers le pays). Ce pont se situait dans la ville basse d’Edo, toute vibrante d’activité, à côté du grand marché aux poissons (évoqué par le porteur d’un panier de poissons) ; il enjambait un canal bordé de nombreux entrepôts et magasins. Ce paysage urbain était dominé dans le lointain par la masse imposante du château fort, résidence du shōgun et siège du gouvernement.

↑ , Tōkaidō gojūsan tsugi: Totsuka:

Tōkaidō gojūsan tsugi: Totsuka :

collectionName : Japon
inventoryNb : JP.06755
objectName :
objectTitle : Tōkaidō gojūsan tsugi: Totsuka
objectCulture :
geography :
dating : ca. AD 1806
material :
technique :
dimensions :
legalRightOwner : Musées royaux d'art et d'histoire/Koninklijke Musea voor Kunst en Geschiedenis

objectDescription : Les cinquante-trois relais du Tōkaidō : N°6, le relais de Totsuka, (Tōkaidō gojūsan tsugi : roku Totsuka) Cette suite consacrée aux cinquante-trois relais du Tōkaidō et éditée par Iseya Rihei (Kinjudō) est probablement la dernière que Hokusai a dessinée au début du XIXe siècle. Il n’en a pas signé les estampes, sauf la finale. Mais son nom apparaît sur l’enveloppe qui les contenait dans la première édition. D’après la tradition, les suites du Tōkaidō comptent cinquante-cinq estampes, le plus souvent numérotées, incluant le point de départ à Edo (n°1) et son terminus à Kyōto (n°55). À Totsuka, un embranchement permettait de se rendre à Kamakura, distant de 8 km. La célèbre statue monumentale en bronze d’Amida-nyorai (Amitâbha, le Sauveur de la Terre pure de l’Ouest), qu’on aperçoit sur cette estampe, en était assurément l’une des attractions à la fois religieuses et touristiques.

↑ , Tōkaidō gojūsan tsugi: Hara:

Tōkaidō gojūsan tsugi: Hara :

collectionName : Japon
inventoryNb : JP.06760
objectName :
objectTitle : Tōkaidō gojūsan tsugi: Hara
objectCulture :
geography :
dating : ca. AD 1806
material :
technique :
dimensions :
legalRightOwner : Musées royaux d'art et d'histoire/Koninklijke Musea voor Kunst en Geschiedenis

objectDescription : Les cinquante-trois relais du Tōkaidō : N°14, le relais de Hara (Tōkaidō gojūsan tsugi : jūyon Hara) Cette suite consacrée aux cinquante-trois relais du Tōkaidō et éditée par Iseya Rihei (Kinjudō) est probablement la dernière que Hokusai a dessinée au début du XIXe siècle. Il n’en a pas signé les estampes, sauf la finale. Mais son nom apparaît sur l’enveloppe qui les contenait dans la première édition. D’après la tradition, les suites du Tōkaidō comptent cinquante-cinq estampes, le plus souvent numérotées, incluant le point de départ à Edo (n°1) et son terminus à Kyōto (n°55). En route pour Edo, une délégation étrangère (coréenne ?) passe devant le mont Fuji dont le relais de Hara (situé pratiquement dans l’axe nord-sud du mont Fuji) depuis l’océan Pacifique, offrait la plus belle vue dégagée.

↑ , Tōkaidō gojūsan tsugi: Maisaka:

Tōkaidō gojūsan tsugi: Maisaka :

collectionName : Japon
inventoryNb : JP.06773
objectName :
objectTitle : Tōkaidō gojūsan tsugi: Maisaka
objectCulture :
geography :
dating : ca. AD 1806
material :
technique :
dimensions :
legalRightOwner : Musées royaux d'art et d'histoire/Koninklijke Musea voor Kunst en Geschiedenis

objectDescription : Les cinquante-trois relais du Tōkaidō : Le relais de Maisaka (Tōkaidō gojūsan tsugi : Maisaka) Cette suite consacrée aux cinquante-trois relais du Tōkaidō et éditée par Iseya Rihei (Kinjudō) est probablement la dernière que Hokusai a dessinée au début du XIXe siècle. Il n’en a pas signé les estampes, sauf la finale. Mais son nom apparaît sur l’enveloppe qui les contenait dans la première édition. D’après la tradition, les suites du Tōkaidō comptent cinquante-cinq estampes, le plus souvent numérotées, incluant le point de départ à Edo (n°1) et son terminus à Kyōto (n°55). De Maisaka à Arai, le relais suivant, il fallait prendre le bateau pour une traversée d’environ une lieue (ou un ri, soit près de 4 km).

↑ , Tōkaidō gojūsan tsugi: Miya:

Tōkaidō gojūsan tsugi: Miya :

collectionName : Japon
inventoryNb : JP.06781
objectName :
objectTitle : Tōkaidō gojūsan tsugi: Miya
objectCulture :
geography :
dating : ca. AD 1806
material :
technique :
dimensions :
legalRightOwner : Musées royaux d'art et d'histoire/Koninklijke Musea voor Kunst en Geschiedenis

objectDescription : Les cinquante-trois relais du Tōkaidō : N°41, le relais de Miya (Tōkaidō gojūsan tsugi : yonjūichi Miya) Cette suite consacrée aux cinquante-trois relais du Tōkaidō et éditée par Iseya Rihei (Kinjudō) est probablement la dernière que Hokusai a dessinée au début du XIXe siècle. Il n’en a pas signé les estampes, sauf la finale. Mais son nom apparaît sur l’enveloppe qui les contenait dans la première édition. D’après la tradition, les suites du Tōkaidō comptent cinquante-cinq estampes, le plus souvent numérotées, incluant le point de départ à Edo (n°1) et son terminus à Kyōto (n°55). À Miya, la route de terre s’interrompait, obligeant les voyageurs d’y attendre un passage sur un ferry, pour faire la plus longue traversée maritime (7 ri ou lieues, soit 28 km environ) du Tōkaidō.

↑ , Statuette d'orant:

Statuette d'orant :

collectionName : Proche-Orient
inventoryNb : O.00242
objectName :
objectTitle : Statuette d'orant
objectCulture : Mésopotamienne
geography :
dating : 2550 BC - 2350 BC
material :
technique :
dimensions : Hauteur: 19 cm, Largeur: 9,5 cm, Profondeur: 10 cm
legalRightOwner : Musées royaux d'art et d'histoire/Koninklijke Musea voor Kunst en Geschiedenis

objectDescription : Les Sumériens se faisaient souvent représenter en prière, mains jointes. Des statuettes de ce type étaient fabriquées en grande série et vendues à l’entrée des temples pour être déposées dans les sanctuaires: elles remplaçaient ainsi le fidèle, perpétuant éternellement sa prière. Les statuettes étaient individualisées par une inscription sur l’épaule ou le dos, comme c’est le cas ici. Étant avant tout agriculteur et éleveur de moutons et de chèvres, le Sumérien emploie la peau de ses moutons pour se vêtir et porte un « kaunakès », sorte de jupe dont les languettes stylisées sur les statuettes figurent les bouclettes d’une toison. L’inscription est de nos jours illisible, mais la copie cunéiforme réalisée par Speleers permet d’identifier le nom du dieu Ningirsu, divinité tutélaire de l’état de Lagash, dont Girsu était la capitale. N.V.

↑ , Crapaudine avec inscription:

Crapaudine avec inscription :

collectionName : Proche-Orient
inventoryNb : O.00279
objectName :
objectTitle : Crapaudine avec inscription
objectCulture : Mésopotamienne
geography :
dating : 2029 BC
material :
technique :
dimensions : Hauteur: 18,5 cm, Largeur: 37 cm, Profondeur: 30 cm
legalRightOwner : Musées royaux d'art et d'histoire/Koninklijke Musea voor Kunst en Geschiedenis

objectDescription : "Pierre de seuil" d'un temple du dieu national d'Oumma (Gishou, Djoha) avec dédicace de Gimil-Sin, roi d'Ur, 9e année du règne de Shu-Sin. La porte donnant accès au temple et , de manière métaphorique, également au ciel pour les croyants, constituait un élément important dans l'architecture religieuse mésopotamienne. Le pivot des gonds de la porte tournait dans un creux de ce que l'on appelle une crapaudine, qui était souvent pourvue d'une inscription. Dans le cas de l'exemplaire qui nous occupe et des duplicata conservés aujourd'hui à Londres, Philadelaphie et New Have, il s'agit du temple que Shu-Sin dédia au culte du dieu Shara, à Umma. EG.

↑ , Chariot de guerre:

Chariot de guerre :

collectionName : Proche-Orient
inventoryNb : O.00412
objectName :
objectTitle : Chariot de guerre
objectCulture : Mésopotamienne
geography :
dating : 2004 BC - 1600 BC
material :
technique :
dimensions : Hauteur: 16 cm, Largeur: 9 cm
legalRightOwner : Musées royaux d'art et d'histoire/Koninklijke Musea voor Kunst en Geschiedenis

objectDescription : Le tablier des modèles de chariots de guerre, très populaires en Mésopotamie comme en Syrie, est souvent décoré de représentations estampées de divinités guerrières. S’agit-il ici de Zababa, dieu suprême du panthéon de la cité de Kish et de son alter ego Ishtar, ou plutôt d’autres divinités comme Amurru ou même le Baal syrien ? E.G.

↑ , Cruche phénicienne à rebord ourlé:

Cruche phénicienne à rebord ourlé :

collectionName : Proche-Orient
inventoryNb : O.00508
objectName :
objectTitle : Cruche phénicienne à rebord ourlé
objectCulture : Phénicienne
geography :
dating : 900 BC - 601 BC
material :
technique :
dimensions : Hauteur: 18 cm, Largeur: 10 cm
legalRightOwner : Musées royaux d'art et d'histoire/Koninklijke Musea voor Kunst en Geschiedenis

objectDescription : Contrairement aux productions de vaisselle de luxe appréciées des mondes égyptien et grec, le répertoire céramique phénicien et punique se limite quasi exclusivement à des types purement fonctionnels destinés à un usage domestique, au transport et à la conservation de denrées alimentaires. De petites cruches qui copient des prototypes en métal, précieux ou non, et présentant souvent un engobe épais, poli et rouge, signalent la présence phénicienne dans le monde méditerranéen, au même titre que des lampes à huile à bec pincé pour y insérer une mèche. De même, les petits cruches « à bobèche » et les pièces bichromes comptent-elles parmi les types caractéristiques exportés jusqu’aux côtes atlantiques de l’Europe et de l’Afrique dans la vague de l’expansion phénicienne. Un récipient destiné à être suspendu rappelle encore vaguement les pyxides mycéniennes et illustre un ancien exemple de céramique cultuelle. Entre les 9e et 6e siècles, se développe un type de brûle-encens (thymiaterion) à double coupe, muni d’une petite assiette pour récolter les cendres, qui était utilisé dans les temples et les chapelles domestiques. E.G.

↑ , Fragment de coupelle en forme de coquillage:

Fragment de coupelle en forme de coquillage :

collectionName : Proche-Orient
inventoryNb : O.00710
objectName :
objectTitle : Fragment de coupelle en forme de coquillage
objectCulture : Mésopotamienne
geography :
dating : 2255 BC - 2219 BC
material :
technique :
dimensions : Hauteur: 14 cm, Largeur: 5 cm
legalRightOwner : Musées royaux d'art et d'histoire/Koninklijke Musea voor Kunst en Geschiedenis

objectDescription : Lorsque quatre sceaux-cylindres provenant d’un lot acheté par les musées au marchand E. Géjou se révélèrent être des faux, l’abbé H. de Genouillac offrit en compensation ce fragment de coupelle en forme de coquillage imitant le Fasciolaria trapezium ou Lambis truncata sebae. Le texte est rédigé comme suit : « Naram-Sîn, le puissant, roi des quatre directions, qui a fracassé la tête (vaincue) des (royaumes) d’Armanu et d’Ebla ». D’après des copies de l’époque paléo-babylonienne de textes akkadiens, il réalisa ces faits (de manière métaphorique) avec la massue du dieu Dagān à qui cette coupelle ou cette lampe était probablement dédiée. Grâce aux spectaculaires découvertes de P. Matthiae à Tell Mardikh depuis 1968, Ebla put être définitivement identifiée comme étant la capitale d’un vaste royaume de Syrie centrale. La ville d’Armanu (jadis erronément identifiée comme étant Alep ou même l’Arménie) revient souvent dans les archives d’Ebla, sous la forme Armi; le fouilleur estime qu’il s’agit d’un centre situé dans le nord du royaume d’Ebla, dans les environs de Karkemish (Tell Bazi et/ou Tell Banat ?). E.G.

↑ , Stèle du'amite:

Stèle du'amite :

collectionName : Proche-Orient
inventoryNb : O.00716
objectName :
objectTitle : Stèle du'amite
objectCulture : Arabie du Sud
geography :
dating : AD 101 - AD 300
material :
technique :
dimensions : Hauteur: 30 cm, Largeur: 24 cm, Profondeur: 7,2 cm
legalRightOwner : Musées royaux d'art et d'histoire/Koninklijke Musea voor Kunst en Geschiedenis

objectDescription : Ce relief funéraire est bordé d’un cadre dont la partie supérieure est ornée d’une frise de fenêtres (?) stylisés et d’une inscription répartie en deux lignes : « Usama, fils de ‘Amir, le Du’amite de la tribu d’Asdan ». Le relief présente en effet un homme monté sur un chameau et armé d’une lance. Comme pour des stèles similaires conservées à Paris, Marseille, Vienne et Bombay, l’accent est mis sur l’importance militaire de ces animaux de bât qui sont souvent offerts et/ou inhumés avec le plus grand soin quasiment jusqu'à la période romaine, qui vit le remplacement du traditionnel « vaisseau du désert » par le commerce maritime. Par ailleurs, la stèle qui nous occupe fut encore photographiée in situ par H. Burchardt qui, en 1909, paya ses expéditions au prix de sa vie. E.G.

↑ , Encensoir:

Encensoir :

collectionName : Proche-Orient
inventoryNb : O.00729
objectName :
objectTitle : Encensoir
objectCulture : Phénicienne
geography :
dating : 500 BC - 301 BC
material :
technique :
dimensions : Hauteur: 9 cm
legalRightOwner : Musées royaux d'art et d'histoire/Koninklijke Musea voor Kunst en Geschiedenis

objectDescription : Contrairement aux productions de vaisselle de luxe appréciées des mondes égyptien et grec, le répertoire céramique phénicien et punique se limite quasi exclusivement à des types purement fonctionnels destinés à un usage domestique, au transport et à la conservation de denrées alimentaires. De petites cruches qui copient des prototypes en métal, précieux ou non, et présentant souvent un engobe épais, poli et rouge, signalent la présence phénicienne dans le monde méditerranéen, au même titre que des lampes à huile à bec pincé pour y insérer une mèche. De même, les petits cruches « à bobèche » et les pièces bichromes comptent-elles parmi les types caractéristiques exportés jusqu’aux côtes atlantiques de l’Europe et de l’Afrique dans la vague de l’expansion phénicienne. Un récipient destiné à être suspendu rappelle encore vaguement les pyxides mycéniennes et illustre un ancien exemple de céramique cultuelle. Entre les 9e et 6e siècles, se développe un type de brûle-encens (thymiaterion) à double coupe, muni d’une petite assiette pour récolter les cendres, qui était utilisé dans les temples et les chapelles domestiques. E.G. Encensoir composé de deux vasques superposées ; des triglyphes lie-de-vin décorent la vasque supérieure. Le rapport dimensionnel entre les deux vasques constitue un important critère de datation de ce type de récipient (liturgique ?) rencontré également à Chypre, à Carthage, en Sardaigne et dans le sud de l’Espagne. Certaines représentations font supposer que ce type d’encensoir imitait la partie supérieure d’un thymiatère plus important et qu’il était employé à des fins rituelles.

↑ , Cruche phénicienne à rebord ourlé:

Cruche phénicienne à rebord ourlé :

collectionName : Proche-Orient
inventoryNb : O.00731
objectName :
objectTitle : Cruche phénicienne à rebord ourlé
objectCulture : Phénicienne
geography :
dating : 900 BC - 601 BC
material :
technique :
dimensions : Hauteur: 19,2 cm
legalRightOwner : Musées royaux d'art et d'histoire/Koninklijke Musea voor Kunst en Geschiedenis

objectDescription : Contrairement aux productions de vaisselle de luxe appréciées des mondes égyptien et grec, le répertoire céramique phénicien et punique se limite quasi exclusivement à des types purement fonctionnels destinés à un usage domestique, au transport et à la conservation de denrées alimentaires. De petites cruches qui copient des prototypes en métal, précieux ou non, et présentant souvent un engobe épais, poli et rouge, signalent la présence phénicienne dans le monde méditerranéen, au même titre que des lampes à huile à bec pincé pour y insérer une mèche. De même, les petits cruches « à bobèche » et les pièces bichromes comptent-elles parmi les types caractéristiques exportés jusqu’aux côtes atlantiques de l’Europe et de l’Afrique dans la vague de l’expansion phénicienne. Un récipient destiné à être suspendu rappelle encore vaguement les pyxides mycéniennes et illustre un ancien exemple de céramique cultuelle. Entre les 9e et 6e siècles, se développe un type de brûle-encens (thymiaterion) à double coupe, muni d’une petite assiette pour récolter les cendres, qui était utilisé dans les temples et les chapelles domestiques. E.G.

↑ , Déesse de la fécondité:

Déesse de la fécondité :

collectionName : Proche-Orient
inventoryNb : O.00785
objectName :
objectTitle : Déesse de la fécondité
objectCulture : syrien
geography :
dating : 1850 BC - 1800 BC
material :
technique :
dimensions : Hauteur: 9,6 cm, Largeur: 4,2 cm
legalRightOwner : Musées royaux d'art et d'histoire/Koninklijke Musea voor Kunst en Geschiedenis

objectDescription : Dans la région située à l’est de l’Oronte, au croisement des voies commerciales Nord-Sud et des routes caravanières allant de la Méditerranée à l’Euphrate, l’art de la terre cuite connut un développement dynamique dans le courant du premier quart du 2e millénaire. Plusieurs ateliers des royaumes de Yamkhad au nord (avec Alep pour capitale), de Qatna (Tell Mischrifé) au sud et d’Ebla (Tell Mardikh) entre les deux, développèrent des modèles standards rehaussés d’accents locaux dans chacune des régions. Ce groupe présente des femmes nues au corps en forme de violon, uniquement parées de chaînes au cou, de cordons à amulettes croisés et portant, parfois, une sorte de string dissimulant le sexe. Étant donné que ces accessoires sont mentionnés dans le mythe sumérien de « La descente d’Inanna aux Enfers », ces figurines ont souvent été identifiées comme représentant Inanna/Ishtar ou Astarté, bien qu’il paraisse plus prudent d’y reconnaître une allusion générale à la déesse de la fécondité. Des prototypes de cette production, qui fut à son tour reprise par des artistes chypriotes, sont connus en Élam (Suse). E.G.

↑ , Relief votif:

Relief votif :

collectionName : Proche-Orient
inventoryNb : O.01054
objectName :
objectTitle : Relief votif
objectCulture : Mésopotamienne
geography :
dating : 2255 BC - 2219 BC
material :
technique :
dimensions : Hauteur: 13,5 cm, Largeur: 11 cm
legalRightOwner : Musées royaux d'art et d'histoire/Koninklijke Musea voor Kunst en Geschiedenis

objectDescription : Relief votif. Règne de Naram-Sin. S’il est vrai que cette plaquette votive fut à maintes reprises assignée à l’époque paléo- babylonienne, la finition, aussi remarquable que subtile, de même que le style des plus évolués, se distingue nettement de la production de masse de cette époque. La pose du héros et celle de sa victime, le taureau céleste, s’aligne davantage sur les idiomes du « style royal » de la glyptique de la phase Akkad III, rarement égalée par après. L’opinion commune ne tarda pas à y reconnaître un épisode de « L’épopée de Gilgamesh » qui, ayant résisté aux charmes d’Ishtar (déesse de l’Amour), se vit confronté au taureau céleste envoyé par Anu, le père de la déesse afin d’anéantir sa capitale, la ville Uruk, et ses habitants. Aidé de son fidèle compagnon Enkidu, Gilgamesh réussit toutefois à s’opposer au destin décrété par les Cieux. Selon une interprétation toute récente de ce relief, le héros ne serait cependant pas Gilgamesh mais Lakhmu (« le bouclé »), dieu des fleuves souterrains souvent représenté au côté de l’homme taureau, le Kusarikku, bien connu de la glyptique akkadienne.

↑ , Sceau-cylindre avec lutte de bovidés:

Sceau-cylindre avec lutte de bovidés :

collectionName : Proche-Orient
inventoryNb : O.01477
objectName :
objectTitle : Sceau-cylindre avec lutte de bovidés
objectCulture : Mésopotamienne
geography :
dating : 2950 BC - 2700 BC
material :
technique :
dimensions : Hauteur: 4,7 cm, Largeur: 3,5 cm
legalRightOwner : Musées royaux d'art et d'histoire/Koninklijke Musea voor Kunst en Geschiedenis

objectDescription : Les sceaux dits de style « Piedmont » doivent leur nom au fait qu’ils font allusion à un nouvel axe commercial entre Suse et la Syrie longeant les contreforts méridionaux des chaînes montagneuses du Zagros et du Taurus. Les luttes d’animaux sont aussi typiques de la phase initiale du Dynastique Archaïque I, mettant souvent en scène des quadrupèdes dont le volume rappelle l’art d’Uruk, quoique tracés de façon moins rigide. Lutte de bovidés. Un petit oiseau est posé sur le dos d'un des taureaux. Un grand oiseaux, ailes déployées, plâne au-dessus de la scène.

↑ , Tablette cunéiforme:

Tablette cunéiforme :

collectionName : Proche-Orient
inventoryNb : O.01920
objectName :
objectTitle : Tablette cunéiforme
objectCulture : Mésopotamienne
geography :
dating : 2550 BC - 2500 BC
material :
technique :
dimensions : Hauteur: 9,2 cm, Largeur: 9,2 cm
legalRightOwner : Musées royaux d'art et d'histoire/Koninklijke Musea voor Kunst en Geschiedenis

objectDescription : Exceptionnellement bien conservée, cette tablette est l’un des rares témoignages d’un genre littéraire encore peu documenté à l’époque: celui des incantations magiques. Dans ce cas-ci, il s’agit de deux incantations adressées à la déesse Ningirim, la dame des incantations, ainsi qu’à d’autres divinités bien connues telles que Nanna, Utu, Enki et le dieu-MA appelé « le médecin ». Les Mésopotamiens croyaient, en effet, que les maux et maladies étaient dus à des démons, à de la sorcellerie ou constituaient une punition divine envers un individu pour une offense faite aux dieux sans que même il en ait conscience. Pour s’en protéger ou en guérir, des prêtres spécialisés prononçaient des prières incantatoires cherchant à s’attirer la bienveillance des dieux. Les Musées Royaux comptent parmi les premières institutions scientifiques à avoir participé à un vaste projet de l’Université de Californie (Los Angeles) et de l’Institut Max Planck (Berlin) conçu pour rendre l’héritage de la culture cunéiforme accessible aux utilisateurs de l’Internet. Grâce à cette initiative baptisée Cuneiform Digital Library (http://cdli.ucla.edu), une masse de documents épigraphiques (200.000 textes catalogués à ce jour) souvent demeurés inédits est étudiée simultanément par des spécialistes de différentes disciplines à travers le monde. E.G.-N.V.

↑ , Plaque décorative:

Plaque décorative :

collectionName : Proche-Orient
inventoryNb : O.02675
objectName :
objectTitle : Plaque décorative
objectCulture : Mésopotamienne
geography :
dating : 1100 BC - 701 BC
material :
technique :
dimensions : Hauteur: 6,3 cm, Largeur: 5,4 cm
legalRightOwner : Musées royaux d'art et d'histoire/Koninklijke Musea voor Kunst en Geschiedenis

objectDescription : Coquille. Plusieurs plaquettes décoratives, plus ou moins circulaires ou ovales et taillées dans du coquillage, ont été mises au jour lors de fouilles effectuées à Nimrud. À l’origine, elles devaient être fixées sur une âme de bois par de petits clous de cuivre. Des découvertes analogues ont été faites en Iran et en Anatolie et, d’après une inscription, un ensemble d’objets de ce type pourrait avoir appartenu dans le courant du 9e siècle à Irhunleni, roi de la cité-état syrienne d’Hamath. Malgré ce matériel de comparaison, la fonction précise de ces objets est toujours sujette à caution. La théorie selon laquelle ces plaquettes auraient décoré certaines parties du char de combat royal est certes séduisante, mais se heurte au fait qu’elles semblent souvent associées au harnachement des chevaux. Des traces de bitume, présentes sur l’exemplaire qui nous occupe, suggèrent qu’elles pouvaient être recouvertes de feuilles d’or. E.G.

↑ , Vase à libation:

Vase à libation :

collectionName : Proche-Orient
inventoryNb : O.03495
objectName :
objectTitle : Vase à libation
objectCulture : Asie antérieure
geography :
dating : 1600 BC - 1300 BC
material :
technique :
dimensions : Hauteur: 26 cm, Largeur: 17 cm
legalRightOwner : Musées royaux d'art et d'histoire/Koninklijke Musea voor Kunst en Geschiedenis

objectDescription : Plusieurs vases cultuels hittites sont très élégants, notamment par la forme élancée du col, comme ces trois beaux spécimens provenant d’Anatolie centrale. On en voit des représentations d’époque sur les nombreux reliefs cultuels représentant des scènes de libations. On retiendra aussi le fait que de tels vases cultuels se rencontrent déjà à Kültepe (Kanesh/Nesha) à l’époque des colonies assyriennes (19e-18e siècle) et qu’ils sont toujours d’usage même au début de l’âge du Fer. Réalisés en terre cuite et souvent lustrés, ces vases sont particulièrement élégants avec leur col élancé et leur panse très typique. De nombreux vases cultuels étaient constitués par les rhytons thériomorphes. R.L.

↑ , Vase à libation:

Vase à libation :

collectionName : Proche-Orient
inventoryNb : O.03496
objectName :
objectTitle : Vase à libation
objectCulture : Asie antérieure
geography :
dating : 1600 BC - 1300 BC
material :
technique :
dimensions : Hauteur: 30 cm, Largeur: 17,5 cm
legalRightOwner : Musées royaux d'art et d'histoire/Koninklijke Musea voor Kunst en Geschiedenis

objectDescription : Plusieurs vases cultuels hittites sont très élégants, notamment par la forme élancée du col, comme ces trois beaux spécimens provenant d’Anatolie centrale. On en voit des représentations d’époque sur les nombreux reliefs cultuels représentant des scènes de libations. On retiendra aussi le fait que de tels vases cultuels se rencontrent déjà à Kültepe (Kanesh/Nesha) à l’époque des colonies assyriennes (19e-18e siècle) et qu’ils sont toujours d’usage même au début de l’âge du Fer. Réalisés en terre cuite et souvent lustrés, ces vases sont particulièrement élégants avec leur col élancé et leur panse très typique. De nombreux vases cultuels étaient constitués par les rhytons thériomorphes. R.L.

↑ , Idole anatolienne:

Idole anatolienne :

collectionName : Proche-Orient
inventoryNb : O.03554
objectName :
objectTitle : Idole anatolienne
objectCulture : Asie antérieure
geography :
dating : 2500 BC - 2001 BC
material :
technique :
dimensions : Hauteur: 4 cm
legalRightOwner : Musées royaux d'art et d'histoire/Koninklijke Musea voor Kunst en Geschiedenis

objectDescription : Les MRAH possèdent une belle collection de petites idoles pré-hittites stylisées provenant sans doute du sud-ouest de la Turquie et datables de la seconde moitié du 3e millénaire. La tête est généralement tubulaire, un peu évasée vers le haut, les bras sont réduits à de petits moignons, pas de jambes, et parfois nous avons une silhouette évoquant les statuettes-violon des Cyclades. Les traits du visage sont souvent marqués par quelques sillons, tout comme ces derniers recouvrent la poitrine et le dos. Plusieurs statuettes de ce type ont été trouvées à Alishar. Les idoles en forme de violon proviennent de la région de Yortan et sont en marbre; elles datent du Bronze ancien I-II. R.L.

↑ , Idole anatoliene:

Idole anatoliene :

collectionName : Proche-Orient
inventoryNb : O.03555
objectName :
objectTitle : Idole anatoliene
objectCulture : Asie antérieure
geography :
dating : 2500 BC - 2001 BC
material :
technique :
dimensions :
legalRightOwner : Musées royaux d'art et d'histoire/Koninklijke Musea voor Kunst en Geschiedenis

objectDescription : Les MRAH possèdent une belle collection de petites idoles pré-hittites stylisées provenant sans doute du sud-ouest de la Turquie et datables de la seconde moitié du 3e millénaire. La tête est généralement tubulaire, un peu évasée vers le haut, les bras sont réduits à de petits moignons, pas de jambes, et parfois nous avons une silhouette évoquant les statuettes-violon des Cyclades. Les traits du visage sont souvent marqués par quelques sillons, tout comme ces derniers recouvrent la poitrine et le dos. Plusieurs statuettes de ce type ont été trouvées à Alishar. Les idoles en forme de violon proviennent de la région de Yortan et sont en marbre; elles datent du Bronze ancien I-II. R.L.

↑ , Idole anatolienne:

Idole anatolienne :

collectionName : Proche-Orient
inventoryNb : O.03556
objectName :
objectTitle : Idole anatolienne
objectCulture : Asie antérieure
geography :
dating : 2500 BC - 2001 BC
material :
technique :
dimensions :
legalRightOwner : Musées royaux d'art et d'histoire/Koninklijke Musea voor Kunst en Geschiedenis

objectDescription : Les MRAH possèdent une belle collection de petites idoles pré-hittites stylisées provenant sans doute du sud-ouest de la Turquie et datables de la seconde moitié du 3e millénaire. La tête est généralement tubulaire, un peu évasée vers le haut, les bras sont réduits à de petits moignons, pas de jambes, et parfois nous avons une silhouette évoquant les statuettes-violon des Cyclades. Les traits du visage sont souvent marqués par quelques sillons, tout comme ces derniers recouvrent la poitrine et le dos. Plusieurs statuettes de ce type ont été trouvées à Alishar. Les idoles en forme de violon proviennent de la région de Yortan et sont en marbre; elles datent du Bronze ancien I-II. R.L.

↑ , Idole anatolienne:

Idole anatolienne :

collectionName : Proche-Orient
inventoryNb : O.03557
objectName :
objectTitle : Idole anatolienne
objectCulture : Asie antérieure
geography :
dating : 2500 BC - 2001 BC
material :
technique :
dimensions :
legalRightOwner : Musées royaux d'art et d'histoire/Koninklijke Musea voor Kunst en Geschiedenis

objectDescription : Les MRAH possèdent une belle collection de petites idoles pré-hittites stylisées provenant sans doute du sud-ouest de la Turquie et datables de la seconde moitié du 3e millénaire. La tête est généralement tubulaire, un peu évasée vers le haut, les bras sont réduits à de petits moignons, pas de jambes, et parfois nous avons une silhouette évoquant les statuettes-violon des Cyclades. Les traits du visage sont souvent marqués par quelques sillons, tout comme ces derniers recouvrent la poitrine et le dos. Plusieurs statuettes de ce type ont été trouvées à Alishar. Les idoles en forme de violon proviennent de la région de Yortan et sont en marbre; elles datent du Bronze ancien I-II. R.L.

↑ , Vase à libation:

Vase à libation :

collectionName : Proche-Orient
inventoryNb : O.03579
objectName :
objectTitle : Vase à libation
objectCulture : Asie antérieure
geography :
dating : 1600 BC - 1300 BC
material :
technique :
dimensions : Hauteur: 30 cm
legalRightOwner : Musées royaux d'art et d'histoire/Koninklijke Musea voor Kunst en Geschiedenis

objectDescription : Plusieurs vases cultuels hittites sont très élégants, notamment par la forme élancée du col, comme ces trois beaux spécimens provenant d’Anatolie centrale. On en voit des représentations d’époque sur les nombreux reliefs cultuels représentant des scènes de libations. On retiendra aussi le fait que de tels vases cultuels se rencontrent déjà à Kültepe (Kanesh/Nesha) à l’époque des colonies assyriennes (19e-18e siècle) et qu’ils sont toujours d’usage même au début de l’âge du Fer. Réalisés en terre cuite et souvent lustrés, ces vases sont particulièrement élégants avec leur col élancé et leur panse très typique. De nombreux vases cultuels étaient constitués par les rhytons thériomorphes. R.L.

↑ , Déesse de la fécondité:

Déesse de la fécondité :

collectionName : Proche-Orient
inventoryNb : O.03607
objectName :
objectTitle : Déesse de la fécondité
objectCulture : syrien
geography :
dating : 1850 BC - 1800 BC
material :
technique :
dimensions : Hauteur: 18 cm, Largeur: 5,8 cm
legalRightOwner : Musées royaux d'art et d'histoire/Koninklijke Musea voor Kunst en Geschiedenis

objectDescription : Dans la région située à l’est de l’Oronte, au croisement des voies commerciales Nord-Sud et des routes caravanières allant de la Méditerranée à l’Euphrate, l’art de la terre cuite connut un développement dynamique dans le courant du premier quart du 2e millénaire. Plusieurs ateliers des royaumes de Yamkhad au nord (avec Alep pour capitale), de Qatna (Tell Mischrifé) au sud et d’Ebla (Tell Mardikh) entre les deux, développèrent des modèles standards rehaussés d’accents locaux dans chacune des régions. Ce groupe présente des femmes nues au corps en forme de violon, uniquement parées de chaînes au cou, de cordons à amulettes croisés et portant, parfois, une sorte de string dissimulant le sexe. Étant donné que ces accessoires sont mentionnés dans le mythe sumérien de « La descente d’Inanna aux Enfers », ces figurines ont souvent été identifiées comme représentant Inanna/Ishtar ou Astarté, bien qu’il paraisse plus prudent d’y reconnaître une allusion générale à la déesse de la fécondité. Des prototypes de cette production, qui fut à son tour reprise par des artistes chypriotes, sont connus en Élam (Suse). E.G.

↑ , Déesse de la fécondité:

Déesse de la fécondité :

collectionName : Proche-Orient
inventoryNb : O.03608
objectName :
objectTitle : Déesse de la fécondité
objectCulture : syrien
geography :
dating : 1850 BC - 1800 BC
material :
technique :
dimensions : Hauteur: 13 cm, Largeur: 4,5 cm
legalRightOwner : Musées royaux d'art et d'histoire/Koninklijke Musea voor Kunst en Geschiedenis

objectDescription : Dans la région située à l’est de l’Oronte, au croisement des voies commerciales Nord-Sud et des routes caravanières allant de la Méditerranée à l’Euphrate, l’art de la terre cuite connut un développement dynamique dans le courant du premier quart du 2e millénaire. Plusieurs ateliers des royaumes de Yamkhad au nord (avec Alep pour capitale), de Qatna (Tell Mischrifé) au sud et d’Ebla (Tell Mardikh) entre les deux, développèrent des modèles standards rehaussés d’accents locaux dans chacune des régions. Ce groupe présente des femmes nues au corps en forme de violon, uniquement parées de chaînes au cou, de cordons à amulettes croisés et portant, parfois, une sorte de string dissimulant le sexe. Étant donné que ces accessoires sont mentionnés dans le mythe sumérien de « La descente d’Inanna aux Enfers », ces figurines ont souvent été identifiées comme représentant Inanna/Ishtar ou Astarté, bien qu’il paraisse plus prudent d’y reconnaître une allusion générale à la déesse de la fécondité. Des prototypes de cette production, qui fut à son tour reprise par des artistes chypriotes, sont connus en Élam (Suse). E.G.

↑ , Déesse de la fécondité:

Déesse de la fécondité :

collectionName : Proche-Orient
inventoryNb : O.03609
objectName :
objectTitle : Déesse de la fécondité
objectCulture : syrien
geography :
dating : 1850 BC - 1800 BC
material :
technique :
dimensions : Hauteur: 10,4 cm, Largeur: 4,1 cm
legalRightOwner : Musées royaux d'art et d'histoire/Koninklijke Musea voor Kunst en Geschiedenis

objectDescription : Dans la région située à l’est de l’Oronte, au croisement des voies commerciales Nord-Sud et des routes caravanières allant de la Méditerranée à l’Euphrate, l’art de la terre cuite connut un développement dynamique dans le courant du premier quart du 2e millénaire. Plusieurs ateliers des royaumes de Yamkhad au nord (avec Alep pour capitale), de Qatna (Tell Mischrifé) au sud et d’Ebla (Tell Mardikh) entre les deux, développèrent des modèles standards rehaussés d’accents locaux dans chacune des régions. Ce groupe présente des femmes nues au corps en forme de violon, uniquement parées de chaînes au cou, de cordons à amulettes croisés et portant, parfois, une sorte de string dissimulant le sexe. Étant donné que ces accessoires sont mentionnés dans le mythe sumérien de « La descente d’Inanna aux Enfers », ces figurines ont souvent été identifiées comme représentant Inanna/Ishtar ou Astarté, bien qu’il paraisse plus prudent d’y reconnaître une allusion générale à la déesse de la fécondité. Des prototypes de cette production, qui fut à son tour reprise par des artistes chypriotes, sont connus en Élam (Suse). E.G.

↑ , Idole anatolienne:

Idole anatolienne :

collectionName : Proche-Orient
inventoryNb : O.03629
objectName :
objectTitle : Idole anatolienne
objectCulture : Asie antérieure
geography :
dating : 2500 BC - 2001 BC
material :
technique :
dimensions : Hauteur: 16 cm, Largeur: 8,4 cm
legalRightOwner : Musées royaux d'art et d'histoire/Koninklijke Musea voor Kunst en Geschiedenis

objectDescription : Les MRAH possèdent une belle collection de petites idoles pré-hittites stylisées provenant sans doute du sud-ouest de la Turquie et datables de la seconde moitié du 3e millénaire. La tête est généralement tubulaire, un peu évasée vers le haut, les bras sont réduits à de petits moignons, pas de jambes, et parfois nous avons une silhouette évoquant les statuettes-violon des Cyclades. Les traits du visage sont souvent marqués par quelques sillons, tout comme ces derniers recouvrent la poitrine et le dos. Plusieurs statuettes de ce type ont été trouvées à Alishar. Les idoles en forme de violon proviennent de la région de Yortan et sont en marbre; elles datent du Bronze ancien I-II. R.L.

↑ , Idole anatolienne:

Idole anatolienne :

collectionName : Proche-Orient
inventoryNb : O.03630
objectName :
objectTitle : Idole anatolienne
objectCulture : Asie antérieure
geography :
dating : 2500 BC - 2001 BC
material :
technique :
dimensions : Hauteur: 18 cm, Largeur: 5,5 cm
legalRightOwner : Musées royaux d'art et d'histoire/Koninklijke Musea voor Kunst en Geschiedenis

objectDescription : Les MRAH possèdent une belle collection de petites idoles pré-hittites stylisées provenant sans doute du sud-ouest de la Turquie et datables de la seconde moitié du 3e millénaire. La tête est généralement tubulaire, un peu évasée vers le haut, les bras sont réduits à de petits moignons, pas de jambes, et parfois nous avons une silhouette évoquant les statuettes-violon des Cyclades. Les traits du visage sont souvent marqués par quelques sillons, tout comme ces derniers recouvrent la poitrine et le dos. Plusieurs statuettes de ce type ont été trouvées à Alishar. Les idoles en forme de violon proviennent de la région de Yortan et sont en marbre; elles datent du Bronze ancien I-II. R.L.

↑ , Idole anatolienne:

Idole anatolienne :

collectionName : Proche-Orient
inventoryNb : O.03631
objectName :
objectTitle : Idole anatolienne
objectCulture : Asie antérieure
geography :
dating : 2500 BC - 2001 BC
material :
technique :
dimensions : Hauteur: 6,7 cm, Largeur: 3,5 cm
legalRightOwner : Musées royaux d'art et d'histoire/Koninklijke Musea voor Kunst en Geschiedenis

objectDescription : Les MRAH possèdent une belle collection de petites idoles pré-hittites stylisées provenant sans doute du sud-ouest de la Turquie et datables de la seconde moitié du 3e millénaire. La tête est généralement tubulaire, un peu évasée vers le haut, les bras sont réduits à de petits moignons, pas de jambes, et parfois nous avons une silhouette évoquant les statuettes-violon des Cyclades. Les traits du visage sont souvent marqués par quelques sillons, tout comme ces derniers recouvrent la poitrine et le dos. Plusieurs statuettes de ce type ont été trouvées à Alishar. Les idoles en forme de violon proviennent de la région de Yortan et sont en marbre; elles datent du Bronze ancien I-II. R.L.

↑ , Idole anatolienne:

Idole anatolienne :

collectionName : Proche-Orient
inventoryNb : O.03632
objectName :
objectTitle : Idole anatolienne
objectCulture : Asie antérieure
geography :
dating : 2500 BC - 2001 BC
material :
technique :
dimensions : Hauteur: 4 cm, Largeur: 2,5 cm
legalRightOwner : Musées royaux d'art et d'histoire/Koninklijke Musea voor Kunst en Geschiedenis

objectDescription : Les MRAH possèdent une belle collection de petites idoles pré-hittites stylisées provenant sans doute du sud-ouest de la Turquie et datables de la seconde moitié du 3e millénaire. La tête est généralement tubulaire, un peu évasée vers le haut, les bras sont réduits à de petits moignons, pas de jambes, et parfois nous avons une silhouette évoquant les statuettes-violon des Cyclades. Les traits du visage sont souvent marqués par quelques sillons, tout comme ces derniers recouvrent la poitrine et le dos. Plusieurs statuettes de ce type ont été trouvées à Alishar. Les idoles en forme de violon proviennent de la région de Yortan et sont en marbre; elles datent du Bronze ancien I-II. R.L.

↑ , Chariot bâché:

Chariot bâché :

collectionName : Proche-Orient
inventoryNb : O.03760
objectName :
objectTitle : Chariot bâché
objectCulture : syrien
geography :
dating : 3000 BC - 2001 BC
material :
technique :
dimensions : Hauteur: 10,3 cm, Largeur: 9,3 cm, Profondeur: 6,9 cm
legalRightOwner : Musées royaux d'art et d'histoire/Koninklijke Musea voor Kunst en Geschiedenis

objectDescription : à bâche et taureau sur roues. Ce chariot bâché est comparable à des modèles du même genre provenant de Mari, Hamman, Tell Bi’a, Gaziantepe, etc., … L’arbre stylisé, souvent représenté sur les bâches de ces charrettes de transport servant au commerce à longue distance, rappelle qu’elles étaient constituées de nattes de roseau. D’autres modèles, comme le vase à taureau sur roues, représenteraient des chars cultuels utilisés à l’occasion de processions religieuses. E.G.

↑ , Figurine de taureau sur roues:

Figurine de taureau sur roues :

collectionName : Proche-Orient
inventoryNb : O.03761
objectName :
objectTitle : Figurine de taureau sur roues
objectCulture : syrien
geography :
dating : 3000 BC - 2001 BC
material :
technique :
dimensions : Hauteur: 14,8 cm, Largeur: 12,5 cm, Profondeur: 6 cm
legalRightOwner : Musées royaux d'art et d'histoire/Koninklijke Musea voor Kunst en Geschiedenis

objectDescription : Ce chariot bâché est comparable à des modèles du même genre provenant de Mari, Hamman, Tell Bi’a, Gaziantepe, etc., … L’arbre stylisé, souvent représenté sur les bâches de ces charrettes de transport servant au commerce à longue distance, rappelle qu’elles étaient constituées de nattes de roseau. D’autres modèles, comme le vase à taureau sur roues, représenteraient des chars cultuels utilisés à l’occasion de processions religieuses. E.G.

↑ , Empreinte de sceau-cylindre déroulée sur un bouchon de jarre:

Empreinte de sceau-cylindre déroulée sur un bouchon de jarre :

collectionName : Proche-Orient
inventoryNb : O.03926
objectName :
objectTitle : Empreinte de sceau-cylindre déroulée sur un bouchon de jarre
objectCulture : syrien
geography :
dating : 4000 BC - 2950 BC
material :
technique :
dimensions : Hauteur: 5 cm, Largeur: 4,5 cm, Profondeur: 2,5 cm
legalRightOwner : Musées royaux d'art et d'histoire/Koninklijke Musea voor Kunst en Geschiedenis

objectDescription : Le contenu des amphores à provisions était protégé par un bouchon d’argile qui fermait le col et qui était souvent accompagné du déroulé de sceaux-cylindres. L’exemplaire choisi ici peut à raison être considéré comme un chef-d’œuvre de la glyptique d’Uruk : avec un serpent sinueux à l’arrière-plan, deux paires de griffons se combattent, la tête retournée (le griffon est représenté ici pour la première fois dans l’art figuratif).

↑ , Empreinte de sceau-cylindre déroulée sur un bouchon:

Empreinte de sceau-cylindre déroulée sur un bouchon :

collectionName : Proche-Orient
inventoryNb : O.03927
objectName :
objectTitle : Empreinte de sceau-cylindre déroulée sur un bouchon
objectCulture : syrien
geography :
dating : 4000 BC - 2950 BC
material :
technique :
dimensions : Hauteur: 6,6 cm, Largeur: 3,2 cm, Profondeur: 1,6 cm
legalRightOwner : Musées royaux d'art et d'histoire/Koninklijke Musea voor Kunst en Geschiedenis

objectDescription : Le contenu des amphores à provisions était protégé par un bouchon d’argile qui fermait le col et qui était souvent accompagné du déroulé de sceaux-cylindres. L’exemplaire choisi ici peut à raison être considéré comme un chef-d’œuvre de la glyptique d’Uruk : avec un serpent sinueux à l’arrière-plan, deux paires de griffons se combattent, la tête retournée (le griffon est représenté ici pour la première fois dans l’art figuratif).

↑ , Empreinte de sceau-cylindre déroulée sur un bouchon de jarre:

Empreinte de sceau-cylindre déroulée sur un bouchon de jarre :

collectionName : Proche-Orient
inventoryNb : O.03928
objectName :
objectTitle : Empreinte de sceau-cylindre déroulée sur un bouchon de jarre
objectCulture : syrien
geography :
dating : 4000 BC - 2950 BC
material :
technique :
dimensions : Hauteur: 6 cm, Largeur: 4,9 cm, Profondeur: 1,6 cm
legalRightOwner : Musées royaux d'art et d'histoire/Koninklijke Musea voor Kunst en Geschiedenis

objectDescription : Le contenu des amphores à provisions était protégé par un bouchon d’argile qui fermait le col et qui était souvent accompagné du déroulé de sceaux-cylindres. L’exemplaire choisi ici peut à raison être considéré comme un chef-d’œuvre de la glyptique d’Uruk : avec un serpent sinueux à l’arrière-plan, deux paires de griffons se combattent, la tête retournée (le griffon est représenté ici pour la première fois dans l’art figuratif).

↑ , Empreinte de sceau-cylindre déroulée sur un bouchon de jarre:

Empreinte de sceau-cylindre déroulée sur un bouchon de jarre :

collectionName : Proche-Orient
inventoryNb : O.03929
objectName :
objectTitle : Empreinte de sceau-cylindre déroulée sur un bouchon de jarre
objectCulture : syrien
geography :
dating : 4000 BC - 2950 BC
material :
technique :
dimensions : Hauteur: 12,6 cm, Largeur: 4,1 cm, Profondeur: 1,4 cm
legalRightOwner : Musées royaux d'art et d'histoire/Koninklijke Musea voor Kunst en Geschiedenis

objectDescription : Le contenu des amphores à provisions était protégé par un bouchon d’argile qui fermait le col et qui était souvent accompagné du déroulé de sceaux-cylindres. L’exemplaire choisi ici peut à raison être considéré comme un chef-d’œuvre de la glyptique d’Uruk : avec un serpent sinueux à l’arrière-plan, deux paires de griffons se combattent, la tête retournée (le griffon est représenté ici pour la première fois dans l’art figuratif).

↑ , Vase caréné:

Vase caréné :

collectionName : Proche-Orient
inventoryNb : O.04103
objectName :
objectTitle : Vase caréné
objectCulture : syrien
geography :
dating : 3900 BC - 2950 BC
material :
technique :
dimensions : Hauteur: 26,5 cm
legalRightOwner : Musées royaux d'art et d'histoire/Koninklijke Musea voor Kunst en Geschiedenis

objectDescription : Vase caréné à oreillettes (voir 0.4151). Les vases carénés à oreillettes sont eux aussi caractéristiques de la période d’Uruk. Montés partiellement au tour et partiellement à la main, leur épaule est ornée d’oreillettes appliquées à l’aide d’une barbotine et est gravée d’un décor géométrique de motifs hachurés. Les oreillettes ou anses funiculaires sont percées chacune d’un petit orifice permettant le passage d’une ficelle, peut-être destinée à suspendre le conteneur. Cependant, compte tenu de la taille de certains de ces vases, il y a fort à parier que ces orifices étaient souvent purement décoratifs à moins que, comme le suggèrent certains, ils ne servent à fixer fermement un couvercle. En plus des oreillettes, certains modèles sont pourvus d’une anse et d’un ou plusieurs becs verseurs. La raison d’être de ce type particulier de récipients est loin d’être élucidée. Une étude récente propose d’y reconnaître des barattes permettant d’obtenir du beurre en les faisant osciller mais cette hypothèse est loin d’être validée. V.V.

↑ , Vase caréné:

Vase caréné :

collectionName : Proche-Orient
inventoryNb : O.04151
objectName :
objectTitle : Vase caréné
objectCulture : syrien
geography :
dating : 3900 BC - 2950 BC
material :
technique :
dimensions : Hauteur: 18 cm
legalRightOwner : Musées royaux d'art et d'histoire/Koninklijke Musea voor Kunst en Geschiedenis

objectDescription : Les vases carénés à oreillettes sont eux aussi caractéristiques de la période d’Uruk. Montés partiellement au tour et partiellement à la main, leur épaule est ornée d’oreillettes appliquées à l’aide d’une barbotine et est gravée d’un décor géométrique de motifs hachurés. Les oreillettes ou anses funiculaires sont percées chacune d’un petit orifice permettant le passage d’une ficelle, peut-être destinée à suspendre le conteneur. Cependant, compte tenu de la taille de certains de ces vases, il y a fort à parier que ces orifices étaient souvent purement décoratifs à moins que, comme le suggèrent certains, ils ne servent à fixer fermement un couvercle. En plus des oreillettes, certains modèles sont pourvus d’une anse et d’un ou plusieurs becs verseurs. La raison d’être de ce type particulier de récipients est loin d’être élucidée. Une étude récente propose d’y reconnaître des barattes permettant d’obtenir du beurre en les faisant osciller mais cette hypothèse est loin d’être validée. V.V.

↑ , Jarre fuselée à bec verseur:

Jarre fuselée à bec verseur :

collectionName : Proche-Orient
inventoryNb : O.04164
objectName :
objectTitle : Jarre fuselée à bec verseur
objectCulture : syrien
geography :
dating : 3900 BC - 2950 BC
material :
technique :
dimensions : Hauteur: 40 cm
legalRightOwner : Musées royaux d'art et d'histoire/Koninklijke Musea voor Kunst en Geschiedenis

objectDescription : Fuselée. Flacon ovoïde élancé à fond plat, à goulot épaissi sur la face extérieure et à bec verseur rapporté, monté au tour dans une argile commune bien cuite à engobe lissé. Les jarres à bec courbe, caractéristiques de la période d’Uruk, font partie des céramiques d’usage courant. Elles présentent bien souvent une taille standard de 55-60 cm, mais il en existe de plus petites et de plus grandes. Compte tenu de l’étroitesse de la base des plus grandes d’entre elles, tout porte à croire que ces jarres étaient empilées contre les murs des pièces dans lesquelles elles étaient rangées. Ces jarres sont spécialement conçues pour contenir des liquides, probablement de l’eau potable. Non seulement leur forme fuselée et leur bec verseur courbe facilitent le service mais, en plus, la porosité de leur paroi, grâce à l’évaporation, maintient leur contenu au frais. Ce procédé est encore utilisé de nos jours chez les populations qui n’ont pas d’autres moyens de refroidissement à leur disposition. V.V.

↑ , :

:

collectionName : Proche-Orient
inventoryNb : O.04464
objectName :
objectTitle :
objectCulture : Levant méridional
geography :
dating : 3200 BC (Incertaine)
material :
technique :
dimensions : Hauteur: 27,5 cm
legalRightOwner : Musées royaux d'art et d'histoire/Koninklijke Musea voor Kunst en Geschiedenis

objectDescription : Bab edh-Dhra’ est situé du côté jordanien de la mer Morte, à l’est de Ghor el Mzra’ et de la presqu’île de Lisan, à une altitude de 240 m sous le niveau de la mer. Il comprend, entre autres, une ville fortifiée qui se trouve sur la rive méridionale du Wadi Kerak et une vaste nécropole implantée au sud-ouest de l’établissement urbain. Ces deux emplacements sont datés du Bronze ancien. La tombe A 79 se composait de quatre chambres en puits contenant, outre des restes de squelettes, de nombreuses offrandes funéraires constituées essentiellement de vases en terre cuite. La céramique de cette période est toujours façonnée à la main et, parfois, achevée par une fine couche d’engobe de couleur rouge non poli. Elle se caractérise par diverses formes fonctionnelles, parmi lesquelles de profondes écuelles de format moyen à grand, des aiguières avec ou sans anses verticales, des jarres à provisions à anses en saillie, des cruchons miniatures et de petits plats peu profonds. Les coupes sont souvent pourvues de petites anses horizontales ou de petits boutons de terre qui étaient apposés à distance régulière sous le col du vase. Ces pièces pouvaient être décorées d’une ou de deux lignes de points imprimés par l’artisan dans l’argile encore humide, probablement à l’aide d’un morceau de roseau. Ce type d’ornementation apparaît également sur des cruches et est considéré comme typique de la céramique de Bab edh-Dhra’. Parfois, les coupes présentent un fond arrondi, contrairement aux cruches servant de conteneurs à liquides et dont les fonds étaient toujours aplanis pour stabiliser le récipient. Afin de faciliter la préhension des cruches et service ou de simplifier le puisage des liquides, elles étaient pourvues d’anses verticales. Sur la panse d’autres vases, c’étaient des anses horizontales en saillie qui étaient fixées. Pour améliorer la qualité de l’argile utilisée pour réaliser les récipients, les potiers ajoutaient du dégraissant dans la masse de terre. Il pouvait s’agir de sable, de quartz, de poussière de calcaire ou de fins cailloux. I.M.S.

↑ , Cruche à deux anses:

Cruche à deux anses :

collectionName : Proche-Orient
inventoryNb : O.04466
objectName :
objectTitle : Cruche à deux anses
objectCulture : Levant méridional
geography :
dating : ca. 3200 BC
material :
technique :
dimensions : Hauteur: 22,5 cm
legalRightOwner : Musées royaux d'art et d'histoire/Koninklijke Musea voor Kunst en Geschiedenis

objectDescription : Bab edh-Dhra’ est situé du côté jordanien de la mer Morte, à l’est de Ghor el Mzra’ et de la presqu’île de Lisan, à une altitude de 240 m sous le niveau de la mer. Il comprend, entre autres, une ville fortifiée qui se trouve sur la rive méridionale du Wadi Kerak et une vaste nécropole implantée au sud-ouest de l’établissement urbain. Ces deux emplacements sont datés du Bronze ancien. La tombe A 79 se composait de quatre chambres en puits contenant, outre des restes de squelettes, de nombreuses offrandes funéraires constituées essentiellement de vases en terre cuite. La céramique de cette période est toujours façonnée à la main et, parfois, achevée par une fine couche d’engobe de couleur rouge non poli. Elle se caractérise par diverses formes fonctionnelles, parmi lesquelles de profondes écuelles de format moyen à grand, des aiguières avec ou sans anses verticales, des jarres à provisions à anses en saillie, des cruchons miniatures et de petits plats peu profonds. Les coupes sont souvent pourvues de petites anses horizontales ou de petits boutons de terre qui étaient apposés à distance régulière sous le col du vase. Ces pièces pouvaient être décorées d’une ou de deux lignes de points imprimés par l’artisan dans l’argile encore humide, probablement à l’aide d’un morceau de roseau. Ce type d’ornementation apparaît également sur des cruches et est considéré comme typique de la céramique de Bab edh-Dhra’. Parfois, les coupes présentent un fond arrondi, contrairement aux cruches servant de conteneurs à liquides et dont les fonds étaient toujours aplanis pour stabiliser le récipient. Afin de faciliter la préhension des cruches et service ou de simplifier le puisage des liquides, elles étaient pourvues d’anses verticales. Sur la panse d’autres vases, c’étaient des anses horizontales en saillie qui étaient fixées. Pour améliorer la qualité de l’argile utilisée pour réaliser les récipients, les potiers ajoutaient du dégraissant dans la masse de terre. Il pouvait s’agir de sable, de quartz, de poussière de calcaire ou de fins cailloux. I.M.S.

↑ , Bol décoré de points gravés:

Bol décoré de points gravés :

collectionName : Proche-Orient
inventoryNb : O.04470
objectName :
objectTitle : Bol décoré de points gravés
objectCulture : Levant méridional
geography :
dating : ca. 3200 BC
material :
technique :
dimensions : Hauteur: 20,8 cm
legalRightOwner : Musées royaux d'art et d'histoire/Koninklijke Musea voor Kunst en Geschiedenis

objectDescription : Bab edh-Dhra’ est situé du côté jordanien de la mer Morte, à l’est de Ghor el Mzra’ et de la presqu’île de Lisan, à une altitude de 240 m sous le niveau de la mer. Il comprend, entre autres, une ville fortifiée qui se trouve sur la rive méridionale du Wadi Kerak et une vaste nécropole implantée au sud-ouest de l’établissement urbain. Ces deux emplacements sont datés du Bronze ancien. La tombe A 79 se composait de quatre chambres en puits contenant, outre des restes de squelettes, de nombreuses offrandes funéraires constituées essentiellement de vases en terre cuite. La céramique de cette période est toujours façonnée à la main et, parfois, achevée par une fine couche d’engobe de couleur rouge non poli. Elle se caractérise par diverses formes fonctionnelles, parmi lesquelles de profondes écuelles de format moyen à grand, des aiguières avec ou sans anses verticales, des jarres à provisions à anses en saillie, des cruchons miniatures et de petits plats peu profonds. Les coupes sont souvent pourvues de petites anses horizontales ou de petits boutons de terre qui étaient apposés à distance régulière sous le col du vase. Ces pièces pouvaient être décorées d’une ou de deux lignes de points imprimés par l’artisan dans l’argile encore humide, probablement à l’aide d’un morceau de roseau. Ce type d’ornementation apparaît également sur des cruches et est considéré comme typique de la céramique de Bab edh-Dhra’. Parfois, les coupes présentent un fond arrondi, contrairement aux cruches servant de conteneurs à liquides et dont les fonds étaient toujours aplanis pour stabiliser le récipient. Afin de faciliter la préhension des cruches et service ou de simplifier le puisage des liquides, elles étaient pourvues d’anses verticales. Sur la panse d’autres vases, c’étaient des anses horizontales en saillie qui étaient fixées. Pour améliorer la qualité de l’argile utilisée pour réaliser les récipients, les potiers ajoutaient du dégraissant dans la masse de terre. Il pouvait s’agir de sable, de quartz, de poussière de calcaire ou de fins cailloux. I.M.S.

↑ , :

:

collectionName : Proche-Orient
inventoryNb : O.04473
objectName :
objectTitle :
objectCulture : Levant méridional
geography :
dating : ca. 3200 BC
material :
technique :
dimensions : Hauteur: 6,5 cm
legalRightOwner : Musées royaux d'art et d'histoire/Koninklijke Musea voor Kunst en Geschiedenis

objectDescription : Bab edh-Dhra’ est situé du côté jordanien de la mer Morte, à l’est de Ghor el Mzra’ et de la presqu’île de Lisan, à une altitude de 240 m sous le niveau de la mer. Il comprend, entre autres, une ville fortifiée qui se trouve sur la rive méridionale du Wadi Kerak et une vaste nécropole implantée au sud-ouest de l’établissement urbain. Ces deux emplacements sont datés du Bronze ancien. La tombe A 79 se composait de quatre chambres en puits contenant, outre des restes de squelettes, de nombreuses offrandes funéraires constituées essentiellement de vases en terre cuite. La céramique de cette période est toujours façonnée à la main et, parfois, achevée par une fine couche d’engobe de couleur rouge non poli. Elle se caractérise par diverses formes fonctionnelles, parmi lesquelles de profondes écuelles de format moyen à grand, des aiguières avec ou sans anses verticales, des jarres à provisions à anses en saillie, des cruchons miniatures et de petits plats peu profonds. Les coupes sont souvent pourvues de petites anses horizontales ou de petits boutons de terre qui étaient apposés à distance régulière sous le col du vase. Ces pièces pouvaient être décorées d’une ou de deux lignes de points imprimés par l’artisan dans l’argile encore humide, probablement à l’aide d’un morceau de roseau. Ce type d’ornementation apparaît également sur des cruches et est considéré comme typique de la céramique de Bab edh-Dhra’. Parfois, les coupes présentent un fond arrondi, contrairement aux cruches servant de conteneurs à liquides et dont les fonds étaient toujours aplanis pour stabiliser le récipient. Afin de faciliter la préhension des cruches et service ou de simplifier le puisage des liquides, elles étaient pourvues d’anses verticales. Sur la panse d’autres vases, c’étaient des anses horizontales en saillie qui étaient fixées. Pour améliorer la qualité de l’argile utilisée pour réaliser les récipients, les potiers ajoutaient du dégraissant dans la masse de terre. Il pouvait s’agir de sable, de quartz, de poussière de calcaire ou de fins cailloux. I.M.S.

↑ , Cruche à deux anses:

Cruche à deux anses :

collectionName : Proche-Orient
inventoryNb : O.04482
objectName :
objectTitle : Cruche à deux anses
objectCulture : Levant méridional
geography :
dating : ca. 3200 BC
material :
technique :
dimensions : Hauteur: 15,3 cm
legalRightOwner : Musées royaux d'art et d'histoire/Koninklijke Musea voor Kunst en Geschiedenis

objectDescription : Bab edh-Dhra’ est situé du côté jordanien de la mer Morte, à l’est de Ghor el Mzra’ et de la presqu’île de Lisan, à une altitude de 240 m sous le niveau de la mer. Il comprend, entre autres, une ville fortifiée qui se trouve sur la rive méridionale du Wadi Kerak et une vaste nécropole implantée au sud-ouest de l’établissement urbain. Ces deux emplacements sont datés du Bronze ancien. La tombe A 79 se composait de quatre chambres en puits contenant, outre des restes de squelettes, de nombreuses offrandes funéraires constituées essentiellement de vases en terre cuite. La céramique de cette période est toujours façonnée à la main et, parfois, achevée par une fine couche d’engobe de couleur rouge non poli. Elle se caractérise par diverses formes fonctionnelles, parmi lesquelles de profondes écuelles de format moyen à grand, des aiguières avec ou sans anses verticales, des jarres à provisions à anses en saillie, des cruchons miniatures et de petits plats peu profonds. Les coupes sont souvent pourvues de petites anses horizontales ou de petits boutons de terre qui étaient apposés à distance régulière sous le col du vase. Ces pièces pouvaient être décorées d’une ou de deux lignes de points imprimés par l’artisan dans l’argile encore humide, probablement à l’aide d’un morceau de roseau. Ce type d’ornementation apparaît également sur des cruches et est considéré comme typique de la céramique de Bab edh-Dhra’. Parfois, les coupes présentent un fond arrondi, contrairement aux cruches servant de conteneurs à liquides et dont les fonds étaient toujours aplanis pour stabiliser le récipient. Afin de faciliter la préhension des cruches et service ou de simplifier le puisage des liquides, elles étaient pourvues d’anses verticales. Sur la panse d’autres vases, c’étaient des anses horizontales en saillie qui étaient fixées. Pour améliorer la qualité de l’argile utilisée pour réaliser les récipients, les potiers ajoutaient du dégraissant dans la masse de terre. Il pouvait s’agir de sable, de quartz, de poussière de calcaire ou de fins cailloux. I.M.S.

↑ , Vase à panse arrondie:

Vase à panse arrondie :

collectionName : Proche-Orient
inventoryNb : O.04487
objectName :
objectTitle : Vase à panse arrondie
objectCulture : Levant méridional
geography :
dating : ca. 3200 BC
material :
technique :
dimensions : Hauteur: 15,2 cm
legalRightOwner : Musées royaux d'art et d'histoire/Koninklijke Musea voor Kunst en Geschiedenis

objectDescription : Bab edh-Dhra’ est situé du côté jordanien de la mer Morte, à l’est de Ghor el Mzra’ et de la presqu’île de Lisan, à une altitude de 240 m sous le niveau de la mer. Il comprend, entre autres, une ville fortifiée qui se trouve sur la rive méridionale du Wadi Kerak et une vaste nécropole implantée au sud-ouest de l’établissement urbain. Ces deux emplacements sont datés du Bronze ancien. La tombe A 79 se composait de quatre chambres en puits contenant, outre des restes de squelettes, de nombreuses offrandes funéraires constituées essentiellement de vases en terre cuite. La céramique de cette période est toujours façonnée à la main et, parfois, achevée par une fine couche d’engobe de couleur rouge non poli. Elle se caractérise par diverses formes fonctionnelles, parmi lesquelles de profondes écuelles de format moyen à grand, des aiguières avec ou sans anses verticales, des jarres à provisions à anses en saillie, des cruchons miniatures et de petits plats peu profonds. Les coupes sont souvent pourvues de petites anses horizontales ou de petits boutons de terre qui étaient apposés à distance régulière sous le col du vase. Ces pièces pouvaient être décorées d’une ou de deux lignes de points imprimés par l’artisan dans l’argile encore humide, probablement à l’aide d’un morceau de roseau. Ce type d’ornementation apparaît également sur des cruches et est considéré comme typique de la céramique de Bab edh-Dhra’. Parfois, les coupes présentent un fond arrondi, contrairement aux cruches servant de conteneurs à liquides et dont les fonds étaient toujours aplanis pour stabiliser le récipient. Afin de faciliter la préhension des cruches et service ou de simplifier le puisage des liquides, elles étaient pourvues d’anses verticales. Sur la panse d’autres vases, c’étaient des anses horizontales en saillie qui étaient fixées. Pour améliorer la qualité de l’argile utilisée pour réaliser les récipients, les potiers ajoutaient du dégraissant dans la masse de terre. Il pouvait s’agir de sable, de quartz, de poussière de calcaire ou de fins cailloux. I.M.S.

↑ , Cruche à anse:

Cruche à anse :

collectionName : Proche-Orient
inventoryNb : O.04491
objectName :
objectTitle : Cruche à anse
objectCulture : Levant méridional
geography :
dating : ca. 3200 BC
material :
technique :
dimensions : Hauteur: 12 cm
legalRightOwner : Musées royaux d'art et d'histoire/Koninklijke Musea voor Kunst en Geschiedenis

objectDescription : Bab edh-Dhra’ est situé du côté jordanien de la mer Morte, à l’est de Ghor el Mzra’ et de la presqu’île de Lisan, à une altitude de 240 m sous le niveau de la mer. Il comprend, entre autres, une ville fortifiée qui se trouve sur la rive méridionale du Wadi Kerak et une vaste nécropole implantée au sud-ouest de l’établissement urbain. Ces deux emplacements sont datés du Bronze ancien. La tombe A 79 se composait de quatre chambres en puits contenant, outre des restes de squelettes, de nombreuses offrandes funéraires constituées essentiellement de vases en terre cuite. La céramique de cette période est toujours façonnée à la main et, parfois, achevée par une fine couche d’engobe de couleur rouge non poli. Elle se caractérise par diverses formes fonctionnelles, parmi lesquelles de profondes écuelles de format moyen à grand, des aiguières avec ou sans anses verticales, des jarres à provisions à anses en saillie, des cruchons miniatures et de petits plats peu profonds. Les coupes sont souvent pourvues de petites anses horizontales ou de petits boutons de terre qui étaient apposés à distance régulière sous le col du vase. Ces pièces pouvaient être décorées d’une ou de deux lignes de points imprimés par l’artisan dans l’argile encore humide, probablement à l’aide d’un morceau de roseau. Ce type d’ornementation apparaît également sur des cruches et est considéré comme typique de la céramique de Bab edh-Dhra’. Parfois, les coupes présentent un fond arrondi, contrairement aux cruches servant de conteneurs à liquides et dont les fonds étaient toujours aplanis pour stabiliser le récipient. Afin de faciliter la préhension des cruches et service ou de simplifier le puisage des liquides, elles étaient pourvues d’anses verticales. Sur la panse d’autres vases, c’étaient des anses horizontales en saillie qui étaient fixées. Pour améliorer la qualité de l’argile utilisée pour réaliser les récipients, les potiers ajoutaient du dégraissant dans la masse de terre. Il pouvait s’agir de sable, de quartz, de poussière de calcaire ou de fins cailloux. I.M.S.

↑ , Bol décoré de points gravés:

Bol décoré de points gravés :

collectionName : Proche-Orient
inventoryNb : O.04493
objectName :
objectTitle : Bol décoré de points gravés
objectCulture : Levant méridional
geography :
dating : ca. 3200 BC
material :
technique :
dimensions : Hauteur: 20 cm
legalRightOwner : Musées royaux d'art et d'histoire/Koninklijke Musea voor Kunst en Geschiedenis

objectDescription : Bab edh-Dhra’ est situé du côté jordanien de la mer Morte, à l’est de Ghor el Mzra’ et de la presqu’île de Lisan, à une altitude de 240 m sous le niveau de la mer. Il comprend, entre autres, une ville fortifiée qui se trouve sur la rive méridionale du Wadi Kerak et une vaste nécropole implantée au sud-ouest de l’établissement urbain. Ces deux emplacements sont datés du Bronze ancien. La tombe A 79 se composait de quatre chambres en puits contenant, outre des restes de squelettes, de nombreuses offrandes funéraires constituées essentiellement de vases en terre cuite. La céramique de cette période est toujours façonnée à la main et, parfois, achevée par une fine couche d’engobe de couleur rouge non poli. Elle se caractérise par diverses formes fonctionnelles, parmi lesquelles de profondes écuelles de format moyen à grand, des aiguières avec ou sans anses verticales, des jarres à provisions à anses en saillie, des cruchons miniatures et de petits plats peu profonds. Les coupes sont souvent pourvues de petites anses horizontales ou de petits boutons de terre qui étaient apposés à distance régulière sous le col du vase. Ces pièces pouvaient être décorées d’une ou de deux lignes de points imprimés par l’artisan dans l’argile encore humide, probablement à l’aide d’un morceau de roseau. Ce type d’ornementation apparaît également sur des cruches et est considéré comme typique de la céramique de Bab edh-Dhra’. Parfois, les coupes présentent un fond arrondi, contrairement aux cruches servant de conteneurs à liquides et dont les fonds étaient toujours aplanis pour stabiliser le récipient. Afin de faciliter la préhension des cruches et service ou de simplifier le puisage des liquides, elles étaient pourvues d’anses verticales. Sur la panse d’autres vases, c’étaient des anses horizontales en saillie qui étaient fixées. Pour améliorer la qualité de l’argile utilisée pour réaliser les récipients, les potiers ajoutaient du dégraissant dans la masse de terre. Il pouvait s’agir de sable, de quartz, de poussière de calcaire ou de fins cailloux. I.M.S.

↑ , Cruche à anse:

Cruche à anse :

collectionName : Proche-Orient
inventoryNb : O.04498
objectName :
objectTitle : Cruche à anse
objectCulture : Levant méridional
geography :
dating : ca. 3200 BC
material :
technique :
dimensions : Hauteur: 9,2 cm
legalRightOwner : Musées royaux d'art et d'histoire/Koninklijke Musea voor Kunst en Geschiedenis

objectDescription : Bab edh-Dhra’ est situé du côté jordanien de la mer Morte, à l’est de Ghor el Mzra’ et de la presqu’île de Lisan, à une altitude de 240 m sous le niveau de la mer. Il comprend, entre autres, une ville fortifiée qui se trouve sur la rive méridionale du Wadi Kerak et une vaste nécropole implantée au sud-ouest de l’établissement urbain. Ces deux emplacements sont datés du Bronze ancien. La tombe A 79 se composait de quatre chambres en puits contenant, outre des restes de squelettes, de nombreuses offrandes funéraires constituées essentiellement de vases en terre cuite. La céramique de cette période est toujours façonnée à la main et, parfois, achevée par une fine couche d’engobe de couleur rouge non poli. Elle se caractérise par diverses formes fonctionnelles, parmi lesquelles de profondes écuelles de format moyen à grand, des aiguières avec ou sans anses verticales, des jarres à provisions à anses en saillie, des cruchons miniatures et de petits plats peu profonds. Les coupes sont souvent pourvues de petites anses horizontales ou de petits boutons de terre qui étaient apposés à distance régulière sous le col du vase. Ces pièces pouvaient être décorées d’une ou de deux lignes de points imprimés par l’artisan dans l’argile encore humide, probablement à l’aide d’un morceau de roseau. Ce type d’ornementation apparaît également sur des cruches et est considéré comme typique de la céramique de Bab edh-Dhra’. Parfois, les coupes présentent un fond arrondi, contrairement aux cruches servant de conteneurs à liquides et dont les fonds étaient toujours aplanis pour stabiliser le récipient. Afin de faciliter la préhension des cruches et service ou de simplifier le puisage des liquides, elles étaient pourvues d’anses verticales. Sur la panse d’autres vases, c’étaient des anses horizontales en saillie qui étaient fixées. Pour améliorer la qualité de l’argile utilisée pour réaliser les récipients, les potiers ajoutaient du dégraissant dans la masse de terre. Il pouvait s’agir de sable, de quartz, de poussière de calcaire ou de fins cailloux. I.M.S.

↑ , Cruche à anse:

Cruche à anse :

collectionName : Proche-Orient
inventoryNb : O.04571
objectName :
objectTitle : Cruche à anse
objectCulture : Phénicienne
geography :
dating : 900 BC - 601 BC
material :
technique :
dimensions : Hauteur: 19,5 cm, Largeur: 11 cm
legalRightOwner : Musées royaux d'art et d'histoire/Koninklijke Musea voor Kunst en Geschiedenis

objectDescription : Red slip. Contrairement aux productions de vaisselle de luxe appréciées des mondes égyptien et grec, le répertoire céramique phénicien et punique se limite quasi exclusivement à des types purement fonctionnels destinés à un usage domestique, au transport et à la conservation de denrées alimentaires. De petites cruches qui copient des prototypes en métal, précieux ou non, et présentant souvent un engobe épais, poli et rouge, signalent la présence phénicienne dans le monde méditerranéen, au même titre que des lampes à huile à bec pincé pour y insérer une mèche. De même, les petits cruches « à bobèche » et les pièces bichromes comptent-elles parmi les types caractéristiques exportés jusqu’aux côtes atlantiques de l’Europe et de l’Afrique dans la vague de l’expansion phénicienne. Un récipient destiné à être suspendu rappelle encore vaguement les pyxides mycéniennes et illustre un ancien exemple de céramique cultuelle. Entre les 9e et 6e siècles, se développe un type de brûle-encens (thymiaterion) à double coupe, muni d’une petite assiette pour récolter les cendres, qui était utilisé dans les temples et les chapelles domestiques. E.G.

↑ , Cruche à bec pincé:

Cruche à bec pincé :

collectionName : Proche-Orient
inventoryNb : O.04572
objectName :
objectTitle : Cruche à bec pincé
objectCulture : Phénicienne
geography :
dating : 900 BC - 601 BC
material :
technique :
dimensions : Hauteur: 19,6 cm, Largeur: 11,6 cm
legalRightOwner : Musées royaux d'art et d'histoire/Koninklijke Musea voor Kunst en Geschiedenis

objectDescription : Red slip. Contrairement aux productions de vaisselle de luxe appréciées des mondes égyptien et grec, le répertoire céramique phénicien et punique se limite quasi exclusivement à des types purement fonctionnels destinés à un usage domestique, au transport et à la conservation de denrées alimentaires. De petites cruches qui copient des prototypes en métal, précieux ou non, et présentant souvent un engobe épais, poli et rouge, signalent la présence phénicienne dans le monde méditerranéen, au même titre que des lampes à huile à bec pincé pour y insérer une mèche. De même, les petits cruches « à bobèche » et les pièces bichromes comptent-elles parmi les types caractéristiques exportés jusqu’aux côtes atlantiques de l’Europe et de l’Afrique dans la vague de l’expansion phénicienne. Un récipient destiné à être suspendu rappelle encore vaguement les pyxides mycéniennes et illustre un ancien exemple de céramique cultuelle. Entre les 9e et 6e siècles, se développe un type de brûle-encens (thymiaterion) à double coupe, muni d’une petite assiette pour récolter les cendres, qui était utilisé dans les temples et les chapelles domestiques. E.G.

↑ , Pyxide décorée:

Pyxide décorée :

collectionName : Proche-Orient
inventoryNb : O.04640
objectName :
objectTitle : Pyxide décorée
objectCulture : Phénicienne
geography :
dating : 900 BC - 601 BC
material :
technique :
dimensions :
legalRightOwner : Musées royaux d'art et d'histoire/Koninklijke Musea voor Kunst en Geschiedenis

objectDescription : Contrairement aux productions de vaisselle de luxe appréciées des mondes égyptien et grec, le répertoire céramique phénicien et punique se limite quasi exclusivement à des types purement fonctionnels destinés à un usage domestique, au transport et à la conservation de denrées alimentaires. De petites cruches qui copient des prototypes en métal, précieux ou non, et présentant souvent un engobe épais, poli et rouge, signalent la présence phénicienne dans le monde méditerranéen, au même titre que des lampes à huile à bec pincé pour y insérer une mèche. De même, les petites cruches « à bobèche » et les pièces bichromes comptent-elles parmi les types caractéristiques exportés jusqu’aux côtes atlantiques de l’Europe et de l’Afrique dans la vague de l’expansion phénicienne. Un récipient destiné à être suspendu rappelle encore vaguement les pyxides mycéniennes et illustre un ancien exemple de céramique cultuelle. Entre les 9e et 6e siècles, se développe un type de brûle-encens (thymiaterion) à double coupe, muni d’une petite assiette pour récolter les cendres, qui était utilisé dans les temples et les chapelles domestiques. E.G.

↑ , Bol bichromatique:

Bol bichromatique :

collectionName : Proche-Orient
inventoryNb : O.04641
objectName :
objectTitle : Bol bichromatique
objectCulture : Phénicienne
geography :
dating : 900 BC - 601 BC
material :
technique :
dimensions :
legalRightOwner : Musées royaux d'art et d'histoire/Koninklijke Musea voor Kunst en Geschiedenis

objectDescription : Contrairement aux productions de vaisselle de luxe appréciées des mondes égyptien et grec, le répertoire céramique phénicien et punique se limite quasi exclusivement à des types purement fonctionnels destinés à un usage domestique, au transport et à la conservation de denrées alimentaires. De petites cruches qui copient des prototypes en métal, précieux ou non, et présentant souvent un engobe épais, poli et rouge, signalent la présence phénicienne dans le monde méditerranéen, au même titre que des lampes à huile à bec pincé pour y insérer une mèche. De même, les petits cruches « à bobèche » et les pièces bichromes comptent-elles parmi les types caractéristiques exportés jusqu’aux côtes atlantiques de l’Europe et de l’Afrique dans la vague de l’expansion phénicienne. Un récipient destiné à être suspendu rappelle encore vaguement les pyxides mycéniennes et illustre un ancien exemple de céramique cultuelle. Entre les 9e et 6e siècles, se développe un type de brûle-encens (thymiaterion) à double coupe, muni d’une petite assiette pour récolter les cendres, qui était utilisé dans les temples et les chapelles domestiques. E.G.

↑ , Hochet en terre cuite:

Hochet en terre cuite :

collectionName : Proche-Orient
inventoryNb : O.04643
objectName :
objectTitle : Hochet en terre cuite
objectCulture : syrien
geography :
dating : 1800 BC - 1600 BC
material :
technique :
dimensions : Hauteur: 10 cm
legalRightOwner : Musées royaux d'art et d'histoire/Koninklijke Musea voor Kunst en Geschiedenis

objectDescription : Les crécelles étaient utilisées dans la pratique du culte, à l’occasion de fêtes, pour se divertir au quotidien, mais aussi, comme de nos jours, pour apaiser les nouveau-nés et les bambins. Les formes évoquent souvent des fruits. E.G.

↑ , Statuette d'orant:

Statuette d'orant :

collectionName : Proche-Orient
inventoryNb : O.04653
objectName :
objectTitle : Statuette d'orant
objectCulture : syrien
geography :
dating : 2003 BC - 2000 BC
material :
technique :
dimensions : Hauteur: 15 cm, Largeur: 6 cm, Profondeur: 3,8 cm
legalRightOwner : Musées royaux d'art et d'histoire/Koninklijke Musea voor Kunst en Geschiedenis

objectDescription : Des figurines en terre cuite en forme de planche ou de colonne ont la tête affublée d’un oiseau, de lourdes perruques ou de couronnes. Étant donné qu’elles furent retrouvées plus souvent dans un contexte domestique que funéraire, il s’agit peut-être de statuettes votives déposées dans des chapelles domestiques. La prudence s’impose quant à les considérer comme de simples mortels : certaines figurines ont soit deux soit trois têtes et, de plus, le type de la « madone à l’enfant » pourrait se rapporter davantage à la grande déesse de la fécondité qu’à la simple mère de famille. La production de ce type d’objet semble s’être concentrée dans la région de l’Euphrate (à proximité de Tell Selenkahiyé), mais ce style bénéficia également d’une grande popularité sur les rives du Balikh et du Khabur. E.G.

↑ , Figurine de divinité ou d'orant:

Figurine de divinité ou d'orant :

collectionName : Proche-Orient
inventoryNb : O.04654
objectName :
objectTitle : Figurine de divinité ou d'orant
objectCulture : syrien
geography :
dating : 2300 BC - 2000 BC
material :
technique :
dimensions : Hauteur: 17 cm, Largeur: 7,2 cm, Profondeur: 3,7 cm
legalRightOwner : Musées royaux d'art et d'histoire/Koninklijke Musea voor Kunst en Geschiedenis

objectDescription : Des figurines en terre cuite en forme de planche ou de colonne ont la tête affublée d’un oiseau, de lourdes perruques ou de couronnes. Étant donné qu’elles furent retrouvées plus souvent dans un contexte domestique que funéraire, il s’agit peut-être de statuettes votives déposées dans des chapelles domestiques. La prudence s’impose quant à les considérer comme de simples mortels : certaines figurines ont soit deux soit trois têtes et, de plus, le type de la « madone à l’enfant » pourrait se rapporter davantage à la grande déesse de la fécondité qu’à la simple mère de famille. La production de ce type d’objet semble s’être concentrée dans la région de l’Euphrate (à proximité de Tell Selenkahiyé), mais ce style bénéficia également d’une grande popularité sur les rives du Balikh et du Khabur.E.G.

↑ , Figurine de divinité ou d'orant:

Figurine de divinité ou d'orant :

collectionName : Proche-Orient
inventoryNb : O.04657
objectName :
objectTitle : Figurine de divinité ou d'orant
objectCulture : syrien
geography :
dating : 2300 BC - 2000 BC
material :
technique :
dimensions : Hauteur: 12 cm
legalRightOwner : Musées royaux d'art et d'histoire/Koninklijke Musea voor Kunst en Geschiedenis

objectDescription : Des figurines en terre cuite en forme de planche ou de colonne ont la tête affublée d’un oiseau, de lourdes perruques ou de couronnes. Étant donné qu’elles furent retrouvées plus souvent dans un contexte domestique que funéraire, il s’agit peut-être de statuettes votives déposées dans des chapelles domestiques. La prudence s’impose quant à les considérer comme de simples mortels : certaines figurines ont soit deux soit trois têtes et, de plus, le type de la « madone à l’enfant » pourrait se rapporter davantage à la grande déesse de la fécondité qu’à la simple mère de famille. La production de ce type d’objet semble s’être concentrée dans la région de l’Euphrate (à proximité de Tell Selenkahiyé), mais ce style bénéficia également d’une grande popularité sur les rives du Balikh et du Khabur.E.G.

↑ , Figurine de divinité ou d'orant:

Figurine de divinité ou d'orant :

collectionName : Proche-Orient
inventoryNb : O.04658
objectName :
objectTitle : Figurine de divinité ou d'orant
objectCulture : syrien
geography :
dating : 2003 BC - 2000 BC
material :
technique :
dimensions :
legalRightOwner : Musées royaux d'art et d'histoire/Koninklijke Musea voor Kunst en Geschiedenis

objectDescription : Des figurines en terre cuite en forme de planche ou de colonne ont la tête affublée d’un oiseau, de lourdes perruques ou de couronnes. Étant donné qu’elles furent retrouvées plus souvent dans un contexte domestique que funéraire, il s’agit peut-être de statuettes votives déposées dans des chapelles domestiques. La prudence s’impose quant à les considérer comme de simples mortels : certaines figurines ont soit deux soit trois têtes et, de plus, le type de la « madone à l’enfant » pourrait se rapporter davantage à la grande déesse de la fécondité qu’à la simple mère de famille. La production de ce type d’objet semble s’être concentrée dans la région de l’Euphrate (à proximité de Tell Selenkahiyé), mais ce style bénéficia également d’une grande popularité sur les rives du Balikh et du Khabur. E.G.

↑ , Figurine de divinité ou d'orant:

Figurine de divinité ou d'orant :

collectionName : Proche-Orient
inventoryNb : O.04661
objectName :
objectTitle : Figurine de divinité ou d'orant
objectCulture : syrien
geography :
dating : 2003 BC - 2000 BC
material :
technique :
dimensions :
legalRightOwner : Musées royaux d'art et d'histoire/Koninklijke Musea voor Kunst en Geschiedenis

objectDescription : Des figurines en terre cuite en forme de planche ou de colonne ont la tête affublée d’un oiseau, de lourdes perruques ou de couronnes. Étant donné qu’elles furent retrouvées plus souvent dans un contexte domestique que funéraire, il s’agit peut-être de statuettes votives déposées dans des chapelles domestiques. La prudence s’impose quant à les considérer comme de simples mortels : certaines figurines ont soit deux soit trois têtes et, de plus, le type de la « madone à l’enfant » pourrait se rapporter davantage à la grande déesse de la fécondité qu’à la simple mère de famille. La production de ce type d’objet semble s’être concentrée dans la région de l’Euphrate (à proximité de Tell Selenkahiyé), mais ce style bénéficia également d’une grande popularité sur les rives du Balikh et du Khabur. E.G.

↑ , Figurine de divinité ou d'orant:

Figurine de divinité ou d'orant :

collectionName : Proche-Orient
inventoryNb : O.04662
objectName :
objectTitle : Figurine de divinité ou d'orant
objectCulture : syrien
geography :
dating : 2003 BC - 2000 BC
material :
technique :
dimensions : Hauteur: 11 cm, Largeur: 3 cm, Profondeur: 3 cm
legalRightOwner : Musées royaux d'art et d'histoire/Koninklijke Musea voor Kunst en Geschiedenis

objectDescription : Des figurines en terre cuite en forme de planche ou de colonne ont la tête affublée d’un oiseau, de lourdes perruques ou de couronnes. Étant donné qu’elles furent retrouvées plus souvent dans un contexte domestique que funéraire, il s’agit peut-être de statuettes votives déposées dans des chapelles domestiques. La prudence s’impose quant à les considérer comme de simples mortels : certaines figurines ont soit deux soit trois têtes et, de plus, le type de la « madone à l’enfant » pourrait se rapporter davantage à la grande déesse de la fécondité qu’à la simple mère de famille. La production de ce type d’objet semble s’être concentrée dans la région de l’Euphrate (à proximité de Tell Selenkahiyé), mais ce style bénéficia également d’une grande popularité sur les rives du Balikh et du Khabur. E.G.

↑ , Figurine de divinité ou d'orant:

Figurine de divinité ou d'orant :

collectionName : Proche-Orient
inventoryNb : O.04663
objectName :
objectTitle : Figurine de divinité ou d'orant
objectCulture : syrien
geography :
dating : 2300 BC - 2000 BC
material :
technique :
dimensions : Hauteur: 11,7 cm, Largeur: 4 cm, Profondeur: 2,7 cm
legalRightOwner : Musées royaux d'art et d'histoire/Koninklijke Musea voor Kunst en Geschiedenis

objectDescription : Des figurines en terre cuite en forme de planche ou de colonne ont la tête affublée d’un oiseau, de lourdes perruques ou de couronnes. Étant donné qu’elles furent retrouvées plus souvent dans un contexte domestique que funéraire, il s’agit peut-être de statuettes votives déposées dans des chapelles domestiques. La prudence s’impose quant à les considérer comme de simples mortels : certaines figurines ont soit deux soit trois têtes et, de plus, le type de la « madone à l’enfant » pourrait se rapporter davantage à la grande déesse de la fécondité qu’à la simple mère de famille. La production de ce type d’objet semble s’être concentrée dans la région de l’Euphrate (à proximité de Tell Selenkahiyé), mais ce style bénéficia également d’une grande popularité sur les rives du Balikh et du Khabur. E.G.

↑ , Figurine de divinité ou d'orant:

Figurine de divinité ou d'orant :

collectionName : Proche-Orient
inventoryNb : O.04664
objectName :
objectTitle : Figurine de divinité ou d'orant
objectCulture : syrien
geography :
dating : 2300 BC - 2000 BC
material :
technique :
dimensions :
legalRightOwner : Musées royaux d'art et d'histoire/Koninklijke Musea voor Kunst en Geschiedenis

objectDescription : Des figurines en terre cuite en forme de planche ou de colonne ont la tête affublée d’un oiseau, de lourdes perruques ou de couronnes. Étant donné qu’elles furent retrouvées plus souvent dans un contexte domestique que funéraire, il s’agit peut-être de statuettes votives déposées dans des chapelles domestiques. La prudence s’impose quant à les considérer comme de simples mortels : certaines figurines ont soit deux soit trois têtes et, de plus, le type de la « madone à l’enfant » pourrait se rapporter davantage à la grande déesse de la fécondité qu’à la simple mère de famille. La production de ce type d’objet semble s’être concentrée dans la région de l’Euphrate (à proximité de Tell Selenkahiyé), mais ce style bénéficia également d’une grande popularité sur les rives du Balikh et du Khabur. E.G.

↑ , Figurine de divinité ou d'orant:

Figurine de divinité ou d'orant :

collectionName : Proche-Orient
inventoryNb : O.04665
objectName :
objectTitle : Figurine de divinité ou d'orant
objectCulture : syrien
geography :
dating : 2300 BC - 2000 BC
material :
technique :
dimensions : Hauteur: 21,8 cm
legalRightOwner : Musées royaux d'art et d'histoire/Koninklijke Musea voor Kunst en Geschiedenis

objectDescription : Des figurines en terre cuite en forme de planche ou de colonne ont la tête affublée d’un oiseau, de lourdes perruques ou de couronnes. Étant donné qu’elles furent retrouvées plus souvent dans un contexte domestique que funéraire, il s’agit peut-être de statuettes votives déposées dans des chapelles domestiques. La prudence s’impose quant à les considérer comme de simples mortels : certaines figurines ont soit deux soit trois têtes et, de plus, le type de la « madone à l’enfant » pourrait se rapporter davantage à la grande déesse de la fécondité qu’à la simple mère de famille. La production de ce type d’objet semble s’être concentrée dans la région de l’Euphrate (à proximité de Tell Selenkahiyé), mais ce style bénéficia également d’une grande popularité sur les rives du Balikh et du Khabur. E.G

↑ , Figurine de divinité ou d'orant:

Figurine de divinité ou d'orant :

collectionName : Proche-Orient
inventoryNb : O.04680
objectName :
objectTitle : Figurine de divinité ou d'orant
objectCulture : syrien
geography :
dating : 2300 BC - 2000 BC
material :
technique :
dimensions : Hauteur: 16 cm
legalRightOwner : Musées royaux d'art et d'histoire/Koninklijke Musea voor Kunst en Geschiedenis

objectDescription : Des figurines en terre cuite en forme de planche ou de colonne ont la tête affublée d’un oiseau, de lourdes perruques ou de couronnes. Étant donné qu’elles furent retrouvées plus souvent dans un contexte domestique que funéraire, il s’agit peut-être de statuettes votives déposées dans des chapelles domestiques. La prudence s’impose quant à les considérer comme de simples mortels : certaines figurines ont soit deux soit trois têtes et, de plus, le type de la « madone à l’enfant » pourrait se rapporter davantage à la grande déesse de la fécondité qu’à la simple mère de famille. La production de ce type d’objet semble s’être concentrée dans la région de l’Euphrate (à proximité de Tell Selenkahiyé), mais ce style bénéficia également d’une grande popularité sur les rives du Balikh et du Khabur. E.G.

↑ , Déesse de la fécondité:

Déesse de la fécondité :

collectionName : Proche-Orient
inventoryNb : O.04683
objectName :
objectTitle : Déesse de la fécondité
objectCulture : syrien
geography :
dating : 1850 BC - 1800 BC
material :
technique :
dimensions : Hauteur: 15,5 cm, Largeur: 5,4 cm, Profondeur: 2,9 cm
legalRightOwner : Musées royaux d'art et d'histoire/Koninklijke Musea voor Kunst en Geschiedenis

objectDescription : de déesse-mère en forme de violon. Dans la région située à l’est de l’Oronte, au croisement des voies commerciales Nord-Sud et des routes caravanières allant de la Méditerranée à l’Euphrate, l’art de la terre cuite connut un développement dynamique dans le courant du premier quart du 2e millénaire. Plusieurs ateliers des royaumes de Yamkhad au nord (avec Alep pour capitale), de Qatna (Tell Mischrifé) au sud et d’Ebla (Tell Mardikh) entre les deux, développèrent des modèles standards rehaussés d’accents locaux dans chacune des régions. Ce groupe présente des femmes nues au corps en forme de violon, uniquement parées de chaînes au cou, de cordons à amulettes croisés et portant, parfois, une sorte de string dissimulant le sexe. Étant donné que ces accessoires sont mentionnés dans le mythe sumérien de « La descente d’Inanna aux Enfers », ces figurines ont souvent été identifiées comme représentant Inanna/Ishtar ou Astarté, bien qu’il paraisse plus prudent d’y reconnaître une allusion générale à la déesse de la fécondité. Des prototypes de cette production, qui fut à son tour reprise par des artistes chypriotes, sont connus en Élam (Suse). E.G.

↑ , Figurine de divinité ou d'orant:

Figurine de divinité ou d'orant :

collectionName : Proche-Orient
inventoryNb : O.04684
objectName :
objectTitle : Figurine de divinité ou d'orant
objectCulture : syrien
geography :
dating : Inconnue
material :
technique :
dimensions : Hauteur: 11,2 cm, Largeur: 6,2 cm, Profondeur: 1,9 cm
legalRightOwner : Musées royaux d'art et d'histoire/Koninklijke Musea voor Kunst en Geschiedenis

objectDescription : Des figurines en terre cuite en forme de planche ou de colonne ont la tête affublée d’un oiseau, de lourdes perruques ou de couronnes. Étant donné qu’elles furent retrouvées plus souvent dans un contexte domestique que funéraire, il s’agit peut-être de statuettes votives déposées dans des chapelles domestiques. La prudence s’impose quant à les considérer comme de simples mortels : certaines figurines ont soit deux soit trois têtes et, de plus, le type de la « madone à l’enfant » pourrait se rapporter davantage à la grande déesse de la fécondité qu’à la simple mère de famille. La production de ce type d’objet semble s’être concentrée dans la région de l’Euphrate (à proximité de Tell Selenkahiyé), mais ce style bénéficia également d’une grande popularité sur les rives du Balikh et du Khabur. E.G.

↑ , Figurine de divinité ou d'orant:

Figurine de divinité ou d'orant :

collectionName : Proche-Orient
inventoryNb : O.04685
objectName :
objectTitle : Figurine de divinité ou d'orant
objectCulture : syrien
geography :
dating : 2300 BC - 2000 BC
material :
technique :
dimensions : Hauteur: 31,1 cm, Largeur: 5 cm, Profondeur: 2,6 cm
legalRightOwner : Musées royaux d'art et d'histoire/Koninklijke Musea voor Kunst en Geschiedenis

objectDescription : Mère et enfant. Des figurines en terre cuite en forme de planche ou de colonne ont la tête affublée d’un oiseau, de lourdes perruques ou de couronnes. Étant donné qu’elles furent retrouvées plus souvent dans un contexte domestique que funéraire, il s’agit peut-être de statuettes votives déposées dans des chapelles domestiques. La prudence s’impose quant à les considérer comme de simples mortels : certaines figurines ont soit deux soit trois têtes et, de plus, le type de la « madone à l’enfant » pourrait se rapporter davantage à la grande déesse de la fécondité qu’à la simple mère de famille. La production de ce type d’objet semble s’être concentrée dans la région de l’Euphrate (à proximité de Tell Selenkahiyé), mais ce style bénéficia également d’une grande popularité sur les rives du Balikh et du Khabur. E.G.

↑ , Figurine de divinité ou d'orant:

Figurine de divinité ou d'orant :

collectionName : Proche-Orient
inventoryNb : O.04686
objectName :
objectTitle : Figurine de divinité ou d'orant
objectCulture : syrien
geography :
dating : 2300 BC - 2000 BC
material :
technique :
dimensions : Hauteur: 12,2 cm, Largeur: 5,6 cm, Profondeur: 3 cm
legalRightOwner : Musées royaux d'art et d'histoire/Koninklijke Musea voor Kunst en Geschiedenis

objectDescription : Des figurines en terre cuite en forme de planche ou de colonne ont la tête affublée d’un oiseau, de lourdes perruques ou de couronnes. Étant donné qu’elles furent retrouvées plus souvent dans un contexte domestique que funéraire, il s’agit peut-être de statuettes votives déposées dans des chapelles domestiques. La prudence s’impose quant à les considérer comme de simples mortels : certaines figurines ont soit deux soit trois têtes et, de plus, le type de la « madone à l’enfant » pourrait se rapporter davantage à la grande déesse de la fécondité qu’à la simple mère de famille. La production de ce type d’objet semble s’être concentrée dans la région de l’Euphrate (à proximité de Tell Selenkahiyé), mais ce style bénéficia également d’une grande popularité sur les rives du Balikh et du Khabur. E.G.

↑ , Figurine de divinité ou d'orant:

Figurine de divinité ou d'orant :

collectionName : Proche-Orient
inventoryNb : O.04688
objectName :
objectTitle : Figurine de divinité ou d'orant
objectCulture : syrien
geography :
dating : 2300 BC - 2000 BC
material :
technique :
dimensions : Hauteur: 20,1 cm, Largeur: 5,8 cm, Profondeur: 4,1 cm
legalRightOwner : Musées royaux d'art et d'histoire/Koninklijke Musea voor Kunst en Geschiedenis

objectDescription : Des figurines en terre cuite en forme de planche ou de colonne ont la tête affublée d’un oiseau, de lourdes perruques ou de couronnes. Étant donné qu’elles furent retrouvées plus souvent dans un contexte domestique que funéraire, il s’agit peut-être de statuettes votives déposées dans des chapelles domestiques. La prudence s’impose quant à les considérer comme de simples mortels : certaines figurines ont soit deux soit trois têtes et, de plus, le type de la « madone à l’enfant » pourrait se rapporter davantage à la grande déesse de la fécondité qu’à la simple mère de famille. La production de ce type d’objet semble s’être concentrée dans la région de l’Euphrate (à proximité de Tell Selenkahiyé), mais ce style bénéficia également d’une grande popularité sur les rives du Balikh et du Khabur. E.G.

↑ , Figurine de divinité ou d'orant:

Figurine de divinité ou d'orant :

collectionName : Proche-Orient
inventoryNb : O.04690
objectName :
objectTitle : Figurine de divinité ou d'orant
objectCulture : syrien
geography :
dating : 2300 BC - 2000 BC
material :
technique :
dimensions : Hauteur: 21,8 cm, Largeur: 7,2 cm, Profondeur: 2,2 cm
legalRightOwner : Musées royaux d'art et d'histoire/Koninklijke Musea voor Kunst en Geschiedenis

objectDescription : Des figurines en terre cuite en forme de planche ou de colonne ont la tête affublée d’un oiseau, de lourdes perruques ou de couronnes. Étant donné qu’elles furent retrouvées plus souvent dans un contexte domestique que funéraire, il s’agit peut-être de statuettes votives déposées dans des chapelles domestiques. La prudence s’impose quant à les considérer comme de simples mortels : certaines figurines ont soit deux soit trois têtes et, de plus, le type de la « madone à l’enfant » pourrait se rapporter davantage à la grande déesse de la fécondité qu’à la simple mère de famille. La production de ce type d’objet semble s’être concentrée dans la région de l’Euphrate (à proximité de Tell Selenkahiyé), mais ce style bénéficia également d’une grande popularité sur les rives du Balikh et du Khabur. E.G.

↑ , Tête schématique:

Tête schématique :

collectionName : Proche-Orient
inventoryNb : O.04719
objectName :
objectTitle : Tête schématique
objectCulture : Arabie du Sud
geography :
dating : 100 BC - 1 BC
material :
technique :
dimensions : Hauteur: 19,4 cm, Largeur: 10,5 cm, Profondeur: 3,2 cm
legalRightOwner : Musées royaux d'art et d'histoire/Koninklijke Musea voor Kunst en Geschiedenis

objectDescription : Ce type de plaque funéraire aplanie, au rendu souvent minimaliste de la physionomie, comme c’est le cas ici, était incorporée dans des murs et des stèles. E.G.

↑ , Hochet en terre cuite:

Hochet en terre cuite :

collectionName : Proche-Orient
inventoryNb : O.04725
objectName :
objectTitle : Hochet en terre cuite
objectCulture : syrien
geography :
dating : 1800 BC - 1600 BC
material :
technique :
dimensions :
legalRightOwner : Musées royaux d'art et d'histoire/Koninklijke Musea voor Kunst en Geschiedenis

objectDescription : Les crécelles étaient utilisées dans la pratique du culte, à l’occasion de fêtes, pour se divertir au quotidien, mais aussi, comme de nos jours, pour apaiser les nouveau-nés et les bambins. Les formes évoquent souvent des fruits. E.G.

↑ , Hochet en terre cuite:

Hochet en terre cuite :

collectionName : Proche-Orient
inventoryNb : O.04726
objectName :
objectTitle : Hochet en terre cuite
objectCulture : syrien
geography :
dating : 1800 BC - 1600 BC
material :
technique :
dimensions : Hauteur: 10 cm
legalRightOwner : Musées royaux d'art et d'histoire/Koninklijke Musea voor Kunst en Geschiedenis

objectDescription : Les crécelles étaient utilisées dans la pratique du culte, à l’occasion de fêtes, pour se divertir au quotidien, mais aussi, comme de nos jours, pour apaiser les nouveau-nés et les bambins. Les formes évoquent souvent des fruits. E.G.

↑ , Hochet en terre cuite:

Hochet en terre cuite :

collectionName : Proche-Orient
inventoryNb : O.04728
objectName :
objectTitle : Hochet en terre cuite
objectCulture : syrien
geography :
dating : 1800 BC - 1600 BC
material :
technique :
dimensions : Hauteur: 10,8 cm
legalRightOwner : Musées royaux d'art et d'histoire/Koninklijke Musea voor Kunst en Geschiedenis

objectDescription : Les crécelles étaient utilisées dans la pratique du culte, à l’occasion de fêtes, pour se divertir au quotidien, mais aussi, comme de nos jours, pour apaiser les nouveau-nés et les bambins. Les formes évoquent souvent des fruits, le manche d’un exemplaire se terminant par une tête d’animal. E.G.

↑ , Modèle de chariot de guerre:

Modèle de chariot de guerre :

collectionName : Proche-Orient
inventoryNb : O.04753
objectName :
objectTitle : Modèle de chariot de guerre
objectCulture : Mésopotamienne
geography :
dating : 1900 BC - 1550 BC Inconnue
material :
technique :
dimensions : Hauteur: 13,5 cm, Largeur: 6 cm
legalRightOwner : Musées royaux d'art et d'histoire/Koninklijke Musea voor Kunst en Geschiedenis

objectDescription : Le tablier des modèles de chariots de guerre, très populaires en Mésopotamie comme en Syrie, est souvent décoré de représentations estampées de divinités guerrières. S’agit-il ici de Zababa, dieu suprême du panthéon de la cité de Kish et de son alter ego Ishtar, ou plutôt d’autres divinités comme Amurru ou même le Baal syrien ? E.G.

↑ , Tueur de dragon:

Tueur de dragon :

collectionName : Proche-Orient
inventoryNb : O.04755
objectName :
objectTitle : Tueur de dragon
objectCulture : syrien
geography :
dating : 850 BC - 701 BC
material :
technique :
dimensions : Hauteur: 8,4 cm, Largeur: 4,2 cm, Profondeur: 0,8 cm
legalRightOwner : Musées royaux d'art et d'histoire/Koninklijke Musea voor Kunst en Geschiedenis

objectDescription : Il s’agit ici de l’interprétation araméenne d’un motif phénicien montrant un fronton triangulaire à palmette entouré d’une frise végétale. Le nom de la baie située au nord de Beyrouth (Saint-Georges) et celui d’une mosquée locale rappellent tous deux la popularité d’un mythe phénicien qui eut un écho dans le texte égyptien « Inaros et les griffons ». Ce thème est souvent illustré dans l’art phénicien sur des coupes en métal précieux, des sceaux et des plaquettes de mobilier en ivoire. L’interprétation araméenne n’atteint pas le réalisme et la dynamique de ces compositions; les formes grossières ont été noyées dans le cadre figuratif maladroit. La double couronne royale posée sur la tête du héros ressemble à un pastiche de l’art égyptien, pour paraphraser l’expression utilisée par l’historien d’art Henri Frankfort dans une étude des couronnes de ce type apparaissant sur des ivoires d’Arslan Tash. E.G.

↑ , Stèle qatabanite:

Stèle qatabanite :

collectionName : Proche-Orient
inventoryNb : O.04793
objectName :
objectTitle : Stèle qatabanite
objectCulture : Arabie du Sud
geography :
dating : AD 0 - AD 100
material :
technique :
dimensions : Hauteur: 31 cm, Largeur: 20,5 cm, Profondeur: 4,7 cm
legalRightOwner : Musées royaux d'art et d'histoire/Koninklijke Musea voor Kunst en Geschiedenis

objectDescription : D’après l’inscription qatabanite, cette stèle marquait la tombe de ‘Ahram des (clans) Darhān et Yagur. Au début du 1er siècle, les stèles funéraires étaient souvent combinées à une tête de taureau ou à un protome en haut-relief (symbole du dieu lunaire). Étant donné que ces stèles étaient toujours placées dans des niches de temples, outre leur fonction funéraire, elles devaient également être utilisées dans le cadre des rituels. Certains chercheurs y reconnaissent les stèles m‘mr qui sont mentionnées dans les inscriptions. En qatabanite, le patronyme ‘Ahram est connu comme nom propre, tandis qu’en minéen, il apparaît aussi comme un nom de clan. La stèle a été réalisée dans un bel albâtre opaque et veiné, laissant penser qu’une ancienne table de libations a été réutilisée. E.G.

↑ , Pin's:

Pin's :

collectionName : Voitures hippomobiles
inventoryNb : TR.1289.1-31
objectName :
objectTitle : Pin's
objectCulture :
geography :
dating :
material :
technique :
dimensions : Diamètre: 3,6 cm
legalRightOwner : Musées royaux d'art et d'histoire/Koninklijke Musea voor Kunst en Geschiedenis

objectDescription : Provenance et dimensions variables; montées sur broche, sur épingle ou sur bouton, à décor le plus souvent héraldique..

↑ , Assiette creuse:

Assiette creuse :

collectionName : Chine
inventoryNb : V.1146
objectName :
objectTitle : Assiette creuse
objectCulture :
geography :
dating : AD 1725 - AD 1735
material :
technique :
dimensions :
legalRightOwner : Musées royaux d'art et d'histoire/Koninklijke Musea voor Kunst en Geschiedenis

objectDescription : Porcelaine dite "coquille d'oeuf" dont le revers est revêtu d'un émail carminé. Le décor se distingue par l'extrême méticulosité dans l'exécution et par son large bord à fond d'émail bleu à rinceaux dorés dont le contraste met en valeur le motif central. Là, une masse de fleurs, dont des lotus et des pivoines, flotte sur un étang aux eaux vert pâle ridées par la brise, tandis que deux papillons virevoltent dans un ciel dégagé. Si, par un jeu de mots, il symbolise l'homme de 70 ans, le papillon évoque plus souvent l'homme amoureux, car il va boire au calice des fleurs figurant la femme.

↑ , Daruma qui s'étire en baillant:

Daruma qui s'étire en baillant :

collectionName : Japon
inventoryNb : VDB.251
objectName :
objectTitle : Daruma qui s'étire en baillant
objectCulture :
geography :
dating : ca. AD 1775 - AD 1800
material :
technique :
dimensions :
legalRightOwner : Musées royaux d'art et d'histoire/Koninklijke Musea voor Kunst en Geschiedenis

objectDescription : Les sculpteurs de netsuke ont très souvent traité avec humour, voire irrévérence, le très vénéré patriarche du bouddhisme Zen, Daruma (en sanskrit, Bodhidharma). D'après la tradition, quand Daruma fut arrivé dans la capitale chinoise de Luoyang en 520, il se retira devant un mur pour une méditation qui allait durer neuf ans. Mais un jour, il ne put résister au sommeil ; à son réveil, il voulut éviter de s'endormir à nouveau et se coupa les paupières, lesquelles tombèrent sur le sol et se transformèrent en plants de thé. Cette longue méditation assise lui aurait complètement atrophié les jambes. Aussi, l'a-t-on souvent représenté au Japon, ayant le corps en forme de boule et dépourvu de membres.
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