parfois


↑ objectName, objectTitle:

objectTitle :

collectionName : collectionName
inventoryNb : inventoryNb
objectName : objectName
objectTitle : objectTitle
objectCulture : objectCulture
geography : geography
dating : dating
material : material
technique : technique
dimensions : dimensions
legalRightOwner : legalRightOwner

objectDescription : objectDescription

↑ , :

:

collectionName : Instruments à percussion
inventoryNb : 1975.027
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geography :
dating : AD 1664
material :
technique :
dimensions :
legalRightOwner : Musées royaux d'art et d'histoire/Koninklijke Musea voor Kunst en Geschiedenis

objectDescription : Pendant plus de trois siècles cette cloche fut l’âme du petit village d’Avignon-lès-Saint-Claude (Jura), protégeant de son tintement les alpages et forêts environnants. Fondue en 1664, elle était logée dans le clocher d’une chapelle édifiée quelques années plus tôt (1649). La peste ayant frappé la région par deux fois (1629 et 1636), cet édifice fut érigé en remerciement pour la préservation du village lors de ces deux épidémies, et consacré à Saint-Roch, protecteur contre la peste, comme le confirme l’inscription « ◊ STE ROCHAE ORA PRO NOBIS», posée sur la cloche elle-même. La robe de l’instrument porte plusieurs images : une grande croix décorée de rinceaux végétaux, un calvaire à l’esthétique très baroque surmonté du soleil et de la lune, une effigie de la Vierge Marie, de saint Roch lui-même avec son chien, ainsi que d’un évêque bénissant, aux pieds duquel apparaît un enfant. Il s’agit de saint Claude, qui avait en effet la réputation de ressusciter les enfants morts-nés, le temps d’un baptême. Fêlée, cette cloche fut remplacée par une nouvelle en 1975. C’est à cette époque qu’elle intégra les collections de notre musée. L’auteur de notre instrument est le fondeur – dit aussi « saintier » - Michel Jolly, du village de Breuvannes-en-Bassigny, où ses quatre fils continueront le métier de leur père. À l’époque le Bassigny (région de Langres) est en effet un vivier de fondeurs de cloches itinérants réputés. Dès le XVIème siècle, du printemps à l’automne, ils parcourent l’Est de la France et les cantons limitrophes de la Suisse, installant pour un temps leur atelier là où leurs services sont demandés. Les ateliers fixes n’apparaîtront en effet que tard dans le XIXème siècle. À l’époque qui nous intéresse les cloches sont donc fondues sur place, devant l’église ou parfois même à l’intérieur, comme en témoignent les deux moules encore visible dans le sous-sol de la toute proche église jurassienne de Saint-Lupicin. La fonte d’une cloche est un événement majeur dans la vie d’une communauté villageoise, faisant l’objet d’un contrat entre le saintier et la paroisse. Les documents conservés témoignent souvent de l’enthousiasme que cela suscite et donnent parfois des précisions étonnantes sur les quantités de matériaux mis à disposition du fondeur par les commanditaires : jusqu’à 30 charrettes de terre et de pierre pour la réalisation du moule et du fourneau, jusqu’à 30 charrettes de bois et de charbon pour le combustible, l’engagement de manœuvres pour pétrir la terre, fendre le bois, transporter la cloche finie dans le clocher, … Le fondeur est donc souvent entouré de l’aide enthousiaste de la population locale. Une fois le moule réalisé et enfoui dans une fosse sous-terraine soigneusement comblée , le métal est chauffé dans le four. Il s’agit d’un alliage particulier appelé « airain », constitué de cuivre (80 %) et d’étain (20 %), même si chaque fondeur peut avoir ses « petits secrets », entretenant soigneusement le mystère autour de la fonte. Arrivé à 1200°, le métal se liquéfie et la trappe du four est alors ouverte. Tel un serpent de feu, la coulée incandescente s’échappe par un canal creusé jusqu’au moule et disparaît dans la terre. Cela ne dure qu’un instant, et les fondeurs d’autrefois aimaient faire cette opération à la nuit tombée, rendant l’événement plus magique et spectaculaire encore aux yeux de la population émerveillée, assemblée pour assister au « miracle ». Une fois démoulée et lavée, la cloche est ensuite consacrée – le langage populaire la dit « baptisée ». Elle reçoit en effet un prénom (celle-ci se nomme Marie-Joseph), ainsi qu’un parrain et une marraine, dont les noms sont ici « F. IAILLO» et « DENISE COLIN» , patronymes attestés en Avignon-lès-Saint-Claude à cette époque, sans qu’on sache précisément de qui il s’agit ici. Notons toutefois que le nom de Jaillot est important pour cette bourgade, qui donna naissance à deux frères dont la carrière à la cour de Louis XIV fut remarquable : Hubert (1640-1712) y fut un géographe de premier ordre et Pierre Simon (1631-1681) un sculpteur sur ivoire très réputé. D’autres Jaillot du village firent carrière à Paris. Dans un bourg comptant à l’époque à peine 120 habitants, sans doute ont-ils un lien de parenté avec le parrain de notre instrument. Reste à trouver lequel. Stéphane Colin Inscription: + IHS MAR JOSEPH ◊ STE ROCHAE ORA PRO NOBIS ◊1664 ◊ + HON ◊F◊ IAILLO FILӠ DE FEUT ◊P◊ IAILLO DAVIGNON BOURGOIS DE ST CLAUDE PARAIN + ◊ ET DENISE COLIN FEMME DHON IACQUE WILLERME DUDICT AVIGNON BOURGOIS DE ST CLAUDE MARAINE ◊

↑ , Pot biconique gris:

Pot biconique gris :

collectionName : Mérovingiens
inventoryNb : B000931-004
objectName :
objectTitle : Pot biconique gris
objectCulture : Mérovingienne
geography :
dating : AD 501 - AD 700
material :
technique :
dimensions : Hauteur: 13 cm
legalRightOwner : Musées royaux d'art et d'histoire/Koninklijke Musea voor Kunst en Geschiedenis

objectDescription : Ce pot biconique provient d’un cimetière datant du VIe-VIIe siècle et trouvé au sommet des ruines d’une villa Romaine au Champ de Saint-Anne, Anderlecht. Cette nécropole, fouillée à la fin du XIXe et au début du XXe siècle par la Société royale d’Archéologie de Bruxelles, contenait probablement quelque 300 tombes. Les défunts étaient orientés est-ouest et enterrés dans des sépultures densément implantées. Les tombes, dont le mobilier se constituait de plusieurs objets, étaient parfois pourvues d’un cercueil en bois ou d’un enclos en pierre.

↑ , Pot à panse arrondie et base étroite:

Pot à panse arrondie et base étroite :

collectionName : Mérovingiens
inventoryNb : B000956-002
objectName :
objectTitle : Pot à panse arrondie et base étroite
objectCulture : Mérovingienne
geography :
dating : AD 501 - AD 700
material :
technique :
dimensions : Hauteur: 11,5 cm
legalRightOwner : Musées royaux d'art et d'histoire/Koninklijke Musea voor Kunst en Geschiedenis

objectDescription : Ce pot à panse arrondie provient d’un cimetière datant du VIe-VIIe siècle et trouvé au sommet des ruines d’une villa Romaine au Champ de Saint-Anne, Anderlecht. Cette nécropole, fouillée à la fin du XIXe et au début du XXe siècle par la Société royale d’Archéologie de Bruxelles, contenait probablement quelque 300 tombes. Les défunts étaient orientés est-ouest et enterrés dans des sépultures densément implantées. Les tombes, dont le mobilier se constituait de plusieurs objets, étaient parfois pourvues d’un cercueil en bois ou d’un enclos en pierre.

↑ , Pot à panse arrondie et col ourlé:

Pot à panse arrondie et col ourlé :

collectionName : Mérovingiens
inventoryNb : B000956-005
objectName :
objectTitle : Pot à panse arrondie et col ourlé
objectCulture : Mérovingienne
geography :
dating : AD 500 - AD 600
material :
technique :
dimensions : Hauteur: 11 cm
legalRightOwner : Musées royaux d'art et d'histoire/Koninklijke Musea voor Kunst en Geschiedenis

objectDescription : Ce pot à panse arrondie était accompagné par quelques autres vases dans la tombe 18, datant du VIe siècle. La tombe contenait également trois pots biconiques. L’objet en question provient d’un cimetière datant du VIe-VIIe siècle et trouvé au sommet des ruines d’une villa Romaine au Champ de Saint-Anne, Anderlecht. Cette nécropole, fouillée à la fin du XIXe et au début du XXe siècle par la Société royale d’Archéologie de Bruxelles, contenait probablement quelque 300 tombes. Les défunts étaient orientés est-ouest et enterrés dans des sépultures densément implantées. Les tombes, dont le mobilier se constituait de plusieurs objets, étaient parfois pourvues d’un cercueil en bois ou d’un enclos en pierre.

↑ , Pot biconique à Pâte gris foncé et lignes incisées parallèles:

Pot biconique à Pâte gris foncé et lignes incisées parallèles :

collectionName : Mérovingiens
inventoryNb : B000956-006
objectName :
objectTitle : Pot biconique à Pâte gris foncé et lignes incisées parallèles
objectCulture : Mérovingienne
geography :
dating : AD 500 - AD 600
material :
technique :
dimensions : Hauteur: 14 cm
legalRightOwner : Musées royaux d'art et d'histoire/Koninklijke Musea voor Kunst en Geschiedenis

objectDescription : Ce pot biconique était accompagné par quelques autres vases dans la tombe 18, datant du VIe siècle. La tombe contenait également deux autres pots biconiques et un petit vase à panse arrondie. L’objet en question provient d’un cimetière datant du VIe-VIIe siècle et trouvé au sommet des ruines d’une villa Romaine au Champ de Saint-Anne, Anderlecht. Cette nécropole, fouillée à la fin du XIXe et au début du XXe siècle par la Société royale d’Archéologie de Bruxelles, contenait probablement quelque 300 tombes. Les défunts étaient orientés est-ouest et enterrés dans des sépultures densément implantées. Les tombes, dont le mobilier se constituait de plusieurs objets, étaient parfois pourvues d’un cercueil en bois ou d’un enclos en pierre.

↑ , Pot biconique à pâte brune et lignes incisées ondulées:

Pot biconique à pâte brune et lignes incisées ondulées :

collectionName : Mérovingiens
inventoryNb : B000956-010
objectName :
objectTitle : Pot biconique à pâte brune et lignes incisées ondulées
objectCulture : Mérovingienne
geography :
dating : AD 500 - AD 550
material :
technique :
dimensions : Hauteur: 8 cm
legalRightOwner : Musées royaux d'art et d'histoire/Koninklijke Musea voor Kunst en Geschiedenis

objectDescription : Ce pot biconique a été trouvé parmi d’autres objets funéraires (dont une boucle, un couteau et des ciseaux) dans la tombe 35, datant de la première moitié du VIe siècle. C'était probablement la tombe d'un homme. L’objet en question provient d’un cimetière datant du VIe-VIIe siècle et trouvé au sommet des ruines d’une villa Romaine au Champ de Saint-Anne, Anderlecht. Cette nécropole, fouillée à la fin du XIXe et au début du XXe siècle par la Société royale d’Archéologie de Bruxelles, contenait probablement quelque 300 tombes. Les défunts étaient orientés est-ouest et enterrés dans des sépultures densément implantées. Les tombes, dont le mobilier se constituait de plusieurs objets, étaient parfois pourvues d’un cercueil en bois ou d’un enclos en pierre.

↑ , Pot biconique à pâte gris brun et lignes incisées ondulées:

Pot biconique à pâte gris brun et lignes incisées ondulées :

collectionName : Mérovingiens
inventoryNb : B000956-011
objectName :
objectTitle : Pot biconique à pâte gris brun et lignes incisées ondulées
objectCulture : Mérovingienne
geography :
dating : AD 500 - AD 650
material :
technique :
dimensions : Hauteur: 12,5 cm
legalRightOwner : Musées royaux d'art et d'histoire/Koninklijke Musea voor Kunst en Geschiedenis

objectDescription : Ce pot biconique a été trouvé avec une hache de jet en fer dans la tombe 34. La sépulture est datée d'avant 650. L’objet en question provient d’un cimetière datant du VIe-VIIe siècle et trouvé au sommet des ruines d’une villa Romaine au Champ de Saint-Anne, Anderlecht. Cette nécropole, fouillée à la fin du XIXe et au début du XXe siècle par la Société royale d’Archéologie de Bruxelles, contenait probablement quelque 300 tombes. Les défunts étaient orientés est-ouest et enterrés dans des sépultures densément implantées. Les tombes, dont le mobilier se constituait de plusieurs objets, étaient parfois pourvues d’un cercueil en bois ou d’un enclos en pierre.

↑ , Boucle ovale avec ardillon:

Boucle ovale avec ardillon :

collectionName : Mérovingiens
inventoryNb : B000956-023
objectName :
objectTitle : Boucle ovale avec ardillon
objectCulture : Mérovingienne
geography :
dating : AD 476 - AD 525
material :
technique :
dimensions :
legalRightOwner : Musées royaux d'art et d'histoire/Koninklijke Musea voor Kunst en Geschiedenis

objectDescription : Cette boucle ovale provient d’un cimetière datant du VIe-VIIe siècle et trouvé au sommet des ruines d’une villa Romaine au Champ de Saint-Anne, Anderlecht. Cette nécropole, fouillée à la fin du XIXe et au début du XXe siècle par la Société royale d’Archéologie de Bruxelles, contenait probablement quelque 300 tombes. Les défunts étaient orientés est-ouest et enterrés dans des sépultures densément implantées. Les tombes, dont le mobilier se constituait de plusieurs objets, étaient parfois pourvues d’un cercueil en bois ou d’un enclos en pierre.

↑ , Boucle ovale avec ardillon à base scutiforme:

Boucle ovale avec ardillon à base scutiforme :

collectionName : Mérovingiens
inventoryNb : B000956-024
objectName :
objectTitle : Boucle ovale avec ardillon à base scutiforme
objectCulture : Mérovingienne
geography :
dating : AD 501 - AD 550
material :
technique :
dimensions :
legalRightOwner : Musées royaux d'art et d'histoire/Koninklijke Musea voor Kunst en Geschiedenis

objectDescription : Cette boucle ovale a été trouvée parmi d’autres objets funéraires (dont un clou, une tige en fer et quelques fibules) dans la tombe 41. La sépulture contenait probablement un cercueil en bois et les restes d’une femme riche. L’objet en question provient d’un cimetière datant du VIe-VIIe siècle et trouvé au sommet des ruines d’une villa Romaine au Champ de Saint-Anne, Anderlecht. Cette nécropole, fouillée à la fin du XIXe et au début du XXe siècle par la Société royale d’Archéologie de Bruxelles, contenait probablement quelque 300 tombes. Les défunts étaient orientés est-ouest et enterrés dans des sépultures densément implantées. Les tombes, dont le mobilier se constituait de plusieurs objets, étaient parfois pourvues d’un cercueil en bois ou d’un enclos en pierre.

↑ , Boucle rectangulaire avec ardillon à base scutiforme et garnitures:

Boucle rectangulaire avec ardillon à base scutiforme et garnitures :

collectionName : Mérovingiens
inventoryNb : B000956-025
objectName :
objectTitle : Boucle rectangulaire avec ardillon à base scutiforme et garnitures
objectCulture : Mérovingienne
geography :
dating : AD 501 - AD 550
material :
technique :
dimensions :
legalRightOwner : Musées royaux d'art et d'histoire/Koninklijke Musea voor Kunst en Geschiedenis

objectDescription : Cette boucle rectangulaire provient d’un cimetière datant du VIe-VIIe siècle et trouvé au sommet des ruines d’une villa Romaine au Champ de Saint-Anne, Anderlecht. Cette nécropole, fouillée à la fin du XIXe et au début du XXe siècle par la Société royale d’Archéologie de Bruxelles, contenait probablement quelque 300 tombes. Les défunts étaient orientés est-ouest et enterrés dans des sépultures densément implantées. Les tombes, dont le mobilier se constituait de plusieurs objets, étaient parfois pourvues d’un cercueil en bois ou d’un enclos en pierre.

↑ , Boucle rectangulaire avec ardillon à base scutiforme:

Boucle rectangulaire avec ardillon à base scutiforme :

collectionName : Mérovingiens
inventoryNb : B000956-027
objectName :
objectTitle : Boucle rectangulaire avec ardillon à base scutiforme
objectCulture : Mérovingienne
geography :
dating : AD 501 - AD 550
material :
technique :
dimensions : Hauteur: 3,5 cm, Largeur: 4 cm
legalRightOwner : Musées royaux d'art et d'histoire/Koninklijke Musea voor Kunst en Geschiedenis

objectDescription : Cette boucle rectangulaire provient d’un cimetière datant du VIe-VIIe siècle et trouvé au sommet des ruines d’une villa Romaine au Champ de Saint-Anne, Anderlecht. Cette nécropole, fouillée à la fin du XIXe et au début du XXe siècle par la Société royale d’Archéologie de Bruxelles, contenait probablement quelque 300 tombes. Les défunts étaient orientés est-ouest et enterrés dans des sépultures densément implantées. Les tombes, dont le mobilier se constituait de plusieurs objets, étaient parfois pourvues d’un cercueil en bois ou d’un enclos en pierre.

↑ , Fibules en S:

Fibules en S :

collectionName : Mérovingiens
inventoryNb : B000956-029
objectName :
objectTitle : Fibules en S
objectCulture : Mérovingienne
geography :
dating : AD 551 - AD 600
material :
technique :
dimensions :
legalRightOwner : Musées royaux d'art et d'histoire/Koninklijke Musea voor Kunst en Geschiedenis

objectDescription : Ces fibules en 's' ont été trouvées parmi d’autres objets funéraires (dont une boucle, une tige en fer et quelques autres fibules) dans la tombe 41. La sépulture, datant de la deuxième moitié du VIe siècle, contenait probablement un cercueil en bois et les restes d’une femme riche. L’objet en question provient d’un cimetière datant du VIe-VIIe siècle et trouvé au sommet des ruines d’une villa Romaine au Champ de Saint-Anne, Anderlecht. Cette nécropole, fouillée à la fin du XIXe et au début du XXe siècle par la Société royale d’Archéologie de Bruxelles, contenait probablement quelque 300 tombes. Les défunts étaient orientés est-ouest et enterrés dans des sépultures densément implantées. Les tombes, dont le mobilier se constituait de plusieurs objets, étaient parfois pourvues d’un cercueil en bois ou d’un enclos en pierre.

↑ , Ciseaux en fer:

Ciseaux en fer :

collectionName : Mérovingiens
inventoryNb : B000956-038
objectName :
objectTitle : Ciseaux en fer
objectCulture : Mérovingienne
geography :
dating : AD 550 - AD 650
material :
technique :
dimensions :
legalRightOwner : Musées royaux d'art et d'histoire/Koninklijke Musea voor Kunst en Geschiedenis

objectDescription : Ces ciseaux ont été trouvés parmi d’autres objets funéraires (dont une hache et une boucle) dans la tombe 19, datant entre 550 et 650. L’objet en question provient d’un cimetière datant du VIe-VIIe siècle et trouvé au sommet des ruines d’une villa Romaine au Champ de Saint-Anne, Anderlecht. Cette nécropole, fouillée à la fin du XIXe et au début du XXe siècle par la Société royale d’Archéologie de Bruxelles, contenait probablement quelque 300 tombes. Les défunts étaient orientés est-ouest et enterrés dans des sépultures densément implantées. Les tombes, dont le mobilier se constituait de plusieurs objets, étaient parfois pourvues d’un cercueil en bois ou d’un enclos en pierre.

↑ , Rabot en fer:

Rabot en fer :

collectionName : Mérovingiens
inventoryNb : B000956-042
objectName :
objectTitle : Rabot en fer
objectCulture : Mérovingienne
geography :
dating : AD 575 - AD 625
material :
technique :
dimensions : Hauteur: 3,8 cm, Largeur: 17,5 cm
legalRightOwner : Musées royaux d'art et d'histoire/Koninklijke Musea voor Kunst en Geschiedenis

objectDescription : Ce rabot en fer a été trouvé parmi d’autres objets funéraires (dont une boucle, un clou en fer et une fibule) dans la tombe 60. La sépulture, datant d’environ 600, contenait probablement un cercueil en bois et les restes d’une femme riche. L’objet en question provient d’un cimetière datant du VIe-VIIe siècle et trouvé au sommet des ruines d’une villa Romaine au Champ de Saint-Anne, Anderlecht. Cette nécropole, fouillée à la fin du XIXe et au début du XXe siècle par la Société royale d’Archéologie de Bruxelles, contenait probablement quelque 300 tombes. Les défunts étaient orientés est-ouest et enterrés dans des sépultures densément implantées. Les tombes, dont le mobilier se constituait de plusieurs objets, étaient parfois pourvues d’un cercueil en bois ou d’un enclos en pierre.

↑ , Fer de lance à douille fendue.:

Fer de lance à douille fendue. :

collectionName : Mérovingiens
inventoryNb : B000956-045
objectName :
objectTitle : Fer de lance à douille fendue.
objectCulture : Mérovingienne
geography :
dating : AD 500 - AD 700
material :
technique :
dimensions : Longueur: 40,5 cm
legalRightOwner : Musées royaux d'art et d'histoire/Koninklijke Musea voor Kunst en Geschiedenis

objectDescription : Ce fer de lance à restes de manche en bois, a été trouvé parmi d’autres objets funéraires (dont un fermoir d'aumônière, un couteau et un clou en fer) dans la tombe 34. La sépulture contenait probablement un cercueil en bois et les restes d’un homme. L’objet en question provient d’un cimetière datant du VIe-VIIe siècle et trouvé au sommet des ruines d’une villa Romaine au Champ de Saint-Anne, Anderlecht. Cette nécropole, fouillée à la fin du XIXe et au début du XXe siècle par la Société royale d’Archéologie de Bruxelles, contenait probablement quelque 300 tombes. Les défunts étaient orientés est-ouest et enterrés dans des sépultures densément implantées. Les tombes, dont le mobilier se constituait de plusieurs objets, étaient parfois pourvues d’un cercueil en bois ou d’un enclos en pierre.

↑ , Grand couteau en fer:

Grand couteau en fer :

collectionName : Mérovingiens
inventoryNb : B000956-047
objectName :
objectTitle : Grand couteau en fer
objectCulture : Mérovingienne
geography :
dating : AD 500 - AD 600
material :
technique :
dimensions : Longueur: 25,5 cm
legalRightOwner : Musées royaux d'art et d'histoire/Koninklijke Musea voor Kunst en Geschiedenis

objectDescription : Ce grand couteau a été trouvé parmi d’autres objets funéraires (dont une ceinture, un umbo et un clou en fer) dans la tombe 17, datée du VIe siècle. La tombe contenait probablement un cercueil en bois et les restes d’un homme riche et bien armé. L’objet en question provient d’un cimetière datant du VIe-VIIe siècle et trouvé au sommet des ruines d’une villa Romaine au Champ de Saint-Anne, Anderlecht. Cette nécropole, fouillée à la fin du XIXe et au début du XXe siècle par la Société royale d’Archéologie de Bruxelles, contenait probablement quelque 300 tombes. Les défunts étaient orientés est-ouest et enterrés dans des sépultures densément implantées. Les tombes, dont le mobilier se constituait de plusieurs objets, étaient parfois pourvues d’un cercueil en bois ou d’un enclos en pierre.

↑ , Grand couteau en fer:

Grand couteau en fer :

collectionName : Mérovingiens
inventoryNb : B000956-049
objectName :
objectTitle : Grand couteau en fer
objectCulture : Mérovingienne
geography :
dating : AD 550 - AD 600
material :
technique :
dimensions : Longueur: 35 cm
legalRightOwner : Musées royaux d'art et d'histoire/Koninklijke Musea voor Kunst en Geschiedenis

objectDescription : Ce grand couteau a été trouvé parmi d’autres objets funéraires (dont un pot gris et un fermoir d'aumônière) dans la tombe 42, datant de la deuxième moitié du VIe siècle. L’objet en question provient d’un cimetière datant du VIe-VIIe siècle et trouvé au sommet des ruines d’une villa Romaine au Champ de Saint-Anne, Anderlecht. Cette nécropole, fouillée à la fin du XIXe et au début du XXe siècle par la Société royale d’Archéologie de Bruxelles, contenait probablement quelque 300 tombes. Les défunts étaient orientés est-ouest et enterrés dans des sépultures densément implantées. Les tombes, dont le mobilier se constituait de plusieurs objets, étaient parfois pourvues d’un cercueil en bois ou d’un enclos en pierre.

↑ , Petit couteau en fer:

Petit couteau en fer :

collectionName : Mérovingiens
inventoryNb : B000956-056
objectName :
objectTitle : Petit couteau en fer
objectCulture : Mérovingienne
geography :
dating : AD 500 - AD 550
material :
technique :
dimensions : Longueur: 15,5 cm
legalRightOwner : Musées royaux d'art et d'histoire/Koninklijke Musea voor Kunst en Geschiedenis

objectDescription : Ce petit couteau a été trouvé parmi d’autres objets funéraires (dont une boucle, un vase en céramique et des ciseaux) dans la tombe 35, datant de la première moitié du VIe siècle. C'était probablement la tombe d'un homme. L’objet en question provient d’un cimetière datant du VIe-VIIe siècle et trouvé au sommet des ruines d’une villa Romaine au Champ de Saint-Anne, Anderlecht. Cette nécropole, fouillée à la fin du XIXe et au début du XXe siècle par la Société royale d’Archéologie de Bruxelles, contenait probablement quelque 300 tombes. Les défunts étaient orientés est-ouest et enterrés dans des sépultures densément implantées. Les tombes, dont le mobilier se constituait de plusieurs objets, étaient parfois pourvues d’un cercueil en bois ou d’un enclos en pierre.

↑ , Petit couteau en fer:

Petit couteau en fer :

collectionName : Mérovingiens
inventoryNb : B000956-057
objectName :
objectTitle : Petit couteau en fer
objectCulture : Mérovingienne
geography :
dating : AD 500 - AD 600
material :
technique :
dimensions : Longueur: 16,5 cm
legalRightOwner : Musées royaux d'art et d'histoire/Koninklijke Musea voor Kunst en Geschiedenis

objectDescription : Ce petit couteau a été trouvé parmi d’autres objets funéraires (dont une ceinture, un umbo et un clou en fer) dans la tombe 17, datée du VIe siècle. La tombe contenait probablement un cercueil en bois et les restes d’un homme riche et bien armé. L’objet en question provient d’un cimetière datant du VIe-VIIe siècle et trouvé au sommet des ruines d’une villa Romaine au Champ de Saint-Anne, Anderlecht. Cette nécropole, fouillée à la fin du XIXe et au début du XXe siècle par la Société royale d’Archéologie de Bruxelles, contenait probablement quelque 300 tombes. Les défunts étaient orientés est-ouest et enterrés dans des sépultures densément implantées. Les tombes, dont le mobilier se constituait de plusieurs objets, étaient parfois pourvues d’un cercueil en bois ou d’un enclos en pierre.

↑ , Petit couteau en fer:

Petit couteau en fer :

collectionName : Mérovingiens
inventoryNb : B000956-058
objectName :
objectTitle : Petit couteau en fer
objectCulture : Mérovingienne
geography :
dating : AD 575 - AD 625
material :
technique :
dimensions : Longueur: 14 cm
legalRightOwner : Musées royaux d'art et d'histoire/Koninklijke Musea voor Kunst en Geschiedenis

objectDescription : Ce petit couteau a été trouvé parmi d’autres objets funéraires (dont une boucle, un clou en fer et une fibule) dans la tombe 60. La sépulture, datant d'environ 600, contenait probablement un cercueil en bois et les restes d’une femme riche. L’objet en question provient d’un cimetière datant du VIe-VIIe siècle et trouvé au sommet des ruines d’une villa Romaine au Champ de Saint-Anne, Anderlecht. Cette nécropole, fouillée à la fin du XIXe et au début du XXe siècle par la Société royale d’Archéologie de Bruxelles, contenait probablement quelque 300 tombes. Les défunts étaient orientés est-ouest et enterrés dans des sépultures densément implantées. Les tombes, dont le mobilier se constituait de plusieurs objets, étaient parfois pourvues d’un cercueil en bois ou d’un enclos en pierre.

↑ , Petit couteau sans pointe:

Petit couteau sans pointe :

collectionName : Mérovingiens
inventoryNb : B000956-059
objectName :
objectTitle : Petit couteau sans pointe
objectCulture : Mérovingienne
geography :
dating : AD 500 - AD 700
material :
technique :
dimensions : Longueur: 13,5 cm
legalRightOwner : Musées royaux d'art et d'histoire/Koninklijke Musea voor Kunst en Geschiedenis

objectDescription : Ce petit couteau a été trouvé parmi d’autres objets funéraires (dont un fermoir d'aumônière, un fer de lance et un clou en fer) dans la tombe 34. La tombe contenait probablement un cercueil en bois et les restes d’un homme. L’objet en question provient d’un cimetière datant du VIe-VIIe siècle et trouvé au sommet des ruines d’une villa Romaine au Champ de Saint-Anne, Anderlecht. Cette nécropole, fouillée à la fin du XIXe et au début du XXe siècle par la Société royale d’Archéologie de Bruxelles, contenait probablement quelque 300 tombes. Les défunts étaient orientés est-ouest et enterrés dans des sépultures densément implantées. Les tombes, dont le mobilier se constituait de plusieurs objets, étaient parfois pourvues d’un cercueil en bois ou d’un enclos en pierre.

↑ , Clou en fer:

Clou en fer :

collectionName : Mérovingiens
inventoryNb : B000956-062
objectName :
objectTitle : Clou en fer
objectCulture : Mérovingienne
geography :
dating : AD 500 - AD 600
material :
technique :
dimensions : Longueur: 8 cm
legalRightOwner : Musées royaux d'art et d'histoire/Koninklijke Musea voor Kunst en Geschiedenis

objectDescription : Ce clou a été trouvé parmi d’autres objets funéraires (dont une ceinture, un umbo et un couteau) dans la tombe 17, datée du VIe siècle. La tombe contenait probablement un cercueil en bois et les restes d’un homme riche et bien armé. L’objet en question provient d’un cimetière datant du VIe-VIIe siècle et trouvé au sommet des ruines d’une villa Romaine au Champ de Saint-Anne, Anderlecht. Cette nécropole, fouillée à la fin du XIXe et au début du XXe siècle par la Société royale d’Archéologie de Bruxelles, contenait probablement quelque 300 tombes. Les défunts étaient orientés est-ouest et enterrés dans des sépultures densément implantées. Les tombes, dont le mobilier se constituait de plusieurs objets, étaient parfois pourvues d’un cercueil en bois ou d’un enclos en pierre.

↑ , Clou en fer plié:

Clou en fer plié :

collectionName : Mérovingiens
inventoryNb : B000956-063
objectName :
objectTitle : Clou en fer plié
objectCulture : Mérovingienne
geography :
dating : AD 575 - AD 600
material :
technique :
dimensions : Longueur: 5,5 cm
legalRightOwner : Musées royaux d'art et d'histoire/Koninklijke Musea voor Kunst en Geschiedenis

objectDescription : Ce clou en fer a été trouvé parmi d’autres objets funéraires (dont une boucle, un rabot et une fibule) dans la tombe 60. La sépulture, datant d’environ 600, contenait probablement un cercueil en bois et les restes d’une femme riche. L’objet en question provient d’un cimetière datant du VIe-VIIe siècle et trouvé au sommet des ruines d’une villa Romaine au Champ de Saint-Anne, Anderlecht. Cette nécropole, fouillée à la fin du XIXe et au début du XXe siècle par la Société royale d’Archéologie de Bruxelles, contenait probablement quelque 300 tombes. Les défunts étaient orientés est-ouest et enterrés dans des sépultures densément implantées. Les tombes, dont le mobilier se constituait de plusieurs objets, étaient parfois pourvues d’un cercueil en bois ou d’un enclos en pierre.

↑ , Clou en fer à tête abîmé:

Clou en fer à tête abîmé :

collectionName : Mérovingiens
inventoryNb : B000956-064
objectName :
objectTitle : Clou en fer à tête abîmé
objectCulture : Mérovingienne
geography :
dating : AD 500 - AD 700
material :
technique :
dimensions : Longueur: 4,5 cm
legalRightOwner : Musées royaux d'art et d'histoire/Koninklijke Musea voor Kunst en Geschiedenis

objectDescription : Ce clou a été trouvé parmi d’autres objets funéraires (dont un fermoir d'aumônière, un fer de lance et un couteau) dans la tombe 34. La sépulture contenait probablement un cercueil en bois et les restes d’un homme. L’objet en question provient d’un cimetière datant du VIe-VIIe siècle et trouvé au sommet des ruines d’une villa Romaine au Champ de Saint-Anne, Anderlecht. Cette nécropole, fouillée à la fin du XIXe et au début du XXe siècle par la Société royale d’Archéologie de Bruxelles, contenait probablement quelque 300 tombes. Les défunts étaient orientés est-ouest et enterrés dans des sépultures densément implantées. Les tombes, dont le mobilier se constituait de plusieurs objets, étaient parfois pourvues d’un cercueil en bois ou d’un enclos en pierre.

↑ , Clou en fer à tête abîmé:

Clou en fer à tête abîmé :

collectionName : Mérovingiens
inventoryNb : B000956-065
objectName :
objectTitle : Clou en fer à tête abîmé
objectCulture : Mérovingienne
geography :
dating : AD 550 - AD 600
material :
technique :
dimensions : Longueur: 5,5 cm
legalRightOwner : Musées royaux d'art et d'histoire/Koninklijke Musea voor Kunst en Geschiedenis

objectDescription : Ce clou en fer a été trouvé parmi d’autres objets funéraires (dont une boucle, une tige en fer et quelques fibules) dans la tombe 41. La sépulture, datant de la deuxième moitié du VIe siècle, contenait probablement un cercueil en bois et les restes d’une femme riche. L’objet en question provient d’un cimetière datant du VIe-VIIe siècle et trouvé au sommet des ruines d’une villa Romaine au Champ de Saint-Anne, Anderlecht. Cette nécropole, fouillée à la fin du XIXe et au début du XXe siècle par la Société royale d’Archéologie de Bruxelles, contenait probablement quelque 300 tombes. Les défunts étaient orientés est-ouest et enterrés dans des sépultures densément implantées. Les tombes, dont le mobilier se constituait de plusieurs objets, étaient parfois pourvues d’un cercueil en bois ou d’un enclos en pierre.

↑ , Clou en fer:

Clou en fer :

collectionName : Mérovingiens
inventoryNb : B000956-066
objectName :
objectTitle : Clou en fer
objectCulture : Mérovingienne
geography :
dating : AD 500 - AD 700
material :
technique :
dimensions : Longueur: 4,5 cm
legalRightOwner : Musées royaux d'art et d'histoire/Koninklijke Musea voor Kunst en Geschiedenis

objectDescription : Ce clou en fer a été trouvé parmi d’autres objets funéraires (dont une épée et deux fers de lance) dans la tombe 66. La tombe contenait probablement un cercueil en bois et les restes d’un homme riche et bien armé. L’objet en question provient d’un cimetière datant du VIe-VIIe siècle et trouvé au sommet des ruines d’une villa Romaine au Champ de Saint-Anne, Anderlecht. Cette nécropole, fouillée à la fin du XIXe et au début du XXe siècle par la Société royale d’Archéologie de Bruxelles, contenait probablement quelque 300 tombes. Les défunts étaient orientés est-ouest et enterrés dans des sépultures densément implantées. Les tombes, dont le mobilier se constituait de plusieurs objets, étaient parfois pourvues d’un cercueil en bois ou d’un enclos en pierre.

↑ , Fiche à bélière:

Fiche à bélière :

collectionName : Mérovingiens
inventoryNb : B000956-074
objectName :
objectTitle : Fiche à bélière
objectCulture : Mérovingienne
geography :
dating : AD 550 - AD 650
material :
technique :
dimensions : Longueur: 14,5 cm
legalRightOwner : Musées royaux d'art et d'histoire/Koninklijke Musea voor Kunst en Geschiedenis

objectDescription : Cette fiche à bélière a été trouvée parmi d’autres objets funéraires (dont une hache et une boucle) dans la tombe 19, datant entre 550 et 650. L’objet en question provient d’un cimetière datant du VIe-VIIe siècle et trouvé au sommet des ruines d’une villa Romaine au Champ de Saint-Anne, Anderlecht. Cette nécropole, fouillée à la fin du XIXe et au début du XXe siècle par la Société royale d’Archéologie de Bruxelles, contenait probablement quelque 300 tombes. Les défunts étaient orientés est-ouest et enterrés dans des sépultures densément implantées. Les tombes, dont le mobilier se constituait de plusieurs objets, étaient parfois pourvues d’un cercueil en bois ou d’un enclos en pierre.

↑ , Deux maillons de chaîne:

Deux maillons de chaîne :

collectionName : Mérovingiens
inventoryNb : B000956-076
objectName :
objectTitle : Deux maillons de chaîne
objectCulture : Mérovingienne
geography :
dating : AD 500 - AD 700
material :
technique :
dimensions : Longueur: 9 cm
legalRightOwner : Musées royaux d'art et d'histoire/Koninklijke Musea voor Kunst en Geschiedenis

objectDescription : Cette chaîne a été trouvée parmi d’autres objets funéraires (dont un fermoir d'aumônière, un fer de lance et un clou en fer) dans la tombe 34. La sépulture contenait probablement un cercueil en bois et les restes d’un homme. L’objet en question provient d’un cimetière datant du VIe-VIIe siècle et trouvé au sommet des ruines d’une villa Romaine au Champ de Saint-Anne, Anderlecht. Cette nécropole, fouillée à la fin du XIXe et au début du XXe siècle par la Société royale d’Archéologie de Bruxelles, contenait probablement quelque 300 tombes. Les défunts étaient orientés est-ouest et enterrés dans des sépultures densément implantées. Les tombes, dont le mobilier se constituait de plusieurs objets, étaient parfois pourvues d’un cercueil en bois ou d’un enclos en pierre.

↑ , Boucle ovale avec ardillon:

Boucle ovale avec ardillon :

collectionName : Mérovingiens
inventoryNb : B000956-082
objectName :
objectTitle : Boucle ovale avec ardillon
objectCulture : Mérovingienne
geography :
dating : AD 575 - AD 625
material :
technique :
dimensions : Longueur: 2,8 cm, Largeur: 2,7 cm
legalRightOwner : Musées royaux d'art et d'histoire/Koninklijke Musea voor Kunst en Geschiedenis

objectDescription : Cette boucle ovale a été trouvée parmi d’autres objets funéraires (dont un couteau, un rabot et une fibule) dans la tombe 60. La sépulture, datant d’environ 600, contenait probablement un cercueil en bois et les restes d’une femme riche. L’objet en question provient d’un cimetière datant du VIe-VIIe siècle et trouvé au sommet des ruines d’une villa Romaine au Champ de Saint-Anne, Anderlecht. Cette nécropole, fouillée à la fin du XIXe et au début du XXe siècle par la Société royale d’Archéologie de Bruxelles, contenait probablement quelque 300 tombes. Les défunts étaient orientés est-ouest et enterrés dans des sépultures densément implantées. Les tombes, dont le mobilier se constituait de plusieurs objets, étaient parfois pourvues d’un cercueil en bois ou d’un enclos en pierre.

↑ , Boucle ovale avec ardillon restauré:

Boucle ovale avec ardillon restauré :

collectionName : Mérovingiens
inventoryNb : B000956-085
objectName :
objectTitle : Boucle ovale avec ardillon restauré
objectCulture : Mérovingienne
geography :
dating : AD 500 - AD 550
material :
technique :
dimensions : Longueur: 3,8 cm, Largeur: 3 cm
legalRightOwner : Musées royaux d'art et d'histoire/Koninklijke Musea voor Kunst en Geschiedenis

objectDescription : Cette boucle ovale a été trouvée parmi d’autres objets funéraires (dont un couteau, un vase en céramique et des ciseaux) dans la tombe 35, datant de la première moitié du VIe siècle. C'était probablement la tombe d'un homme. L’objet en question provient d’un cimetière datant du VIe-VIIe siècle et trouvé au sommet des ruines d’une villa Romaine au Champ de Saint-Anne, Anderlecht. Cette nécropole, fouillée à la fin du XIXe et au début du XXe siècle par la Société royale d’Archéologie de Bruxelles, contenait probablement quelque 300 tombes. Les défunts étaient orientés est-ouest et enterrés dans des sépultures densément implantées. Les tombes, dont le mobilier se constituait de plusieurs objets, étaient parfois pourvues d’un cercueil en bois ou d’un enclos en pierre.

↑ , Boucle ovale avec ardillon à base scutiforme:

Boucle ovale avec ardillon à base scutiforme :

collectionName : Mérovingiens
inventoryNb : B000956-088
objectName :
objectTitle : Boucle ovale avec ardillon à base scutiforme
objectCulture : Mérovingienne
geography :
dating : AD 500 - AD 600
material :
technique :
dimensions : Longueur: 3,9 cm, Largeur: 3,6 cm
legalRightOwner : Musées royaux d'art et d'histoire/Koninklijke Musea voor Kunst en Geschiedenis

objectDescription : Cette boucle ovale a été trouvée parmi d’autres objets funéraires (dont un couteau, un umbo et un clou en fer) dans la tombe 17, datée du VIe siècle. La tombe contenait probablement un cercueil en bois et les restes d’un homme riche et bien armé. L’objet en question provient d’un cimetière datant du VIe-VIIe siècle et trouvé au sommet des ruines d’une villa Romaine au Champ de Saint-Anne, Anderlecht. Cette nécropole, fouillée à la fin du XIXe et au début du XXe siècle par la Société royale d’Archéologie de Bruxelles, contenait probablement quelque 300 tombes. Les défunts étaient orientés est-ouest et enterrés dans des sépultures densément implantées. Les tombes, dont le mobilier se constituait de plusieurs objets, étaient parfois pourvues d’un cercueil en bois ou d’un enclos en pierre.

↑ , Fermoir d'aumonière:

Fermoir d'aumonière :

collectionName : Mérovingiens
inventoryNb : B000956-097
objectName :
objectTitle : Fermoir d'aumonière
objectCulture : Mérovingienne
geography :
dating : AD 550 - AD 600
material :
technique :
dimensions : Longueur: 15 cm
legalRightOwner : Musées royaux d'art et d'histoire/Koninklijke Musea voor Kunst en Geschiedenis

objectDescription : Ce fermoir d'aumônière a été trouvé parmi d’autres objets funéraires (dont un pot gris et un grand couteau) dans la tombe 42, datant de la deuxième moitié du VIe siècle. L’objet en question provient d’un cimetière datant du VIe-VIIe siècle et trouvé au sommet des ruines d’une villa Romaine au Champ de Saint-Anne, Anderlecht. Cette nécropole, fouillée à la fin du XIXe et au début du XXe siècle par la Société royale d’Archéologie de Bruxelles, contenait probablement quelque 300 tombes. Les défunts étaient orientés est-ouest et enterrés dans des sépultures densément implantées. Les tombes, dont le mobilier se constituait de plusieurs objets, étaient parfois pourvues d’un cercueil en bois ou d’un enclos en pierre.

↑ , Fermoir d'aumônière:

Fermoir d'aumônière :

collectionName : Mérovingiens
inventoryNb : B000956-098
objectName :
objectTitle : Fermoir d'aumônière
objectCulture : Mérovingienne
geography :
dating : AD 500 - AD 700
material :
technique :
dimensions : Longueur: 15 cm
legalRightOwner : Musées royaux d'art et d'histoire/Koninklijke Musea voor Kunst en Geschiedenis

objectDescription : Ce fermoir d'aumônière en fer a été trouvé parmi d’autres objets funéraires (dont un couteau, un fer de lance et un clou en fer) dans la tombe 34. La sépulture contenait probablement un cercueil en bois et les restes d’un homme. L’objet en question provient d’un cimetière datant du VIe-VIIe siècle et trouvé au sommet des ruines d’une villa Romaine au Champ de Saint-Anne, Anderlecht. Cette nécropole, fouillée à la fin du XIXe et au début du XXe siècle par la Société royale d’Archéologie de Bruxelles, contenait probablement quelque 300 tombes. Les défunts étaient orientés est-ouest et enterrés dans des sépultures densément implantées. Les tombes, dont le mobilier se constituait de plusieurs objets, étaient parfois pourvues d’un cercueil en bois ou d’un enclos en pierre.

↑ , Lame d'épée en fer:

Lame d'épée en fer :

collectionName : Mérovingiens
inventoryNb : B000956-101
objectName :
objectTitle : Lame d'épée en fer
objectCulture : Mérovingienne
geography :
dating : AD 500 - AD 700
material :
technique :
dimensions : Longueur: 90,3 cm
legalRightOwner : Musées royaux d'art et d'histoire/Koninklijke Musea voor Kunst en Geschiedenis

objectDescription : Cette épée a été trouvée parmi d’autres objets funéraires (dont un clou et deux fers de lance) dans la tombe 66. La tombe contenait probablement un cercueil en bois et les restes d’un homme riche et bien armé. L’objet en question provient d’un cimetière datant du VIe-VIIe siècle et trouvé au sommet des ruines d’une villa Romaine au Champ de Saint-Anne, Anderlecht. Cette nécropole, fouillée à la fin du XIXe et au début du XXe siècle par la Société royale d’Archéologie de Bruxelles, contenait probablement quelque 300 tombes. Les défunts étaient orientés est-ouest et enterrés dans des sépultures densément implantées. Les tombes, dont le mobilier se constituait de plusieurs objets, étaient parfois pourvues d’un cercueil en bois ou d’un enclos en pierre.

↑ , Pot à panse arrondie muni de deux anses:

Pot à panse arrondie muni de deux anses :

collectionName : Mérovingiens
inventoryNb : B001915-009
objectName :
objectTitle : Pot à panse arrondie muni de deux anses
objectCulture : Mérovingienne
geography :
dating : AD 500 - AD 700
material :
technique :
dimensions : Hauteur: 17,5 cm
legalRightOwner : Musées royaux d'art et d'histoire/Koninklijke Musea voor Kunst en Geschiedenis

objectDescription : Ce pot à panse ronde provient d’un cimetière datant du VIe-VIIe siècle et trouvé au sommet des ruines d’une villa Romaine au Champ de Saint-Anne, Anderlecht. Cette nécropole, fouillée à la fin du XIXe et au début du XXe siècle par la Société royale d’Archéologie de Bruxelles, contenait probablement quelque 300 tombes. Les défunts étaient orientés est-ouest et enterrés dans des sépultures densément implantées. Les tombes, dont le mobilier se constituait de plusieurs objets, étaient parfois pourvues d’un cercueil en bois ou d’un enclos en pierre.

↑ , Pot à panse arrondie et bord ourlé:

Pot à panse arrondie et bord ourlé :

collectionName : Mérovingiens
inventoryNb : B001915-013
objectName :
objectTitle : Pot à panse arrondie et bord ourlé
objectCulture : Mérovingienne
geography :
dating : AD 500 - AD 700
material :
technique :
dimensions : Hauteur: 11 cm
legalRightOwner : Musées royaux d'art et d'histoire/Koninklijke Musea voor Kunst en Geschiedenis

objectDescription : Ce pot à panse arrondie provient d’un cimetière datant du VIe-VIIe siècle et trouvé au sommet des ruines d’une villa Romaine au Champ de Saint-Anne, Anderlecht. Cette nécropole, fouillée à la fin du XIXe et au début du XXe siècle par la Société royale d’Archéologie de Bruxelles, contenait probablement quelque 300 tombes. Les défunts étaient orientés est-ouest et enterrés dans des sépultures densément implantées. Les tombes, dont le mobilier se constituait de plusieurs objets, étaient parfois pourvues d’un cercueil en bois ou d’un enclos en pierre.

↑ , Bol sur pied:

Bol sur pied :

collectionName : Mérovingiens
inventoryNb : B001915-021
objectName :
objectTitle : Bol sur pied
objectCulture : Mérovingienne
geography :
dating : AD 476 - AD 550
material :
technique :
dimensions : Hauteur: 6 cm
legalRightOwner : Musées royaux d'art et d'histoire/Koninklijke Musea voor Kunst en Geschiedenis

objectDescription : Ce bol sur pied provient d’un cimetière datant du VIe-VIIe siècle et trouvé au sommet des ruines d’une villa Romaine au Champ de Saint-Anne, Anderlecht. Cette nécropole, fouillée à la fin du XIXe et au début du XXe siècle par la Société royale d’Archéologie de Bruxelles, contenait probablement quelque 300 tombes. Les défunts étaient orientés est-ouest et enterrés dans des sépultures densément implantées. Les tombes, dont le mobilier se constituait de plusieurs objets, étaient parfois pourvues d’un cercueil en bois ou d’un enclos en pierre.

↑ , Cruche à anse:

Cruche à anse :

collectionName : Mérovingiens
inventoryNb : B001915-024
objectName :
objectTitle : Cruche à anse
objectCulture : Mérovingienne
geography :
dating : AD 601 - AD 700
material :
technique :
dimensions : Hauteur: 17,5 cm
legalRightOwner : Musées royaux d'art et d'histoire/Koninklijke Musea voor Kunst en Geschiedenis

objectDescription : Cette cruche provient d’un cimetière datant du VIe-VIIe siècle et trouvé au sommet des ruines d’une villa Romaine au Champ de Saint-Anne, Anderlecht. Cette nécropole, fouillée à la fin du XIXe et au début du XXe siècle par la Société royale d’Archéologie de Bruxelles, contenait probablement quelque 300 tombes. Les défunts étaient orientés est-ouest et enterrés dans des sépultures densément implantées. Les tombes, dont le mobilier se constituait de plusieurs objets, étaient parfois pourvues d’un cercueil en bois ou d’un enclos en pierre.

↑ , Fibule aviforme:

Fibule aviforme :

collectionName : Mérovingiens
inventoryNb : B001915-039
objectName :
objectTitle : Fibule aviforme
objectCulture : Mérovingienne
geography :
dating : AD 476 - AD 525
material :
technique :
dimensions :
legalRightOwner : Musées royaux d'art et d'histoire/Koninklijke Musea voor Kunst en Geschiedenis

objectDescription : Cette fibule aviforme a été trouvée parmi d’autres objets funéraires (dont un couteau, un rabot et une boucle) dans la tombe 60. La sépulture, datant d’environ 600, contenait probablement un cercueil en bois et les restes d’une femme riche. L’objet en question provient d’un cimetière datant du VIe-VIIe siècle et trouvé au sommet des ruines d’une villa Romaine au Champ de Saint-Anne, Anderlecht. Cette nécropole, fouillée à la fin du XIXe et au début du XXe siècle par la Société royale d’Archéologie de Bruxelles, contenait probablement quelque 300 tombes. Les défunts étaient orientés est-ouest et enterrés dans des sépultures densément implantées. Les tombes, dont le mobilier se constituait de plusieurs objets, étaient parfois pourvues d’un cercueil en bois ou d’un enclos en pierre.

↑ , Grand clé en fer:

Grand clé en fer :

collectionName : Mérovingiens
inventoryNb : B001915-046
objectName :
objectTitle : Grand clé en fer
objectCulture : Mérovingienne
geography :
dating : AD 501 - AD 700
material :
technique :
dimensions : Hauteur: 11 cm
legalRightOwner : Musées royaux d'art et d'histoire/Koninklijke Musea voor Kunst en Geschiedenis

objectDescription : Cette clef provient d’un cimetière datant du VIe-VIIe siècle et trouvé au sommet des ruines d’une villa Romaine au Champ de Saint-Anne, Anderlecht. Cette nécropole, fouillée à la fin du XIXe et au début du XXe siècle par la Société royale d’Archéologie de Bruxelles, contenait probablement quelque 300 tombes. Les défunts étaient orientés est-ouest et enterrés dans des sépultures densément implantées. Les tombes, dont le mobilier se constituait de plusieurs objets, étaient parfois pourvues d’un cercueil en bois ou d’un enclos en pierre.

↑ , Clef avec reste de tissu:

Clef avec reste de tissu :

collectionName : Mérovingiens
inventoryNb : B001915-047
objectName :
objectTitle : Clef avec reste de tissu
objectCulture : Mérovingienne
geography :
dating : AD 501 - AD 700
material :
technique :
dimensions : Hauteur: 14,3 cm
legalRightOwner : Musées royaux d'art et d'histoire/Koninklijke Musea voor Kunst en Geschiedenis

objectDescription : Cette clef provient d’un cimetière datant du VIe-VIIe siècle et trouvé au sommet des ruines d’une villa Romaine au Champ de Saint-Anne, Anderlecht. Cette nécropole, fouillée à la fin du XIXe et au début du XXe siècle par la Société royale d’Archéologie de Bruxelles, contenait probablement quelque 300 tombes. Les défunts étaient orientés est-ouest et enterrés dans des sépultures densément implantées. Les tombes, dont le mobilier se constituait de plusieurs objets, étaient parfois pourvues d’un cercueil en bois ou d’un enclos en pierre.

↑ , Pot biconique gris:

Pot biconique gris :

collectionName : Mérovingiens
inventoryNb : B005759-001
objectName :
objectTitle : Pot biconique gris
objectCulture : Mérovingienne
geography :
dating : AD 501 - AD 700
material :
technique :
dimensions : Hauteur: 12 cm
legalRightOwner : Musées royaux d'art et d'histoire/Koninklijke Musea voor Kunst en Geschiedenis

objectDescription : Ce pot biconique provient d’un cimetière datant du VIe-VIIe siècle et trouvé au sommet des ruines d’une villa Romaine au Champ de Saint-Anne, Anderlecht. Cette nécropole, fouillée à la fin du XIXe et au début du XXe siècle par la Société royale d’Archéologie de Bruxelles, contenait probablement quelque 300 tombes. Les défunts étaient orientés est-ouest et enterrés dans des sépultures densément implantées. Les tombes, dont le mobilier se constituait de plusieurs objets, étaient parfois pourvues d’un cercueil en bois ou d’un enclos en pierre.

↑ , Bol biconique sur pied:

Bol biconique sur pied :

collectionName : Mérovingiens
inventoryNb : B005759-003
objectName :
objectTitle : Bol biconique sur pied
objectCulture : Mérovingienne
geography :
dating : AD 501 - AD 700
material :
technique :
dimensions : Hauteur: 8 cm
legalRightOwner : Musées royaux d'art et d'histoire/Koninklijke Musea voor Kunst en Geschiedenis

objectDescription : Ce bol provient d’un cimetière datant du VIe-VIIe siècle et trouvé au sommet des ruines d’une villa Romaine au Champ de Saint-Anne, Anderlecht. Cette nécropole, fouillée à la fin du XIXe et au début du XXe siècle par la Société royale d’Archéologie de Bruxelles, contenait probablement quelque 300 tombes. Les défunts étaient orientés est-ouest et enterrés dans des sépultures densément implantées. Les tombes, dont le mobilier se constituait de plusieurs objets, étaient parfois pourvues d’un cercueil en bois ou d’un enclos en pierre.

↑ , Bol sur pied et morceau de crâne:

Bol sur pied et morceau de crâne :

collectionName : Mérovingiens
inventoryNb : B005759-015
objectName :
objectTitle : Bol sur pied et morceau de crâne
objectCulture : Mérovingienne
geography :
dating : AD 501 - AD 700
material :
technique :
dimensions : Hauteur: 7,5 cm
legalRightOwner : Musées royaux d'art et d'histoire/Koninklijke Musea voor Kunst en Geschiedenis

objectDescription : Ce bol provient d’un cimetière datant du VIe-VIIe siècle et trouvé au sommet des ruines d’une villa Romaine au Champ de Saint-Anne, Anderlecht. Cette nécropole, fouillée à la fin du XIXe et au début du XXe siècle par la Société royale d’Archéologie de Bruxelles, contenait probablement quelque 300 tombes. Les défunts étaient orientés est-ouest et enterrés dans des sépultures densément implantées. Les tombes, dont le mobilier se constituait de plusieurs objets, étaient parfois pourvues d’un cercueil en bois ou d’un enclos en pierre.

↑ , Pot biconique brun:

Pot biconique brun :

collectionName : Mérovingiens
inventoryNb : B005759-023
objectName :
objectTitle : Pot biconique brun
objectCulture : Mérovingienne
geography :
dating : AD 501 - AD 700
material :
technique :
dimensions : Hauteur: 8,5 cm
legalRightOwner : Musées royaux d'art et d'histoire/Koninklijke Musea voor Kunst en Geschiedenis

objectDescription : Ce pot biconique provient d’un cimetière datant du VIe-VIIe siècle et trouvé au sommet des ruines d’une villa Romaine au Champ de Saint-Anne, Anderlecht. Cette nécropole, fouillée à la fin du XIXe et au début du XXe siècle par la Société royale d’Archéologie de Bruxelles, contenait probablement quelque 300 tombes. Les défunts étaient orientés est-ouest et enterrés dans des sépultures densément implantées. Les tombes, dont le mobilier se constituait de plusieurs objets, étaient parfois pourvues d’un cercueil en bois ou d’un enclos en pierre.

↑ , Epingle en os à tête sphérique:

Epingle en os à tête sphérique :

collectionName : Mérovingiens
inventoryNb : B005759-027
objectName :
objectTitle : Epingle en os à tête sphérique
objectCulture : Mérovingienne
geography :
dating :
material :
technique :
dimensions : Longueur: 8,7 cm
legalRightOwner : Musées royaux d'art et d'histoire/Koninklijke Musea voor Kunst en Geschiedenis

objectDescription : Cette épingle en os provient d’un cimetière datant du VIe-VIIe siècle et trouvé au sommet des ruines d’une villa Romaine au Champ de Saint-Anne, Anderlecht. Cette nécropole, fouillée à la fin du XIXe et au début du XXe siècle par la Société royale d’Archéologie de Bruxelles, contenait probablement quelque 300 tombes. Les défunts étaient orientés est-ouest et enterrés dans des sépultures densément implantées. Les tombes, dont le mobilier se constituait de plusieurs objets, étaient parfois pourvues d’un cercueil en bois ou d’un enclos en pierre.

↑ , Bol sur pied:

Bol sur pied :

collectionName : Mérovingiens
inventoryNb : B005759-030
objectName :
objectTitle : Bol sur pied
objectCulture : Mérovingienne
geography :
dating : AD 501 - AD 700
material :
technique :
dimensions : Hauteur: 11,5 cm
legalRightOwner : Musées royaux d'art et d'histoire/Koninklijke Musea voor Kunst en Geschiedenis

objectDescription : Ce bol provient d’un cimetière datant du VIe-VIIe siècle et trouvé au sommet des ruines d’une villa Romaine au Champ de Saint-Anne, Anderlecht. Cette nécropole, fouillée à la fin du XIXe et au début du XXe siècle par la Société royale d’Archéologie de Bruxelles, contenait probablement quelque 300 tombes. Les défunts étaient orientés est-ouest et enterrés dans des sépultures densément implantées. Les tombes, dont le mobilier se constituait de plusieurs objets, étaient parfois pourvues d’un cercueil en bois ou d’un enclos en pierre.

↑ , Épingle en os à tête sphérique:

Épingle en os à tête sphérique :

collectionName : Mérovingiens
inventoryNb : B005759-031
objectName :
objectTitle : Épingle en os à tête sphérique
objectCulture : Mérovingienne
geography :
dating : AD 501 - AD 700
material :
technique :
dimensions : Hauteur: 9,5 cm
legalRightOwner : Musées royaux d'art et d'histoire/Koninklijke Musea voor Kunst en Geschiedenis

objectDescription : Cette épingle provient d’un cimetière datant du VIe-VIIe siècle et trouvé au sommet des ruines d’une villa Romaine au Champ de Saint-Anne, Anderlecht. Cette nécropole, fouillée à la fin du XIXe et au début du XXe siècle par la Société royale d’Archéologie de Bruxelles, contenait probablement quelque 300 tombes. Les défunts étaient orientés est-ouest et enterrés dans des sépultures densément implantées. Les tombes, dont le mobilier se constituait de plusieurs objets, étaient parfois pourvues d’un cercueil en bois ou d’un enclos en pierre.

↑ , Umbo muni de trois rivets:

Umbo muni de trois rivets :

collectionName : Mérovingiens
inventoryNb : B005759-067
objectName :
objectTitle : Umbo muni de trois rivets
objectCulture : Mérovingienne
geography :
dating : AD 501 - AD 700
material :
technique :
dimensions : Hauteur: 8,3 cm
legalRightOwner : Musées royaux d'art et d'histoire/Koninklijke Musea voor Kunst en Geschiedenis

objectDescription : Ce umbo provient d’un cimetière datant du VIe-VIIe siècle et trouvé au sommet des ruines d’une villa Romaine au Champ de Saint-Anne, Anderlecht. Cette nécropole, fouillée à la fin du XIXe et au début du XXe siècle par la Société royale d’Archéologie de Bruxelles, contenait probablement quelque 300 tombes. Les défunts étaient orientés est-ouest et enterrés dans des sépultures densément implantées. Les tombes, dont le mobilier se constituait de plusieurs objets, étaient parfois pourvues d’un cercueil en bois ou d’un enclos en pierre.

↑ , Umbo de bouclier:

Umbo de bouclier :

collectionName : Mérovingiens
inventoryNb : B005759-074
objectName :
objectTitle : Umbo de bouclier
objectCulture : Mérovingienne
geography :
dating : AD 500 - AD 600
material :
technique :
dimensions : Hauteur: 6,5 cm
legalRightOwner : Musées royaux d'art et d'histoire/Koninklijke Musea voor Kunst en Geschiedenis

objectDescription : Ce umbo muni de deux rivets à tête aplatie a été trouvé parmi d’autres objets funéraires (dont une ceinture, un couteau et un clou en fer) dans la tombe 17, datée du VIe siècle. La tombe contenait probablement un cercueil en bois et les restes d’un homme riche et bien armé. L’objet en question provient d’un cimetière datant du VIe-VIIe siècle et trouvé au sommet des ruines d’une villa Romaine au Champ de Saint-Anne, Anderlecht. Cette nécropole, fouillée à la fin du XIXe et au début du XXe siècle par la Société royale d’Archéologie de Bruxelles, contenait probablement quelque 300 tombes. Les défunts étaient orientés est-ouest et enterrés dans des sépultures densément implantées. Les tombes, dont le mobilier se constituait de plusieurs objets, étaient parfois pourvues d’un cercueil en bois ou d’un enclos en pierre.

↑ , Fer de lance à douille fermée.:

Fer de lance à douille fermée. :

collectionName : Mérovingiens
inventoryNb : B005759-079
objectName :
objectTitle : Fer de lance à douille fermée.
objectCulture : Mérovingienne
geography :
dating : AD 500 - AD 700
material :
technique :
dimensions : Longueur: 29 cm
legalRightOwner : Musées royaux d'art et d'histoire/Koninklijke Musea voor Kunst en Geschiedenis

objectDescription : Ce fer de lance a été trouvé parmi d’autres objets funéraires (dont une épée, un autre fer de lance et un clou) dans la tombe 66. La tombe contenait probablement un cercueil en bois et les restes d’un homme riche et bien armé. L’objet en question provient d’un cimetière datant du VIe-VIIe siècle et trouvé au sommet des ruines d’une villa Romaine au Champ de Saint-Anne, Anderlecht. Cette nécropole, fouillée à la fin du XIXe et au début du XXe siècle par la Société royale d’Archéologie de Bruxelles, contenait probablement quelque 300 tombes. Les défunts étaient orientés est-ouest et enterrés dans des sépultures densément implantées. Les tombes, dont le mobilier se constituait de plusieurs objets, étaient parfois pourvues d’un cercueil en bois ou d’un enclos en pierre.

↑ , Fer de lance à douille fendue:

Fer de lance à douille fendue :

collectionName : Mérovingiens
inventoryNb : B005759-081
objectName :
objectTitle : Fer de lance à douille fendue
objectCulture : Mérovingienne
geography :
dating : AD 600 - AD 700
material :
technique :
dimensions : Longueur: 30 cm
legalRightOwner : Musées royaux d'art et d'histoire/Koninklijke Musea voor Kunst en Geschiedenis

objectDescription : Ce fer de lance a été trouvé parmi d’autres objets funéraires (dont une épée et le manipule d’un umbo) dans la tombe 87, datée du VIIe siècle. La tombe contenait probablement les restes d’un homme riche et bien armé. L’objet en question provient d’un cimetière datant du VIe-VIIe siècle et trouvé au sommet des ruines d’une villa Romaine au Champ de Saint-Anne, Anderlecht. Cette nécropole, fouillée à la fin du XIXe et au début du XXe siècle par la Société royale d’Archéologie de Bruxelles, contenait probablement quelque 300 tombes. Les défunts étaient orientés est-ouest et enterrés dans des sépultures densément implantées. Les tombes, dont le mobilier se constituait de plusieurs objets, étaient parfois pourvues d’un cercueil en bois ou d’un enclos en pierre.

↑ , Fer de lance à douille fendue:

Fer de lance à douille fendue :

collectionName : Mérovingiens
inventoryNb : B005759-082
objectName :
objectTitle : Fer de lance à douille fendue
objectCulture : Mérovingienne
geography :
dating : AD 501 - AD 700
material :
technique :
dimensions : Longueur: 39,5 cm
legalRightOwner : Musées royaux d'art et d'histoire/Koninklijke Musea voor Kunst en Geschiedenis

objectDescription : Ce fer de lance provient d’un cimetière datant du VIe-VIIe siècle et trouvé au sommet des ruines d’une villa Romaine au Champ de Saint-Anne, Anderlecht. Cette nécropole, fouillée à la fin du XIXe et au début du XXe siècle par la Société royale d’Archéologie de Bruxelles, contenait probablement quelque 300 tombes. Les défunts étaient orientés est-ouest et enterrés dans des sépultures densément implantées. Les tombes, dont le mobilier se constituait de plusieurs objets, étaient parfois pourvues d’un cercueil en bois ou d’un enclos en pierre.

↑ , Lame de couteau en fer:

Lame de couteau en fer :

collectionName : Mérovingiens
inventoryNb : B005759-130
objectName :
objectTitle : Lame de couteau en fer
objectCulture : Mérovingienne
geography :
dating : AD 501 - AD 700
material :
technique :
dimensions : Longueur: 12,5 cm
legalRightOwner : Musées royaux d'art et d'histoire/Koninklijke Musea voor Kunst en Geschiedenis

objectDescription : Ce couteau provient d’un cimetière datant du VIe-VIIe siècle et trouvé au sommet des ruines d’une villa Romaine au Champ de Saint-Anne, Anderlecht. Cette nécropole, fouillée à la fin du XIXe et au début du XXe siècle par la Société royale d’Archéologie de Bruxelles, contenait probablement quelque 300 tombes. Les défunts étaient orientés est-ouest et enterrés dans des sépultures densément implantées. Les tombes, dont le mobilier se constituait de plusieurs objets, étaient parfois pourvues d’un cercueil en bois ou d’un enclos en pierre.

↑ , Lame de couteau en fer:

Lame de couteau en fer :

collectionName : Mérovingiens
inventoryNb : B005759-131
objectName :
objectTitle : Lame de couteau en fer
objectCulture : Mérovingienne
geography :
dating : AD 501 - AD 700
material :
technique :
dimensions : Longueur: 10 cm
legalRightOwner : Musées royaux d'art et d'histoire/Koninklijke Musea voor Kunst en Geschiedenis

objectDescription : Ce couteau provient d’un cimetière datant du VIe-VIIe siècle et trouvé au sommet des ruines d’une villa Romaine au Champ de Saint-Anne, Anderlecht. Cette nécropole, fouillée à la fin du XIXe et au début du XXe siècle par la Société royale d’Archéologie de Bruxelles, contenait probablement quelque 300 tombes. Les défunts étaient orientés est-ouest et enterrés dans des sépultures densément implantées. Les tombes, dont le mobilier se constituait de plusieurs objets, étaient parfois pourvues d’un cercueil en bois ou d’un enclos en pierre.

↑ , Lame de couteau en fer:

Lame de couteau en fer :

collectionName : Mérovingiens
inventoryNb : B005759-132
objectName :
objectTitle : Lame de couteau en fer
objectCulture : Mérovingienne
geography :
dating : AD 501 - AD 700
material :
technique :
dimensions : Longueur: 14,5 cm
legalRightOwner : Musées royaux d'art et d'histoire/Koninklijke Musea voor Kunst en Geschiedenis

objectDescription : Ce couteau provient d’un cimetière datant du VIe-VIIe siècle et trouvé au sommet des ruines d’une villa Romaine au Champ de Saint-Anne, Anderlecht. Cette nécropole, fouillée à la fin du XIXe et au début du XXe siècle par la Société royale d’Archéologie de Bruxelles, contenait probablement quelque 300 tombes. Les défunts étaient orientés est-ouest et enterrés dans des sépultures densément implantées. Les tombes, dont le mobilier se constituait de plusieurs objets, étaient parfois pourvues d’un cercueil en bois ou d’un enclos en pierre.

↑ , Hache de jet en fer:

Hache de jet en fer :

collectionName : Mérovingiens
inventoryNb : B005759-166
objectName :
objectTitle : Hache de jet en fer
objectCulture : Mérovingienne
geography :
dating : AD 550 - AD 650
material :
technique :
dimensions : Longueur: 16,5 cm, Largeur: 7 cm
legalRightOwner : Musées royaux d'art et d'histoire/Koninklijke Musea voor Kunst en Geschiedenis

objectDescription : Cette hache de jet a été trouvée parmi d’autres objets funéraires (dont une boucle et des ciseaux) dans la tombe 19, datant entre 550 et 650. L’objet en question provient d’un cimetière datant du VIe-VIIe siècle et trouvé au sommet des ruines d’une villa Romaine au Champ de Saint-Anne, Anderlecht. Cette nécropole, fouillée à la fin du XIXe et au début du XXe siècle par la Société royale d’Archéologie de Bruxelles, contenait probablement quelque 300 tombes. Les défunts étaient orientés est-ouest et enterrés dans des sépultures densément implantées. Les tombes, dont le mobilier se constituait de plusieurs objets, étaient parfois pourvues d’un cercueil en bois ou d’un enclos en pierre.

↑ , Hache de jet en fer:

Hache de jet en fer :

collectionName : Mérovingiens
inventoryNb : B005759-167
objectName :
objectTitle : Hache de jet en fer
objectCulture : Mérovingienne
geography :
dating : AD 500 - AD 650
material :
technique :
dimensions : Longueur: 18 cm, Largeur: 8,5 cm
legalRightOwner : Musées royaux d'art et d'histoire/Koninklijke Musea voor Kunst en Geschiedenis

objectDescription : Cette hache de jet en fer a été trouvée avec un pot biconique gris dans la tombe 34. La sépulture est datée d'avant 650. L’objet en question provient d’un cimetière datant du VIe-VIIe siècle et trouvé au sommet des ruines d’une villa Romaine au Champ de Saint-Anne, Anderlecht. Cette nécropole, fouillée à la fin du XIXe et au début du XXe siècle par la Société royale d’Archéologie de Bruxelles, contenait probablement quelque 300 tombes. Les défunts étaient orientés est-ouest et enterrés dans des sépultures densément implantées. Les tombes, dont le mobilier se constituait de plusieurs objets, étaient parfois pourvues d’un cercueil en bois ou d’un enclos en pierre.

↑ , Fibule ansée digitée:

Fibule ansée digitée :

collectionName : Mérovingiens
inventoryNb : B005759-282
objectName :
objectTitle : Fibule ansée digitée
objectCulture : Mérovingienne
geography :
dating : AD 550 - AD 600
material :
technique :
dimensions : Longueur: 8,7 cm, Largeur: 4,7 cm
legalRightOwner : Musées royaux d'art et d'histoire/Koninklijke Musea voor Kunst en Geschiedenis

objectDescription : Cette fibule ansée a été trouvée parmi d’autres objets funéraires (dont une boucle, une tige en fer et quelques autres fibules) dans la tombe 41. La sépulture, datant de la deuxième moitié du VIe siècle, contenait probablement un cercueil en bois et les restes d’une femme riche. L’objet en question provient d’un cimetière datant du VIe-VIIe siècle et trouvé au sommet des ruines d’une villa Romaine au Champ de Saint-Anne, Anderlecht. Cette nécropole, fouillée à la fin du XIXe et au début du XXe siècle par la Société royale d’Archéologie de Bruxelles, contenait probablement quelque 300 tombes. Les défunts étaient orientés est-ouest et enterrés dans des sépultures densément implantées. Les tombes, dont le mobilier se constituait de plusieurs objets, étaient parfois pourvues d’un cercueil en bois ou d’un enclos en pierre.

↑ , Petit couteau en fer:

Petit couteau en fer :

collectionName : Mérovingiens
inventoryNb : B005759-401
objectName :
objectTitle : Petit couteau en fer
objectCulture : Mérovingienne
geography :
dating : AD 500 - AD 700
material :
technique :
dimensions : Longueur: 15,5 cm
legalRightOwner : Musées royaux d'art et d'histoire/Koninklijke Musea voor Kunst en Geschiedenis

objectDescription : Ce petit couteau en fer provient d’un cimetière datant du VIe-VIIe siècle et trouvé au sommet des ruines d’une villa Romaine au Champ de Saint-Anne, Anderlecht. Cette nécropole, fouillée à la fin du XIXe et au début du XXe siècle par la Société royale d’Archéologie de Bruxelles, contenait probablement quelque 300 tombes. Les défunts étaient orientés est-ouest et enterrés dans des sépultures densément implantées. Les tombes, dont le mobilier se constituait de plusieurs objets, étaient parfois pourvues d’un cercueil en bois ou d’un enclos en pierre.

↑ , Epée avec restes de fourreau en bois:

Epée avec restes de fourreau en bois :

collectionName : Mérovingiens
inventoryNb : B005759-424
objectName :
objectTitle : Epée avec restes de fourreau en bois
objectCulture : Mérovingienne
geography :
dating : AD 600 - AD 700
material :
technique :
dimensions : Longueur: 86 cm
legalRightOwner : Musées royaux d'art et d'histoire/Koninklijke Musea voor Kunst en Geschiedenis

objectDescription : Cette épée a été trouvée parmi d’autres objets funéraires (dont un fer de lance et le manipule d’un umbo) dans la tombe 87, datée du VIIe siècle. La tombe contenait probablement les restes d’un homme riche et bien armé. L’objet en question provient d’un cimetière datant du VIe-VIIe siècle et trouvé au sommet des ruines d’une villa Romaine au Champ de Saint-Anne, Anderlecht. Cette nécropole, fouillée à la fin du XIXe et au début du XXe siècle par la Société royale d’Archéologie de Bruxelles, contenait probablement quelque 300 tombes. Les défunts étaient orientés est-ouest et enterrés dans des sépultures densément implantées. Les tombes, dont le mobilier se constituait de plusieurs objets, étaient parfois pourvues d’un cercueil en bois ou d’un enclos en pierre.

↑ , Bol décoré de motifs de lotus et de vague:

Bol décoré de motifs de lotus et de vague :

collectionName : Chine
inventoryNb : CH.0021
objectName :
objectTitle : Bol décoré de motifs de lotus et de vague
objectCulture :
geography :
dating : AD 1101 - AD 1200
material :
technique :
dimensions :
legalRightOwner : Musées royaux d'art et d'histoire/Koninklijke Musea voor Kunst en Geschiedenis

objectDescription : Malgré les fortes ressemblances, les grès Ding et Qingbai illustrent clairement les différences qui existent entre le grès blanc du Nord et celui du Sud. Alors que le grès Ding, cuit en atmosphère oxydante, varie du blanc laiteux à la couleur de l’ivoire, le grès Qingbai, cuit en atmosphère réductrice, se caractérise plutôt par une froide teinte blanc bleuté. Ce dernier était principalement produit à Jingdezhen, qui deviendra plus tard le principal centre de production de porcelaine de la Chine. Les deux types étaient généralement décorés en pressant le produit non glaçuré, non cuit et retourné sur un moule. Pour la cuisson, le produit était retourné ou posé à l’endroit à l’aide de pernettes. Les bords non glaçurés étaient parfois couverts de métal. La production de grès Ding et Qingbai n’a jamais été très appréciée en Chine, mais elle fut exportée, entre autres au Japon, en Corée et au Vietnam.

↑ , :

:

collectionName : Chine
inventoryNb : CH.0171
objectName :
objectTitle :
objectCulture :
geography :
dating : AD 1201 - AD 1400
material :
technique :
dimensions :
legalRightOwner : Musées royaux d'art et d'histoire/Koninklijke Musea voor Kunst en Geschiedenis

objectDescription : Les jun produits dans la province du Henan furent promus - ainsi que les ding, les ru, les guan et les ge - au rang des Cinq grandes traditions céramiques de la dynastie des Song. Les jun les plus connus se caractérisent par une couverte épaisse verte ou bleu lavande, qui coule parfois en grosses larmes sur le pied et qui s’anime de grandes taches pourpres.

↑ , Pince à épiler en cuivre:

Pince à épiler en cuivre :

collectionName : Mérovingiens
inventoryNb : D0058-007
objectName :
objectTitle : Pince à épiler en cuivre
objectCulture : Mérovingienne
geography :
dating : AD 501 - AD 550
material :
technique :
dimensions : Hauteur: 8,5 cm
legalRightOwner : Société Royale d'Archéologie de Bruxelles

objectDescription : Cette pince à épiler a été trouvée parmi d’autres objets funéraires (dont une boucle, un vase en céramique et des ciseaux) dans la tombe 35, datant de la première moitié du VIe siècle. C'était probablement la tombe d'un homme. L’objet en question provient d’un cimetière datant du VIe-VIIe siècle et trouvé au sommet des ruines d’une villa Romaine au Champ de Saint-Anne, Anderlecht. Cette nécropole, fouillée à la fin du XIXe et au début du XXe siècle par la Société royale d’Archéologie de Bruxelles, contenait probablement quelque 300 tombes. Les défunts étaient orientés est-ouest et enterrés dans des sépultures densément implantées. Les tombes, dont le mobilier se constituait de plusieurs objets, étaient parfois pourvues d’un cercueil en bois ou d’un enclos en pierre.

↑ , Pot biconique à pâte gris foncé et lignes incisées parallèles:

Pot biconique à pâte gris foncé et lignes incisées parallèles :

collectionName : Mérovingiens
inventoryNb : D0090-011
objectName :
objectTitle : Pot biconique à pâte gris foncé et lignes incisées parallèles
objectCulture : Mérovingienne
geography :
dating : AD 500 - AD 600
material :
technique :
dimensions : Hauteur: 13,5 cm
legalRightOwner : Société Royale d'Archéologie de Bruxelles

objectDescription : Ce pot biconique était accompagné par quelques autres vases dans la tombe 18, datant du VIe siècle. La tombe contenait également deux autres pots biconiques et un petit vase à panse arrondie. L’objet en question provient d’un cimetière datant du VIe-VIIe siècle et trouvé au sommet des ruines d’une villa Romaine au Champ de Saint-Anne, Anderlecht. Cette nécropole, fouillée à la fin du XIXe et au début du XXe siècle par la Société royale d’Archéologie de Bruxelles, contenait probablement quelque 300 tombes. Les défunts étaient orientés est-ouest et enterrés dans des sépultures densément implantées. Les tombes, dont le mobilier se constituait de plusieurs objets, étaient parfois pourvues d’un cercueil en bois ou d’un enclos en pierre.

↑ , Pot biconique à pâte gris clair:

Pot biconique à pâte gris clair :

collectionName : Mérovingiens
inventoryNb : D0090-061
objectName :
objectTitle : Pot biconique à pâte gris clair
objectCulture : Mérovingienne
geography :
dating : AD 500 - AD 600
material :
technique :
dimensions : Hauteur: 14,5 cm
legalRightOwner : Société Royale d'Archéologie de Bruxelles

objectDescription : Ce pot biconique était accompagné par quelques autres vases dans la tombe 18, datant du VIe siècle. La tombe contenait également deux autres pots biconiques et un petit vase à pense arrondie. L’objet en question provient d’un cimetière Mérovingien datant du VIe-VIIe siècle et trouvé au sommet des ruines d’une villa Romaine au Champ de Saint-Anne, Anderlecht. Cette nécropole, fouillée à la fin du XIXe et au début du XXe siècle par la Société royale d’Archéologie de Bruxelles, contenait probablement 300 tombes. Les défunts étaient orientés est-ouest et enterrés dans des sépultures densément implantées. Les tombes, dont le mobilier se constituait de plusieurs objets, étaient parfois pourvues d’un cercueil en bois ou d’un enclos en pierre.

↑ , Plaque triangulaire dotée de bossettes:

Plaque triangulaire dotée de bossettes :

collectionName : Mérovingiens
inventoryNb : D0090-088
objectName :
objectTitle : Plaque triangulaire dotée de bossettes
objectCulture : Mérovingienne
geography :
dating : AD 501 - AD 700
material :
technique :
dimensions : Hauteur: 4,8 cm, Largeur: 7,5 cm
legalRightOwner : Société Royale d'Archéologie de Bruxelles

objectDescription : Cette plaque traingulaire provient d’un cimetière datant du VIe-VIIe siècle et trouvé au sommet des ruines d’une villa Romaine au Champ de Saint-Anne, Anderlecht. Cette nécropole, fouillée à la fin du XIXe et au début du XXe siècle par la Société royale d’Archéologie de Bruxelles, contenait probablement quelque 300 tombes. Les défunts étaient orientés est-ouest et enterrés dans des sépultures densément implantées. Les tombes, dont le mobilier se constituait de plusieurs objets, étaient parfois pourvues d’un cercueil en bois ou d’un enclos en pierre.

↑ , Fer de lance à douille fendue:

Fer de lance à douille fendue :

collectionName : Mérovingiens
inventoryNb : D0090-113
objectName :
objectTitle : Fer de lance à douille fendue
objectCulture : Mérovingienne
geography :
dating : AD 500 - AD 700
material :
technique :
dimensions : Longueur: 27,5 cm
legalRightOwner : Société Royale d'Archéologie de Bruxelles

objectDescription : Ce fer de lance a été trouvé parmi d’autres objets funéraires (dont une épée, un autre fer de lance et un clou) dans la tombe 66. La tombe contenait probablement un cercueil en bois et les restes d’un homme riche et bien armé. L’objet en question provient d’un cimetière datant du VIe-VIIe siècle et trouvé au sommet des ruines d’une villa Romaine au Champ de Saint-Anne, Anderlecht. Cette nécropole, fouillée à la fin du XIXe et au début du XXe siècle par la Société royale d’Archéologie de Bruxelles, contenait probablement quelque 300 tombes. Les défunts étaient orientés est-ouest et enterrés dans des sépultures densément implantées. Les tombes, dont le mobilier se constituait de plusieurs objets, étaient parfois pourvues d’un cercueil en bois ou d’un enclos en pierre.

↑ , Étiquette de momie en grec et démotique:

Étiquette de momie en grec et démotique :

collectionName : Égypte
inventoryNb : E.00397
objectName :
objectTitle : Étiquette de momie en grec et démotique
objectCulture : Égyptienne
geography :
dating : AD 101 - AD 300
material :
technique :
dimensions : Hauteur: 8,7 cm, Largeur: 5,3 cm
legalRightOwner : Musées royaux d'art et d'histoire/Koninklijke Musea voor Kunst en Geschiedenis

objectDescription : A partir de la Période Romaine, l'usage de pourvoir les momies d'une étiquette en bois se généralise. De forme rectangulaire, les étiquettes, qui étaient nouées autour du cou au moyen d'une ficelle, se présentent sous l'aspect d'une petite stèle. Les textes qui étaient écrits en grec ou en démotique, ou parfois dans les deux langues, contiennent des brèves formules religieuses et des renseignements personnels sur le défunt.

↑ , Étiquette de momie avec écriture démotique:

Étiquette de momie avec écriture démotique :

collectionName : Égypte
inventoryNb : E.00399
objectName :
objectTitle : Étiquette de momie avec écriture démotique
objectCulture : Égyptienne
geography :
dating : 100 BC - 1 BC (Incertaine)
material :
technique :
dimensions : Hauteur: 11,1 cm, Largeur: 5 cm
legalRightOwner : Musées royaux d'art et d'histoire/Koninklijke Musea voor Kunst en Geschiedenis

objectDescription : A partir de la Période Romaine, l'usage de pourvoir les momies d'une étiquette en bois se généralise. De forme rectangulaire, les étiquettes, qui étaient nouées autour du cou au moyen d'une ficelle, se présentent sous l'aspect d'une petite stèle. Les textes qui étaient écrits en grec ou en démotique, ou parfois dans les deux langues, contiennent des brèves formules religieuses et des renseignements personnels sur le défunt. Cet exemplaire, qui est rédigé en démotique, appartient à Tkouthis. Le texte mentionne également les noms d'autres membres de sa famille, la date de son décès et le nom du scribe.

↑ , Étiquette de momie grecque:

Étiquette de momie grecque :

collectionName : Égypte
inventoryNb : E.00400
objectName :
objectTitle : Étiquette de momie grecque
objectCulture : Égyptienne
geography :
dating : 30 BC - AD 395 (Incertaine)
material :
technique :
dimensions : Hauteur: 8,7 cm, Largeur: 5,3 cm
legalRightOwner : Musées royaux d'art et d'histoire/Koninklijke Musea voor Kunst en Geschiedenis

objectDescription : A partir de la Période Romaine, l'usage de pourvoir les momies d'une étiquette en bois se généralise. De forme rectangulaire, les étiquettes, qui étaient nouées autour du cou au moyen d'une ficelle, se présentent sous l'aspect d'une petite stèle. Les textes qui étaient écrits en grec ou en démotique, ou parfois dans les deux langues, contiennent des brèves formules religieuses et des renseignements personnels sur le défunt.

↑ , Étiquette de momie grecque:

Étiquette de momie grecque :

collectionName : Égypte
inventoryNb : E.00401
objectName :
objectTitle : Étiquette de momie grecque
objectCulture : Égyptienne
geography :
dating : 30 BC - AD 395 (Incertaine)
material :
technique :
dimensions : Hauteur: 12,5 cm, Largeur: 6,2 cm
legalRightOwner : Musées royaux d'art et d'histoire/Koninklijke Musea voor Kunst en Geschiedenis

objectDescription : A partir de la Période Romaine, l'usage de pourvoir les momies d'une étiquette en bois se généralise. De forme rectangulaire, les étiquettes, qui étaient nouées autour du cou au moyen d'une ficelle, se présentent sous l'aspect d'une petite stèle. Les textes qui étaient écrits en grec ou en démotique, ou parfois dans les deux langues, contiennent des brèves formules religieuses et des renseignements personnels sur le défunt.

↑ , Stèle de Her-ka:

Stèle de Her-ka :

collectionName : Égypte
inventoryNb : E.00513a
objectName :
objectTitle : Stèle de Her-ka
objectCulture : Égyptienne
geography :
dating : 3000 BC - 2890 BC
material :
technique :
dimensions : Hauteur: 19 cm, Largeur: 17 cm
legalRightOwner : Musées royaux d'art et d'histoire/Koninklijke Musea voor Kunst en Geschiedenis

objectDescription : Les stèles de particuliers de la Ière Dynastie proviennent principalement d'Abydos. De facture très simple, elles mentionnent le nom et parfois le titre de leur propriétaire. La stèle d'Her-ka a été retrouvée dans un des petits mastabas qui entourent les tombes royales. Fouille : Petrie 1902

↑ , Fragment de figurine votive d'Hathor:

Fragment de figurine votive d'Hathor :

collectionName : Égypte
inventoryNb : E.00723
objectName :
objectTitle : Fragment de figurine votive d'Hathor
objectCulture : Égyptienne
geography :
dating : 1545 BC - 1291 BC
material :
technique :
dimensions :
legalRightOwner : Musées royaux d'art et d'histoire/Koninklijke Musea voor Kunst en Geschiedenis

objectDescription : De nombreuses figurines votives à l'effigie de la vache Hathor ont été retrouvées à Deir el-Bahari. Hathor est la déesse de l'amour et de la sexualité, de la musique et de la danse. Au Nouvel Empire, elle incarne en outre la nécrople thébaine dont elle protège les occupants qu'elle aide à accéder à l'au-delà. À ce titre, on la représente parfois sortant de la montagne dite "de l'Occident". C'est une des divinités les plus importantes du panthéon égyptien. Fouille : Naville 1903-1904

↑ , Fragment de figurine votive d'Hathor:

Fragment de figurine votive d'Hathor :

collectionName : Égypte
inventoryNb : E.00724
objectName :
objectTitle : Fragment de figurine votive d'Hathor
objectCulture : Égyptienne
geography :
dating : 1545 BC - 1291 BC
material :
technique :
dimensions : Hauteur: 2,3 cm, Largeur: 4 cm, Profondeur: 1,3 cm
legalRightOwner : Musées royaux d'art et d'histoire/Koninklijke Musea voor Kunst en Geschiedenis

objectDescription : De nombreuses figurines votives à l'effigie de la vache Hathor ont été retrouvées à Deir el-Bahari. Hathor est la déesse de l'amour et de la sexualité, de la musique et de la danse. Au Nouvel Empire, elle incarne en outre la nécrople thébaine dont elle protège les occupants qu'elle aide à accéder à l'au-delà. À ce titre, on la représente parfois sortant de la montagne dite "de l'Occident". C'est une des divinités les plus importantes du panthéon égyptien. Fouille : Naville 1903-1904

↑ , Fragment de figurine votive d'Hathor:

Fragment de figurine votive d'Hathor :

collectionName : Égypte
inventoryNb : E.00743
objectName :
objectTitle : Fragment de figurine votive d'Hathor
objectCulture : Égyptienne
geography :
dating : 1545 BC - 1291 BC
material :
technique :
dimensions : Hauteur: 4,3 cm, Largeur: 9,8 cm, Profondeur: 2,4 cm
legalRightOwner : Musées royaux d'art et d'histoire/Koninklijke Musea voor Kunst en Geschiedenis

objectDescription : De nombreuses figurines votives à l'effigie de la vache Hathor ont été retrouvées à Deir el-Bahari. Hathor est la déesse de l'amour et de la sexualité, de la musique et de la danse. Au Nouvel Empire, elle incarne en outre la nécrople thébaine dont elle protège les occupants qu'elle aide à accéder à l'au-delà. À ce titre, on la représente parfois sortant de la montagne dite "de l'Occident". C'est une des divinités les plus importantes du panthéon égyptien. Fouille : Naville 1903-1904

↑ , Fragment de figurine votive d'Hathor:

Fragment de figurine votive d'Hathor :

collectionName : Égypte
inventoryNb : E.00744
objectName :
objectTitle : Fragment de figurine votive d'Hathor
objectCulture : Égyptienne
geography :
dating : 1545 BC - 1291 BC
material :
technique :
dimensions : Hauteur: 4,6 cm, Largeur: 5,8 cm, Profondeur: 2,5 cm
legalRightOwner : Musées royaux d'art et d'histoire/Koninklijke Musea voor Kunst en Geschiedenis

objectDescription : De nombreuses figurines votives à l'effigie de la vache Hathor ont été retrouvées à Deir el-Bahari. Hathor est la déesse de l'amour et de la sexualité, de la musique et de la danse. Au Nouvel Empire, elle incarne en outre la nécrople thébaine dont elle protège les occupants qu'elle aide à accéder à l'au-delà. À ce titre, on la représente parfois sortant de la montagne dite "de l'Occident". C'est une des divinités les plus importantes du panthéon égyptien. Fouille : Naville 1903-1904

↑ , Fragment de figurine votive d'Hathor:

Fragment de figurine votive d'Hathor :

collectionName : Égypte
inventoryNb : E.00745
objectName :
objectTitle : Fragment de figurine votive d'Hathor
objectCulture : Égyptienne
geography :
dating : 1545 BC - 1291 BC
material :
technique :
dimensions : Hauteur: 3,8 cm, Largeur: 5,9 cm, Profondeur: 2 cm
legalRightOwner : Musées royaux d'art et d'histoire/Koninklijke Musea voor Kunst en Geschiedenis

objectDescription : De nombreuses figurines votives à l'effigie de la vache Hathor ont été retrouvées à Deir el-Bahari. Hathor est la déesse de l'amour et de la sexualité, de la musique et de la danse. Au Nouvel Empire, elle incarne en outre la nécrople thébaine dont elle protège les occupants qu'elle aide à accéder à l'au-delà. À ce titre, on la représente parfois sortant de la montagne dite "de l'Occident". C'est une des divinités les plus importantes du panthéon égyptien. Fouille : Naville 1903-1904

↑ , Haut d'un manche de sistre:

Haut d'un manche de sistre :

collectionName : Égypte
inventoryNb : E.01802
objectName :
objectTitle : Haut d'un manche de sistre
objectCulture : Égyptienne
geography :
dating : 1295 BC - 1186 BC (Incertaine)
material :
technique :
dimensions : Hauteur: 10,9 cm, Largeur: 3,8 cm, Epaisseur: 2,6 cm
legalRightOwner : Musées royaux d'art et d'histoire/Koninklijke Musea voor Kunst en Geschiedenis

objectDescription : Le sistre est un instrument de musique qui servait de crécelle et qui était utilisé dans certains rites, comme par exemple dans celui d'apaiser la déesse Hathor. En le secouant, il produit un bruissement rythmique provoqué par les tiges mobiles qui traversent son cadre et qui sont parfois munies de sonnailles. Ce fragment en bois consiste en la partie supérieure du sistre. Il figure une tête hathorique surmontée d'une façade de naos dans laquelle un uraeus est représenté.

↑ , Fragment de plaquette avec tête d'Hathor:

Fragment de plaquette avec tête d'Hathor :

collectionName : Égypte
inventoryNb : E.02447
objectName :
objectTitle : Fragment de plaquette avec tête d'Hathor
objectCulture : Égyptienne
geography :
dating : 1545 BC - 1291 BC
material :
technique :
dimensions :
legalRightOwner : Musées royaux d'art et d'histoire/Koninklijke Musea voor Kunst en Geschiedenis

objectDescription : Ce fragment de plaquette représente la tête d'une vache portant le disque solaire entre ses cornes. Il s'agit de la déesse Hathor. De nombreuses figurines votives à l'effigie de la vache Hathor ont été retrouvées à Deir el-Bahari. Hathor est la déesse de l'amour et de la sexualité, de la musique et de la danse. Au Nouvel Empire, elle incarne en outre la nécrople thébaine dont elle protège les occupants qu'elle aide à accéder à l'au-delà. À ce titre, on la représente parfois sortant de la montagne dite "de l'Occident". C'est une des divinités les plus importantes du panthéon égyptien. Fouille : Naville & Hall 1905-1906

↑ , Figurine votive d'Hathor:

Figurine votive d'Hathor :

collectionName : Égypte
inventoryNb : E.02448
objectName :
objectTitle : Figurine votive d'Hathor
objectCulture : Égyptienne
geography :
dating : 1545 BC - 1291 BC (Incertaine)
material :
technique :
dimensions :
legalRightOwner : Musées royaux d'art et d'histoire/Koninklijke Musea voor Kunst en Geschiedenis

objectDescription : De nombreuses figurines votives à l'effigie de la vache Hathor ont été retrouvées à Deir el-Bahari. Hathor est la déesse de l'amour et de la sexualité, de la musique et de la danse. Au Nouvel Empire, elle incarne en outre la nécrople thébaine dont elle protège les occupants qu'elle aide à accéder à l'au-delà. À ce titre, on la représente parfois sortant de la montagne dite "de l'Occident". C'est une des divinités les plus importantes du panthéon égyptien. Les deux perforations font penser qu'il s'agissait ici d'un pendentif. Fouille : Naville & Hall 1905-1906

↑ , Petite plaquette votive en forme de vache:

Petite plaquette votive en forme de vache :

collectionName : Égypte
inventoryNb : E.02449
objectName :
objectTitle : Petite plaquette votive en forme de vache
objectCulture : Égyptienne
geography :
dating : 1545 BC - 1291 BC
material :
technique :
dimensions : Hauteur: 2,4 cm, Largeur: 1,8 cm
legalRightOwner : Musées royaux d'art et d'histoire/Koninklijke Musea voor Kunst en Geschiedenis

objectDescription : Figure de vache votive en provenance de Deir el-Bahari. De nombreuses figurines votives à l'effigie de la vache Hathor ont été retrouvées à Deir el-Bahari. Hathor est la déesse de l'amour et de la sexualité, de la musique et de la danse. Au Nouvel Empire, elle incarne en outre la nécrople thébaine dont elle protège les occupants qu'elle aide à accéder à l'au-delà. À ce titre, on la représente parfois sortant de la montagne dite "de l'Occident". C'est une des divinités les plus importantes du panthéon égyptien. Fouille : Naville & Hall 1905-1906

↑ , Figurine votive de vache en bois doré:

Figurine votive de vache en bois doré :

collectionName : Égypte
inventoryNb : E.02460
objectName :
objectTitle : Figurine votive de vache en bois doré
objectCulture : Égyptienne
geography :
dating : 1545 BC - 1291 BC (Incertaine)
material :
technique :
dimensions :
legalRightOwner : Musées royaux d'art et d'histoire/Koninklijke Musea voor Kunst en Geschiedenis

objectDescription : De nombreuses figurines votives à l'effigie de la vache Hathor ont été retrouvées à Deir el-Bahari. Celle-ci possède un trou de suspension qui fait penser qu'il devait s'agir d'un pendentif. Hathor est la déesse de l'amour et de la sexualité, de la musique et de la danse. Au Nouvel Empire, elle incarne en outre la nécrople thébaine dont elle protège les occupants qu'elle aide à accéder à l'au-delà. À ce titre, on la représente parfois sortant de la montagne dite "de l'Occident". C'est une des divinités les plus importantes du panthéon égyptien. La perforation située derrière le cou fait penser qu'il s'agit ici d'un pendentif.

↑ , Hathor-vache:

Hathor-vache :

collectionName : Égypte
inventoryNb : E.02517
objectName :
objectTitle : Hathor-vache
objectCulture : Égyptienne
geography :
dating : 1985 BC - 1295 BC
material :
technique :
dimensions : Hauteur: 11,9 cm, Largeur: 22,3 cm, Profondeur: 6 cm
legalRightOwner : Musées royaux d'art et d'histoire/Koninklijke Musea voor Kunst en Geschiedenis

objectDescription : De nombreuses figurines votives à l'effigie de la vache Hathor ont été retrouvées à Deir el-Bahari. Hathor est la déesse de l'amour et de la sexualité, de la musique et de la danse. Au Nouvel Empire, elle incarne en outre la nécrople thébaine dont elle protège les occupants qu'elle aide à accéder à l'au-delà. À ce titre, on la représente parfois sortant de la montagne dite "de l'Occident". Cet exemplaire en pierre peint en jaune est particulièrement grand. Fouille : Naville & Hall 1906-1907

↑ , Cône perforé:

Cône perforé :

collectionName : Égypte
inventoryNb : E.02958
objectName :
objectTitle : Cône perforé
objectCulture : Égyptienne
geography :
dating : 3900 BC - 3700 BC
material :
technique :
dimensions :
legalRightOwner : Musées royaux d'art et d'histoire/Koninklijke Musea voor Kunst en Geschiedenis

objectDescription : La tombe H41 est une des trois plus riches d’el-Mahâsna, bien qu'ayant été en partie pillée. Elle contenait trois corps : une femme en position foetale au centre, un enfant face à elle et un adulte dans son dos. La tombe H41 appartenait clairement à des personnages de haut niveau social. Elle fut fouillée en 1908-1909 par Ayrton & Loat pour le compte de l'Egypt Exploration Fund qui fit dont aux MRAH de 45 objets de son riche mobilier funéraire. Parmi eux, trois cônes comme celui, creux à l'intérieur et perforés de petits trous sur le bord de la lèvre. Des cônes de ce type ont été retrouvés dans plusieurs tombes à el-Mahâsna.On retrouve parfois ce type d’objet en combinaison avec du cuir, mais on n’a aucune idée de leur fonction actuellement.

↑ , Cône perforé:

Cône perforé :

collectionName : Égypte
inventoryNb : E.02960
objectName :
objectTitle : Cône perforé
objectCulture : Égyptienne
geography :
dating : 3900 BC - 3700 BC
material :
technique :
dimensions : Dimensions H x D: 2,7 cm, 3,9 cm
legalRightOwner : Musées royaux d'art et d'histoire/Koninklijke Musea voor Kunst en Geschiedenis

objectDescription : La tombe H41 est une des trois plus riches d’el-Mahâsna, bien qu'ayant été en partie pillée. Elle contenait trois corps : une femme en position foetale au centre, un enfant face à elle et un adulte dans son dos. La tombe H41 appartenait clairement à des personnages de haut niveau social. Elle fut fouillée en 1908-1909 par Ayrton & Loat pour le compte de l'Egypt Exploration Fund qui fit dont aux MRAH de 45 objets de son riche mobilier funéraire. Parmi eux, trois cônes comme celui, creux à l'intérieur et perforés de petits trous sur le bord de la lèvre. Des cônes de ce type ont été retrouvés dans plusieurs tombes à el-Mahâsna.On retrouve parfois ce type d’objet en combinaison avec du cuir, mais on n’a aucune idée de leur fonction actuellement.

↑ , Cône perforé:

Cône perforé :

collectionName : Égypte
inventoryNb : E.02962
objectName :
objectTitle : Cône perforé
objectCulture : Égyptienne
geography :
dating : 3900 BC - 3700 BC
material :
technique :
dimensions : Dimensions H x D: 4,2 cm, 6,5 cm
legalRightOwner : Musées royaux d'art et d'histoire/Koninklijke Musea voor Kunst en Geschiedenis

objectDescription : La tombe H41 est une des trois plus riches d’el-Mahâsna, bien qu'ayant été en partie pillée. Elle contenait trois corps : une femme en position foetale au centre, un enfant face à elle et un adulte dans son dos. La tombe H41 appartenait clairement à des personnages de haut niveau social. Elle fut fouillée en 1908-1909 par Ayrton & Loat pour le compte de l'Egypt Exploration Fund qui fit dont aux MRAH de 45 objets de son riche mobilier funéraire. Parmi eux, trois cônes comme celui, creux à l'intérieur et perforés de petits trous sur le bord de la lèvre. Des cônes de ce type ont été retrouvés dans plusieurs tombes à el-Mahâsna.On retrouve parfois ce type d’objet en combinaison avec du cuir, mais on n’a aucune idée de leur fonction actuellement.

↑ , Cercueil de Henou:

Cercueil de Henou :

collectionName : Égypte
inventoryNb : E.03035
objectName :
objectTitle : Cercueil de Henou
objectCulture : Égyptienne
geography :
dating : 2064 BC - 1797 BC
material :
technique :
dimensions : Longueur: 183 cm, Largeur: 44 cm, Hauteur: 40 cm
legalRightOwner : Musées royaux d'art et d'histoire/Koninklijke Musea voor Kunst en Geschiedenis

objectDescription : Cercueil de Henou Bois peint Moyen Empire (vers 2064-1797 av. J.-C.) Assiout Le fond et le couvercle du cercueil de Henou sont aujourd’hui perdus. Son décor est très sobre. Sur un des longs côtés apparaissent les yeux oudjat, lieu de passage magique entre le monde des vivants et celui des morts, qui permettent au défunt, allongé sur son flanc gauche, de regarder vers le soleil levant. Sur les petits côtés sont représentés les quatre fils d’Horus, gardiens des viscères : Amset et Hâpy du côté de la tête, Qebehsenouf et Douamoutef du côté des pieds. Chaque long côté est surmonté d’une formule d’offrandes adressée à Osiris et Anubis en faveur du « bienheureux » Henou. En dessous, les inscriptions le qualifient à nouveau de « bienheureux » auprès d’ Osiris, Isis, Ptah, mais aussi de Renenoutet, déesse des moissons et de Sekhet, personnification de la campagne et des champs. Grâce à la présence de ces deux déesses, le défunt est pourvu en offrandes pour l’éternité. Le cercueil de Henou provient des fouilles de l’archéologue britannique D.G. Hogarth dans la nécropole d’Assiout, en Moyenne Égypte, en 1906-1907. Ces fouilles ont mis au jour des dizaines de tombes du Moyen Empire, parfois intactes, dont le contenu a été partagé entre le Musée du Caire et le British Museum de Londres. Notre cercueil a été acheté pour le Musée par le baron É. Empain, probablement au Musée du Caire qui, au début du XXe siècle, disposait de sa propre salle de vente !

↑ , Fragment de figurine votive d'Hathor:

Fragment de figurine votive d'Hathor :

collectionName : Égypte
inventoryNb : E.04432a
objectName :
objectTitle : Fragment de figurine votive d'Hathor
objectCulture : Égyptienne
geography :
dating : 1545 BC - 1291 BC
material :
technique :
dimensions :
legalRightOwner : Musées royaux d'art et d'histoire/Koninklijke Musea voor Kunst en Geschiedenis

objectDescription : De nombreuses figurines votives à l'effigie de la vache Hathor ont été retrouvées à Deir el-Bahari. Hathor est la déesse de l'amour et de la sexualité, de la musique et de la danse. Au Nouvel Empire, elle incarne en outre la nécrople thébaine dont elle protège les occupants qu'elle aide à accéder à l'au-delà. À ce titre, on la représente parfois sortant de la montagne dite "de l'Occident". C'est une des divinités les plus importantes du panthéon égyptien. Fouille : E.E.F. 1911

↑ , Fragment de figurine votive d'Hathor:

Fragment de figurine votive d'Hathor :

collectionName : Égypte
inventoryNb : E.04432b
objectName :
objectTitle : Fragment de figurine votive d'Hathor
objectCulture : Égyptienne
geography :
dating : 1545 BC - 1291 BC
material :
technique :
dimensions :
legalRightOwner : Musées royaux d'art et d'histoire/Koninklijke Musea voor Kunst en Geschiedenis

objectDescription : De nombreuses figurines votives à l'effigie de la vache Hathor ont été retrouvées à Deir el-Bahari. Hathor est la déesse de l'amour et de la sexualité, de la musique et de la danse. Au Nouvel Empire, elle incarne en outre la nécrople thébaine dont elle protège les occupants qu'elle aide à accéder à l'au-delà. À ce titre, on la représente parfois sortant de la montagne dite "de l'Occident". C'est une des divinités les plus importantes du panthéon égyptien. Fouille : E.E.F. 1911

↑ , Fragment de figurine votive d'Hathor:

Fragment de figurine votive d'Hathor :

collectionName : Égypte
inventoryNb : E.04432c
objectName :
objectTitle : Fragment de figurine votive d'Hathor
objectCulture : Égyptienne
geography :
dating : 1545 BC - 1291 BC
material :
technique :
dimensions :
legalRightOwner : Musées royaux d'art et d'histoire/Koninklijke Musea voor Kunst en Geschiedenis

objectDescription : De nombreuses figurines votives à l'effigie de la vache Hathor ont été retrouvées à Deir el-Bahari. Hathor est la déesse de l'amour et de la sexualité, de la musique et de la danse. Au Nouvel Empire, elle incarne en outre la nécrople thébaine dont elle protège les occupants qu'elle aide à accéder à l'au-delà. À ce titre, on la représente parfois sortant de la montagne dite "de l'Occident". C'est une des divinités les plus importantes du panthéon égyptien. Fouille : E.E.F. 1911

↑ , Scarabée avec singes et dattier:

Scarabée avec singes et dattier :

collectionName : Égypte
inventoryNb : E.05388
objectName :
objectTitle : Scarabée avec singes et dattier
objectCulture : Égyptienne
geography :
dating : 1295 BC - 715 BC
material :
technique :
dimensions : Hauteur: 1,9 cm, Largeur: 1,4 cm, Profondeur: 0,9 cm
legalRightOwner : Musées royaux d'art et d'histoire/Koninklijke Musea voor Kunst en Geschiedenis

objectDescription : Les égyptiens utilisaient parfois le dattier comme symbole pour le mot ‘année’ ("rnpt"). Également, les singes adorants peuvent porter le son "nfr" (F35), ‘bien’, ‘beau’. Cette scène peut donc être ‘traduite’ en ‘Bonne année’, un vœu caché pour le Nouvel An. Des scarabées à décor similaire offrent une datation vers les XIXe-XXIIe dynasties.

↑ , Fragment d'étude de sculpteur:

Fragment d'étude de sculpteur :

collectionName : Égypte
inventoryNb : E.05820
objectName :
objectTitle : Fragment d'étude de sculpteur
objectCulture : Égyptienne
geography :
dating : 1349 BC - 1333 BC
material :
technique :
dimensions : Hauteur: 8 cm, Largeur: 8 cm, Profondeur: 2 cm
legalRightOwner : Musées royaux d'art et d'histoire/Koninklijke Musea voor Kunst en Geschiedenis

objectDescription : Sur ce fragment de plaquette en calcaire apparaissent en relief trois signes hiéroglyphiques : le bas du corps d'une abeille et deux formes de pain, l'un horizontal, l'autre vertical. Nous sommes ici face à une étude de sculpteur. Elle faisait partie d'un lot de 18 pièces similaires (E.05820-E.05837) retrouvées sur le site d'Amarna lors des fouilles de W.M.F. Petrie et H. Carter en 1891-1892 et acquises par le musée en 1921. Un grand nombre de ce type d’artefacts a été retrouvé dans la ville d’ Amarna, essentiellement dans les ateliers, les maisons privées ou dans les tas de détritus où ils étaient parfois jetés après réalisation, n’ayant aucune valeur intrinsèque. Des plaquettes en pierre comme celle-ci servaient de support à l’apprentissage des artistes qui se devaient notamment d'apprendre le style propre au règne d'Akhenaton.

↑ , Fragment d'étude de sculpteur:

Fragment d'étude de sculpteur :

collectionName : Égypte
inventoryNb : E.05821
objectName :
objectTitle : Fragment d'étude de sculpteur
objectCulture : Égyptienne
geography :
dating : 1349 BC - 1333 BC
material :
technique :
dimensions : Hauteur: 8 cm, Largeur: 7,5 cm, Profondeur: 3 cm
legalRightOwner : Musées royaux d'art et d'histoire/Koninklijke Musea voor Kunst en Geschiedenis

objectDescription : Sur ce fragment de plaquette en calcaire apparaît en relief une bouche aux lèvres épaisses. Nous sommes ici face à une étude de sculpteur. Elle faisait partie d'un lot de 18 pièces similaires (E.05820-E.05837) retrouvées sur le site d'Amarna lors des fouilles de W.M.F. Petrie et H. Carter en 1891-1892 et acquises par le musée en 1921. Un grand nombre de ce type d’artefacts a été retrouvé dans la ville d’ Amarna, essentiellement dans les ateliers, les maisons privées ou dans les tas de détritus où ils étaient parfois jetés après réalisation, n’ayant aucune valeur intrinsèque. Des plaquettes en pierre comme celle-ci servaient de support à l’apprentissage des artistes qui se devaient notamment d'apprendre le style propre au règne d'Akhenaton.

↑ , Fragment d'étude de sculpteur:

Fragment d'étude de sculpteur :

collectionName : Égypte
inventoryNb : E.05822
objectName :
objectTitle : Fragment d'étude de sculpteur
objectCulture : Égyptienne
geography :
dating : 1349 BC - 1333 BC
material :
technique :
dimensions : Hauteur: 4,6 cm, Largeur: 4,7 cm, Profondeur: 1,3 cm
legalRightOwner : Musées royaux d'art et d'histoire/Koninklijke Musea voor Kunst en Geschiedenis

objectDescription : Sur ce fragment de plaquette en calcaire apparaît en relief dans le creux le contour extérieur d'une tête de profil. Le nez pointu, le menton proéminent et le long cou mince sont des caractéristiques de la période amarnienne. Nous sommes ici face à une étude de sculpteur. Elle faisait partie d'un lot de 18 pièces similaires (E.05820-E.05837) retrouvées sur le site d'Amarna lors des fouilles de W.M.F. Petrie et H. Carter en 1891-1892 et acquises par le musée en 1921. Un grand nombre de ce type d’artefacts a été retrouvé dans la ville d’ Amarna, essentiellement dans les ateliers, les maisons privées ou dans les tas de détritus où ils étaient parfois jetés après réalisation, n’ayant aucune valeur intrinsèque. Des plaquettes en pierre comme celle-ci servaient de support à l’apprentissage des artistes qui se devaient notamment d'apprendre le style propre au règne d'Akhenaton.

↑ , Fragment d'étude de sculpteur:

Fragment d'étude de sculpteur :

collectionName : Égypte
inventoryNb : E.05823
objectName :
objectTitle : Fragment d'étude de sculpteur
objectCulture : Égyptienne
geography :
dating : 1349 BC - 1333 BC
material :
technique :
dimensions : Hauteur: 10 cm, Largeur: 7 cm, Profondeur: 3,5 cm
legalRightOwner : Musées royaux d'art et d'histoire/Koninklijke Musea voor Kunst en Geschiedenis

objectDescription : Ce fragment de plaquette en calcaire montre des lignes courbes sculptées en relief. Bien qu'il soit difficile d'identifier le motif, il pourrait s'agir d'une bouche. Nous sommes ici en présence d'une étude de sculpteur. Elle faisait partie d'un lot de 18 pièces similaires (E.05820-E.05837) retrouvées sur le site d'Amarna lors des fouilles de W.M.F. Petrie et H. Carter en 1891-1892 et acquises par le musée en 1921. Un grand nombre de ce type d’artefacts a été retrouvé dans la ville d’ Amarna, essentiellement dans les ateliers, les maisons privées ou dans les tas de détritus où ils étaient parfois jetés après réalisation, n’ayant aucune valeur intrinsèque. Des plaquettes en pierre comme celle-ci servaient de support à l’apprentissage des artistes qui se devaient notamment d'apprendre le style propre au règne d'Akhenaton.

↑ , Fragment d'étude de sculpteur:

Fragment d'étude de sculpteur :

collectionName : Égypte
inventoryNb : E.05824
objectName :
objectTitle : Fragment d'étude de sculpteur
objectCulture : Égyptienne
geography :
dating : 1349 BC - 1333 BC
material :
technique :
dimensions : Hauteur: 6,5 cm, Largeur: 7 cm, Profondeur: 1,5 cm
legalRightOwner : Musées royaux d'art et d'histoire/Koninklijke Musea voor Kunst en Geschiedenis

objectDescription : Ce fragment de plaquette a été sculpté de plusieurs motifs sur ses deux faces. Au recto, on reconnaît à gauche une bouche de profil, à droite, un visage de profil à l'envers et dans le bas, perpendiculairement à ces deux motifs, une jambe. Au verso, des petits rectangles successifs évoquent le signe hiéroglyphique "nb" en forme de corbeille. Nous sommes ici en présence d'une étude de sculpteur. Elle faisait partie d'un lot de 18 pièces similaires (E.05820-E.05837) retrouvées sur le site d'Amarna lors des fouilles de W.M.F. Petrie et H. Carter en 1891-1892 et acquises par le musée en 1921. Un grand nombre de ce type d’artefacts a été retrouvé dans la ville d’ Amarna, essentiellement dans les ateliers, les maisons privées ou dans les tas de détritus où ils étaient parfois jetés après réalisation, n’ayant aucune valeur intrinsèque. Des plaquettes en pierre comme celle-ci servaient de support à l’apprentissage des artistes qui se devaient notamment d'apprendre le style propre au règne d'Akhenaton.

↑ , Fragment d'étude de sculpteur:

Fragment d'étude de sculpteur :

collectionName : Égypte
inventoryNb : E.05825
objectName :
objectTitle : Fragment d'étude de sculpteur
objectCulture : Égyptienne
geography :
dating : 1349 BC - 1333 BC
material :
technique :
dimensions : Hauteur: 10,4 cm, Largeur: 7,7 cm, Profondeur: 1,6 cm
legalRightOwner : Musées royaux d'art et d'histoire/Koninklijke Musea voor Kunst en Geschiedenis

objectDescription : Ce fragment de plaquette en calcaire a été sculpté de plusieurs motifs sur ses deux faces. Au recto, le haut d'un visage de profil fait face à la représentation du ventre et des hanches d'une femme aux formes amples dont le nombril est indiqué par un petit triangle. Au verso, une partie du visage de la reine Néfertiti se reconnaît grâce au large bandeau de sa couronne. Nous sommes ici en présence d'une étude de sculpteur. Elle faisait partie d'un lot de 18 pièces similaires (E.05820-E.05837) retrouvées sur le site d'Amarna lors des fouilles de W.M.F. Petrie et H. Carter en 1891-1892 et acquises par le musée en 1921. Un grand nombre de ce type d’artefacts a été retrouvé dans la ville d’ Amarna, essentiellement dans les ateliers, les maisons privées ou dans les tas de détritus où ils étaient parfois jetés après réalisation, n’ayant aucune valeur intrinsèque. Des plaquettes en pierre comme celle-ci servaient de support à l’apprentissage des artistes qui se devaient notamment d'apprendre le style propre au règne d'Akhenaton.

↑ , Fragment d'étude de sculpteur:

Fragment d'étude de sculpteur :

collectionName : Égypte
inventoryNb : E.05826
objectName :
objectTitle : Fragment d'étude de sculpteur
objectCulture : Égyptienne
geography :
dating : 1349 BC - 1333 BC
material :
technique :
dimensions : Hauteur: 4,5 cm, Largeur: 5 cm, Profondeur: 1 cm
legalRightOwner : Musées royaux d'art et d'histoire/Koninklijke Musea voor Kunst en Geschiedenis

objectDescription : Ce fragment de plaquette en calcaire est sculpté dans le creux d'un visage de profil dont les traits sont à la période amarnienne : oeil allongé, long nez large et lèvre épaisse. Nous sommes ici en présence d'une étude de sculpteur. Elle faisait partie d'un lot de 18 pièces similaires (E.05820-E.05837) retrouvées sur le site d'Amarna lors des fouilles de W.M.F. Petrie et H. Carter en 1891-1892 et acquises par le musée en 1921. Un grand nombre de ce type d’artefacts a été retrouvé dans la ville d’ Amarna, essentiellement dans les ateliers, les maisons privées ou dans les tas de détritus où ils étaient parfois jetés après réalisation, n’ayant aucune valeur intrinsèque. Des plaquettes en pierre comme celle-ci servaient de support à l’apprentissage des artistes qui se devaient notamment d'apprendre le style propre au règne d'Akhenaton.

↑ , Fragment d'étude de sculpteur:

Fragment d'étude de sculpteur :

collectionName : Égypte
inventoryNb : E.05827
objectName :
objectTitle : Fragment d'étude de sculpteur
objectCulture : Égyptienne
geography :
dating : 1349 BC - 1333 BC
material :
technique :
dimensions : Hauteur: 9 cm, Largeur: 7 cm, Profondeur: 2 cm
legalRightOwner : Musées royaux d'art et d'histoire/Koninklijke Musea voor Kunst en Geschiedenis

objectDescription : Ce fragment de plaquette en calcaire est sculpté de plusieurs motifs sur ses deux faces. Au recto, le bas d'un visage de profil montre des traits spécifiques à la période amarnienne : lèvre épaisse, menton allongé et long cou. Au verso, quelques lignes gravées représentent des signes hiéroglyphiques "nb", en forme de panier. Nous sommes ici en présence d'une étude de sculpteur. Elle faisait partie d'un lot de 18 pièces similaires (E.05820-E.05837) retrouvées sur le site d'Amarna lors des fouilles de W.M.F. Petrie et H. Carter en 1891-1892 et acquises par le musée en 1921. Un grand nombre de ce type d’artefacts a été retrouvé dans la ville d’ Amarna, essentiellement dans les ateliers, les maisons privées ou dans les tas de détritus où ils étaient parfois jetés après réalisation, n’ayant aucune valeur intrinsèque. Des plaquettes en pierre comme celle-ci servaient de support à l’apprentissage des artistes qui se devaient notamment d'apprendre le style propre au règne d'Akhenaton.

↑ , Fragment d'étude de sculpteur:

Fragment d'étude de sculpteur :

collectionName : Égypte
inventoryNb : E.05828
objectName :
objectTitle : Fragment d'étude de sculpteur
objectCulture : Égyptienne
geography :
dating : 1349 BC - 1333 BC
material :
technique :
dimensions : Hauteur: 6,5 cm, Largeur: 3,5 cm, Profondeur: 1,5 cm
legalRightOwner : Musées royaux d'art et d'histoire/Koninklijke Musea voor Kunst en Geschiedenis

objectDescription : Ce fragment de plaquette en calcaire est sculpté de plusieurs motifs sur ses deux faces. Au recto, figure un uraeus dressé, de profil. La tête du cobra est bien détaillée tandis que son corps est inachevé. Le verso montre deux hiéroglyphes "nb", en forme de panier. Nous sommes ici en présence d'une étude de sculpteur. Elle faisait partie d'un lot de 18 pièces similaires (E.05820-E.05837) retrouvées sur le site d'Amarna lors des fouilles de W.M.F. Petrie et H. Carter en 1891-1892 et acquises par le musée en 1921. Un grand nombre de ce type d’artefacts a été retrouvé dans la ville d’ Amarna, essentiellement dans les ateliers, les maisons privées ou dans les tas de détritus où ils étaient parfois jetés après réalisation, n’ayant aucune valeur intrinsèque. Des plaquettes en pierre comme celle-ci servaient de support à l’apprentissage des artistes qui se devaient notamment d'apprendre le style propre au règne d'Akhenaton.

↑ , Fragment d'étude de sculpteur:

Fragment d'étude de sculpteur :

collectionName : Égypte
inventoryNb : E.05830
objectName :
objectTitle : Fragment d'étude de sculpteur
objectCulture : Égyptienne
geography :
dating : 1349 BC - 1333 BC
material :
technique :
dimensions : Hauteur: 12,5 cm, Largeur: 4,7 cm, Profondeur: 2,5 cm
legalRightOwner : Musées royaux d'art et d'histoire/Koninklijke Musea voor Kunst en Geschiedenis

objectDescription : Ce fragment de plaquette en calcaire est sculpté sur ses deux faces. Au recto, le centre de l'espace est occupé par un personnage assis de profil , représenté depuis la taille jusqu'en-dessous du genou. Dans le coin supérieur droit, on distingue les doigts de sa main tenant un bâton. Les doigts allongés et recourbés sont caractéristiques de l'art amarnien. Au recto, plusieurs lignes ont été gravées, sans qu'il soit possible d'identifier ce qu'elles devaient figurer à l'origine. Nous sommes ici en présence d'une étude de sculpteur. Elle faisait partie d'un lot de 18 pièces similaires (E.05820-E.05837) retrouvées sur le site d'Amarna lors des fouilles de W.M.F. Petrie et H. Carter en 1891-1892 et acquises par le musée en 1921. Un grand nombre de ce type d’artefacts a été retrouvé dans la ville d’ Amarna, essentiellement dans les ateliers, les maisons privées ou dans les tas de détritus où ils étaient parfois jetés après réalisation, n’ayant aucune valeur intrinsèque. Des plaquettes en pierre comme celle-ci servaient de support à l’apprentissage des artistes qui se devaient notamment d'apprendre le style propre au règne d'Akhenaton.

↑ , Fragment d'étude de sculpteur:

Fragment d'étude de sculpteur :

collectionName : Égypte
inventoryNb : E.05831
objectName :
objectTitle : Fragment d'étude de sculpteur
objectCulture : Égyptienne
geography :
dating : 1349 BC - 1333 BC
material :
technique :
dimensions : Hauteur: 12 cm, Largeur: 9,5 cm, Profondeur: 1,3 cm
legalRightOwner : Musées royaux d'art et d'histoire/Koninklijke Musea voor Kunst en Geschiedenis

objectDescription : Le côté recto de ce fragment de plaquette en calcaire représente une main figurée jusqu'au poignet. On distingue encore quatre doigts, repliés dans la paume et tenant un objet dont l'identification n'est pas certaine. Le poignet porte un bracelet. Le côté verso est décoré d'une représentation d'un hibou pas très réussie. Seule la tête a été élaborée dans tous les détails. Nous sommes ici en présence d'une étude de sculpteur. Elle faisait partie d'un lot de 18 pièces similaires (E.05820-E.05837) retrouvées sur le site d'Amarna lors des fouilles de W.M.F. Petrie et H. Carter en 1891-1892 et acquises par le musée en 1921. Un grand nombre de ce type d’artefacts a été retrouvé dans la ville d’ Amarna, essentiellement dans les ateliers, les maisons privées ou dans les tas de détritus où ils étaient parfois jetés après réalisation, n’ayant aucune valeur intrinsèque. Des plaquettes en pierre comme celle-ci servaient de support à l’apprentissage des artistes qui se devaient notamment d'apprendre le style propre au règne d'Akhenaton.

↑ , Fragment d'étude de sculpteur:

Fragment d'étude de sculpteur :

collectionName : Égypte
inventoryNb : E.05832
objectName :
objectTitle : Fragment d'étude de sculpteur
objectCulture : Égyptienne
geography :
dating : 1349 BC - 1333 BC
material :
technique :
dimensions : Hauteur: 12,8 cm, Largeur: 14,8 cm, Profondeur: 3,8 cm
legalRightOwner : Musées royaux d'art et d'histoire/Koninklijke Musea voor Kunst en Geschiedenis

objectDescription : Ce fragment de calcaire contient plusieurs signes hiéroglyphiques en relief. On distingue à droite, de haut en bas, deux hampes de roseau (le son "y" en égyptien ancien), un panier ("nb") puis à nouveau une hampe de roseau, placée horizontalement. À gauche, la partie supérieure d'une chouette ("m") au-dessus d'un panier-"nb". La qualité d'exécution des signes est médiocre et peu soignée. Nous sommes ici en présence d'une étude de sculpteur. Elle faisait partie d'un lot de 18 pièces similaires (E.05820-E.05837) retrouvées sur le site d'Amarna lors des fouilles de W.M.F. Petrie et H. Carter en 1891-1892 et acquises par le musée en 1921. Un grand nombre de ce type d’artefacts a été retrouvé dans la ville d’ Amarna, essentiellement dans les ateliers, les maisons privées ou dans les tas de détritus où ils étaient parfois jetés après réalisation, n’ayant aucune valeur intrinsèque. Des plaquettes en pierre comme celle-ci servaient de support à l’apprentissage des artistes qui se devaient notamment d'apprendre le style propre au règne d'Akhenaton.

↑ , Fragment d'étude de sculpteur:

Fragment d'étude de sculpteur :

collectionName : Égypte
inventoryNb : E.05833
objectName :
objectTitle : Fragment d'étude de sculpteur
objectCulture : Égyptienne
geography :
dating : 1349 BC - 1333 BC
material :
technique :
dimensions : Hauteur: 19 cm, Largeur: 9 cm, Profondeur: 6 cm
legalRightOwner : Musées royaux d'art et d'histoire/Koninklijke Musea voor Kunst en Geschiedenis

objectDescription : Une chouette occupe la partie supérieure de ce fragment de calcaire. En-dessous d'elle, quatre doigts d'une main droite sont tracés en couleur rouge. Nous sommes ici en présence d'une étude de sculpteur. Elle faisait partie d'un lot de 18 pièces similaires (E.05820-E.05837) retrouvées sur le site d'Amarna lors des fouilles de W.M.F. Petrie et H. Carter en 1891-1892 et acquises par le musée en 1921. Un grand nombre de ce type d’artefacts a été retrouvé dans la ville d’ Amarna, essentiellement dans les ateliers, les maisons privées ou dans les tas de détritus où ils étaient parfois jetés après réalisation, n’ayant aucune valeur intrinsèque. Des plaquettes en pierre comme celle-ci servaient de support à l’apprentissage des artistes qui se devaient notamment d'apprendre le style propre au règne d'Akhenaton.

↑ , Fragment d'étude de sculpteur:

Fragment d'étude de sculpteur :

collectionName : Égypte
inventoryNb : E.05834
objectName :
objectTitle : Fragment d'étude de sculpteur
objectCulture : Égyptienne
geography :
dating : 1349 BC - 1333 BC
material :
technique :
dimensions : Hauteur: 10,4 cm, Largeur: 9,4 cm, Profondeur: 3 cm
legalRightOwner : Musées royaux d'art et d'histoire/Koninklijke Musea voor Kunst en Geschiedenis

objectDescription : Ce fragment de calcaire contient la représentation de deux mains figurées jusqu'au poignet. Celle du dessous a le pouce tendu et les quatre doigts pliés dans la paume. Nous sommes ici en présence d'une étude de sculpteur. Elle faisait partie d'un lot de 18 pièces similaires (E.05820-E.05837) retrouvées sur le site d'Amarna lors des fouilles de W.M.F. Petrie et H. Carter en 1891-1892 et acquises par le musée en 1921. Un grand nombre de ce type d’artefacts a été retrouvé dans la ville d’ Amarna, essentiellement dans les ateliers, les maisons privées ou dans les tas de détritus où ils étaient parfois jetés après réalisation, n’ayant aucune valeur intrinsèque. Des plaquettes en pierre comme celle-ci servaient de support à l’apprentissage des artistes qui se devaient notamment d'apprendre le style propre au règne d'Akhenaton.

↑ , Fragment d'étude de sculpteur:

Fragment d'étude de sculpteur :

collectionName : Égypte
inventoryNb : E.05835
objectName :
objectTitle : Fragment d'étude de sculpteur
objectCulture : Égyptienne
geography :
dating : 1349 BC - 1333 BC
material :
technique :
dimensions : Hauteur: 8,7 cm, Largeur: 8,5 cm, Profondeur: 1,9 cm
legalRightOwner : Musées royaux d'art et d'histoire/Koninklijke Musea voor Kunst en Geschiedenis

objectDescription : Plusieurs motifs ont été sculptés sur ce fragment de plaquette en calcaire. Au recto comme au verso, une oreille et une main fermée sur objet cylindrique sont figurés. Nous sommes ici en présence d'une étude de sculpteur. Elle faisait partie d'un lot de 18 pièces similaires (E.05820-E.05837) retrouvées sur le site d'Amarna lors des fouilles de W.M.F. Petrie et H. Carter en 1891-1892 et acquises par le musée en 1921. Un grand nombre de ce type d’artefacts a été retrouvé dans la ville d’ Amarna, essentiellement dans les ateliers, les maisons privées ou dans les tas de détritus où ils étaient parfois jetés après réalisation, n’ayant aucune valeur intrinsèque. Des plaquettes en pierre comme celle-ci servaient de support à l’apprentissage des artistes qui se devaient notamment d'apprendre le style propre au règne d'Akhenaton.

↑ , Fragment d'étude de sculpteur:

Fragment d'étude de sculpteur :

collectionName : Égypte
inventoryNb : E.05836
objectName :
objectTitle : Fragment d'étude de sculpteur
objectCulture : Égyptienne
geography :
dating : 1349 BC - 1333 BC
material :
technique :
dimensions : Hauteur: 5 cm, Largeur: 4,5 cm, Profondeur: 1 cm
legalRightOwner : Musées royaux d'art et d'histoire/Koninklijke Musea voor Kunst en Geschiedenis

objectDescription : Plusieurs lignes, droites ou courbes, ont été incisées sur ce fragment de plaquette en calcaire sans qu'on soit en mesure d'interpréter ce qu'elles devaient représenter. Nous sommes ici en présence d'une étude de sculpteur. Elle faisait partie d'un lot de 18 pièces similaires (E.05820-E.05837) retrouvées sur le site d'Amarna lors des fouilles de W.M.F. Petrie et H. Carter en 1891-1892 et acquises par le musée en 1921. Un grand nombre de ce type d’artefacts a été retrouvé dans la ville d’ Amarna, essentiellement dans les ateliers, les maisons privées ou dans les tas de détritus où ils étaient parfois jetés après réalisation, n’ayant aucune valeur intrinsèque. Des plaquettes en pierre comme celle-ci servaient de support à l’apprentissage des artistes qui se devaient notamment d'apprendre le style propre au règne d'Akhenaton.

↑ , Fragment d'étude de sculpteur:

Fragment d'étude de sculpteur :

collectionName : Égypte
inventoryNb : E.05837
objectName :
objectTitle : Fragment d'étude de sculpteur
objectCulture : Égyptienne
geography :
dating : 1349 BC - 1333 BC
material :
technique :
dimensions : Hauteur: 14,7 cm, Largeur: 15 cm, Profondeur: 2,5 cm
legalRightOwner : Musées royaux d'art et d'histoire/Koninklijke Musea voor Kunst en Geschiedenis

objectDescription : Cette étude de sculpteur représente une tête de roi dont les traits du visage sont gravement endommagés. On ne distingue que la ligne partant du front jusqu'au nez, le menton proéminent, le coin intérieur de l'oeil et l'emplacement de l'oreille. La coiffure royale se limite à un trait de contour. Nous sommes ici en présence d'une étude de sculpteur. Elle faisait partie d'un lot de 18 pièces similaires (E.05820-E.05837) retrouvées sur le site d'Amarna lors des fouilles de W.M.F. Petrie et H. Carter en 1891-1892 et acquises par le musée en 1921. Un grand nombre de ce type d’artefacts a été retrouvé dans la ville d’ Amarna, essentiellement dans les ateliers, les maisons privées ou dans les tas de détritus où ils étaient parfois jetés après réalisation, n’ayant aucune valeur intrinsèque. Des plaquettes en pierre comme celle-ci servaient de support à l’apprentissage des artistes qui se devaient notamment d'apprendre le style propre au règne d'Akhenaton.

↑ , Bès jouant du tambourin:

Bès jouant du tambourin :

collectionName : Égypte
inventoryNb : E.06294
objectName :
objectTitle : Bès jouant du tambourin
objectCulture : Égyptienne
geography :
dating : 1349 BC - 1333 BC
material :
technique :
dimensions :
legalRightOwner : Musées royaux d'art et d'histoire/Koninklijke Musea voor Kunst en Geschiedenis

objectDescription : Ce pendentif en faïence bleue a été retrouvé en 1926-1927 lors des fouilles de l'Egypte Exploration Society dans une maison du Faubourg Nord de la ville d'Amarna. Il représente le dieu Bès. Bien que proscrit par le culte officiel du dieu Aton, Bès est resté une divinité incontournable du culte domestique à l'epoque amarnienne. Il est porté en bijou, décore le mobilier et les objets de la vie quotidienne et ses figurines ornent l’autel familial. Son apparence de nain grimaçant repousse les démons, rampants et autres nuisibles qui menacent le foyer qu’il protège. On le représente parfois jouant du tambour ou du tambourin afin d’éloigner les forces malfaisantes.

↑ , Fragment de cuiller à fard en forme de nageuse:

Fragment de cuiller à fard en forme de nageuse :

collectionName : Égypte
inventoryNb : E.06556
objectName :
objectTitle : Fragment de cuiller à fard en forme de nageuse
objectCulture : Égyptienne
geography :
dating : 1545 BC - 1291 BC
material :
technique :
dimensions :
legalRightOwner : Musées royaux d'art et d'histoire/Koninklijke Musea voor Kunst en Geschiedenis

objectDescription : Ce fragment en ivoire appartenait à l'origine à une cuiller "à fard" en forme de nageuse. On distingue le tronc de la jeune fille sur le ventre, l'amorce des deux bras tendus vers l'avant. Les jambes étaient étirées vers l'arrière et l'ouverture sur le haut du cou accueillait la tête et son tenon. Elle devait tenir à l'origine entre les mains un récipient destiné à contenir un onguent ou un autre produit cosmétique. Ce fragment a été retrouvé à Amarna, dans une maison du Faubourg Nord, lors des fouilles de l'Egypt Exploration Society en 1930-31. Les cuillers à fard en forme de nageuse nue portant une perruque et parfois une ceinture à la taille sont bien attestées à 18e dynastie mais ont rarement été retrouvées dans ce matériau. Ce type d'objet de toilette, lié à la séduction de par sa fonction et le personnage qu'il représente exprimaient l'idée de fécondité.

↑ , Queu d'aronde au cartouche de Séti I:

Queu d'aronde au cartouche de Séti I :

collectionName : Égypte
inventoryNb : E.08055
objectName :
objectTitle : Queu d'aronde au cartouche de Séti I
objectCulture : Égyptienne
geography :
dating : 1291 BC - 1188 BC
material :
technique :
dimensions : Hauteur: 34 cm, Largeur: 8,5 cm
legalRightOwner : Musées royaux d'art et d'histoire/Koninklijke Musea voor Kunst en Geschiedenis

objectDescription : Les Égyptiens utilisaient des crampons de pierre, de métal ou de bois pour fixer des blocs de pierre lors de l'édification de monuments. Prenant la forme d'une queue d'aronde, les crampons portaient parfois une inscription. Cet exemplaire en bois montre le cartouche de Séthi I précédé de l'épithète "neb-taouy", signifiant "souverain des Deux Terres".

↑ , Cheval avec cavalière:

Cheval avec cavalière :

collectionName : Chine
inventoryNb : EO.0839
objectName :
objectTitle : Cheval avec cavalière
objectCulture :
geography :
dating : AD 581 - AD 907
material :
technique :
dimensions :
legalRightOwner : Musées royaux d'art et d'histoire/Koninklijke Musea voor Kunst en Geschiedenis

objectDescription : Les pièces glaçurées illustrent de nouveaux développements dans la production céramique, typiques des Sui et du début des Tang. Non seulement, on utilisait une sorte d’argile plus légère et plus blanche, mais, comme sous les Han, elle était également couverte d’une glaçure apposée avant la première et unique cuisson. La teneur en fer relativement faible ainsi que l’atmosphère réductrice du four lui conféraient une teinte jaune paille. Parfois, la glaçure était surpeinte.

↑ , Chameau:

Chameau :

collectionName : Chine
inventoryNb : EO.0867
objectName :
objectTitle : Chameau
objectCulture :
geography :
dating : ca. AD 675 - AD 725
material :
technique :
dimensions :
legalRightOwner : Musées royaux d'art et d'histoire/Koninklijke Musea voor Kunst en Geschiedenis

objectDescription : Les statues funéraires en céramique sancai furent très populaires dès la fin du VIIe siècle jusqu’au début du VIIIe siècle. Le terme sancai signifie « trois couleurs » et se réfère à la combinaison typique de glaçures vertes, beiges et de couleur ambre, même si des glaçures noires et bleues étaient également utilisées. L’effet polychrome des glaçures plombifères était obtenu par l’ajout de cuivre, de fer et, parfois, de manganèse et de cobalt. Les pièces étaient d’abord cuites à 1000-1100° C et, après l’application de la glaçure, cuites une deuxième fois à environ 900° C. Ce genre de céramique a principalement été retrouvé dans les tombes de nobles à proximité de la capitale Tang, Chang’an (Xi’an), dans la province de Shaanxi, et à Luoyang (voir « Honanfou » à gauche sur la carte ci-dessous) dans la province du Henan. Les statues devaient protéger la tombe et également veiller à ce que la vie terrestre se prolonge de la même façon après la mort.

↑ , Personnage aux traits occidentaux:

Personnage aux traits occidentaux :

collectionName : Chine
inventoryNb : EO.0883
objectName :
objectTitle : Personnage aux traits occidentaux
objectCulture :
geography :
dating : AD 581 - AD 907
material :
technique :
dimensions :
legalRightOwner : Musées royaux d'art et d'histoire/Koninklijke Musea voor Kunst en Geschiedenis

objectDescription : Les pièces glaçurées illustrent de nouveaux développements dans la production céramique, typiques des Sui et du début des Tang. Non seulement, on utilisait une sorte d’argile plus légère et plus blanche, mais, comme sous les Han, elle était également couverte d’une glaçure apposée avant la première et unique cuisson. La teneur en fer relativement faible ainsi que l’atmosphère réductrice du four lui conféraient une teinte jaune paille. Parfois, la glaçure était surpeinte.

↑ , Archer à cheval:

Archer à cheval :

collectionName : Chine
inventoryNb : EO.0911
objectName :
objectTitle : Archer à cheval
objectCulture :
geography :
dating : AD 581 - AD 907
material :
technique :
dimensions :
legalRightOwner : Musées royaux d'art et d'histoire/Koninklijke Musea voor Kunst en Geschiedenis

objectDescription : Les pièces glaçurées illustrent de nouveaux développements dans la production céramique, typiques des Sui et du début des Tang. Non seulement, on utilisait une sorte d’argile plus légère et plus blanche, mais, comme sous les Han, elle était également couverte d’une glaçure apposée avant la première et unique cuisson. La teneur en fer relativement faible ainsi que l’atmosphère réductrice du four lui conféraient une teinte jaune paille. Parfois, la glaçure était surpeinte.

↑ , Chamelier:

Chamelier :

collectionName : Chine
inventoryNb : EO.0930
objectName :
objectTitle : Chamelier
objectCulture :
geography :
dating : AD 581 - AD 907
material :
technique :
dimensions :
legalRightOwner : Musées royaux d'art et d'histoire/Koninklijke Musea voor Kunst en Geschiedenis

objectDescription : Les pièces glaçurées illustrent de nouveaux développements dans la production céramique, typiques des Sui et du début des Tang. Non seulement, on utilisait une sorte d’argile plus légère et plus blanche, mais, comme sous les Han, elle était également couverte d’une glaçure apposée avant la première et unique cuisson. La teneur en fer relativement faible ainsi que l’atmosphère réductrice du four lui conféraient une teinte jaune paille. Parfois, la glaçure était surpeinte.

↑ , Chameau:

Chameau :

collectionName : Chine
inventoryNb : EO.0943
objectName :
objectTitle : Chameau
objectCulture :
geography :
dating : ca. AD 675 - AD 725
material :
technique :
dimensions :
legalRightOwner : Musées royaux d'art et d'histoire/Koninklijke Musea voor Kunst en Geschiedenis

objectDescription : Les statues funéraires en céramique sancai furent très populaires dès la fin du VIIe siècle jusqu’au début du VIIIe siècle. Le terme sancai signifie « trois couleurs » et se réfère à la combinaison typique de glaçures vertes, beiges et de couleur ambre, même si des glaçures noires et bleues étaient également utilisées. L’effet polychrome des glaçures plombifères était obtenu par l’ajout de cuivre, de fer et, parfois, de manganèse et de cobalt. Les pièces étaient d’abord cuites à 1000-1100° C et, après l’application de la glaçure, cuites une deuxième fois à environ 900° C. Ce genre de céramique a principalement été retrouvé dans les tombes de nobles à proximité de la capitale Tang, Chang’an (Xi’an), dans la province de Shaanxi, et à Luoyang (voir « Honanfou » à gauche sur la carte ci-dessous) dans la province du Henan. Les statues devaient protéger la tombe et également veiller à ce que la vie terrestre se prolonge de la même façon après la mort.

↑ , Chameau de bât:

Chameau de bât :

collectionName : Chine
inventoryNb : EO.0944
objectName :
objectTitle : Chameau de bât
objectCulture :
geography :
dating : ca. AD 675 - AD 725
material :
technique :
dimensions :
legalRightOwner : Musées royaux d'art et d'histoire/Koninklijke Musea voor Kunst en Geschiedenis

objectDescription : Les statues funéraires en céramique sancai furent très populaires dès la fin du VIIe siècle jusqu’au début du VIIIe siècle. Le terme sancai signifie « trois couleurs » et se réfère à la combinaison typique de glaçures vertes, beiges et de couleur ambre, même si des glaçures noires et bleues étaient également utilisées. L’effet polychrome des glaçures plombifères était obtenu par l’ajout de cuivre, de fer et, parfois, de manganèse et de cobalt. Les pièces étaient d’abord cuites à 1000-1100° C et, après l’application de la glaçure, cuites une deuxième fois à environ 900° C. Ce genre de céramique a principalement été retrouvé dans les tombes de nobles à proximité de la capitale Tang, Chang’an (Xi’an), dans la province de Shaanxi, et à Luoyang (voir « Honanfou » à gauche sur la carte ci-dessous) dans la province du Henan. Les statues devaient protéger la tombe et également veiller à ce que la vie terrestre se prolonge de la même façon après la mort.

↑ , Cheval:

Cheval :

collectionName : Chine
inventoryNb : EO.0945
objectName :
objectTitle : Cheval
objectCulture :
geography :
dating : ca. AD 675 - AD 725
material :
technique :
dimensions :
legalRightOwner : Musées royaux d'art et d'histoire/Koninklijke Musea voor Kunst en Geschiedenis

objectDescription : Les statues funéraires en céramique sancai furent très populaires dès la fin du VIIe siècle jusqu’au début du VIIIe siècle. Le terme sancai signifie « trois couleurs » et se réfère à la combinaison typique de glaçures vertes, beiges et de couleur ambre, même si des glaçures noires et bleues étaient également utilisées. L’effet polychrome des glaçures plombifères était obtenu par l’ajout de cuivre, de fer et, parfois, de manganèse et de cobalt. Les pièces étaient d’abord cuites à 1000-1100° C et, après l’application de la glaçure, cuites une deuxième fois à environ 900° C. Ce genre de céramique a principalement été retrouvé dans les tombes de nobles à proximité de la capitale Tang, Chang’an (Xi’an), dans la province de Shaanxi, et à Luoyang (voir « Honanfou » à gauche sur la carte ci-dessous) dans la province du Henan. Les statues devaient protéger la tombe et également veiller à ce que la vie terrestre se prolonge de la même façon après la mort.

↑ , Lit-alcôve chinois:

Lit-alcôve chinois :

collectionName : Chine
inventoryNb : EO.1311
objectName :
objectTitle : Lit-alcôve chinois
objectCulture :
geography :
dating : ca. AD 1801 - AD 1900
material :
technique :
dimensions :
legalRightOwner : Musées royaux d'art et d'histoire/Koninklijke Musea voor Kunst en Geschiedenis

objectDescription : Ce type de lit-alcove n’était pas utilisé uniquement pour dormir la nuit. On pouvait s’y retirer au cours de la journée pour y lire au calme, ou y tenir une conversation privée avec quelqu’un. Parfois, on plaçait une table devant le lit, de manière à pouvoir écrire ou prendre un repas informel. Ce lit se compose de deux parties : un vestibule avec des petites armoires pour y ranger par exemple des chaussures et des vêtements, et la partie arrière où se trouvait le matelas.

↑ , Vase avec deux petites anses (Jun ware):

Vase avec deux petites anses (Jun ware) :

collectionName : Chine
inventoryNb : EO.1394
objectName :
objectTitle : Vase avec deux petites anses (Jun ware)
objectCulture :
geography :
dating : AD 1201 - AD 1400
material :
technique :
dimensions :
legalRightOwner : Musées royaux d'art et d'histoire/Koninklijke Musea voor Kunst en Geschiedenis

objectDescription : Les jun produits dans la province du Henan furent promus - ainsi que les ding, les ru, les guan et les ge - au rang des Cinq grandes traditions céramiques de la dynastie des Song. Les jun les plus connus se caractérisent par une couverte épaisse verte ou bleu lavande, qui coule parfois en grosses larmes sur le pied et qui s’anime de grandes taches pourpres.

↑ , Étendard ou idole du type 'Maître d'animaux':

Étendard ou idole du type 'Maître d'animaux' :

collectionName : Iran
inventoryNb : IR.0039
objectName :
objectTitle : Étendard ou idole du type 'Maître d'animaux'
objectCulture : Iranienne
geography :
dating : 1300 BC - 750 BC
material :
technique :
dimensions : Hauteur: 17 cm, Largeur: 5,5 cm
legalRightOwner : Musées royaux d'art et d'histoire/Koninklijke Musea voor Kunst en Geschiedenis

objectDescription : Idole, sans pied; Gilgamesh tenant deux gueules de lion; en dessous une tête de lion et deux têtes de coqs. Les étendards ou idoles constituent peut-être le groupe le plus caractéristique des bronzes du Luristan. Il s’agit, en fait, de petites sculptures coulées à la cire perdue, montées sur un socle en forme de bouteille. Elles sont généralement tout à fait creuses dans le sens vertical et leurs faces avant et arrière sont parfaitement identiques. Ces caractéristiques indiquent qu’elles étaient montées sur quelque chose, peut-être une hampe, grâce à leur socle ouvert dans la partie inférieure et qu’elles pouvaient être vues sous tous les angles. Bien qu’un grand nombre d’étendards soient connus par le marché de l’art, pendant longtemps, il n’y eu que peu ou pas du tout d’informations fiables. Il n’était même pas certain que les « socles » faisaient bien partie des étendards et des idoles. Ce n’est qu’en 1970, lors d’une expédition scientifique menée à Tattulban au Luristan, que des archéologues belges découvrirent pour la première fois un étendard avec son socle, Cette découverte et celles qui suivirent confirment le lien qui existe entre les socles et les idoles et rendirent leur datation possible. Elles permirent également de comprendre leur évolution chronologique et formelle. Les plus anciens étendards datent du 13e siècle, soit du début de l’âge du Fer. Ils se composent de deux bouquetins dressés et affrontés ou de fauves, sans doute des lions ou des léopards. La forme des exemplaires les plus anciens est encore très naturaliste, tandis que les pièces plus récentes sont davantage stylisées. Tantôt les animaux sont accolés à un anneau, tantôt leurs pattes antérieures et postérieures fusionnent pour former l’anneau. Certains étendards, comme cat. 278 et 280, se caractérise par la présence d’une feuille de bronze enroulée formant un tuyau. Il est possible que dans la perforation ainsi obtenue ou dans le petit tuyau, une branche ait pu être insérée, ce qui faisait naître le motif d’animaux flanquant un arbre de vie. Il s’agissait là d’un motif particulièrement populaire au Luristan et qui se retrouve, entre autres, aussi sur la garniture de carquois cat. 252. Les idoles cat. 281 et 282, parfois interprétées comme le « maître des animaux », représentent une phase suivante de l’évolution. Un personnage humain est figuré entre deux panthères dressées et affrontées. Les corps des fauves et celui de l’être humain sont soudés pour former un ensemble affectant la forme d’un tuyau, ce qui remplace la feuille de bronze enroulée de l’ancien type d’idole. La réalisation la plus complexe autour du thème du « maître des animaux » est illustrée par cat. 283 et 284. Ce sont maintenant respectivement deux et trois têtes humaines qui sont superposées, le personnage supérieur tenant les fauves par le cou, tandis que des têtes d’oiseaux et de petits volatiles sont ajoutés sur les croupes et cous des fauves. Les divers éléments anatomiques sont toujours plus déformés. Sur la pièce cat. 284, les griffes des fauves du bas sont quasi méconnaissables et les queues disparaissent en grande partie entre les pattes postérieures. Seule la pointe enroulée est encore nettement visible. C’est une idole aussi complexe que celle-là qui fut mise au jour par l’expédition belge à Tattulban. Elle se trouvait dans la tombe d’un homme du début de l’âge du Fer III (début du 8e siècle). La fonction exacte et la signification des idoles ou étendards demeurent toujours incertaines. Grâce aux fouilles, on sait seulement que ces pièces étaient dans des tombes, associées à des armes: en d’autres termes, dans des tombes de combattants. B.O.

↑ , Mors de cheval avec plaques décorées:

Mors de cheval avec plaques décorées :

collectionName : Iran
inventoryNb : IR.0042
objectName :
objectTitle : Mors de cheval avec plaques décorées
objectCulture : Iranienne
geography :
dating : 1300 BC - 801 BC
material :
technique :
dimensions : Hauteur: 15 cm, Largeur: 11 cm
legalRightOwner : Musées royaux d'art et d'histoire/Koninklijke Musea voor Kunst en Geschiedenis

objectDescription : Mors de cheval composé de la tige centrale et de deux plaquettes. Celles-ci ont la forme d'un bouquetin ailé, passant de profil et tournant la tête vers le spectateur. Les mors de chevaux à plaques latérales décorées constituent un groupe important au sein de l’ensemble des bronzes du Luristan. De simples plaques de mors figuratives en forme de chevaux marchant sont également attestées, entre autres à Marlik Tepe, dans le Nord de l’Iran, et sont représentées de temps à autres sur les reliefs néo-assyriens des palais mésopotamiens. Ce n’est toutefois qu’au Luristan que l’iconographie des plaques de mors est aussi diversifiée. On y retrouve des animaux réels à côté d’êtres fabuleux, de scènes mythologiques et de combat. Les plaques de mors sont parfois particulièrement grandes et lourdes. Ainsi, cat. 274, représentant des lions ailés qui maintiennent un bouquetin, mesure-t-elle 12,4 sur 14,4 cm. C’est pourquoi il est souvent suggéré que de tels mors n’étaient pas destinés à un usage courant, mais étaient produits pour servir d’offrandes votives ou funéraires. De nettes traces d’utilisation apparaissent cependant sur nombre de ces mors, ce qui contredit l’hypothèse précédente et indique un emploi intensif et de longue durée. Jusqu’à présent, aucun mors à plaques figuratives n’a été mis au jour lors de fouilles scientifiques, ce qui empêche une datation précise, mais aussi de circonscrire leur aire de développement. De même, leur arrivée via le commerce de l’art explique également la raison pour laquelle les plaques d’un même mors ont souvent été séparées et ont abouti dans différentes collections ou divers musées (voir aussi cat. 252, garniture de carquois). C’est ainsi que l’une des plaques latérales des mors cat. 272 et 274 n’appartient pas aux collections des MRAH Par analogie avec d’autres groupes caractéristiques de bronzes du Luristan, comme les idoles et les haches, de manière générale nous pouvons conclure à une évolution dans le temps allant d’un décor naturaliste très simple à une iconographie toujours plus complexe et proposer une datation comprise entre le 13e siècle et le 9e/début 8e siècle.

↑ , Hache à douille en bronze:

Hache à douille en bronze :

collectionName : Iran
inventoryNb : IR.0053
objectName :
objectTitle : Hache à douille en bronze
objectCulture : Iranienne
geography :
dating : 1300 BC - 801 BC
material :
technique :
dimensions : Hauteur: 18 cm, Largeur: 5,5 cm
legalRightOwner : Musées royaux d'art et d'histoire/Koninklijke Musea voor Kunst en Geschiedenis

objectDescription : Hache à nervures terminées en pointes et reliées par une pièce transversale. Les haches à digitations, caractérisées par la présence de pointes saillantes ou « doigts » sur la douille, sont caractéristiques du Luristan. La lame est généralement fortement courbée et, dans certains cas extrêmes, le tranchant est à l’aplomb du manche de la hache. Parfois, les « doigts » affectent la forme d’animaux, à moins que les figures animales n’aient été ajoutées sur la lame ou encore sur les aspérités. La lame de la hache jaillit parfois de la gueule des fauves. Certaines haches à digitations issues du commerce de l’art portent des inscriptions dédicatoires de rois élamites et néo-babyloniens, ce qui suggère qu’elles furent placées dans des temples. Cette hypothèse fut confirmée par la découverte de haches à digitations miniatures dans un temple de Surkh Dum-i Luri, ainsi que dans un dépôt d’objets en bronze à Sangtarashan, selon toute vraisemblance aussi dans un temple. Le fait qu’elles aient également été retrouvées dans des tombes à Bard-i Bal, Kutal-i Gulgul et Khatunban indique qu’elles furent aussi utilisées réellement. Elles peuvent être datées de l’âge du Fer I, entre le 13e et le 9e siècle. Une évolution dans le temps vers des exemplaires toujours plus compliqués et plus décoratifs est perceptible. Des haches à lame extrêmement recourbée et à tenons remarquablement longs sur le manche, sont à situer à la fin de l’évolution. Dans le cas de cet exemplaire, le tranchant de la lame est devenu quasi inutilisable. Ce sont surtout la pointe affûtée de la lame et les tenons, à l’arrière, qui font des haches à digitations des armes dangereuses. B.O.

↑ , Jarre à provisions, décorée:

Jarre à provisions, décorée :

collectionName : Iran
inventoryNb : IR.0203
objectName :
objectTitle : Jarre à provisions, décorée
objectCulture : Iranienne
geography :
dating : 2500 BC - 1501 BC
material :
technique :
dimensions : Hauteur: 22 cm, Largeur: 20 cm
legalRightOwner : Musées royaux d'art et d'histoire/Koninklijke Musea voor Kunst en Geschiedenis

objectDescription : La phase de Giyan IV est essentiellement connue par une nécropole comptant 19 tombes qui livrèrent de la céramique en abondance. Les vases à provisions peints sont caractéristiques de cette phase et les exemplaires les plus grands sont généralement décorés de bandeaux en relief horizontaux et ondulés. La peinture est limitée au col et à l’épaule du récipient. Outre les bandes géométriques horizontales, les motifs les plus significatifs sont des paires d’oiseaux «en forme de peigne», des oiseaux héraldiques aux ailes déployées, parfois combinés à des volatiles nageant et des rangées de dents de scie. B.O.

↑ , Jarre à provisions, décorée:

Jarre à provisions, décorée :

collectionName : Iran
inventoryNb : IR.0205
objectName :
objectTitle : Jarre à provisions, décorée
objectCulture : Iranienne
geography :
dating : 2500 BC - 1501 BC
material :
technique :
dimensions : Hauteur: 29 cm, Largeur: 30 cm
legalRightOwner : Musées royaux d'art et d'histoire/Koninklijke Musea voor Kunst en Geschiedenis

objectDescription : La phase de Giyan IV est essentiellement connue par une nécropole comptant 19 tombes qui livrèrent de la céramique en abondance. Les vases à provisions peints sont caractéristiques de cette phase et les exemplaires les plus grands sont généralement décorés de bandeaux en relief horizontaux et ondulés. La peinture est limitée au col et à l’épaule du récipient. Outre les bandes géométriques horizontales, les motifs les plus significatifs sont des paires d’oiseaux «en forme de peigne», des oiseaux héraldiques aux ailes déployées, parfois combinés à des volatiles nageant et des rangées de dents de scie. B.O.

↑ , Jarre à provisions, décorée:

Jarre à provisions, décorée :

collectionName : Iran
inventoryNb : IR.0212
objectName :
objectTitle : Jarre à provisions, décorée
objectCulture : Iranienne
geography :
dating : Inconnue
material :
technique :
dimensions : Hauteur: 32 cm, Largeur: 30 cm
legalRightOwner : Musées royaux d'art et d'histoire/Koninklijke Musea voor Kunst en Geschiedenis

objectDescription : La phase de Giyan IV est essentiellement connue par une nécropole comptant 19 tombes qui livrèrent de la céramique en abondance. Les vases à provisions peints sont caractéristiques de cette phase et les exemplaires les plus grands sont généralement décorés de bandeaux en relief horizontaux et ondulés. La peinture est limitée au col et à l’épaule du récipient. Outre les bandes géométriques horizontales, les motifs les plus significatifs sont des paires d’oiseaux «en forme de peigne», des oiseaux héraldiques aux ailes déployées, parfois combinés à des volatiles nageant et des rangées de dents de scie. B.O.

↑ , Vase à bec verseur:

Vase à bec verseur :

collectionName : Iran
inventoryNb : IR.0245
objectName :
objectTitle : Vase à bec verseur
objectCulture : Iranienne
geography :
dating : 1000 BC - 601 BC
material :
technique :
dimensions : Hauteur: 19,5 cm, Largeur: 18 cm
legalRightOwner : Musées royaux d'art et d'histoire/Koninklijke Musea voor Kunst en Geschiedenis

objectDescription : La céramique peinte en rouge sur fond beige de Tepe Siyalk constitue un développement local de céramique grise de l’âge du Fer I et date de l’âge du Fer II-III (10e-7e siècle). Le bec de la cruche est alors généralement relié au col du vase et un « jabot », sous le conduit, prend parfois la forme d’une tête humaine ou d’animal. Habituellement, cette céramique est entièrement peinte, y compris le fond. Outre des motifs géométriques apparaissent des animaux (gazelles, bouquetins, chevaux, …), des combattants, des cavaliers et des êtres fabuleux (chevaux et bovidés ailés). De la céramique peinte de ce type a été découverte pour la première fois au cours de la fouille d’un cimetière près de Tepe Siyalk, un site archéologique proche de la ville moderne de Kashan. Entre 1933 et 1937, des travaux y ont été entrepris par Roman Ghirshman à la demande du Musée du Louvre. Des vases similaires proposés par la suite sur le marché de l’art proviennent sans doute aussi de Tepe Siyalk. B.O.

↑ , Vase décoré avec anse et bec:

Vase décoré avec anse et bec :

collectionName : Iran
inventoryNb : IR.0254
objectName :
objectTitle : Vase décoré avec anse et bec
objectCulture : Iranienne
geography :
dating : 1000 BC - 601 BC
material :
technique :
dimensions : Hauteur: 22 cm, Largeur: 23 cm
legalRightOwner : Musées royaux d'art et d'histoire/Koninklijke Musea voor Kunst en Geschiedenis

objectDescription : Vase à bec court aplati verticalement. La céramique peinte en rouge sur fond beige de Tepe Siyalk constitue un développement local de céramique grise de l’âge du Fer I et date de l’âge du Fer II-III (10e-7e siècle). Le bec de la cruche est alors généralement relié au col du vase et un « jabot », sous le conduit, prend parfois la forme d’une tête humaine ou d’animal. Habituellement, cette céramique est entièrement peinte, y compris le fond. Outre des motifs géométriques apparaissent des animaux (gazelles, bouquetins, chevaux, …), des combattants, des cavaliers et des êtres fabuleux (chevaux et bovidés ailés). De la céramique peinte de ce type a été découverte pour la première fois au cours de la fouille d’un cimetière près de Tepe Siyalk, un site archéologique proche de la ville moderne de Kashan. Entre 1933 et 1937, des travaux y ont été entrepris par Roman Ghirshman à la demande du Musée du Louvre. Des vases similaires proposés par la suite sur le marché de l’art proviennent sans doute aussi de Tepe Siyalk. B.O.

↑ , Vase à bec verseur:

Vase à bec verseur :

collectionName : Iran
inventoryNb : IR.0255
objectName :
objectTitle : Vase à bec verseur
objectCulture : Iranienne
geography :
dating : 1000 BC - 601 BC
material :
technique :
dimensions : Hauteur: 19 cm, Largeur: 19 cm
legalRightOwner : Musées royaux d'art et d'histoire/Koninklijke Musea voor Kunst en Geschiedenis

objectDescription : La céramique peinte en rouge sur fond beige de Tepe Siyalk constitue un développement local de céramique grise de l’âge du Fer I et date de l’âge du Fer II-III (10e-7e siècle). Le bec de la cruche est alors généralement relié au col du vase et un « jabot », sous le conduit, prend parfois la forme d’une tête humaine ou d’animal. Habituellement, cette céramique est entièrement peinte, y compris le fond. Outre des motifs géométriques apparaissent des animaux (gazelles, bouquetins, chevaux, …), des combattants, des cavaliers et des êtres fabuleux (chevaux et bovidés ailés). De la céramique peinte de ce type a été découverte pour la première fois au cours de la fouille d’un cimetière près de Tepe Siyalk, un site archéologique proche de la ville moderne de Kashan. Entre 1933 et 1937, des travaux y ont été entrepris par Roman Ghirshman à la demande du Musée du Louvre. Des vases similaires proposés par la suite sur le marché de l’art proviennent sans doute aussi de Tepe Siyalk. B.O.

↑ , Hache à douille en bronze:

Hache à douille en bronze :

collectionName : Iran
inventoryNb : IR.0258
objectName :
objectTitle : Hache à douille en bronze
objectCulture : Iranienne
geography :
dating : ca. 1180 BC - AD 300
material :
technique :
dimensions :
legalRightOwner : Musées royaux d'art et d'histoire/Koninklijke Musea voor Kunst en Geschiedenis

objectDescription : Hache, à reliefs, ciselée, 4 nervures, tête de lion. Les haches à digitations, caractérisées par la présence de pointes saillantes ou « doigts » sur la douille, sont caractéristiques du Luristan. La lame est généralement fortement courbée et, dans certains cas extrêmes, le tranchant est à l’aplomb du manche de la hache. Parfois, les « doigts » affectent la forme d’animaux, à moins que les figures animales n’aient été ajoutées sur la lame ou encore sur les aspérités. La lame de la hache jaillit parfois de la gueule des fauves. Certaines haches à digitations issues du commerce de l’art portent des inscriptions dédicatoires de rois élamites et néo-babyloniens, ce qui suggère qu’elles furent placées dans des temples. Cette hypothèse fut confirmée par la découverte de haches à digitations miniatures dans un temple de Surkh Dum-i Luri, ainsi que dans un dépôt d’objets en bronze à Sangtarashan, selon toute vraisemblance aussi dans un temple. Le fait qu’elles aient également été retrouvées dans des tombes à Bard-i Bal, Kutal-i Gulgul et Khatunban indique qu’elles furent aussi utilisées réellement. Elles peuvent être datées de l’âge du Fer I, entre le 13e et le 9e siècle. Une évolution dans le temps vers des exemplaires toujours plus compliqués et plus décoratifs est perceptible. Des haches à lame extrêmement recourbée et à tenons remarquablement longs sur le manche, sont à situer à la fin de l’évolution. Dans le cas de cet exemplaire, le tranchant de la lame est devenu quasi inutilisable. Ce sont surtout la pointe affûtée de la lame et les tenons, à l’arrière, qui font des haches à digitations des armes dangereuses. B.O.

↑ , Vase à bec verseur:

Vase à bec verseur :

collectionName : Iran
inventoryNb : IR.0273
objectName :
objectTitle : Vase à bec verseur
objectCulture : Iranienne
geography :
dating : 1000 BC - 601 BC
material :
technique :
dimensions : Hauteur: 20 cm, Largeur: 30,5 cm
legalRightOwner : Musées royaux d'art et d'histoire/Koninklijke Musea voor Kunst en Geschiedenis

objectDescription : La céramique peinte en rouge sur fond beige de Tepe Siyalk constitue un développement local de céramique grise de l’âge du Fer I et date de l’âge du Fer II-III (10e-7e siècle). Le bec de la cruche est alors généralement relié au col du vase et un « jabot », sous le conduit, prend parfois la forme d’une tête humaine ou d’animal. Habituellement, cette céramique est entièrement peinte, y compris le fond. Outre des motifs géométriques apparaissent des animaux (gazelles, bouquetins, chevaux, …), des combattants, des cavaliers et des êtres fabuleux (chevaux et bovidés ailés). De la céramique peinte de ce type a été découverte pour la première fois au cours de la fouille d’un cimetière près de Tepe Siyalk, un site archéologique proche de la ville moderne de Kashan. Entre 1933 et 1937, des travaux y ont été entrepris par Roman Ghirshman à la demande du Musée du Louvre. Des vases similaires proposés par la suite sur le marché de l’art proviennent sans doute aussi de Tepe Siyalk. B.O.

↑ , Vase à bec verseur:

Vase à bec verseur :

collectionName : Iran
inventoryNb : IR.0288
objectName :
objectTitle : Vase à bec verseur
objectCulture : Iranienne
geography :
dating : 2500 BC - 2401 BC
material :
technique :
dimensions : Hauteur: 13,8 cm, Largeur: 26,7 cm
legalRightOwner : Musées royaux d'art et d'histoire/Koninklijke Musea voor Kunst en Geschiedenis

objectDescription : Sur la panse de ce cruchon martelé à long bec verseur figurent des serpents imbriqués les uns dans les autres et dont les têtes se rejoignent sous le bec. Ces animaux ont été martelés et les détails de leur peau sont incisés. Il est à noter qu’un des serpents est affublé d’une tête à chacune de ses extrémités, tandis que l’autre reptile l’est de deux queues. Un motif identique orne deux cruchons similaires, l’un a été mis au jour à Tello et l’autre est conservé au Musée du Louvre et proviendrait également du Luristan. Des cruchons comparables, parfois décorés de volutes, ont été découverts à Gilviran, au Luristan, et à Suse. Ils témoignent de la diffusion de ce genre de récipients vers le milieu du 3e millénaire. B.O.

↑ , Vase à bec verseur et anse:

Vase à bec verseur et anse :

collectionName : Iran
inventoryNb : IR.0294
objectName :
objectTitle : Vase à bec verseur et anse
objectCulture : Iranienne
geography :
dating : 1000 BC - 601 BC
material :
technique :
dimensions : Hauteur: 20 cm, Largeur: 29 cm
legalRightOwner : Musées royaux d'art et d'histoire/Koninklijke Musea voor Kunst en Geschiedenis

objectDescription : Vase à goulot évasé, anse et long bec à gouttière, base plate protubérante. L'extrémité intérieure du bec s'achève en spirale. Sur la panse : trois damiers. Autour du bec, des cercles concentriques, comblés de carrés, damiers, filet et rayonnant. Sur le goulot et l'anse des lignes et des tâches audessous. Sous la base : 4 damiers dans 2 lignes se croisant. Couleur rouge sur fond clair. La céramique peinte en rouge sur fond beige de Tepe Siyalk constitue un développement local de céramique grise de l’âge du Fer I et date de l’âge du Fer II-III (10e-7e siècle). Le bec de la cruche est alors généralement relié au col du vase et un « jabot », sous le conduit, prend parfois la forme d’une tête humaine ou d’animal. Habituellement, cette céramique est entièrement peinte, y compris le fond. Outre des motifs géométriques apparaissent des animaux (gazelles, bouquetins, chevaux, …), des combattants, des cavaliers et des êtres fabuleux (chevaux et bovidés ailés). De la céramique peinte de ce type a été découverte pour la première fois au cours de la fouille d’un cimetière près de Tepe Siyalk, un site archéologique proche de la ville moderne de Kashan. Entre 1933 et 1937, des travaux y ont été entrepris par Roman Ghirshman à la demande du Musée du Louvre. Des vases similaires proposés par la suite sur le marché de l’art proviennent sans doute aussi de Tepe Siyalk. B.O.

↑ , Vase à bec verseur et anse:

Vase à bec verseur et anse :

collectionName : Iran
inventoryNb : IR.0295
objectName :
objectTitle : Vase à bec verseur et anse
objectCulture : Iranienne
geography :
dating : 1000 BC - 601 BC
material :
technique :
dimensions : Hauteur: 25,5 cm, Largeur: 30 cm
legalRightOwner : Musées royaux d'art et d'histoire/Koninklijke Musea voor Kunst en Geschiedenis

objectDescription : La céramique peinte en rouge sur fond beige de Tepe Siyalk constitue un développement local de céramique grise de l’âge du Fer I et date de l’âge du Fer II-III (10e-7e siècle). Le bec de la cruche est alors généralement relié au col du vase et un « jabot », sous le conduit, prend parfois la forme d’une tête humaine ou d’animal. Habituellement, cette céramique est entièrement peinte, y compris le fond. Outre des motifs géométriques apparaissent des animaux (gazelles, bouquetins, chevaux, …), des combattants, des cavaliers et des êtres fabuleux (chevaux et bovidés ailés). De la céramique peinte de ce type a été découverte pour la première fois au cours de la fouille d’un cimetière près de Tepe Siyalk, un site archéologique proche de la ville moderne de Kashan. Entre 1933 et 1937, des travaux y ont été entrepris par Roman Ghirshman à la demande du Musée du Louvre. Des vases similaires proposés par la suite sur le marché de l’art proviennent sans doute aussi de Tepe Siyalk. B.O.

↑ , Vase décoré avec anse et bec:

Vase décoré avec anse et bec :

collectionName : Iran
inventoryNb : IR.0296
objectName :
objectTitle : Vase décoré avec anse et bec
objectCulture : Iranienne
geography :
dating : 1000 BC - 601 BC
material :
technique :
dimensions : Hauteur: 21 cm, Largeur: 24,5 cm
legalRightOwner : Musées royaux d'art et d'histoire/Koninklijke Musea voor Kunst en Geschiedenis

objectDescription : Vase à goulot évasé, anse et bec court aplati. Autour du bec, triangle de deux lignes parallèles, comblé d'un filet de traits qui se coupent; idem sur le bec. Taches sur le bord du goulot. Couleur rouge sur fond clair. La céramique peinte en rouge sur fond beige de Tepe Siyalk constitue un développement local de céramique grise de l’âge du Fer I et date de l’âge du Fer II-III (10e-7e siècle). Le bec de la cruche est alors généralement relié au col du vase et un « jabot », sous le conduit, prend parfois la forme d’une tête humaine ou d’animal. Habituellement, cette céramique est entièrement peinte, y compris le fond. Outre des motifs géométriques apparaissent des animaux (gazelles, bouquetins, chevaux, …), des combattants, des cavaliers et des êtres fabuleux (chevaux et bovidés ailés). De la céramique peinte de ce type a été découverte pour la première fois au cours de la fouille d’un cimetière près de Tepe Siyalk, un site archéologique proche de la ville moderne de Kashan. Entre 1933 et 1937, des travaux y ont été entrepris par Roman Ghirshman à la demande du Musée du Louvre. Des vases similaires proposés par la suite sur le marché de l’art proviennent sans doute aussi de Tepe Siyalk. B.O.

↑ , Étendard ou idole du type 'Maître d'animaux':

Étendard ou idole du type 'Maître d'animaux' :

collectionName : Iran
inventoryNb : IR.0328
objectName :
objectTitle : Étendard ou idole du type 'Maître d'animaux'
objectCulture : Iranienne
geography :
dating : 1300 BC - 801 BC
material :
technique :
dimensions : Hauteur: 13 cm, Largeur: 7 cm
legalRightOwner : Musées royaux d'art et d'histoire/Koninklijke Musea voor Kunst en Geschiedenis

objectDescription : Idole. Sur deux croupes de quadrupèdes réunies, se dresse le buste à tête humaine (?); des épaules se détachent deux longs cous dont les gueules saissent d'énormes oreilles de la tête humaine. Nez en lame; yeux protubérants; de chaque côté du buste, on voit 4 et 5 traits en relief, qui font penser à la figuration de doigts. Autour du buste, 3 cerches en relief. Les étendards ou idoles constituent peut-être le groupe le plus caractéristique des bronzes du Luristan. Il s’agit, en fait, de petites sculptures coulées à la cire perdue, montées sur un socle en forme de bouteille. Elles sont généralement tout à fait creuses dans le sens vertical et leurs faces avant et arrière sont parfaitement identiques. Ces caractéristiques indiquent qu’elles étaient montées sur quelque chose, peut-être une hampe, grâce à leur socle ouvert dans la partie inférieure et qu’elles pouvaient êtres vues sous tous les angles. Bien qu’un grand nombre d’étendards soient connus par le marché de l’art, pendant longtemps, il n’y eu que peu ou pas du tout d’informations fiables. Il n’était même pas certain que les « socles » faisaient bien partie des étendards et des idoles. Ce n’est qu’en 1970, lors d’une expédition scientifique menée à Tattulban au Luristan, que des archéologues belges découvrirent pour la première fois un étendard avec son socle, Cette découverte et celles qui suivirent confirment le lien qui existe entre les socles et les idoles et rendirent leur datation possible. Elles permirent également de comprendre leur évolution chronologique et formelle. Les plus anciens étendards datent du 13e siècle, soit du début de l’âge du Fer. Ils se composent de deux bouquetins dressés et affrontés ou de fauves, sans doute des lions ou des léopards. La forme des exemplaires les plus anciens est encore très naturaliste, tandis que les pièces plus récentes sont davantage stylisées. Tantôt les animaux sont accolés à un anneau, tantôt leurs pattes antérieures et postérieures fusionnent pour former l’anneau. Certains étendards se caractérise par la présence d’une feuille de bronze enroulée formant un tuyau. Il est possible que dans la perforation ainsi obtenue ou dans le petit tuyau, une branche ait pu être insérée, ce qui faisait naître le motif d’animaux flanquant un arbre de vie. Il s’agissait là d’un motif particulièrement populaire au Luristan. Les idoles parfois interprétées comme le « maître des animaux », représentent une phase suivante de l’évolution. Un personnage humain est figuré entre deux panthères dressées et affrontées. Les corps des fauves et celui de l’être humain sont soudés pour former un ensemble affectant la forme d’un tuyau, ce qui remplace la feuille de bronze enroulée de l’ancien type d’idole. La fonction exacte et la signification des idoles ou étendards demeurent toujours incertaines. Grâce aux fouilles, on sait seulement que ces pièces étaient dans des tombes, associées à des armes: en d’autres termes, dans des tombes de combattants. B.O.

↑ , Jarre à provisions, décorée:

Jarre à provisions, décorée :

collectionName : Iran
inventoryNb : IR.0422
objectName :
objectTitle : Jarre à provisions, décorée
objectCulture : Iranienne
geography :
dating : 2500 BC - 1501 BC
material :
technique :
dimensions : Dimensions H x D: 51 cm, 39 cm
legalRightOwner : Musées royaux d'art et d'histoire/Koninklijke Musea voor Kunst en Geschiedenis

objectDescription : La phase de Giyan IV est essentiellement connue par une nécropole comptant 19 tombes qui livrèrent de la céramique en abondance. Les vases à provisions peints sont caractéristiques de cette phase et les exemplaires les plus grands sont généralement décorés de bandeaux en relief horizontaux et ondulés. La peinture est limitée au col et à l’épaule du récipient. Outre les bandes géométriques horizontales, les motifs les plus significatifs sont des paires d’oiseaux «en forme de peigne», des oiseaux héraldiques aux ailes déployées, parfois combinés à des volatiles nageant et des rangées de dents de scie. B.O.

↑ , Hache à digitations:

Hache à digitations :

collectionName : Iran
inventoryNb : IR.0526
objectName :
objectTitle : Hache à digitations
objectCulture : Iranienne
geography :
dating : 1300 BC - 801 BC
material :
technique :
dimensions : Hauteur: 5,5 cm, Largeur: 18,5 cm
legalRightOwner : Musées royaux d'art et d'histoire/Koninklijke Musea voor Kunst en Geschiedenis

objectDescription : Hache de parade. La douille est ornée de deux gazelles dont les têtes supportent les deux pointes extérieures des quatre pointes faisant contre-poids. La lame naît dans la gueule d'un lion et est ornée de chaque côté d'une moulure en forme de flèche. La lame est bordée d'une moulure; une partie manque. Les haches à digitations, caractérisées par la présence de pointes saillantes ou « doigts » sur la douille, sont caractéristiques du Luristan. La lame est généralement fortement courbée et, dans certains cas extrêmes, le tranchant est à l’aplomb du manche de la hache. Parfois, les « doigts » affectent la forme d’animaux, à moins que les figures animales n’aient été ajoutées sur la lame ou encore sur les aspérités. La lame de la hache jaillit parfois de la gueule des fauves. Certaines haches à digitations issues du commerce de l’art portent des inscriptions dédicatoires de rois élamites et néo-babyloniens, ce qui suggère qu’elles furent placées dans des temples. Cette hypothèse fut confirmée par la découverte de haches à digitations miniatures dans un temple de Surkh Dum-i Luri, ainsi que dans un dépôt d’objets en bronze à Sangtarashan, selon toute vraisemblance aussi dans un temple. Le fait qu’elles aient également été retrouvées dans des tombes à Bard-i Bal, Kutal-i Gulgul et Khatunban indique qu’elles furent aussi utilisées réellement. Elles peuvent être datées de l’âge du Fer I, entre le 13e et le 9e siècle. Une évolution dans le temps vers des exemplaires toujours plus compliqués et plus décoratifs est perceptible. Des haches à lame extrêmement recourbée et à tenons remarquablement longs sur le manche, sont à situer à la fin de l’évolution. Dans le cas de cet exemplaire, le tranchant de la lame est devenu quasi inutilisable. Ce sont surtout la pointe affûtée de la lame et les tenons, à l’arrière, qui font des haches à digitations des armes dangereuses. B.O.

↑ , Haches à digitations:

Haches à digitations :

collectionName : Iran
inventoryNb : IR.0542
objectName :
objectTitle : Haches à digitations
objectCulture : Iranienne
geography :
dating : 1300 BC - 801 BC
material :
technique :
dimensions : Hauteur: 10 cm, Largeur: 23 cm
legalRightOwner : Musées royaux d'art et d'histoire/Koninklijke Musea voor Kunst en Geschiedenis

objectDescription : Hache de parade. La douille présente trois reliefs en forme de ligatures, qui s'unissent sur la lame et forment une flèche. La douille est renforcée par quatre pointes longues, reliées entre elles par le milieu. Le haut de la lame, excessivement recourbée, présente un animal féroce couché. Les haches à digitations, caractérisées par la présence de pointes saillantes ou « doigts » sur la douille, sont caractéristiques du Luristan. La lame est généralement fortement courbée et, dans certains cas extrêmes, le tranchant est à l’aplomb du manche de la hache. Parfois, les « doigts » affectent la forme d’animaux, à moins que les figures animales n’aient été ajoutées sur la lame ou encore sur les aspérités. La lame de la hache jaillit parfois de la gueule des fauves. Certaines haches à digitations issues du commerce de l’art portent des inscriptions dédicatoires de rois élamites et néo-babyloniens, ce qui suggère qu’elles furent placées dans des temples. Cette hypothèse fut confirmée par la découverte de haches à digitations miniatures dans un temple de Surkh Dum-i Luri, ainsi que dans un dépôt d’objets en bronze à Sangtarashan, selon toute vraisemblance aussi dans un temple. Le fait qu’elles aient également été retrouvées dans des tombes à Bard-i Bal, Kutal-i Gulgul et Khatunban indique qu’elles furent aussi utilisées réellement. Elles peuvent être datées de l’âge du Fer I, entre le 13e et le 9e siècle. Une évolution dans le temps vers des exemplaires toujours plus compliqués et plus décoratifs est perceptible. Des haches à lame extrêmement recourbée et à tenons remarquablement longs sur le manche, sont à situer à la fin de l’évolution. Dans le cas de cet exemplaire, le tranchant de la lame est devenu quasi inutilisable. Ce sont surtout la pointe affûtée de la lame et les tenons, à l’arrière, qui font des haches à digitations des armes dangereuses. B.O.

↑ , Haches à digitations:

Haches à digitations :

collectionName : Iran
inventoryNb : IR.0543
objectName :
objectTitle : Haches à digitations
objectCulture : Iranienne
geography :
dating : 1300 BC - 801 BC
material :
technique :
dimensions : Hauteur: 7 cm, Largeur: 19 cm
legalRightOwner : Musées royaux d'art et d'histoire/Koninklijke Musea voor Kunst en Geschiedenis

objectDescription : Hache de parade. La douille large est agrémentée de quatre moulures doubles guillochées se terminant dans le dos par double rangée de quatre têtes d'oiseaux de proie (une tête manque). La lame est mince et bordée dans le haut et le bras par une moulure en saillie et agrémentée d'une série de dessins gravés géometriques. Les haches à digitations, caractérisées par la présence de pointes saillantes ou « doigts » sur la douille, sont caractéristiques du Luristan. La lame est généralement fortement courbée et, dans certains cas extrêmes, le tranchant est à l’aplomb du manche de la hache. Parfois, les « doigts » affectent la forme d’animaux, à moins que les figures animales n’aient été ajoutées sur la lame ou encore sur les aspérités. La lame de la hache jaillit parfois de la gueule des fauves. Certaines haches à digitations issues du commerce de l’art portent des inscriptions dédicatoires de rois élamites et néo-babyloniens, ce qui suggère qu’elles furent placées dans des temples. Cette hypothèse fut confirmée par la découverte de haches à digitations miniatures dans un temple de Surkh Dum-i Luri, ainsi que dans un dépôt d’objets en bronze à Sangtarashan, selon toute vraisemblance aussi dans un temple. Le fait qu’elles aient également été retrouvées dans des tombes à Bard-i Bal, Kutal-i Gulgul et Khatunban indique qu’elles furent aussi utilisées réellement. Elles peuvent être datées de l’âge du Fer I, entre le 13e et le 9e siècle. Une évolution dans le temps vers des exemplaires toujours plus compliqués et plus décoratifs est perceptible. Des haches à lame extrêmement recourbée et à tenons remarquablement longs sur le manche, sont à situer à la fin de l’évolution. Dans le cas de cet exemplaire, le tranchant de la lame est devenu quasi inutilisable. Ce sont surtout la pointe affûtée de la lame et les tenons, à l’arrière, qui font des haches à digitations des armes dangereuses. B.O.

↑ , Bracelet en bronze:

Bracelet en bronze :

collectionName : Iran
inventoryNb : IR.0558
objectName :
objectTitle : Bracelet en bronze
objectCulture : Iranienne
geography :
dating : 1300 BC - 601 BC
material :
technique :
dimensions :
legalRightOwner : Musées royaux d'art et d'histoire/Koninklijke Musea voor Kunst en Geschiedenis

objectDescription : Bracelet en deux pièces. Le bracelet est orné d'un côté de trois demi-cercles en fort relief, renforcés par deux moulures saillantes. Le bracelet présent trois arêtes en relief et est formé de deux parties faisant charnière ; c’est la raison pour laquelle il est parfois considéré aussi comme un anneau pour la partie supérieure du bras ou pour les chevilles.

↑ , Bracelet en bronze:

Bracelet en bronze :

collectionName : Iran
inventoryNb : IR.0559
objectName :
objectTitle : Bracelet en bronze
objectCulture : Iranienne
geography :
dating : 1300 BC - 601 BC
material :
technique :
dimensions :
legalRightOwner : Musées royaux d'art et d'histoire/Koninklijke Musea voor Kunst en Geschiedenis

objectDescription : Bracelet, lourd, large, en deux pièces; l'intérieur est concave. Trois bosses tranchantes en demi-cercle. De chaque côté tête d'homme barbue entre deux têtes humaines plus petites. Le bracelet présent trois arêtes en relief et est formé de deux parties faisant charnière ; c’est la raison pour laquelle il est parfois considéré aussi comme un anneau pour la partie supérieure du bras ou pour les chevilles. Ce bracelet est orné des deux côtés de trois têtes d’homme barbu. Quelques bracelets identiques ont été entièrement réalisés en fer, ce qui indique une datation remontant au 10e-9e siècle. B.O.

↑ , Étendard ou idole du type 'Maître d'animaux':

Étendard ou idole du type 'Maître d'animaux' :

collectionName : Iran
inventoryNb : IR.0622
objectName :
objectTitle : Étendard ou idole du type 'Maître d'animaux'
objectCulture : Iranienne
geography :
dating : 1300 BC - 801 BC
material :
technique :
dimensions : Hauteur: 15 cm, Largeur: 7,5 cm
legalRightOwner : Musées royaux d'art et d'histoire/Koninklijke Musea voor Kunst en Geschiedenis

objectDescription : Idole funéraire à double face. Torse long en forme cylindrique. Tête triangulaire à coiffure ronde. A la place des bras, deux têtes de panthères fantastiques à longs cous courbés. Au bas les parties postérieures d'un quadrupède à queue pendante, recourbée. Les étendards ou idoles constituent peut-être le groupe le plus caractéristique des bronzes du Luristan. Il s’agit, en fait, de petites sculptures coulées à la cire perdue, montées sur un socle en forme de bouteille. Elles sont généralement tout à fait creuses dans le sens vertical et leurs faces avant et arrière sont parfaitement identiques. Ces caractéristiques indiquent qu’elles étaient montées sur quelque chose, peut-être une hampe, grâce à leur socle ouvert dans la partie inférieure et qu’elles pouvaient êtres vues sous tous les angles. Bien qu’un grand nombre d’étendards soient connus par le marché de l’art, pendant longtemps, il n’y eu que peu ou pas du tout d’informations fiables. Il n’était même pas certain que les « socles » faisaient bien partie des étendards et des idoles. Ce n’est qu’en 1970, lors d’une expédition scientifique menée à Tattulban au Luristan, que des archéologues belges découvrirent pour la première fois un étendard avec son socle, Cette découverte et celles qui suivirent confirment le lien qui existe entre les socles et les idoles et rendirent leur datation possible. Elles permirent également de comprendre leur évolution chronologique et formelle. Les plus anciens étendards datent du 13e siècle, soit du début de l’âge du Fer. Ils se composent de deux bouquetins dressés et affrontés ou de fauves, sans doute des lions ou des léopards. La forme des exemplaires les plus anciens est encore très naturaliste, tandis que les pièces plus récentes sont davantage stylisées. Tantôt les animaux sont accolés à un anneau, tantôt leurs pattes antérieures et postérieures fusionnent pour former l’anneau. Certains étendards se caractérise par la présence d’une feuille de bronze enroulée formant un tuyau. Il est possible que dans la perforation ainsi obtenue ou dans le petit tuyau, une branche ait pu être insérée, ce qui faisait naître le motif d’animaux flanquant un arbre de vie. Il s’agissait là d’un motif particulièrement populaire au Luristan. Les idoles parfois interprétées comme le « maître des animaux », représentent une phase suivante de l’évolution. Un personnage humain est figuré entre deux panthères dressées et affrontées. Les corps des fauves et celui de l’être humain sont soudés pour former un ensemble affectant la forme d’un tuyau, ce qui remplace la feuille de bronze enroulée de l’ancien type d’idole. Un certain nombre de petites sculptures ne combinent que quelques-unes des caractéristiques des idoles à celles des statuettes humaines. Elles sont entièrement perforées, mais leurs faces antérieure et postérieure ne sont plus identiques. Dans le cas de cat. 287, deux petits fauves sont couchés et étirés le long de la partie inférieure du corps en forme de tuyau. Pour sa part, cat. 285 se compose de la partie inférieure du corps de fauves et de la partie supérieure d’une femme tenant les mains devant son sexe. En ce qui concerne cat. 286, seules la perforation verticale et les deux têtes de coqs émanant des épaules font encore allusion au thème du « maître des animaux ». La datation de ces statuettes est problématique. Comme les idoles dites du « maître des animaux », elles étaient vraisemblablement en usage au cours des 10e-9e siècles, voire encore au 8e siècle. La fonction exacte et la signification des idoles ou étendards demeurent toujours incertaines. Grâce aux fouilles, on sait seulement que ces pièces étaient dans des tombes, associées à des armes: en d’autres termes, dans des tombes de combattants. B.O.

↑ , Étendard ou idole du type 'Maître d'animaux':

Étendard ou idole du type 'Maître d'animaux' :

collectionName : Iran
inventoryNb : IR.0624
objectName :
objectTitle : Étendard ou idole du type 'Maître d'animaux'
objectCulture : Iranienne
geography :
dating : 1300 BC - 801 BC
material :
technique :
dimensions : Hauteur: 36 cm
legalRightOwner : Musées royaux d'art et d'histoire/Koninklijke Musea voor Kunst en Geschiedenis

objectDescription : Idole funéraire à double face. Trois têtes humaines sont superposées. De chaque côté et sous la deuxième tête partent des cous de dragons, les têtes à côté du personnage supérieur qui les tient avec ses bras. Sous le cou des dragons, têtes d'oiseaux. Le milieu du corps est formé par la troisième tête à barbe en collier. La partie basse est formée par les arrière-trains stylisés d'animaux, ornés d'un rang de petites globules. De la partie saillante sortent deux têtes d'oiseaux avec crête et anneaux autour du cou. Le bas se termine en queue de poisson. Les étendards ou idoles constituent peut-être le groupe le plus caractéristique des bronzes du Luristan. Il s’agit, en fait, de petites sculptures coulées à la cire perdue, montées sur un socle en forme de bouteille. Elles sont généralement tout à fait creuses dans le sens vertical et leurs faces avant et arrière sont parfaitement identiques. Ces caractéristiques indiquent qu’elles étaient montées sur quelque chose, peut-être une hampe, grâce à leur socle ouvert dans la partie inférieure et qu’elles pouvaient êtres vues sous tous les angles. Bien qu’un grand nombre d’étendards soient connus par le marché de l’art, pendant longtemps, il n’y eu que peu ou pas du tout d’informations fiables. Il n’était même pas certain que les « socles » faisaient bien partie des étendards et des idoles. Ce n’est qu’en 1970, lors d’une expédition scientifique menée à Tattulban au Luristan, que des archéologues belges découvrirent pour la première fois un étendard avec son socle, Cette découverte et celles qui suivirent confirment le lien qui existe entre les socles et les idoles et rendirent leur datation possible. Elles permirent également de comprendre leur évolution chronologique et formelle. Les plus anciens étendards datent du 13e siècle, soit du début de l’âge du Fer. Ils se composent de deux bouquetins dressés et affrontés ou de fauves, sans doute des lions ou des léopards. La forme des exemplaires les plus anciens est encore très naturaliste, tandis que les pièces plus récentes sont davantage stylisées. Tantôt les animaux sont accolés à un anneau, tantôt leurs pattes antérieures et postérieures fusionnent pour former l’anneau. Certains étendards se caractérise par la présence d’une feuille de bronze enroulée formant un tuyau. Il est possible que dans la perforation ainsi obtenue ou dans le petit tuyau, une branche ait pu être insérée, ce qui faisait naître le motif d’animaux flanquant un arbre de vie. Il s’agissait là d’un motif particulièrement populaire au Luristan. Les idoles parfois interprétées comme le « maître des animaux », représentent une phase suivante de l’évolution. La réalisation la plus complexe autour du thème du « maître des animaux » est illustrée ici. Ce sont maintenant trois têtes humaines qui sont superposées, le personnage supérieur tenant les fauves par le cou, tandis que des têtes d’oiseaux et de petits volatiles sont ajoutés sur les croupes et cous des fauves. Les divers éléments anatomiques sont toujours plus déformés. Les griffes des fauves du bas sont quasi méconnaissables et les queues disparaissent en grande partie entre les pattes postérieures. Seule la pointe enroulée est encore nettement visible. C’est une idole aussi complexe que celle-là qui fut mise au jour par l’expédition belge à Tattulban. Elle se trouvait dans la tombe d’un homme du début de l’âge du Fer III (début du 8e siècle). La fonction exacte et la signification des idoles ou étendards demeurent toujours incertaines. Grâce aux fouilles, on sait seulement que ces pièces étaient dans des tombes, associées à des armes: en d’autres termes, dans des tombes de combattants. B.O.

↑ , Étendard ou idole du type 'Maître d'animaux':

Étendard ou idole du type 'Maître d'animaux' :

collectionName : Iran
inventoryNb : IR.0625
objectName :
objectTitle : Étendard ou idole du type 'Maître d'animaux'
objectCulture : Iranienne
geography :
dating : 1300 BC - 801 BC
material :
technique :
dimensions : Hauteur: 27 cm
legalRightOwner : Musées royaux d'art et d'histoire/Koninklijke Musea voor Kunst en Geschiedenis

objectDescription : Statuette funéraire à double face. Dans le haut, masque humain reposant sur les bras repliés et détachés qui forment colonne de support. Des deux côtés cou et tête d'animal fabuleux (dragon), gueule ouverte à la hauteur du sommet de la tête humaine. Bouton en forme de poire. Autour de la taille une espèce de ceinture très large à rayures verticales. Au bas les parties postérieures d'un quadrupède. Les hanches sont arrondies, les pattes se terminent par des espèces de nageoires de poisson. Les étendards ou idoles constituent peut-être le groupe le plus caractéristique des bronzes du Luristan. Il s’agit, en fait, de petites sculptures coulées à la cire perdue, montées sur un socle en forme de bouteille. Elles sont généralement tout à fait creuses dans le sens vertical et leurs faces avant et arrière sont parfaitement identiques. Ces caractéristiques indiquent qu’elles étaient montées sur quelque chose, peut-être une hampe, grâce à leur socle ouvert dans la partie inférieure et qu’elles pouvaient êtres vues sous tous les angles. Bien qu’un grand nombre d’étendards soient connus par le marché de l’art, pendant longtemps, il n’y eu que peu ou pas du tout d’informations fiables. Il n’était même pas certain que les « socles » faisaient bien partie des étendards et des idoles. Ce n’est qu’en 1970, lors d’une expédition scientifique menée à Tattulban au Luristan, que des archéologues belges découvrirent pour la première fois un étendard avec son socle, Cette découverte et celles qui suivirent confirment le lien qui existe entre les socles et les idoles et rendirent leur datation possible. Elles permirent également de comprendre leur évolution chronologique et formelle. Les plus anciens étendards datent du 13e siècle, soit du début de l’âge du Fer. Ils se composent de deux bouquetins dressés et affrontés ou de fauves, sans doute des lions ou des léopards. La forme des exemplaires les plus anciens est encore très naturaliste, tandis que les pièces plus récentes sont davantage stylisées. Tantôt les animaux sont accolés à un anneau, tantôt leurs pattes antérieures et postérieures fusionnent pour former l’anneau. Certains étendards se caractérise par la présence d’une feuille de bronze enroulée formant un tuyau. Il est possible que dans la perforation ainsi obtenue ou dans le petit tuyau, une branche ait pu être insérée, ce qui faisait naître le motif d’animaux flanquant un arbre de vie. Il s’agissait là d’un motif particulièrement populaire au Luristan. Les idoles parfois interprétées comme le « maître des animaux », représentent une phase suivante de l’évolution. La réalisation la plus complexe autour du thème du « maître des animaux » est illustrée ici. Ce sont maintenant deux têtes humaines qui sont superposées, le personnage supérieur tenant les fauves par le cou, tandis que des têtes d’oiseaux et de petits volatiles sont ajoutés sur les croupes et cous des fauves. Les divers éléments anatomiques sont toujours plus déformés. C’est une idole aussi complexe que celle-là qui fut mise au jour par l’expédition belge à Tattulban. Elle se trouvait dans la tombe d’un homme du début de l’âge du Fer III (début du 8e siècle). La fonction exacte et la signification des idoles ou étendards demeurent toujours incertaines. Grâce aux fouilles, on sait seulement que ces pièces étaient dans des tombes, associées à des armes: en d’autres termes, dans des tombes de combattants. B.O.

↑ , Epingle à tête discoïdale:

Epingle à tête discoïdale :

collectionName : Iran
inventoryNb : IR.0635
objectName :
objectTitle : Epingle à tête discoïdale
objectCulture : Iranienne
geography :
dating : 1000 BC - 701 BC
material :
technique :
dimensions : Dimensions H x D: 33 cm, 3,5 cm
legalRightOwner : Musées royaux d'art et d'histoire/Koninklijke Musea voor Kunst en Geschiedenis

objectDescription : Epingle votive. Le disque est décoré au repoussé d'un ornement géométrique de cinq doubles lignes circulaires, dont le centre est orné de globules. Dans les espaces entre les cercles se trouve un arbre de vie stylisé. Les épingles à tête discoïdale, moulées ou martelées, appartiennent toutes à la collection d’E. Graeffe achetée en Iran, entre 1936 et 1945 et acquise par les Musées en 1954. Elles viennent probablement de Surkh Dum-i Luri. En juin 1938, suite à l’arrêt fouilles clandestines par les autorités, une expédition américaine y fouilla un sanctuaire. L’endroit était déjà largement pillé, mais les chercheurs parvinrent malgré tout à y dégager des centaines d’objets votifs qui étaient dissimulés dans les murs et les sols du bâtiment. La quantité d’épingles similaires, voire même pratiquement identiques, est surprenante. Jusqu’à présent, des épingles de ce type n’avaient jamais été retrouvées au cours de fouilles contrôlées. Bien qu’il ne soit pas exclu que de grandes et même parfois lourdes épingles de ce genre aient pu être réalisées spécifiquement comme objet votif, il est probable qu’elles furent portées avant d’être déposées dans le sanctuaire. D’autres types d’épingles et d’objets, également présents dans des tombes ou des maisons et ayant, par conséquent, vraiment une fonction pratique, y ont aussi été retrouvés. La datation des épingles discoïdes est particulièrement délicate parce que les objets peuvent être conservés longtemps dans les sanctuaires. Il se peut que la plupart puissent être datés d’une période comprise entre le 10e et le 8e siècle. La combinaison de tiges en fer et de têtes en bronze coulé, qui apparaît également parmi les épingles à tête animale, semble le confirmer. Les thèmes, parmi lesquels des scènes illustrant des plantes, des animaux réels et fantastiques, des têtes et des êtres humaines ainsi que des génies, sont très variés. B.O.

↑ , Epingle à tête discoïdale:

Epingle à tête discoïdale :

collectionName : Iran
inventoryNb : IR.0638
objectName :
objectTitle : Epingle à tête discoïdale
objectCulture : Iranienne
geography :
dating : 1000 BC - 701 BC
material :
technique :
dimensions : Dimensions H x D: 15 cm, 7 cm
legalRightOwner : Musées royaux d'art et d'histoire/Koninklijke Musea voor Kunst en Geschiedenis

objectDescription : Epingle votive. Travail au repoussé. Le décor représente un personnage dansant à tête coiffée de la tiare à cornes, portant de chaque main une tige épaisse se terminant aux deux extrémités par des grenades. Les épingles à tête discoïdale, moulées ou martelées, appartiennent toutes à la collection d’E. Graeffe achetée en Iran, entre 1936 et 1945 et acquise par les Musées en 1954. Elles viennent probablement de Surkh Dum-i Luri. En juin 1938, suite à l’arrêt fouilles clandestines par les autorités, une expédition américaine y fouilla un sanctuaire. L’endroit était déjà largement pillé, mais les chercheurs parvinrent malgré tout à y dégager des centaines d’objets votifs qui étaient dissimulés dans les murs et les sols du bâtiment. La quantité d’épingles similaires, voire même pratiquement identiques, est surprenante. Jusqu’à présent, des épingles de ce type n’avaient jamais été retrouvées au cours de fouilles contrôlées. Bien qu’il ne soit pas exclu que de grandes et même parfois lourdes épingles de ce genre aient pu être réalisées spécifiquement comme objet votif, il est probable qu’elles furent portées avant d’être déposées dans le sanctuaire. D’autres types d’épingles et d’objets, également présents dans des tombes ou des maisons et ayant, par conséquent, vraiment une fonction pratique, y ont aussi été retrouvés. La datation des épingles discoïdes est particulièrement délicate parce que les objets peuvent être conservés longtemps dans les sanctuaires. Il se peut que la plupart puissent être datés d’une période comprise entre le 10e et le 8e siècle. La combinaison de tiges en fer et de têtes en bronze coulé, qui apparaît également parmi les épingles à tête animale, semble le confirmer. Les thèmes, parmi lesquels des scènes illustrant des plantes, des animaux réels et fantastiques, des têtes et des êtres humaines ainsi que des génies, sont très variés. B.O.

↑ , Epingle à tête discoïdale:

Epingle à tête discoïdale :

collectionName : Iran
inventoryNb : IR.0647
objectName :
objectTitle : Epingle à tête discoïdale
objectCulture : Iranienne
geography :
dating : 1000 BC - 701 BC
material :
technique :
dimensions : Dimensions H x D: 27 cm, 12 cm
legalRightOwner : Musées royaux d'art et d'histoire/Koninklijke Musea voor Kunst en Geschiedenis

objectDescription : Epingle votive. Travail repoussé et gravé. Au centre du disque une tête humaine en fort relief s'inscrivant dans une forme ronde, entourée d'une ligne. Tout autour se développe une frise composée d'animaux fantastiques en galopant l'un derrière l'autre. A gauche de la tête se trouve un personnage accroupi au visage humain, mais avec une queue. Les épingles à tête discoïdale, moulées ou martelées, appartiennent toutes à la collection d’E. Graeffe achetée en Iran, entre 1936 et 1945 et acquise par les Musées en 1954. Elles viennent probablement de Surkh Dum-i Luri. En juin 1938, suite à l’arrêt fouilles clandestines par les autorités, une expédition américaine y fouilla un sanctuaire. L’endroit était déjà largement pillé, mais les chercheurs parvinrent malgré tout à y dégager des centaines d’objets votifs qui étaient dissimulés dans les murs et les sols du bâtiment. La quantité d’épingles similaires, voire même pratiquement identiques, est surprenante. Jusqu’à présent, des épingles de ce type n’avaient jamais été retrouvées au cours de fouilles contrôlées. Bien qu’il ne soit pas exclu que de grandes et même parfois lourdes épingles de ce genre aient pu être réalisées spécifiquement comme objet votif, il est probable qu’elles furent portées avant d’être déposées dans le sanctuaire. D’autres types d’épingles et d’objets, également présents dans des tombes ou des maisons et ayant, par conséquent, vraiment une fonction pratique, y ont aussi été retrouvés. La datation des épingles discoïdes est particulièrement délicate parce que les objets peuvent être conservés longtemps dans les sanctuaires. Il se peut que la plupart puissent être datés d’une période comprise entre le 10e et le 8e siècle. La combinaison de tiges en fer et de têtes en bronze coulé, qui apparaît également parmi les épingles à tête animale, semble le confirmer. Les thèmes, parmi lesquels des scènes illustrant des plantes, des animaux réels et fantastiques, des têtes et des êtres humaines ainsi que des génies, sont très variés. B.O.

↑ , Epingle à tête discoïdale:

Epingle à tête discoïdale :

collectionName : Iran
inventoryNb : IR.0649
objectName :
objectTitle : Epingle à tête discoïdale
objectCulture : Iranienne
geography :
dating : 1000 BC - 701 BC
material :
technique :
dimensions : Dimensions H x D: 17 cm, 5 cm
legalRightOwner : Musées royaux d'art et d'histoire/Koninklijke Musea voor Kunst en Geschiedenis

objectDescription : Epingle votive. Travail au repoussé. Au centre du disque une tête en fort relief. De chaque côté de la tête se voient deux lions dressés, s'affrontant, la gueule ouverte. Ils sont séparés enhaut et en bas par une ligne torsadée verticale, bordée dans le bas par des feuilles. Les épingles à tête discoïdale, moulées ou martelées, appartiennent toutes à la collection d’E. Graeffe achetée en Iran, entre 1936 et 1945 et acquise par les Musées en 1954. Elles viennent probablement de Surkh Dum-i Luri. En juin 1938, suite à l’arrêt fouilles clandestines par les autorités, une expédition américaine y fouilla un sanctuaire. L’endroit était déjà largement pillé, mais les chercheurs parvinrent malgré tout à y dégager des centaines d’objets votifs qui étaient dissimulés dans les murs et les sols du bâtiment. La quantité d’épingles similaires, voire même pratiquement identiques, est surprenante. Jusqu’à présent, des épingles de ce type n’avaient jamais été retrouvées au cours de fouilles contrôlées. Bien qu’il ne soit pas exclu que de grandes et même parfois lourdes épingles de ce genre aient pu être réalisées spécifiquement comme objet votif, il est probable qu’elles furent portées avant d’être déposées dans le sanctuaire. D’autres types d’épingles et d’objets, également présents dans des tombes ou des maisons et ayant, par conséquent, vraiment une fonction pratique, y ont aussi été retrouvés. La datation des épingles discoïdes est particulièrement délicate parce que les objets peuvent être conservés longtemps dans les sanctuaires. Il se peut que la plupart puissent être datés d’une période comprise entre le 10e et le 8e siècle. La combinaison de tiges en fer et de têtes en bronze coulé, qui apparaît également parmi les épingles à tête animale, semble le confirmer. Les thèmes, parmi lesquels des scènes illustrant des plantes, des animaux réels et fantastiques, des têtes et des êtres humaines ainsi que des génies, sont très variés. B.O.

↑ , Epingle à tête discoïdale:

Epingle à tête discoïdale :

collectionName : Iran
inventoryNb : IR.0662
objectName :
objectTitle : Epingle à tête discoïdale
objectCulture : Iranienne
geography :
dating : 1000 BC - 701 BC
material :
technique :
dimensions :
legalRightOwner : Musées royaux d'art et d'histoire/Koninklijke Musea voor Kunst en Geschiedenis

objectDescription : Epingle votive. Le disque présente - au repoussé - un personnage assis sur un lion couché. Ce personnage est coiffé d'une sorte d'épais turban, vêtu d'une longue robe. Sous les bras de cette divinité passe un corps de serpent se terminant en dragon à deux têtes. Dans la partie gauche se trouve également un serpent, la tête vers le bas. Sept fleurettes apparaissent dans le champ. Le disque est bordé d'une ligne en saillie et d'un grénetis. Les épingles à tête discoïdale, moulées ou martelées, appartiennent toutes à la collection d’E. Graeffe achetée en Iran, entre 1936 et 1945 et acquise par les Musées en 1954. Elles viennent probablement de Surkh Dum-i Luri. En juin 1938, suite à l’arrêt fouilles clandestines par les autorités, une expédition américaine y fouilla un sanctuaire. L’endroit était déjà largement pillé, mais les chercheurs parvinrent malgré tout à y dégager des centaines d’objets votifs qui étaient dissimulés dans les murs et les sols du bâtiment. La quantité d’épingles similaires, voire même pratiquement identiques, est surprenante. Jusqu’à présent, des épingles de ce type n’avaient jamais été retrouvées au cours de fouilles contrôlées. Bien qu’il ne soit pas exclu que de grandes et même parfois lourdes épingles de ce genre aient pu être réalisées spécifiquement comme objet votif, il est probable qu’elles furent portées avant d’être déposées dans le sanctuaire. D’autres types d’épingles et d’objets, également présents dans des tombes ou des maisons et ayant, par conséquent, vraiment une fonction pratique, y ont aussi été retrouvés. La datation des épingles discoïdes est particulièrement délicate parce que les objets peuvent être conservés longtemps dans les sanctuaires. Il se peut que la plupart puissent être datés d’une période comprise entre le 10e et le 8e siècle. La combinaison de tiges en fer et de têtes en bronze coulé, qui apparaît également parmi les épingles à tête animale, semble le confirmer. Les thèmes, parmi lesquels des scènes illustrant des plantes, des animaux réels et fantastiques, des têtes et des êtres humaines ainsi que des génies, sont très variés. B.O.

↑ , Epingle à tête discoïdale:

Epingle à tête discoïdale :

collectionName : Iran
inventoryNb : IR.0672
objectName :
objectTitle : Epingle à tête discoïdale
objectCulture : Iranienne
geography :
dating : 1000 BC - 701 BC
material :
technique :
dimensions : Dimensions H x D: 22 cm, 10,2 cm
legalRightOwner : Musées royaux d'art et d'histoire/Koninklijke Musea voor Kunst en Geschiedenis

objectDescription : Epingle votive. Travail au repoussé et gravé. Le décor représente un personnage féminin, tenant une palme de chaque main. Robe évasée et plissée. Haute coiffure de forme triangulaire. De chaque côté du personnage se dressent deux lions adossés, la gueule ouverte. Le tout est entouré par rosettes et globules. Sur le bord un grénetis. Les épingles à tête discoïdale, moulées ou martelées, appartiennent toutes à la collection d’E. Graeffe achetée en Iran, entre 1936 et 1945 et acquise par les Musées en 1954. Elles viennent probablement de Surkh Dum-i Luri. En juin 1938, suite à l’arrêt fouilles clandestines par les autorités, une expédition américaine y fouilla un sanctuaire. L’endroit était déjà largement pillé, mais les chercheurs parvinrent malgré tout à y dégager des centaines d’objets votifs qui étaient dissimulés dans les murs et les sols du bâtiment. La quantité d’épingles similaires, voire même pratiquement identiques, est surprenante. Jusqu’à présent, des épingles de ce type n’avaient jamais été retrouvées au cours de fouilles contrôlées. Bien qu’il ne soit pas exclu que de grandes et même parfois lourdes épingles de ce genre aient pu être réalisées spécifiquement comme objet votif, il est probable qu’elles furent portées avant d’être déposées dans le sanctuaire. D’autres types d’épingles et d’objets, également présents dans des tombes ou des maisons et ayant, par conséquent, vraiment une fonction pratique, y ont aussi été retrouvés. La datation des épingles discoïdes est particulièrement délicate parce que les objets peuvent être conservés longtemps dans les sanctuaires. Il se peut que la plupart puissent être datés d’une période comprise entre le 10e et le 8e siècle. La combinaison de tiges en fer et de têtes en bronze coulé, qui apparaît également parmi les épingles à tête animale, semble le confirmer. Les thèmes, parmi lesquels des scènes illustrant des plantes, des animaux réels et fantastiques, des têtes et des êtres humaines ainsi que des génies, sont très variés. B.O.

↑ , Epingle à tête discoïdale:

Epingle à tête discoïdale :

collectionName : Iran
inventoryNb : IR.0673
objectName :
objectTitle : Epingle à tête discoïdale
objectCulture : Iranienne
geography :
dating : 1000 BC - 701 BC
material :
technique :
dimensions : Dimensions H x D: 13,5 cm, 7 cm
legalRightOwner : Musées royaux d'art et d'histoire/Koninklijke Musea voor Kunst en Geschiedenis

objectDescription : Epingle votive. Travail au repoussé et gravé. Le décor représente une tête de femme. Haute coiffure, indiquée en écailles de poisson. Les sourcils en tresse, se rejoignent à la racine du nez et forment une ligne continue. Sur le bord un grénetis. Les épingles à tête discoïdale, moulées ou martelées, appartiennent toutes à la collection d’E. Graeffe achetée en Iran, entre 1936 et 1945 et acquise par les Musées en 1954. Elles viennent probablement de Surkh Dum-i Luri. En juin 1938, suite à l’arrêt fouilles clandestines par les autorités, une expédition américaine y fouilla un sanctuaire. L’endroit était déjà largement pillé, mais les chercheurs parvinrent malgré tout à y dégager des centaines d’objets votifs qui étaient dissimulés dans les murs et les sols du bâtiment. La quantité d’épingles similaires, voire même pratiquement identiques, est surprenante. Jusqu’à présent, des épingles de ce type n’avaient jamais été retrouvées au cours de fouilles contrôlées. Bien qu’il ne soit pas exclu que de grandes et même parfois lourdes épingles de ce genre aient pu être réalisées spécifiquement comme objet votif, il est probable qu’elles furent portées avant d’être déposées dans le sanctuaire. D’autres types d’épingles et d’objets, également présents dans des tombes ou des maisons et ayant, par conséquent, vraiment une fonction pratique, y ont aussi été retrouvés. La datation des épingles discoïdes est particulièrement délicate parce que les objets peuvent être conservés longtemps dans les sanctuaires. Il se peut que la plupart puissent être datés d’une période comprise entre le 10e et le 8e siècle. La combinaison de tiges en fer et de têtes en bronze coulé, qui apparaît également parmi les épingles à tête animale, semble le confirmer. Les thèmes, parmi lesquels des scènes illustrant des plantes, des animaux réels et fantastiques, des têtes et des êtres humaines ainsi que des génies, sont très variés. B.O.

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Epingle à tête discoïdale :

collectionName : Iran
inventoryNb : IR.0685
objectName :
objectTitle : Epingle à tête discoïdale
objectCulture : Iranienne
geography :
dating : 1300 BC - 601 BC
material :
technique :
dimensions : Dimensions H x D: 21 cm, 11,3 cm
legalRightOwner : Musées royaux d'art et d'histoire/Koninklijke Musea voor Kunst en Geschiedenis

objectDescription : Epingle votive. Travail à cire perdue. La base de la tête d'épingle est en forme d'un demi-cercle se terminant en têtes de bouquetin. Au centre arbre de vie en forme d'éventail dans la partie haute; le tronc étant évoqué par deux spirales. De chaque côté de l'arbre deux animaux féroces dressés, d'adossant. Les épingles à tête discoïdale, moulées ou martelées, appartiennent toutes à la collection d’E. Graeffe achetée en Iran, entre 1936 et 1945 et acquise par les Musées en 1954. Elles viennent probablement de Surkh Dum-i Luri. En juin 1938, suite à l’arrêt fouilles clandestines par les autorités, une expédition américaine y fouilla un sanctuaire. L’endroit était déjà largement pillé, mais les chercheurs parvinrent malgré tout à y dégager des centaines d’objets votifs qui étaient dissimulés dans les murs et les sols du bâtiment. La quantité d’épingles similaires, voire même pratiquement identiques, est surprenante. Jusqu’à présent, des épingles de ce type n’avaient jamais été retrouvées au cours de fouilles contrôlées. Bien qu’il ne soit pas exclu que de grandes et même parfois lourdes épingles de ce genre aient pu être réalisées spécifiquement comme objet votif, il est probable qu’elles furent portées avant d’être déposées dans le sanctuaire. D’autres types d’épingles et d’objets, également présents dans des tombes ou des maisons et ayant, par conséquent, vraiment une fonction pratique, y ont aussi été retrouvés. La datation des épingles discoïdes est particulièrement délicate parce que les objets peuvent être conservés longtemps dans les sanctuaires. Il se peut que la plupart puissent être datés d’une période comprise entre le 10e et le 8e siècle. La combinaison de tiges en fer et de têtes en bronze coulé, qui apparaît également parmi les épingles à tête animale, semble le confirmer. Les thèmes, parmi lesquels des scènes illustrant des plantes, des animaux réels et fantastiques, des têtes et des êtres humaines ainsi que des génies, sont très variés. B.O.

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Epingle à tête discoïdale :

collectionName : Iran
inventoryNb : IR.0691
objectName :
objectTitle : Epingle à tête discoïdale
objectCulture : Iranienne
geography :
dating : 1000 BC - 701 BC
material :
technique :
dimensions : Dimensions H x D: 24,5 cm, 11,5 cm
legalRightOwner : Musées royaux d'art et d'histoire/Koninklijke Musea voor Kunst en Geschiedenis

objectDescription : Fragment d'une épingle votive. Plaque de forme circulaire en argent repoussé et gravé. Au centre un disque en très fort relief. Au bord deux personnages à moitié bête, tenant un serpent à la main droite, la queue à la main gauche. En bas un capridé galopant. En haut en milieu, une tête de bovidé entre des lignes zig-zag. Les épingles à tête discoïdale, moulées ou martelées, appartiennent toutes à la collection d’E. Graeffe achetée en Iran, entre 1936 et 1945 et acquise par les Musées en 1954. Elles viennent probablement de Surkh Dum-i Luri. En juin 1938, suite à l’arrêt fouilles clandestines par les autorités, une expédition américaine y fouilla un sanctuaire. L’endroit était déjà largement pillé, mais les chercheurs parvinrent malgré tout à y dégager des centaines d’objets votifs qui étaient dissimulés dans les murs et les sols du bâtiment. La quantité d’épingles similaires, voire même pratiquement identiques, est surprenante. Jusqu’à présent, des épingles de ce type n’avaient jamais été retrouvées au cours de fouilles contrôlées. Bien qu’il ne soit pas exclu que de grandes et même parfois lourdes épingles de ce genre aient pu être réalisées spécifiquement comme objet votif, il est probable qu’elles furent portées avant d’être déposées dans le sanctuaire. D’autres types d’épingles et d’objets, également présents dans des tombes ou des maisons et ayant, par conséquent, vraiment une fonction pratique, y ont aussi été retrouvés. La datation des épingles discoïdes est particulièrement délicate parce que les objets peuvent être conservés longtemps dans les sanctuaires. Il se peut que la plupart puissent être datés d’une période comprise entre le 10e et le 8e siècle. La combinaison de tiges en fer et de têtes en bronze coulé, qui apparaît également parmi les épingles à tête animale, semble le confirmer. Les thèmes, parmi lesquels des scènes illustrant des plantes, des animaux réels et fantastiques, des têtes et des êtres humaines ainsi que des génies, sont très variés. B.O.

↑ , Epingle à tête discoïdale:

Epingle à tête discoïdale :

collectionName : Iran
inventoryNb : IR.0692
objectName :
objectTitle : Epingle à tête discoïdale
objectCulture : Iranienne
geography :
dating : 1000 BC - 701 BC
material :
technique :
dimensions :
legalRightOwner : Musées royaux d'art et d'histoire/Koninklijke Musea voor Kunst en Geschiedenis

objectDescription : Epingle votive. Travail au repoussé. Le décor du disque représente un personnage masculin assis; la tête de face, le torse enprofil. Il tient dans chaque main un vase. Sur le dos d'un petit banc se voit un grand oiseau du genre outarde, qui touche de son bec la figure du personnage. Au bord un double grénetis. La partie droite a été renouvelée. Les épingles à tête discoïdale, moulées ou martelées, appartiennent toutes à la collection d’E. Graeffe achetée en Iran, entre 1936 et 1945 et acquise par les Musées en 1954. Elles viennent probablement de Surkh Dum-i Luri. En juin 1938, suite à l’arrêt fouilles clandestines par les autorités, une expédition américaine y fouilla un sanctuaire. L’endroit était déjà largement pillé, mais les chercheurs parvinrent malgré tout à y dégager des centaines d’objets votifs qui étaient dissimulés dans les murs et les sols du bâtiment. La quantité d’épingles similaires, voire même pratiquement identiques, est surprenante. Jusqu’à présent, des épingles de ce type n’avaient jamais été retrouvées au cours de fouilles contrôlées. Bien qu’il ne soit pas exclu que de grandes et même parfois lourdes épingles de ce genre aient pu être réalisées spécifiquement comme objet votif, il est probable qu’elles furent portées avant d’être déposées dans le sanctuaire. D’autres types d’épingles et d’objets, également présents dans des tombes ou des maisons et ayant, par conséquent, vraiment une fonction pratique, y ont aussi été retrouvés. La datation des épingles discoïdes est particulièrement délicate parce que les objets peuvent être conservés longtemps dans les sanctuaires. Il se peut que la plupart puissent être datés d’une période comprise entre le 10e et le 8e siècle. La combinaison de tiges en fer et de têtes en bronze coulé, qui apparaît également parmi les épingles à tête animale, semble le confirmer. Les thèmes, parmi lesquels des scènes illustrant des plantes, des animaux réels et fantastiques, des têtes et des êtres humaines ainsi que des génies, sont très variés. B.O.

↑ , Epingle à tête discoïdale:

Epingle à tête discoïdale :

collectionName : Iran
inventoryNb : IR.0704
objectName :
objectTitle : Epingle à tête discoïdale
objectCulture : Iranienne
geography :
dating : 1000 BC - 701 BC
material :
technique :
dimensions : Hauteur: 18 cm, Largeur: 9,5 cm
legalRightOwner : Musées royaux d'art et d'histoire/Koninklijke Musea voor Kunst en Geschiedenis

objectDescription : Epingle votive. Travail à cire perdue. Le dieu protecteur dompte deux animaux féroces à tête de cochon. La tête de Gilgamesh porte des cornes de mouflon au lieu des habituelles cornes de taureau. Tout autour quatre paires de cornes de mouflon. Le cadre carré est orné d'une torsade en relief dont le haut est agrémenté d'une rangé de perles en bronze. La tige en fer est emmanchée dans un bout de tige en bronze renforcée par des animaux en relief et portant deux oeillets. Les épingles à tête discoïdale, moulées ou martelées, appartiennent toutes à la collection d’E. Graeffe achetée en Iran, entre 1936 et 1945 et acquise par les Musées en 1954. Elles viennent probablement de Surkh Dum-i Luri. En juin 1938, suite à l’arrêt fouilles clandestines par les autorités, une expédition américaine y fouilla un sanctuaire. L’endroit était déjà largement pillé, mais les chercheurs parvinrent malgré tout à y dégager des centaines d’objets votifs qui étaient dissimulés dans les murs et les sols du bâtiment. La quantité d’épingles similaires, voire même pratiquement identiques, est surprenante. Jusqu’à présent, des épingles de ce type n’avaient jamais été retrouvées au cours de fouilles contrôlées. Bien qu’il ne soit pas exclu que de grandes et même parfois lourdes épingles de ce genre aient pu être réalisées spécifiquement comme objet votif, il est probable qu’elles furent portées avant d’être déposées dans le sanctuaire. D’autres types d’épingles et d’objets, également présents dans des tombes ou des maisons et ayant, par conséquent, vraiment une fonction pratique, y ont aussi été retrouvés. La datation des épingles discoïdes est particulièrement délicate parce que les objets peuvent être conservés longtemps dans les sanctuaires. Il se peut que la plupart puissent être datés d’une période comprise entre le 10e et le 8e siècle. La combinaison de tiges en fer et de têtes en bronze coulé, qui apparaît également parmi les épingles à tête animale, semble le confirmer. Les thèmes, parmi lesquels des scènes illustrant des plantes, des animaux réels et fantastiques, des têtes et des êtres humaines ainsi que des génies, sont très variés. B.O.

↑ , Epingle à tête discoïdale:

Epingle à tête discoïdale :

collectionName : Iran
inventoryNb : IR.0705
objectName :
objectTitle : Epingle à tête discoïdale
objectCulture : Iranienne
geography :
dating : 1000 BC - 701 BC
material :
technique :
dimensions : Hauteur: 6 cm, Largeur: 7,5 cm
legalRightOwner : Musées royaux d'art et d'histoire/Koninklijke Musea voor Kunst en Geschiedenis

objectDescription : Tête d'épingle votive. Travail à cire perdue. Dans un cadre rectangulaire un personnage humain est aux prises avec deux lions ailés. Aux pieds de ce personnage, deux boeufs. Deux têtes d'animaux encadrent celle du héros. L'amorce de la tige est audessus de la tête. Le travail qui est à cire perdue, se reproduit des deux côtés envers et endroit du rectangle. Les épingles à tête discoïdale, moulées ou martelées, appartiennent toutes à la collection d’E. Graeffe achetée en Iran, entre 1936 et 1945 et acquise par les Musées en 1954. Elles viennent probablement de Surkh Dum-i Luri. En juin 1938, suite à l’arrêt fouilles clandestines par les autorités, une expédition américaine y fouilla un sanctuaire. L’endroit était déjà largement pillé, mais les chercheurs parvinrent malgré tout à y dégager des centaines d’objets votifs qui étaient dissimulés dans les murs et les sols du bâtiment. La quantité d’épingles similaires, voire même pratiquement identiques, est surprenante. Jusqu’à présent, des épingles de ce type n’avaient jamais été retrouvées au cours de fouilles contrôlées. Bien qu’il ne soit pas exclu que de grandes et même parfois lourdes épingles de ce genre aient pu être réalisées spécifiquement comme objet votif, il est probable qu’elles furent portées avant d’être déposées dans le sanctuaire. D’autres types d’épingles et d’objets, également présents dans des tombes ou des maisons et ayant, par conséquent, vraiment une fonction pratique, y ont aussi été retrouvés. La datation des épingles discoïdes est particulièrement délicate parce que les objets peuvent être conservés longtemps dans les sanctuaires. Il se peut que la plupart puissent être datés d’une période comprise entre le 10e et le 8e siècle. La combinaison de tiges en fer et de têtes en bronze coulé, qui apparaît également parmi les épingles à tête animale, semble le confirmer. Les thèmes, parmi lesquels des scènes illustrant des plantes, des animaux réels et fantastiques, des têtes et des êtres humaines ainsi que des génies, sont très variés. B.O.

↑ , Epingle à tête discoïdale:

Epingle à tête discoïdale :

collectionName : Iran
inventoryNb : IR.0716
objectName :
objectTitle : Epingle à tête discoïdale
objectCulture : Iranienne
geography :
dating : 1000 BC - 701 BC
material :
technique :
dimensions : Hauteur: 6 cm, Largeur: 9 cm
legalRightOwner : Musées royaux d'art et d'histoire/Koninklijke Musea voor Kunst en Geschiedenis

objectDescription : Tête d'épingle votive. Travail à cire perdue. Le héros Gilgamesh est entouré de deux animaux renversés, le tout encadré d'un serpent fantastique à deux têtes. La base de la tige en fer est renforcée d'animaux en relief. Les épingles à tête discoïdale, moulées ou martelées, appartiennent toutes à la collection d’E. Graeffe achetée en Iran, entre 1936 et 1945 et acquise par les Musées en 1954. Elles viennent probablement de Surkh Dum-i Luri. En juin 1938, suite à l’arrêt fouilles clandestines par les autorités, une expédition américaine y fouilla un sanctuaire. L’endroit était déjà largement pillé, mais les chercheurs parvinrent malgré tout à y dégager des centaines d’objets votifs qui étaient dissimulés dans les murs et les sols du bâtiment. La quantité d’épingles similaires, voire même pratiquement identiques, est surprenante. Jusqu’à présent, des épingles de ce type n’avaient jamais été retrouvées au cours de fouilles contrôlées. Bien qu’il ne soit pas exclu que de grandes et même parfois lourdes épingles de ce genre aient pu être réalisées spécifiquement comme objet votif, il est probable qu’elles furent portées avant d’être déposées dans le sanctuaire. D’autres types d’épingles et d’objets, également présents dans des tombes ou des maisons et ayant, par conséquent, vraiment une fonction pratique, y ont aussi été retrouvés. La datation des épingles discoïdes est particulièrement délicate parce que les objets peuvent être conservés longtemps dans les sanctuaires. Il se peut que la plupart puissent être datés d’une période comprise entre le 10e et le 8e siècle. La combinaison de tiges en fer et de têtes en bronze coulé, qui apparaît également parmi les épingles à tête animale, semble le confirmer. Les thèmes, parmi lesquels des scènes illustrant des plantes, des animaux réels et fantastiques, des têtes et des êtres humaines ainsi que des génies, sont très variés. B.O.

↑ , Plaque décorée d'un mors de cheval:

Plaque décorée d'un mors de cheval :

collectionName : Iran
inventoryNb : IR.0782
objectName :
objectTitle : Plaque décorée d'un mors de cheval
objectCulture : Iranienne
geography :
dating : 1300 BC - 791 BC
material :
technique :
dimensions : Hauteur: 19 cm, Largeur: 16 cm
legalRightOwner : Musées royaux d'art et d'histoire/Koninklijke Musea voor Kunst en Geschiedenis

objectDescription : Fragment de mors. Taureau ailé à tête cornue d'un génie protecteur. Au milieu du corps un trou de passage pour le pontet du mors. Les mors de chevaux à plaques latérales décorées constituent un groupe important au sein de l’ensemble des bronzes du Luristan. De simples plaques de mors figuratives en forme de chevaux marchant sont également attestées, entre autres à Marlik Tepe, dans le Nord de l’Iran, et sont représentées de temps à autres sur les reliefs néo-assyriens des palais mésopotamiens. Ce n’est toutefois qu’au Luristan que l’iconographie des plaques de mors est aussi diversifiée. On y retrouve des animaux réels à côté d’êtres fabuleux, de scènes mythologiques et de combat. Les plaques de mors sont parfois particulièrement grandes et lourdes. C’est pourquoi il est souvent suggéré que de tels mors n’étaient pas destinés à un usage courant, mais étaient produits pour servir d’offrandes votives ou funéraires. De nettes traces d’utilisation apparaissent cependant sur nombre de ces mors, ce qui contredit l’hypothèse précédente et indique un emploi intensif et de longue durée. Jusqu’à présent, aucun mors à plaques figuratives n’a été mis au jour lors de fouilles scientifiques, ce qui empêche une datation précise, mais aussi de circonscrire leur aire de développement. De même, leur arrivée via le commerce de l’art explique également la raison pour laquelle les plaques d’un même mors ont souvent été séparées et ont abouti dans différentes collections ou divers musées. Par analogie avec d’autres groupes caractéristiques de bronzes du Luristan, comme les idoles et les haches, nous pouvons conclure de manière générale à une évolution dans le temps allant d’un décor naturaliste très simple à une iconographie toujours plus complexe et proposer une datation comprise entre le 13e siècle et le 9e/début 8e siècle.

↑ , Plaque décorée d'un mors de cheval:

Plaque décorée d'un mors de cheval :

collectionName : Iran
inventoryNb : IR.0783
objectName :
objectTitle : Plaque décorée d'un mors de cheval
objectCulture : Iranienne
geography :
dating : 1300 BC - 750 BC
material :
technique :
dimensions : Hauteur: 12 cm, Largeur: 14,5 cm
legalRightOwner : Musées royaux d'art et d'histoire/Koninklijke Musea voor Kunst en Geschiedenis

objectDescription : Fragment de mors. Deux lions ailés debout face à face (les têtes saillantes et de face) tiennent deux capridés par leurs pattes de derrière. Une patte de derrière des lions appuyée sur la tête des capridés. Au milieu des corps des capridés un trou de passage pour le pontet de mors. Les mors de chevaux à plaques latérales décorées constituent un groupe important au sein de l’ensemble des bronzes du Luristan. De simples plaques de mors figuratives en forme de chevaux marchant sont également attestées, entre autres à Marlik Tepe, dans le Nord de l’Iran, et sont représentées de temps à autres sur les reliefs néo-assyriens des palais mésopotamiens. Ce n’est toutefois qu’au Luristan que l’iconographie des plaques de mors est aussi diversifiée. On y retrouve des animaux réels à côté d’êtres fabuleux, de scènes mythologiques et de combat. Les plaques de mors sont parfois particulièrement grandes et lourdes. C’est pourquoi il est souvent suggéré que de tels mors n’étaient pas destinés à un usage courant, mais étaient produits pour servir d’offrandes votives ou funéraires. De nettes traces d’utilisation apparaissent cependant sur nombre de ces mors, ce qui contredit l’hypothèse précédente et indique un emploi intensif et de longue durée. Jusqu’à présent, aucun mors à plaques figuratives n’a été mis au jour lors de fouilles scientifiques, ce qui empêche une datation précise, mais aussi de circonscrire leur aire de développement. De même, leur arrivée via le commerce de l’art explique également la raison pour laquelle les plaques d’un même mors ont souvent été séparées et ont abouti dans différentes collections ou divers musées. Par analogie avec d’autres groupes caractéristiques de bronzes du Luristan, comme les idoles et les haches, nous pouvons conclure de manière générale à une évolution dans le temps allant d’un décor naturaliste très simple à une iconographie toujours plus complexe et proposer une datation comprise entre le 13e siècle et le 9e/début 8e siècle.

↑ , Mors de chevaux à plaques latérales décorées:

Mors de chevaux à plaques latérales décorées :

collectionName : Iran
inventoryNb : IR.0785
objectName :
objectTitle : Mors de chevaux à plaques latérales décorées
objectCulture : Iranienne
geography :
dating : 1300 BC - 750 BC
material :
technique :
dimensions :
legalRightOwner : Musées royaux d'art et d'histoire/Koninklijke Musea voor Kunst en Geschiedenis

objectDescription : Les mors de chevaux à plaques latérales décorées constituent un groupe important au sein de l’ensemble des bronzes du Luristan. De simples plaques de mors figuratives en forme de chevaux marchant sont également attestées, entre autres à Marlik Tepe, dans le Nord de l’Iran, et sont représentées de temps à autres sur les reliefs néo-assyriens des palais mésopotamiens. Ce n’est toutefois qu’au Luristan que l’iconographie des plaques de mors est aussi diversifiée. On y retrouve des animaux réels à côté d’êtres fabuleux, de scènes mythologiques et de combat. Les plaques de mors sont parfois particulièrement grandes et lourdes. C’est pourquoi il est souvent suggéré que de tels mors n’étaient pas destinés à un usage courant, mais étaient produits pour servir d’offrandes votives ou funéraires. De nettes traces d’utilisation apparaissent cependant sur nombre de ces mors, ce qui contredit l’hypothèse précédente et indique un emploi intensif et de longue durée. Jusqu’à présent, aucun mors à plaques figuratives n’a été mis au jour lors de fouilles scientifiques, ce qui empêche une datation précise, mais aussi de circonscrire leur aire de développement. De même, leur arrivée via le commerce de l’art explique également la raison pour laquelle les plaques d’un même mors ont souvent été séparées et ont abouti dans différentes collections ou divers musées. Par analogie avec d’autres groupes caractéristiques de bronzes du Luristan, comme les idoles et les haches, nous pouvons conclure de manière générale à une évolution dans le temps allant d’un décor naturaliste très simple à une iconographie toujours plus complexe et proposer une datation comprise entre le 13e siècle et le 9e/début 8e siècle.

↑ , Mors de chevaux à plaques latérales décorées:

Mors de chevaux à plaques latérales décorées :

collectionName : Iran
inventoryNb : IR.0788
objectName :
objectTitle : Mors de chevaux à plaques latérales décorées
objectCulture : Iranienne
geography :
dating : 1300 BC - 750 BC
material :
technique :
dimensions : Hauteur: 10,8 cm, Largeur: 10 cm
legalRightOwner : Musées royaux d'art et d'histoire/Koninklijke Musea voor Kunst en Geschiedenis

objectDescription : Mors représentant deux chevaux à tête allongée et à queue longue. Sous le cou le trou de passage de la barre; la croupe présente l'anneau pour le harnachement. Les mors de chevaux à plaques latérales décorées constituent un groupe important au sein de l’ensemble des bronzes du Luristan. De simples plaques de mors figuratives en forme de chevaux marchant sont également attestées, entre autres à Marlik Tepe, dans le Nord de l’Iran, et sont représentées de temps à autres sur les reliefs néo-assyriens des palais mésopotamiens. Ce n’est toutefois qu’au Luristan que l’iconographie des plaques de mors est aussi diversifiée. On y retrouve des animaux réels à côté d’êtres fabuleux, de scènes mythologiques et de combat. Les plaques de mors sont parfois particulièrement grandes et lourdes. C’est pourquoi il est souvent suggéré que de tels mors n’étaient pas destinés à un usage courant, mais étaient produits pour servir d’offrandes votives ou funéraires. De nettes traces d’utilisation apparaissent cependant sur nombre de ces mors, ce qui contredit l’hypothèse précédente et indique un emploi intensif et de longue durée. Jusqu’à présent, aucun mors à plaques figuratives n’a été mis au jour lors de fouilles scientifiques, ce qui empêche une datation précise, mais aussi de circonscrire leur aire de développement. De même, leur arrivée via le commerce de l’art explique également la raison pour laquelle les plaques d’un même mors ont souvent été séparées et ont abouti dans différentes collections ou divers musées. Par analogie avec d’autres groupes caractéristiques de bronzes du Luristan, comme les idoles et les haches, nous pouvons conclure de manière générale à une évolution dans le temps allant d’un décor naturaliste très simple à une iconographie toujours plus complexe et proposer une datation comprise entre le 13e siècle et le 9e/début 8e siècle.

↑ , Mors de chevaux à plaques latérales décorées:

Mors de chevaux à plaques latérales décorées :

collectionName : Iran
inventoryNb : IR.0790
objectName :
objectTitle : Mors de chevaux à plaques latérales décorées
objectCulture : Iranienne
geography :
dating : 1300 BC - 750 BC
material :
technique :
dimensions : Hauteur: 15 cm, Largeur: 13 cm
legalRightOwner : Musées royaux d'art et d'histoire/Koninklijke Musea voor Kunst en Geschiedenis

objectDescription : Mors représentant deux animaux fantastiques sur le dos duquel a poussé un taureau qui remplace l'aile. Le sphinx à la tête d'un génie protecteur marche sur deux lièvres ou capridés. Les mors de chevaux à plaques latérales décorées constituent un groupe important au sein de l’ensemble des bronzes du Luristan. De simples plaques de mors figuratives en forme de chevaux marchant sont également attestées, entre autres à Marlik Tepe, dans le Nord de l’Iran, et sont représentées de temps à autres sur les reliefs néo-assyriens des palais mésopotamiens. Ce n’est toutefois qu’au Luristan que l’iconographie des plaques de mors est aussi diversifiée. On y retrouve des animaux réels à côté d’êtres fabuleux, de scènes mythologiques et de combat. Les plaques de mors sont parfois particulièrement grandes et lourdes. C’est pourquoi il est souvent suggéré que de tels mors n’étaient pas destinés à un usage courant, mais étaient produits pour servir d’offrandes votives ou funéraires. De nettes traces d’utilisation apparaissent cependant sur nombre de ces mors, ce qui contredit l’hypothèse précédente et indique un emploi intensif et de longue durée. Jusqu’à présent, aucun mors à plaques figuratives n’a été mis au jour lors de fouilles scientifiques, ce qui empêche une datation précise, mais aussi de circonscrire leur aire de développement. De même, leur arrivée via le commerce de l’art explique également la raison pour laquelle les plaques d’un même mors ont souvent été séparées et ont abouti dans différentes collections ou divers musées. Par analogie avec d’autres groupes caractéristiques de bronzes du Luristan, comme les idoles et les haches, nous pouvons conclure de manière générale à une évolution dans le temps allant d’un décor naturaliste très simple à une iconographie toujours plus complexe et proposer une datation comprise entre le 13e siècle et le 9e/début 8e siècle.

↑ , Mors de chevaux à plaques latérales décorées:

Mors de chevaux à plaques latérales décorées :

collectionName : Iran
inventoryNb : IR.0791
objectName :
objectTitle : Mors de chevaux à plaques latérales décorées
objectCulture : Iranienne
geography :
dating : 1300 BC - 750 BC
material :
technique :
dimensions : Hauteur: 10 cm, Largeur: 11 cm
legalRightOwner : Musées royaux d'art et d'histoire/Koninklijke Musea voor Kunst en Geschiedenis

objectDescription : Mors. Deux chevaux ailés, stylisés. La queue tombe en angle droit jusqu'au socle. Des épérons aux genoux et aux paturons du train avant et du train arrière. Les mors de chevaux à plaques latérales décorées constituent un groupe important au sein de l’ensemble des bronzes du Luristan. De simples plaques de mors figuratives en forme de chevaux marchant sont également attestées, entre autres à Marlik Tepe, dans le Nord de l’Iran, et sont représentées de temps à autres sur les reliefs néo-assyriens des palais mésopotamiens. Ce n’est toutefois qu’au Luristan que l’iconographie des plaques de mors est aussi diversifiée. On y retrouve des animaux réels à côté d’êtres fabuleux, de scènes mythologiques et de combat. Les plaques de mors sont parfois particulièrement grandes et lourdes. C’est pourquoi il est souvent suggéré que de tels mors n’étaient pas destinés à un usage courant, mais étaient produits pour servir d’offrandes votives ou funéraires. De nettes traces d’utilisation apparaissent cependant sur nombre de ces mors, ce qui contredit l’hypothèse précédente et indique un emploi intensif et de longue durée. Jusqu’à présent, aucun mors à plaques figuratives n’a été mis au jour lors de fouilles scientifiques, ce qui empêche une datation précise, mais aussi de circonscrire leur aire de développement. De même, leur arrivée via le commerce de l’art explique également la raison pour laquelle les plaques d’un même mors ont souvent été séparées et ont abouti dans différentes collections ou divers musées. Par analogie avec d’autres groupes caractéristiques de bronzes du Luristan, comme les idoles et les haches, nous pouvons conclure de manière générale à une évolution dans le temps allant d’un décor naturaliste très simple à une iconographie toujours plus complexe et proposer une datation comprise entre le 13e siècle et le 9e/début 8e siècle.

↑ , Cruche:

Cruche :

collectionName : Iran
inventoryNb : IR.1043
objectName :
objectTitle : Cruche
objectCulture : Iranienne
geography :
dating : 800 BC - 501 BC
material :
technique :
dimensions : Hauteur: 14,5 cm
legalRightOwner : Musées royaux d'art et d'histoire/Koninklijke Musea voor Kunst en Geschiedenis

objectDescription : Petite cruche, en terre cuite rouge-orangé, mat, panse sphérique reposant sur 3 petits pieds, haut col étroit légèrement évasé, petite anse, long versoir incurvé, s'élevant presque aussi haut que l'embouchure, et disposé perpendiculairement à l'anse. Céramique orangée du nord de l'Iran. Comme ailleurs en Iran, une culture locale nettement reconnaissable s’est développée dans le nord du pays au cours de l’âge du Fer. La céramique orangée, parfois polie jusqu’à atteindre un brillant profond, est surtout caractéristique de l’âge du Fer III (8e-6e siècle). Ce type de vases et de plats a, entre autres, été découvert dans des tombes à Kaluraz. B.O.

↑ , Casque en fer forgé:

Casque en fer forgé :

collectionName : Iran
inventoryNb : IR.1241
objectName :
objectTitle : Casque en fer forgé
objectCulture : Iranienne
geography :
dating : 800 BC - 601 BC
material :
technique :
dimensions : Hauteur: 32 cm
legalRightOwner : Musées royaux d'art et d'histoire/Koninklijke Musea voor Kunst en Geschiedenis

objectDescription : Ce casque en fer forgé se compose de deux moitiés reliées, le long de la face interne, à un bandeau métallique riveté. À l’extérieur, des ornements en bronze ont été rivetés. Si ces derniers ont pour la plupart disparu, les rivets en bronze restants permettent néanmoins de les reconstituer. Au-dessus d’un bandeau horizontal et d’une rangée de rectangles verticaux, il y avait à l’avant au moins deux paires de « crosses ». Un décor de ce genre apparaît, entre autres, sur des casques d’Urartu et néo-assyriens. Le nombre de « crosses », qui se termine parfois en tête d’animal, varie d’une à quatre paires. La forme allongée et l’ornementation de cet exemplaire permettent de le dater du 8e ou du 7e siècle. B.O.

↑ , Céramique orangée:

Céramique orangée :

collectionName : Iran
inventoryNb : IR.1261
objectName :
objectTitle : Céramique orangée
objectCulture : Iranienne
geography :
dating : 800 BC - 501 BC
material :
technique :
dimensions :
legalRightOwner : Musées royaux d'art et d'histoire/Koninklijke Musea voor Kunst en Geschiedenis

objectDescription : Céramique orangée du nord de l'Iran. Comme ailleurs en Iran, une culture locale nettement reconnaissable s’est développée dans le nord du pays au cours de l’âge du Fer. La céramique orangée, parfois polie jusqu’à atteindre un brillant profond, est surtout caractéristique de l’âge du Fer III (8e-6e siècle). Ce type de vases et de plats a, entre autres, été découvert dans des tombes à Kaluraz. B.O.

↑ , Cruche en forme globulaire:

Cruche en forme globulaire :

collectionName : Iran
inventoryNb : IR.1747
objectName :
objectTitle : Cruche en forme globulaire
objectCulture : Iranienne
geography :
dating : 800 BC - 501 BC
material :
technique :
dimensions : Hauteur: 13,5 cm
legalRightOwner : Musées royaux d'art et d'histoire/Koninklijke Musea voor Kunst en Geschiedenis

objectDescription : Cruche en forme globulaire, petit col à ouverture, anse verticale et bec tubulaire. Col, anse et bec sont appliqués. Céramique orangée du nord de l'Iran. Comme ailleurs en Iran, une culture locale nettement reconnaissable s’est développée dans le nord du pays au cours de l’âge du Fer. La céramique orangée, parfois polie jusqu’à atteindre un brillant profond, est surtout caractéristique de l’âge du Fer III (8e-6e siècle). Ce type de vases et de plats a, entre autres, été découvert dans des tombes à Kaluraz. B.O.

↑ , Vase sphérique:

Vase sphérique :

collectionName : Iran
inventoryNb : IR.1759
objectName :
objectTitle : Vase sphérique
objectCulture : Iranienne
geography :
dating : 800 BC - 601 BC
material :
technique :
dimensions :
legalRightOwner : Musées royaux d'art et d'histoire/Koninklijke Musea voor Kunst en Geschiedenis

objectDescription : Céramique orangée du nord de l'Iran. Comme ailleurs en Iran, une culture locale nettement reconnaissable s’est développée dans le nord du pays au cours de l’âge du Fer. La céramique orangée, parfois polie jusqu’à atteindre un brillant profond, est surtout caractéristique de l’âge du Fer III (8e-6e siècle). Ce type de vases et de plats a, entre autres, été découvert dans des tombes à Kaluraz. B.O.

↑ , Cachet avec décoration géométrique:

Cachet avec décoration géométrique :

collectionName : Iran
inventoryNb : IR.2320
objectName :
objectTitle : Cachet avec décoration géométrique
objectCulture : Iranienne
geography :
dating : 4500 BC - 3501 BC
material :
technique :
dimensions : Hauteur: 3 cm, Largeur: 2,3 cm
legalRightOwner : Musées royaux d'art et d'histoire/Koninklijke Musea voor Kunst en Geschiedenis

objectDescription : Forme rectangulaire. Sceau avec décoration géométrique. Des cachets de forme circulaire ou rectangulaire ont été trouvés à Hakalan. Ils sont toujours percés ou présentent un bouton perforé sur la face dorsale, ce qui permettait de les suspendre à une cordelette. Généralement, les motifs qui les rehaussent sont plutôt géométriques, parfois aussi végétaux ou animaliers. Un exemplaire montre probablement un épi.

↑ , Cachet avec serpents:

Cachet avec serpents :

collectionName : Iran
inventoryNb : IR.2338
objectName :
objectTitle : Cachet avec serpents
objectCulture : Iranienne
geography :
dating : 4500 BC - 3501 BC
material :
technique :
dimensions : Hauteur: 4,4 cm
legalRightOwner : Musées royaux d'art et d'histoire/Koninklijke Musea voor Kunst en Geschiedenis

objectDescription : Sur le grand sceau circulaire apparaissent deux serpents dont les têtes sont rendues par deux grands cercles, tandis que le corps recourbé est suggéré dans un cas par de petits traits et, dans l’autre, par des points. Des cachets de forme circulaire ou rectangulaire ont été trouvés à Hakalan. Ils sont toujours percés ou présentent un bouton perforé sur la face dorsale, ce qui permettait de les suspendre à une cordelette. Généralement, les motifs qui les rehaussent sont plutôt géométriques, parfois aussi végétaux ou animaliers.

↑ , Hyakunin isshu uba ga etoki (De cent poètes, un poème expliqué par la nourrice): Fujiwara no Yoshitaka:

Hyakunin isshu uba ga etoki (De cent poètes, un poème expliqué par la nourrice): Fujiwara no Yoshitaka :

collectionName : Japon
inventoryNb : JP.03149
objectName :
objectTitle : Hyakunin isshu uba ga etoki (De cent poètes, un poème expliqué par la nourrice): Fujiwara no Yoshitaka
objectCulture :
geography :
dating : ca. AD 1835 - AD 1836
material :
technique :
dimensions : Dimensions H x Lo: 25,2 cm, 36,6 cm
legalRightOwner : Musées royaux d'art et d'histoire/Koninklijke Musea voor Kunst en Geschiedenis

objectDescription : Éditeur : Iseya Sanjirô. Cachet de censure : kiwame. Format ôban. Un groupe d'hommes et de femmes prennent le frais et se reposent sur la terrasse d'un bain public. Il faut sans doute voir dans les poses alanguies des personnages et les volutes de vapeur la traduction imagée du poème de Fujiwara no Yoshitaka (954-974) : Puisse ma vie, qui n'a rien signifiépour moi, durer encorepour votre bien : telle est ma pensée. Par tradition, les artistes s'étaient contentés jusque-là d'illustrer un poème par un portrait de son auteur. Hokusai innova en interprétant graphiquement le poème proposé de manière aussi libre que personnelle et en recourant à des associations d'idées parfois abstruses. En général, prélever un thème dans l'anthologie des CentPoèmes de centpoètes était très rentable pour le monde de l'édition, car une surprenante majorité de Japonais la connaissaient par cœur. En effet, elle servait à l'un des divertissements les plus populaires du nouvel an. Il impliquait deux jeux de cartes : le meneur lisait à haute voix les premiers vers d'un poème sur une carte piochée au hasard dans le premier jeu, les partenaires devaient alors se précipiter pour trouver les vers suivants parmi les cartes étalées en désordre du second jeu.

↑ , Fugaku sanjūrokkei (Trente-six vues du Mont Fuji): Le Mont Fuji depuis le relais de Kanaya sur la grand-route du Tōkaidō (Tōkaidō Kanaya no Fuji):

Fugaku sanjūrokkei (Trente-six vues du Mont Fuji): Le Mont Fuji depuis le relais de Kanaya sur la grand-route du Tōkaidō (Tōkaidō Kanaya no Fuji) :

collectionName : Japon
inventoryNb : JP.03200
objectName :
objectTitle : Fugaku sanjūrokkei (Trente-six vues du Mont Fuji): Le Mont Fuji depuis le relais de Kanaya sur la grand-route du Tōkaidō (Tōkaidō Kanaya no Fuji)
objectCulture :
geography :
dating : ca. AD 1830 - AD 1832
material :
technique :
dimensions : Dimensions H x Lo: 24,9 cm, 36,9 cm
legalRightOwner : Musées royaux d'art et d'histoire/Koninklijke Musea voor Kunst en Geschiedenis

objectDescription : Shimada et Kanaya, respectivement 23e et 24e étapes du Tôkaidô, se faisaient face sur les rives opposées du fleuve Ôi. Ces deux relais étaient des endroits très animés, du fait que les voyageurs s’y massaient nombreux dans l’attente - parfois longue - de pouvoir franchir le fleuve. En l’absence de bac et de pont, le fleuve ne pouvait se traverser qu’à gué et seulement en période de décrue, avec l’aide des porteurs professionnels de l’endroit. Hokusai nous en laisse par cette estampe, une scène particulièrement vivante, avec un nombre inusité de personnages. Comme rarement dans la suite, cette composition est assortie d’une polychromie riche de tons clairs et vifs. L’épreuve ne porte ni sceau d’éditeur, ni cachet de censure ; mais la référence à la maison d’édition Eijudô (éditeur : Nishimuraya Yohachi) se retrouve dans le dessin, sous la forme du logo et de l’idéogramme ju.

↑ , L' acteur Ichikawa Danjūrō II dans le rôle de villageois à la lanterne et l'acteur Arashi Wakano pendant le danse aux sabres:

L' acteur Ichikawa Danjūrō II dans le rôle de villageois à la lanterne et l'acteur Arashi Wakano pendant le danse aux sabres :

collectionName : Japon
inventoryNb : JP.04198
objectName :
objectTitle : L' acteur Ichikawa Danjūrō II dans le rôle de villageois à la lanterne et l'acteur Arashi Wakano pendant le danse aux sabres
objectCulture :
geography :
dating : ca.
material :
technique :
dimensions :
legalRightOwner : Musées royaux d'art et d'histoire/Koninklijke Musea voor Kunst en Geschiedenis

objectDescription : Pour donner du lustre à une estampe beni-e, on applique de la colle sur les zones couvertes de pigment noir, ce qui produit un effet rappelant le laque (urushi), d’où le nom d’« image laquée » donné à ce type d’estampe. Un saupoudrage de poudre métallique (laiton ou cuivre, pour imiter l’or), mélangée à la colle, vient parfois renforcer cet effet.

↑ , Le jeune champion de sumō, Shakagatake Kumoemon:

Le jeune champion de sumō, Shakagatake Kumoemon :

collectionName : Japon
inventoryNb : JP.04324
objectName :
objectTitle : Le jeune champion de sumō, Shakagatake Kumoemon
objectCulture :
geography :
dating : ca. AD 1770
material :
technique :
dimensions :
legalRightOwner : Musées royaux d'art et d'histoire/Koninklijke Musea voor Kunst en Geschiedenis

objectDescription : Format chûban. Oshi-e. Cette estampe représente le jeune lutteur Shakagatake Kumoemon à l'entrée du temple Ekô-in à Edo, où s'organisaient deux fois par an des tournois de sumô. Au 11e mois de 1770, Shakagatake, un géant originaire de la province d'Izumo, atteignit le grade de champion (ôzeki) et affronta au combat le plus célèbre lutteur de son temps, Raiden Tame'emon, et justement à l'Ekô-in. L'inscription précédant son nom sur la planche précise qu'il mesurait 6,76 pieds et le texte dans la zone festonnée indique qu'avec cette taille, il pouvait de la tête heurter les coucous. Dans sa tenue de ville, Shakagatake porte deux sabres à la ceinture, privilège accordé à la seule classe militaire. En effet, les lutteurs, qui se recrutaient souvent dans la maison d'un seigneur, obtenaient le statut de samurai et en même temps le privilège en question. Il faut se rappeler que, si à l'origine, la lutte avait été un divertissement de la cour impériale, elle fut adoptée plus tard par la gent militaire, comme mise en condition physique et comme distraction pour guerriers. Mais à partir du xviieIIe siècle, le sumô entra dans la culture populaire, avec l'organisation de véritables compétitions aux entrées payantes. Cette estampe se distingue par une particularité technique : le collage de morceaux de tissu. Les images ainsi retravaillées étaient très en vogue dans la région de Kyôto-Ôsaka au milieu du xvmIIIe siècle et se dénommaient "images de brocart" (nishiki-e). Mais peu après, les premières estampes en pleine polychromie firent leur apparition à Edo. Leurs couleurs vives rappelant ces collages, elles furent désignées d'abord "images de brocart de l'Est" (Azuma nishiki-e) pour indiquer ainsi leur origine géographique, puis tout simplement "images de brocart", tandis que les images de tissu prirent alors le nom d'"images en relief" (oshi-e). À la fin des années 1760 et au début de la décennie suivante, des estampes polychromes devinrent le support de tels collages, avec découpes laborieuses des zones correspondant aux vêtements des personnages pour y substituer du brocart véritable. L'effet obtenu est généralement curieux, mais parfois assez réussi.

↑ , Sceau-cylindre avec figures et sanctuaire (?):

Sceau-cylindre avec figures et sanctuaire (?) :

collectionName : Proche-Orient
inventoryNb : O.00042
objectName :
objectTitle : Sceau-cylindre avec figures et sanctuaire (?)
objectCulture : Mésopotamienne
geography :
dating : 2000 BC - 1600 BC
material :
technique :
dimensions : Dimensions H x D: 2,1 cm, 1,1 cm
legalRightOwner : Musées royaux d'art et d'histoire/Koninklijke Musea voor Kunst en Geschiedenis

objectDescription : Trois figures vêtues, s'approchent d'une grande structure rectangulaire, parfois interprétée comme un sanctuaire ou la stylisation d'un groupe d'inscription.

↑ , Sceau-cylindre avec scène de présentation:

Sceau-cylindre avec scène de présentation :

collectionName : Proche-Orient
inventoryNb : O.00606
objectName :
objectTitle : Sceau-cylindre avec scène de présentation
objectCulture : Mésopotamienne
geography :
dating : Inconnue
material :
technique :
dimensions : Hauteur: 4 cm
legalRightOwner : Musées royaux d'art et d'histoire/Koninklijke Musea voor Kunst en Geschiedenis

objectDescription : Cylindre dont les extrémités simulent la monture en métal dans laquelle les cylindres étaient parfois fixés. Une divinité est assise sur un siège cubique posé sur une estrade. Le dieu, barbu, coiffé de la mitre multicorne, est vêtu du kaunakès; du bras dégagé, il tient un vase d'où s'échappe un double flot. Un dieu barbu amène vers elle un personnage imberbe qui lève la main droite en signe d'hommage. Une divinité coiffée d'une mitre multicorne termine le cortège et lève les deux mains à la hauteur du visage.

↑ , Déesse de la fécondité:

Déesse de la fécondité :

collectionName : Proche-Orient
inventoryNb : O.00785
objectName :
objectTitle : Déesse de la fécondité
objectCulture : syrien
geography :
dating : 1850 BC - 1800 BC
material :
technique :
dimensions : Hauteur: 9,6 cm, Largeur: 4,2 cm
legalRightOwner : Musées royaux d'art et d'histoire/Koninklijke Musea voor Kunst en Geschiedenis

objectDescription : Dans la région située à l’est de l’Oronte, au croisement des voies commerciales Nord-Sud et des routes caravanières allant de la Méditerranée à l’Euphrate, l’art de la terre cuite connut un développement dynamique dans le courant du premier quart du 2e millénaire. Plusieurs ateliers des royaumes de Yamkhad au nord (avec Alep pour capitale), de Qatna (Tell Mischrifé) au sud et d’Ebla (Tell Mardikh) entre les deux, développèrent des modèles standards rehaussés d’accents locaux dans chacune des régions. Ce groupe présente des femmes nues au corps en forme de violon, uniquement parées de chaînes au cou, de cordons à amulettes croisés et portant, parfois, une sorte de string dissimulant le sexe. Étant donné que ces accessoires sont mentionnés dans le mythe sumérien de « La descente d’Inanna aux Enfers », ces figurines ont souvent été identifiées comme représentant Inanna/Ishtar ou Astarté, bien qu’il paraisse plus prudent d’y reconnaître une allusion générale à la déesse de la fécondité. Des prototypes de cette production, qui fut à son tour reprise par des artistes chypriotes, sont connus en Élam (Suse). E.G.

↑ , Bilbil:

Bilbil :

collectionName : Proche-Orient
inventoryNb : O.01509
objectName :
objectTitle : Bilbil
objectCulture : Levant méridional
geography :
dating : 1450 BC - 1150 BC
material :
technique :
dimensions : Hauteur: 37 cm, Largeur: 14,5 cm
legalRightOwner : Musées royaux d'art et d'histoire/Koninklijke Musea voor Kunst en Geschiedenis

objectDescription : Au Bronze récent (Chypriote récent I-II), période au cours de laquelle les relations commerciales entre les parties orientale et occidentale du monde méditerranéen jouèrent un rôle crucial, nous constatons une importation massive de céramiques chypriotes vers le Levant méridional, où, durant le Chypriote récent I, les relations se concentrèrent essentiellement sur le sud de la Palestine où plus particulièrement Gaza, Gerar, Lachish et Tell el-Far’ah et, au Chypriote récent II, Megiddo et Beth-Shean faisaient office d’importants marchés et centres de transit. Les cruches à anse verticale et façonnées à la main relèvent de la céramique chypriote importée la plus caractéristique connue sous le nom de « bilbils », ainsi que les « écuelles à lait » ou « White Slip bowls ». La forme d’un « bilbil », ressemblant à s’y méprendre à une capsule de pavot inversée, suggère une fonction de récipient à opium, ce qui a pu être confirmé par de récentes analyses de résidus. À l’origine, les « bilbils » étaient des copies de prototypes en bronze. Certains exemplaires ont parfois leur col décoré d’anneaux en relief, d’autres sont rehaussés de lignes blanches peintes, groupés par trois ou quatre. Les écuelles à lait, généralement pourvues d’une anse en fer à cheval, devaient sans nul doute être utilisées pour boire de l’eau, du lait, du yaourt ou du vin, à moins qu’elles n’aient servi à manger. Elles sont rarement décorées à l’intérieur, contrairement à l’extérieur qui présente un motif rouge-brun très foncé, semblable à un décor losangé, en échelle ou pointillé, apposé sur un engobe épais de couleur blanc-gris. I.M.S.

↑ , Bilbil:

Bilbil :

collectionName : Proche-Orient
inventoryNb : O.01510
objectName :
objectTitle : Bilbil
objectCulture : Levant méridional
geography :
dating : 1450 BC - 1150 BC
material :
technique :
dimensions : Hauteur: 25 cm, Largeur: 13 cm
legalRightOwner : Musées royaux d'art et d'histoire/Koninklijke Musea voor Kunst en Geschiedenis

objectDescription : Au Bronze récent (Chypriote récent I-II), période au cours de laquelle les relations commerciales entre les parties orientale et occidentale du monde méditerranéen jouèrent un rôle crucial, nous constatons une importation massive de céramiques chypriotes vers le Levant méridional, où, durant le Chypriote récent I, les relations se concentrèrent essentiellement sur le sud de la Palestine où plus particulièrement Gaza, Gerar, Lachish et Tell el-Far’ah et, au Chypriote récent II, Megiddo et Beth-Shean faisaient office d’importants marchés et centres de transit. Les cruches à anse verticale et façonnées à la main relèvent de la céramique chypriote importée la plus caractéristique connue sous le nom de « bilbils », ainsi que les « écuelles à lait » ou « White Slip bowls ». La forme d’un « bilbil », ressemblant à s’y méprendre à une capsule de pavot inversée, suggère une fonction de récipient à opium, ce qui a pu être confirmé par de récentes analyses de résidus. À l’origine, les « bilbils » étaient des copies de prototypes en bronze. Certains exemplaires ont parfois leur col décoré d’anneaux en relief, d’autres sont rehaussés de lignes blanches peintes, groupés par trois ou quatre. Les écuelles à lait, généralement pourvues d’une anse en fer à cheval, devaient sans nul doute être utilisées pour boire de l’eau, du lait, du yaourt ou du vin, à moins qu’elles n’aient servi à manger. Elles sont rarement décorées à l’intérieur, contrairement à l’extérieur qui présente un motif rouge-brun très foncé, semblable à un décor losangé, en échelle ou pointillé, apposé sur un engobe épais de couleur blanc-gris. I.M.S.

↑ , Ecuelle "white slip":

Ecuelle "white slip" :

collectionName : Proche-Orient
inventoryNb : O.01518
objectName :
objectTitle : Ecuelle "white slip"
objectCulture : Levant méridional
geography :
dating : 1450 BC - 1150 BC
material :
technique :
dimensions : Hauteur: 8 cm, Largeur: 14,2 cm
legalRightOwner : Musées royaux d'art et d'histoire/Koninklijke Musea voor Kunst en Geschiedenis

objectDescription : Au Bronze récent (Chypriote récent I-II), période au cours de laquelle les relations commerciales entre les parties orientale et occidentale du monde méditerranéen jouèrent un rôle crucial, nous constatons une importation massive de céramiques chypriotes vers le Levant méridional, où, durant le Chypriote récent I, les relations se concentrèrent essentiellement sur le sud de la Palestine où plus particulièrement Gaza, Gerar, Lachish et Tell el-Far’ah et, au Chypriote récent II, Megiddo et Beth-Shean faisaient office d’importants marchés et centres de transit. Les cruches à anse verticale et façonnées à la main relèvent de la céramique chypriote importée la plus caractéristique connue sous le nom de « bilbils », ainsi que les « écuelles à lait » ou « White Slip bowls ». La forme d’un « bilbil », ressemblant à s’y méprendre à une capsule de pavot inversée, suggère une fonction de récipient à opium, ce qui a pu être confirmé par de récentes analyses de résidus. À l’origine, les « bilbils » étaient des copies de prototypes en bronze. Certains exemplaires ont parfois leur col décoré d’anneaux en relief, d’autres sont rehaussés de lignes blanches peintes, groupés par trois ou quatre. Les écuelles à lait, généralement pourvues d’une anse en fer à cheval, devaient sans nul doute être utilisées pour boire de l’eau, du lait, du yaourt ou du vin, à moins qu’elles n’aient servi à manger. Elles sont rarement décorées à l’intérieur, contrairement à l’extérieur qui présente un motif rouge-brun très foncé, semblable à un décor losangé, en échelle ou pointillé, apposé sur un engobe épais de couleur blanc-gris. I.M.S.

↑ , Idole anatolienne:

Idole anatolienne :

collectionName : Proche-Orient
inventoryNb : O.03554
objectName :
objectTitle : Idole anatolienne
objectCulture : Asie antérieure
geography :
dating : 2500 BC - 2001 BC
material :
technique :
dimensions : Hauteur: 4 cm
legalRightOwner : Musées royaux d'art et d'histoire/Koninklijke Musea voor Kunst en Geschiedenis

objectDescription : Les MRAH possèdent une belle collection de petites idoles pré-hittites stylisées provenant sans doute du sud-ouest de la Turquie et datables de la seconde moitié du 3e millénaire. La tête est généralement tubulaire, un peu évasée vers le haut, les bras sont réduits à de petits moignons, pas de jambes, et parfois nous avons une silhouette évoquant les statuettes-violon des Cyclades. Les traits du visage sont souvent marqués par quelques sillons, tout comme ces derniers recouvrent la poitrine et le dos. Plusieurs statuettes de ce type ont été trouvées à Alishar. Les idoles en forme de violon proviennent de la région de Yortan et sont en marbre; elles datent du Bronze ancien I-II. R.L.

↑ , Idole anatoliene:

Idole anatoliene :

collectionName : Proche-Orient
inventoryNb : O.03555
objectName :
objectTitle : Idole anatoliene
objectCulture : Asie antérieure
geography :
dating : 2500 BC - 2001 BC
material :
technique :
dimensions :
legalRightOwner : Musées royaux d'art et d'histoire/Koninklijke Musea voor Kunst en Geschiedenis

objectDescription : Les MRAH possèdent une belle collection de petites idoles pré-hittites stylisées provenant sans doute du sud-ouest de la Turquie et datables de la seconde moitié du 3e millénaire. La tête est généralement tubulaire, un peu évasée vers le haut, les bras sont réduits à de petits moignons, pas de jambes, et parfois nous avons une silhouette évoquant les statuettes-violon des Cyclades. Les traits du visage sont souvent marqués par quelques sillons, tout comme ces derniers recouvrent la poitrine et le dos. Plusieurs statuettes de ce type ont été trouvées à Alishar. Les idoles en forme de violon proviennent de la région de Yortan et sont en marbre; elles datent du Bronze ancien I-II. R.L.

↑ , Idole anatolienne:

Idole anatolienne :

collectionName : Proche-Orient
inventoryNb : O.03556
objectName :
objectTitle : Idole anatolienne
objectCulture : Asie antérieure
geography :
dating : 2500 BC - 2001 BC
material :
technique :
dimensions :
legalRightOwner : Musées royaux d'art et d'histoire/Koninklijke Musea voor Kunst en Geschiedenis

objectDescription : Les MRAH possèdent une belle collection de petites idoles pré-hittites stylisées provenant sans doute du sud-ouest de la Turquie et datables de la seconde moitié du 3e millénaire. La tête est généralement tubulaire, un peu évasée vers le haut, les bras sont réduits à de petits moignons, pas de jambes, et parfois nous avons une silhouette évoquant les statuettes-violon des Cyclades. Les traits du visage sont souvent marqués par quelques sillons, tout comme ces derniers recouvrent la poitrine et le dos. Plusieurs statuettes de ce type ont été trouvées à Alishar. Les idoles en forme de violon proviennent de la région de Yortan et sont en marbre; elles datent du Bronze ancien I-II. R.L.

↑ , Idole anatolienne:

Idole anatolienne :

collectionName : Proche-Orient
inventoryNb : O.03557
objectName :
objectTitle : Idole anatolienne
objectCulture : Asie antérieure
geography :
dating : 2500 BC - 2001 BC
material :
technique :
dimensions :
legalRightOwner : Musées royaux d'art et d'histoire/Koninklijke Musea voor Kunst en Geschiedenis

objectDescription : Les MRAH possèdent une belle collection de petites idoles pré-hittites stylisées provenant sans doute du sud-ouest de la Turquie et datables de la seconde moitié du 3e millénaire. La tête est généralement tubulaire, un peu évasée vers le haut, les bras sont réduits à de petits moignons, pas de jambes, et parfois nous avons une silhouette évoquant les statuettes-violon des Cyclades. Les traits du visage sont souvent marqués par quelques sillons, tout comme ces derniers recouvrent la poitrine et le dos. Plusieurs statuettes de ce type ont été trouvées à Alishar. Les idoles en forme de violon proviennent de la région de Yortan et sont en marbre; elles datent du Bronze ancien I-II. R.L.

↑ , Déesse de la fécondité:

Déesse de la fécondité :

collectionName : Proche-Orient
inventoryNb : O.03607
objectName :
objectTitle : Déesse de la fécondité
objectCulture : syrien
geography :
dating : 1850 BC - 1800 BC
material :
technique :
dimensions : Hauteur: 18 cm, Largeur: 5,8 cm
legalRightOwner : Musées royaux d'art et d'histoire/Koninklijke Musea voor Kunst en Geschiedenis

objectDescription : Dans la région située à l’est de l’Oronte, au croisement des voies commerciales Nord-Sud et des routes caravanières allant de la Méditerranée à l’Euphrate, l’art de la terre cuite connut un développement dynamique dans le courant du premier quart du 2e millénaire. Plusieurs ateliers des royaumes de Yamkhad au nord (avec Alep pour capitale), de Qatna (Tell Mischrifé) au sud et d’Ebla (Tell Mardikh) entre les deux, développèrent des modèles standards rehaussés d’accents locaux dans chacune des régions. Ce groupe présente des femmes nues au corps en forme de violon, uniquement parées de chaînes au cou, de cordons à amulettes croisés et portant, parfois, une sorte de string dissimulant le sexe. Étant donné que ces accessoires sont mentionnés dans le mythe sumérien de « La descente d’Inanna aux Enfers », ces figurines ont souvent été identifiées comme représentant Inanna/Ishtar ou Astarté, bien qu’il paraisse plus prudent d’y reconnaître une allusion générale à la déesse de la fécondité. Des prototypes de cette production, qui fut à son tour reprise par des artistes chypriotes, sont connus en Élam (Suse). E.G.

↑ , Déesse de la fécondité:

Déesse de la fécondité :

collectionName : Proche-Orient
inventoryNb : O.03608
objectName :
objectTitle : Déesse de la fécondité
objectCulture : syrien
geography :
dating : 1850 BC - 1800 BC
material :
technique :
dimensions : Hauteur: 13 cm, Largeur: 4,5 cm
legalRightOwner : Musées royaux d'art et d'histoire/Koninklijke Musea voor Kunst en Geschiedenis

objectDescription : Dans la région située à l’est de l’Oronte, au croisement des voies commerciales Nord-Sud et des routes caravanières allant de la Méditerranée à l’Euphrate, l’art de la terre cuite connut un développement dynamique dans le courant du premier quart du 2e millénaire. Plusieurs ateliers des royaumes de Yamkhad au nord (avec Alep pour capitale), de Qatna (Tell Mischrifé) au sud et d’Ebla (Tell Mardikh) entre les deux, développèrent des modèles standards rehaussés d’accents locaux dans chacune des régions. Ce groupe présente des femmes nues au corps en forme de violon, uniquement parées de chaînes au cou, de cordons à amulettes croisés et portant, parfois, une sorte de string dissimulant le sexe. Étant donné que ces accessoires sont mentionnés dans le mythe sumérien de « La descente d’Inanna aux Enfers », ces figurines ont souvent été identifiées comme représentant Inanna/Ishtar ou Astarté, bien qu’il paraisse plus prudent d’y reconnaître une allusion générale à la déesse de la fécondité. Des prototypes de cette production, qui fut à son tour reprise par des artistes chypriotes, sont connus en Élam (Suse). E.G.

↑ , Déesse de la fécondité:

Déesse de la fécondité :

collectionName : Proche-Orient
inventoryNb : O.03609
objectName :
objectTitle : Déesse de la fécondité
objectCulture : syrien
geography :
dating : 1850 BC - 1800 BC
material :
technique :
dimensions : Hauteur: 10,4 cm, Largeur: 4,1 cm
legalRightOwner : Musées royaux d'art et d'histoire/Koninklijke Musea voor Kunst en Geschiedenis

objectDescription : Dans la région située à l’est de l’Oronte, au croisement des voies commerciales Nord-Sud et des routes caravanières allant de la Méditerranée à l’Euphrate, l’art de la terre cuite connut un développement dynamique dans le courant du premier quart du 2e millénaire. Plusieurs ateliers des royaumes de Yamkhad au nord (avec Alep pour capitale), de Qatna (Tell Mischrifé) au sud et d’Ebla (Tell Mardikh) entre les deux, développèrent des modèles standards rehaussés d’accents locaux dans chacune des régions. Ce groupe présente des femmes nues au corps en forme de violon, uniquement parées de chaînes au cou, de cordons à amulettes croisés et portant, parfois, une sorte de string dissimulant le sexe. Étant donné que ces accessoires sont mentionnés dans le mythe sumérien de « La descente d’Inanna aux Enfers », ces figurines ont souvent été identifiées comme représentant Inanna/Ishtar ou Astarté, bien qu’il paraisse plus prudent d’y reconnaître une allusion générale à la déesse de la fécondité. Des prototypes de cette production, qui fut à son tour reprise par des artistes chypriotes, sont connus en Élam (Suse). E.G.

↑ , Idole anatolienne:

Idole anatolienne :

collectionName : Proche-Orient
inventoryNb : O.03629
objectName :
objectTitle : Idole anatolienne
objectCulture : Asie antérieure
geography :
dating : 2500 BC - 2001 BC
material :
technique :
dimensions : Hauteur: 16 cm, Largeur: 8,4 cm
legalRightOwner : Musées royaux d'art et d'histoire/Koninklijke Musea voor Kunst en Geschiedenis

objectDescription : Les MRAH possèdent une belle collection de petites idoles pré-hittites stylisées provenant sans doute du sud-ouest de la Turquie et datables de la seconde moitié du 3e millénaire. La tête est généralement tubulaire, un peu évasée vers le haut, les bras sont réduits à de petits moignons, pas de jambes, et parfois nous avons une silhouette évoquant les statuettes-violon des Cyclades. Les traits du visage sont souvent marqués par quelques sillons, tout comme ces derniers recouvrent la poitrine et le dos. Plusieurs statuettes de ce type ont été trouvées à Alishar. Les idoles en forme de violon proviennent de la région de Yortan et sont en marbre; elles datent du Bronze ancien I-II. R.L.

↑ , Idole anatolienne:

Idole anatolienne :

collectionName : Proche-Orient
inventoryNb : O.03630
objectName :
objectTitle : Idole anatolienne
objectCulture : Asie antérieure
geography :
dating : 2500 BC - 2001 BC
material :
technique :
dimensions : Hauteur: 18 cm, Largeur: 5,5 cm
legalRightOwner : Musées royaux d'art et d'histoire/Koninklijke Musea voor Kunst en Geschiedenis

objectDescription : Les MRAH possèdent une belle collection de petites idoles pré-hittites stylisées provenant sans doute du sud-ouest de la Turquie et datables de la seconde moitié du 3e millénaire. La tête est généralement tubulaire, un peu évasée vers le haut, les bras sont réduits à de petits moignons, pas de jambes, et parfois nous avons une silhouette évoquant les statuettes-violon des Cyclades. Les traits du visage sont souvent marqués par quelques sillons, tout comme ces derniers recouvrent la poitrine et le dos. Plusieurs statuettes de ce type ont été trouvées à Alishar. Les idoles en forme de violon proviennent de la région de Yortan et sont en marbre; elles datent du Bronze ancien I-II. R.L.

↑ , Idole anatolienne:

Idole anatolienne :

collectionName : Proche-Orient
inventoryNb : O.03631
objectName :
objectTitle : Idole anatolienne
objectCulture : Asie antérieure
geography :
dating : 2500 BC - 2001 BC
material :
technique :
dimensions : Hauteur: 6,7 cm, Largeur: 3,5 cm
legalRightOwner : Musées royaux d'art et d'histoire/Koninklijke Musea voor Kunst en Geschiedenis

objectDescription : Les MRAH possèdent une belle collection de petites idoles pré-hittites stylisées provenant sans doute du sud-ouest de la Turquie et datables de la seconde moitié du 3e millénaire. La tête est généralement tubulaire, un peu évasée vers le haut, les bras sont réduits à de petits moignons, pas de jambes, et parfois nous avons une silhouette évoquant les statuettes-violon des Cyclades. Les traits du visage sont souvent marqués par quelques sillons, tout comme ces derniers recouvrent la poitrine et le dos. Plusieurs statuettes de ce type ont été trouvées à Alishar. Les idoles en forme de violon proviennent de la région de Yortan et sont en marbre; elles datent du Bronze ancien I-II. R.L.

↑ , Idole anatolienne:

Idole anatolienne :

collectionName : Proche-Orient
inventoryNb : O.03632
objectName :
objectTitle : Idole anatolienne
objectCulture : Asie antérieure
geography :
dating : 2500 BC - 2001 BC
material :
technique :
dimensions : Hauteur: 4 cm, Largeur: 2,5 cm
legalRightOwner : Musées royaux d'art et d'histoire/Koninklijke Musea voor Kunst en Geschiedenis

objectDescription : Les MRAH possèdent une belle collection de petites idoles pré-hittites stylisées provenant sans doute du sud-ouest de la Turquie et datables de la seconde moitié du 3e millénaire. La tête est généralement tubulaire, un peu évasée vers le haut, les bras sont réduits à de petits moignons, pas de jambes, et parfois nous avons une silhouette évoquant les statuettes-violon des Cyclades. Les traits du visage sont souvent marqués par quelques sillons, tout comme ces derniers recouvrent la poitrine et le dos. Plusieurs statuettes de ce type ont été trouvées à Alishar. Les idoles en forme de violon proviennent de la région de Yortan et sont en marbre; elles datent du Bronze ancien I-II. R.L.

↑ , Ecuelle à bords biseautés:

Ecuelle à bords biseautés :

collectionName : Proche-Orient
inventoryNb : O.04072
objectName :
objectTitle : Ecuelle à bords biseautés
objectCulture : syrien
geography :
dating : 3900 BC - 2950 BC
material :
technique :
dimensions : Hauteur: 9 cm
legalRightOwner : Musées royaux d'art et d'histoire/Koninklijke Musea voor Kunst en Geschiedenis

objectDescription : Parmi les nombreuses poteries complètes ou fragmentaires retrouvées en place dans les bâtiments de Tell Kannas, toutes les formes classiques du répertoire céramique urukéen sont représentées. À l’époque d’Uruk, la céramique, auparavant montée à la main, est réalisée au tour et le décor peint des époques précédentes est abandonné au profit d’un décor gravé ou pastillé. Les récipients utilitaires ou de luxe sont à présent produits en masse pour satisfaire la demande d’une population urbaine toujours croissante et d’énigmatiques écuelles sont confectionnées en série. Ces céramiques grossières en forme d’entonnoir sont probablement les récipients les plus caractéristiques de l’époque d’Uruk. Pour les fabriquer, une galette d’argile à gros dégraissant végétal était enfoncée dans un moule ou dans une cavité creusée dans le sol et préalablement sablée. Le bord de ces pots était ensuite égalisé au doigt de manière à obtenir un biseau. La plupart des sites urukéens ont livré ce type de pots, parfois empilés par dizaine à un même endroit. S’il ne fait aucun doute qu’il s’agit de récipients jetables, comparables à nos assiettes en carton, en revanche, il est difficile de se prononcer sur leur fonction exacte. Certains pensent qu’ils servaient à distribuer des rations en guise de salaire aux travailleurs employés par l’administration des cités mais la grande diversité de leur capacité rend cette hypothèse fort discutable. D’autres suggèrent qu’ils étaient utilisés comme vaisselle d’appoint lors de fêtes ou de banquets pour servir les convives. V.V.

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Ecuelle à bords biseautés :

collectionName : Proche-Orient
inventoryNb : O.04073
objectName :
objectTitle : Ecuelle à bords biseautés
objectCulture : syrien
geography :
dating : 3900 BC - 2950 BC
material :
technique :
dimensions : Hauteur: 9,5 cm
legalRightOwner : Musées royaux d'art et d'histoire/Koninklijke Musea voor Kunst en Geschiedenis

objectDescription : Parmi les nombreuses poteries complètes ou fragmentaires retrouvées en place dans les bâtiments de Tell Kannas, toutes les formes classiques du répertoire céramique urukéen sont représentées. À l’époque d’Uruk, la céramique, auparavant montée à la main, est réalisée au tour et le décor peint des époques précédentes est abandonné au profit d’un décor gravé ou pastillé. Les récipients utilitaires ou de luxe sont à présent produits en masse pour satisfaire la demande d’une population urbaine toujours croissante et d’énigmatiques écuelles sont confectionnées en série. Ces céramiques grossières en forme d’entonnoir sont probablement les récipients les plus caractéristiques de l’époque d’Uruk. Pour les fabriquer, une galette d’argile à gros dégraissant végétal était enfoncée dans un moule ou dans une cavité creusée dans le sol et préalablement sablée. Le bord de ces pots était ensuite égalisé au doigt de manière à obtenir un biseau. La plupart des sites urukéens ont livré ce type de pots, parfois empilés par dizaine à un même endroit. S’il ne fait aucun doute qu’il s’agit de récipients jetables, comparables à nos assiettes en carton, en revanche, il est difficile de se prononcer sur leur fonction exacte. Certains pensent qu’ils servaient à distribuer des rations en guise de salaire aux travailleurs employés par l’administration des cités mais la grande diversité de leur capacité rend cette hypothèse fort discutable. D’autres suggèrent qu’ils étaient utilisés comme vaisselle d’appoint lors de fêtes ou de banquets pour servir les convives. V.V.

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Ecuelle à bords biseautés :

collectionName : Proche-Orient
inventoryNb : O.04075
objectName :
objectTitle : Ecuelle à bords biseautés
objectCulture : syrien
geography :
dating : 3900 BC - 2950 BC
material :
technique :
dimensions : Hauteur: 9,5 cm
legalRightOwner : Musées royaux d'art et d'histoire/Koninklijke Musea voor Kunst en Geschiedenis

objectDescription : Parmi les nombreuses poteries complètes ou fragmentaires retrouvées en place dans les bâtiments de Tell Kannas, toutes les formes classiques du répertoire céramique urukéen sont représentées. À l’époque d’Uruk, la céramique, auparavant montée à la main, est réalisée au tour et le décor peint des époques précédentes est abandonné au profit d’un décor gravé ou pastillé. Les récipients utilitaires ou de luxe sont à présent produits en masse pour satisfaire la demande d’une population urbaine toujours croissante et d’énigmatiques écuelles sont confectionnées en série. Ces céramiques grossières en forme d’entonnoir sont probablement les récipients les plus caractéristiques de l’époque d’Uruk. Pour les fabriquer, une galette d’argile à gros dégraissant végétal était enfoncée dans un moule ou dans une cavité creusée dans le sol et préalablement sablée. Le bord de ces pots était ensuite égalisé au doigt de manière à obtenir un biseau. La plupart des sites urukéens ont livré ce type de pots, parfois empilés par dizaine à un même endroit. S’il ne fait aucun doute qu’il s’agit de récipients jetables, comparables à nos assiettes en carton, en revanche, il est difficile de se prononcer sur leur fonction exacte. Certains pensent qu’ils servaient à distribuer des rations en guise de salaire aux travailleurs employés par l’administration des cités mais la grande diversité de leur capacité rend cette hypothèse fort discutable. D’autres suggèrent qu’ils étaient utilisés comme vaisselle d’appoint lors de fêtes ou de banquets pour servir les convives. V.V.

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Ecuelle à bords biseautés :

collectionName : Proche-Orient
inventoryNb : O.04077
objectName :
objectTitle : Ecuelle à bords biseautés
objectCulture : syrien
geography :
dating : 3900 BC - 2950 BC
material :
technique :
dimensions : Hauteur: 9,5 cm
legalRightOwner : Musées royaux d'art et d'histoire/Koninklijke Musea voor Kunst en Geschiedenis

objectDescription : Parmi les nombreuses poteries complètes ou fragmentaires retrouvées en place dans les bâtiments de Tell Kannas, toutes les formes classiques du répertoire céramique urukéen sont représentées. À l’époque d’Uruk, la céramique, auparavant montée à la main, est réalisée au tour et le décor peint des époques précédentes est abandonné au profit d’un décor gravé ou pastillé. Les récipients utilitaires ou de luxe sont à présent produits en masse pour satisfaire la demande d’une population urbaine toujours croissante et d’énigmatiques écuelles sont confectionnées en série. Ces céramiques grossières en forme d’entonnoir sont probablement les récipients les plus caractéristiques de l’époque d’Uruk. Pour les fabriquer, une galette d’argile à gros dégraissant végétal était enfoncée dans un moule ou dans une cavité creusée dans le sol et préalablement sablée. Le bord de ces pots était ensuite égalisé au doigt de manière à obtenir un biseau. La plupart des sites urukéens ont livré ce type de pots, parfois empilés par dizaine à un même endroit. S’il ne fait aucun doute qu’il s’agit de récipients jetables, comparables à nos assiettes en carton, en revanche, il est difficile de se prononcer sur leur fonction exacte. Certains pensent qu’ils servaient à distribuer des rations en guise de salaire aux travailleurs employés par l’administration des cités mais la grande diversité de leur capacité rend cette hypothèse fort discutable. D’autres suggèrent qu’ils étaient utilisés comme vaisselle d’appoint lors de fêtes ou de banquets pour servir les convives. V.V.

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Ecuelle à bords biseautés :

collectionName : Proche-Orient
inventoryNb : O.04078
objectName :
objectTitle : Ecuelle à bords biseautés
objectCulture : syrien
geography :
dating : 3900 BC - 2950 BC
material :
technique :
dimensions : Hauteur: 9,5 cm
legalRightOwner : Musées royaux d'art et d'histoire/Koninklijke Musea voor Kunst en Geschiedenis

objectDescription : Parmi les nombreuses poteries complètes ou fragmentaires retrouvées en place dans les bâtiments de Tell Kannas, toutes les formes classiques du répertoire céramique urukéen sont représentées. À l’époque d’Uruk, la céramique, auparavant montée à la main, est réalisée au tour et le décor peint des époques précédentes est abandonné au profit d’un décor gravé ou pastillé. Les récipients utilitaires ou de luxe sont à présent produits en masse pour satisfaire la demande d’une population urbaine toujours croissante et d’énigmatiques écuelles sont confectionnées en série. Ces céramiques grossières en forme d’entonnoir sont probablement les récipients les plus caractéristiques de l’époque d’Uruk. Pour les fabriquer, une galette d’argile à gros dégraissant végétal était enfoncée dans un moule ou dans une cavité creusée dans le sol et préalablement sablée. Le bord de ces pots était ensuite égalisé au doigt de manière à obtenir un biseau. La plupart des sites urukéens ont livré ce type de pots, parfois empilés par dizaine à un même endroit. S’il ne fait aucun doute qu’il s’agit de récipients jetables, comparables à nos assiettes en carton, en revanche, il est difficile de se prononcer sur leur fonction exacte. Certains pensent qu’ils servaient à distribuer des rations en guise de salaire aux travailleurs employés par l’administration des cités mais la grande diversité de leur capacité rend cette hypothèse fort discutable. D’autres suggèrent qu’ils étaient utilisés comme vaisselle d’appoint lors de fêtes ou de banquets pour servir les convives. V.V.

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Ecuelle à bords biseautés :

collectionName : Proche-Orient
inventoryNb : O.04079
objectName :
objectTitle : Ecuelle à bords biseautés
objectCulture : syrien
geography :
dating : 3900 BC - 2950 BC
material :
technique :
dimensions : Hauteur: 9,5 cm
legalRightOwner : Musées royaux d'art et d'histoire/Koninklijke Musea voor Kunst en Geschiedenis

objectDescription : Parmi les nombreuses poteries complètes ou fragmentaires retrouvées en place dans les bâtiments de Tell Kannas, toutes les formes classiques du répertoire céramique urukéen sont représentées. À l’époque d’Uruk, la céramique, auparavant montée à la main, est réalisée au tour et le décor peint des époques précédentes est abandonné au profit d’un décor gravé ou pastillé. Les récipients utilitaires ou de luxe sont à présent produits en masse pour satisfaire la demande d’une population urbaine toujours croissante et d’énigmatiques écuelles sont confectionnées en série. Ces céramiques grossières en forme d’entonnoir sont probablement les récipients les plus caractéristiques de l’époque d’Uruk. Pour les fabriquer, une galette d’argile à gros dégraissant végétal était enfoncée dans un moule ou dans une cavité creusée dans le sol et préalablement sablée. Le bord de ces pots était ensuite égalisé au doigt de manière à obtenir un biseau. La plupart des sites urukéens ont livré ce type de pots, parfois empilés par dizaine à un même endroit. S’il ne fait aucun doute qu’il s’agit de récipients jetables, comparables à nos assiettes en carton, en revanche, il est difficile de se prononcer sur leur fonction exacte. Certains pensent qu’ils servaient à distribuer des rations en guise de salaire aux travailleurs employés par l’administration des cités mais la grande diversité de leur capacité rend cette hypothèse fort discutable. D’autres suggèrent qu’ils étaient utilisés comme vaisselle d’appoint lors de fêtes ou de banquets pour servir les convives. V.V.

↑ , Ecuelle à bords biseautés:

Ecuelle à bords biseautés :

collectionName : Proche-Orient
inventoryNb : O.04080
objectName :
objectTitle : Ecuelle à bords biseautés
objectCulture : syrien
geography :
dating : 3900 BC - 2950 BC
material :
technique :
dimensions : Hauteur: 9,5 cm
legalRightOwner : Musées royaux d'art et d'histoire/Koninklijke Musea voor Kunst en Geschiedenis

objectDescription : Parmi les nombreuses poteries complètes ou fragmentaires retrouvées en place dans les bâtiments de Tell Kannas, toutes les formes classiques du répertoire céramique urukéen sont représentées. À l’époque d’Uruk, la céramique, auparavant montée à la main, est réalisée au tour et le décor peint des époques précédentes est abandonné au profit d’un décor gravé ou pastillé. Les récipients utilitaires ou de luxe sont à présent produits en masse pour satisfaire la demande d’une population urbaine toujours croissante et d’énigmatiques écuelles sont confectionnées en série. Ces céramiques grossières en forme d’entonnoir sont probablement les récipients les plus caractéristiques de l’époque d’Uruk. Pour les fabriquer, une galette d’argile à gros dégraissant végétal était enfoncée dans un moule ou dans une cavité creusée dans le sol et préalablement sablée. Le bord de ces pots était ensuite égalisé au doigt de manière à obtenir un biseau. La plupart des sites urukéens ont livré ce type de pots, parfois empilés par dizaine à un même endroit. S’il ne fait aucun doute qu’il s’agit de récipients jetables, comparables à nos assiettes en carton, en revanche, il est difficile de se prononcer sur leur fonction exacte. Certains pensent qu’ils servaient à distribuer des rations en guise de salaire aux travailleurs employés par l’administration des cités mais la grande diversité de leur capacité rend cette hypothèse fort discutable. D’autres suggèrent qu’ils étaient utilisés comme vaisselle d’appoint lors de fêtes ou de banquets pour servir les convives. V.V.

↑ , Ecuelle à bords biseautés:

Ecuelle à bords biseautés :

collectionName : Proche-Orient
inventoryNb : O.04086
objectName :
objectTitle : Ecuelle à bords biseautés
objectCulture : syrien
geography :
dating : 3900 BC - 2950 BC
material :
technique :
dimensions : Hauteur: 9 cm
legalRightOwner : Musées royaux d'art et d'histoire/Koninklijke Musea voor Kunst en Geschiedenis

objectDescription : Parmi les nombreuses poteries complètes ou fragmentaires retrouvées en place dans les bâtiments de Tell Kannas, toutes les formes classiques du répertoire céramique urukéen sont représentées. À l’époque d’Uruk, la céramique, auparavant montée à la main, est réalisée au tour et le décor peint des époques précédentes est abandonné au profit d’un décor gravé ou pastillé. Les récipients utilitaires ou de luxe sont à présent produits en masse pour satisfaire la demande d’une population urbaine toujours croissante et d’énigmatiques écuelles sont confectionnées en série. Ces céramiques grossières en forme d’entonnoir sont probablement les récipients les plus caractéristiques de l’époque d’Uruk. Pour les fabriquer, une galette d’argile à gros dégraissant végétal était enfoncée dans un moule ou dans une cavité creusée dans le sol et préalablement sablée. Le bord de ces pots était ensuite égalisé au doigt de manière à obtenir un biseau. La plupart des sites urukéens ont livré ce type de pots, parfois empilés par dizaine à un même endroit. S’il ne fait aucun doute qu’il s’agit de récipients jetables, comparables à nos assiettes en carton, en revanche, il est difficile de se prononcer sur leur fonction exacte. Certains pensent qu’ils servaient à distribuer des rations en guise de salaire aux travailleurs employés par l’administration des cités mais la grande diversité de leur capacité rend cette hypothèse fort discutable. D’autres suggèrent qu’ils étaient utilisés comme vaisselle d’appoint lors de fêtes ou de banquets pour servir les convives. V.V.

↑ , Ecuelle à bords biseautés:

Ecuelle à bords biseautés :

collectionName : Proche-Orient
inventoryNb : O.04123
objectName :
objectTitle : Ecuelle à bords biseautés
objectCulture : syrien
geography :
dating : 3900 BC - 2950 BC
material :
technique :
dimensions : Hauteur: 10,3 cm
legalRightOwner : Musées royaux d'art et d'histoire/Koninklijke Musea voor Kunst en Geschiedenis

objectDescription : Parmi les nombreuses poteries complètes ou fragmentaires retrouvées en place dans les bâtiments de Tell Kannas, toutes les formes classiques du répertoire céramique urukéen sont représentées. À l’époque d’Uruk, la céramique, auparavant montée à la main, est réalisée au tour et le décor peint des époques précédentes est abandonné au profit d’un décor gravé ou pastillé. Les récipients utilitaires ou de luxe sont à présent produits en masse pour satisfaire la demande d’une population urbaine toujours croissante et d’énigmatiques écuelles sont confectionnées en série. Ces céramiques grossières en forme d’entonnoir sont probablement les récipients les plus caractéristiques de l’époque d’Uruk. Pour les fabriquer, une galette d’argile à gros dégraissant végétal était enfoncée dans un moule ou dans une cavité creusée dans le sol et préalablement sablée. Le bord de ces pots était ensuite égalisé au doigt de manière à obtenir un biseau. La plupart des sites urukéens ont livré ce type de pots, parfois empilés par dizaine à un même endroit. S’il ne fait aucun doute qu’il s’agit de récipients jetables, comparables à nos assiettes en carton, en revanche, il est difficile de se prononcer sur leur fonction exacte. Certains pensent qu’ils servaient à distribuer des rations en guise de salaire aux travailleurs employés par l’administration des cités mais la grande diversité de leur capacité rend cette hypothèse fort discutable. D’autres suggèrent qu’ils étaient utilisés comme vaisselle d’appoint lors de fêtes ou de banquets pour servir les convives. V.V.

↑ , :

:

collectionName : Proche-Orient
inventoryNb : O.04464
objectName :
objectTitle :
objectCulture : Levant méridional
geography :
dating : 3200 BC (Incertaine)
material :
technique :
dimensions : Hauteur: 27,5 cm
legalRightOwner : Musées royaux d'art et d'histoire/Koninklijke Musea voor Kunst en Geschiedenis

objectDescription : Bab edh-Dhra’ est situé du côté jordanien de la mer Morte, à l’est de Ghor el Mzra’ et de la presqu’île de Lisan, à une altitude de 240 m sous le niveau de la mer. Il comprend, entre autres, une ville fortifiée qui se trouve sur la rive méridionale du Wadi Kerak et une vaste nécropole implantée au sud-ouest de l’établissement urbain. Ces deux emplacements sont datés du Bronze ancien. La tombe A 79 se composait de quatre chambres en puits contenant, outre des restes de squelettes, de nombreuses offrandes funéraires constituées essentiellement de vases en terre cuite. La céramique de cette période est toujours façonnée à la main et, parfois, achevée par une fine couche d’engobe de couleur rouge non poli. Elle se caractérise par diverses formes fonctionnelles, parmi lesquelles de profondes écuelles de format moyen à grand, des aiguières avec ou sans anses verticales, des jarres à provisions à anses en saillie, des cruchons miniatures et de petits plats peu profonds. Les coupes sont souvent pourvues de petites anses horizontales ou de petits boutons de terre qui étaient apposés à distance régulière sous le col du vase. Ces pièces pouvaient être décorées d’une ou de deux lignes de points imprimés par l’artisan dans l’argile encore humide, probablement à l’aide d’un morceau de roseau. Ce type d’ornementation apparaît également sur des cruches et est considéré comme typique de la céramique de Bab edh-Dhra’. Parfois, les coupes présentent un fond arrondi, contrairement aux cruches servant de conteneurs à liquides et dont les fonds étaient toujours aplanis pour stabiliser le récipient. Afin de faciliter la préhension des cruches et service ou de simplifier le puisage des liquides, elles étaient pourvues d’anses verticales. Sur la panse d’autres vases, c’étaient des anses horizontales en saillie qui étaient fixées. Pour améliorer la qualité de l’argile utilisée pour réaliser les récipients, les potiers ajoutaient du dégraissant dans la masse de terre. Il pouvait s’agir de sable, de quartz, de poussière de calcaire ou de fins cailloux. I.M.S.

↑ , Cruche à deux anses:

Cruche à deux anses :

collectionName : Proche-Orient
inventoryNb : O.04466
objectName :
objectTitle : Cruche à deux anses
objectCulture : Levant méridional
geography :
dating : ca. 3200 BC
material :
technique :
dimensions : Hauteur: 22,5 cm
legalRightOwner : Musées royaux d'art et d'histoire/Koninklijke Musea voor Kunst en Geschiedenis

objectDescription : Bab edh-Dhra’ est situé du côté jordanien de la mer Morte, à l’est de Ghor el Mzra’ et de la presqu’île de Lisan, à une altitude de 240 m sous le niveau de la mer. Il comprend, entre autres, une ville fortifiée qui se trouve sur la rive méridionale du Wadi Kerak et une vaste nécropole implantée au sud-ouest de l’établissement urbain. Ces deux emplacements sont datés du Bronze ancien. La tombe A 79 se composait de quatre chambres en puits contenant, outre des restes de squelettes, de nombreuses offrandes funéraires constituées essentiellement de vases en terre cuite. La céramique de cette période est toujours façonnée à la main et, parfois, achevée par une fine couche d’engobe de couleur rouge non poli. Elle se caractérise par diverses formes fonctionnelles, parmi lesquelles de profondes écuelles de format moyen à grand, des aiguières avec ou sans anses verticales, des jarres à provisions à anses en saillie, des cruchons miniatures et de petits plats peu profonds. Les coupes sont souvent pourvues de petites anses horizontales ou de petits boutons de terre qui étaient apposés à distance régulière sous le col du vase. Ces pièces pouvaient être décorées d’une ou de deux lignes de points imprimés par l’artisan dans l’argile encore humide, probablement à l’aide d’un morceau de roseau. Ce type d’ornementation apparaît également sur des cruches et est considéré comme typique de la céramique de Bab edh-Dhra’. Parfois, les coupes présentent un fond arrondi, contrairement aux cruches servant de conteneurs à liquides et dont les fonds étaient toujours aplanis pour stabiliser le récipient. Afin de faciliter la préhension des cruches et service ou de simplifier le puisage des liquides, elles étaient pourvues d’anses verticales. Sur la panse d’autres vases, c’étaient des anses horizontales en saillie qui étaient fixées. Pour améliorer la qualité de l’argile utilisée pour réaliser les récipients, les potiers ajoutaient du dégraissant dans la masse de terre. Il pouvait s’agir de sable, de quartz, de poussière de calcaire ou de fins cailloux. I.M.S.

↑ , Bol décoré de points gravés:

Bol décoré de points gravés :

collectionName : Proche-Orient
inventoryNb : O.04470
objectName :
objectTitle : Bol décoré de points gravés
objectCulture : Levant méridional
geography :
dating : ca. 3200 BC
material :
technique :
dimensions : Hauteur: 20,8 cm
legalRightOwner : Musées royaux d'art et d'histoire/Koninklijke Musea voor Kunst en Geschiedenis

objectDescription : Bab edh-Dhra’ est situé du côté jordanien de la mer Morte, à l’est de Ghor el Mzra’ et de la presqu’île de Lisan, à une altitude de 240 m sous le niveau de la mer. Il comprend, entre autres, une ville fortifiée qui se trouve sur la rive méridionale du Wadi Kerak et une vaste nécropole implantée au sud-ouest de l’établissement urbain. Ces deux emplacements sont datés du Bronze ancien. La tombe A 79 se composait de quatre chambres en puits contenant, outre des restes de squelettes, de nombreuses offrandes funéraires constituées essentiellement de vases en terre cuite. La céramique de cette période est toujours façonnée à la main et, parfois, achevée par une fine couche d’engobe de couleur rouge non poli. Elle se caractérise par diverses formes fonctionnelles, parmi lesquelles de profondes écuelles de format moyen à grand, des aiguières avec ou sans anses verticales, des jarres à provisions à anses en saillie, des cruchons miniatures et de petits plats peu profonds. Les coupes sont souvent pourvues de petites anses horizontales ou de petits boutons de terre qui étaient apposés à distance régulière sous le col du vase. Ces pièces pouvaient être décorées d’une ou de deux lignes de points imprimés par l’artisan dans l’argile encore humide, probablement à l’aide d’un morceau de roseau. Ce type d’ornementation apparaît également sur des cruches et est considéré comme typique de la céramique de Bab edh-Dhra’. Parfois, les coupes présentent un fond arrondi, contrairement aux cruches servant de conteneurs à liquides et dont les fonds étaient toujours aplanis pour stabiliser le récipient. Afin de faciliter la préhension des cruches et service ou de simplifier le puisage des liquides, elles étaient pourvues d’anses verticales. Sur la panse d’autres vases, c’étaient des anses horizontales en saillie qui étaient fixées. Pour améliorer la qualité de l’argile utilisée pour réaliser les récipients, les potiers ajoutaient du dégraissant dans la masse de terre. Il pouvait s’agir de sable, de quartz, de poussière de calcaire ou de fins cailloux. I.M.S.

↑ , :

:

collectionName : Proche-Orient
inventoryNb : O.04473
objectName :
objectTitle :
objectCulture : Levant méridional
geography :
dating : ca. 3200 BC
material :
technique :
dimensions : Hauteur: 6,5 cm
legalRightOwner : Musées royaux d'art et d'histoire/Koninklijke Musea voor Kunst en Geschiedenis

objectDescription : Bab edh-Dhra’ est situé du côté jordanien de la mer Morte, à l’est de Ghor el Mzra’ et de la presqu’île de Lisan, à une altitude de 240 m sous le niveau de la mer. Il comprend, entre autres, une ville fortifiée qui se trouve sur la rive méridionale du Wadi Kerak et une vaste nécropole implantée au sud-ouest de l’établissement urbain. Ces deux emplacements sont datés du Bronze ancien. La tombe A 79 se composait de quatre chambres en puits contenant, outre des restes de squelettes, de nombreuses offrandes funéraires constituées essentiellement de vases en terre cuite. La céramique de cette période est toujours façonnée à la main et, parfois, achevée par une fine couche d’engobe de couleur rouge non poli. Elle se caractérise par diverses formes fonctionnelles, parmi lesquelles de profondes écuelles de format moyen à grand, des aiguières avec ou sans anses verticales, des jarres à provisions à anses en saillie, des cruchons miniatures et de petits plats peu profonds. Les coupes sont souvent pourvues de petites anses horizontales ou de petits boutons de terre qui étaient apposés à distance régulière sous le col du vase. Ces pièces pouvaient être décorées d’une ou de deux lignes de points imprimés par l’artisan dans l’argile encore humide, probablement à l’aide d’un morceau de roseau. Ce type d’ornementation apparaît également sur des cruches et est considéré comme typique de la céramique de Bab edh-Dhra’. Parfois, les coupes présentent un fond arrondi, contrairement aux cruches servant de conteneurs à liquides et dont les fonds étaient toujours aplanis pour stabiliser le récipient. Afin de faciliter la préhension des cruches et service ou de simplifier le puisage des liquides, elles étaient pourvues d’anses verticales. Sur la panse d’autres vases, c’étaient des anses horizontales en saillie qui étaient fixées. Pour améliorer la qualité de l’argile utilisée pour réaliser les récipients, les potiers ajoutaient du dégraissant dans la masse de terre. Il pouvait s’agir de sable, de quartz, de poussière de calcaire ou de fins cailloux. I.M.S.

↑ , Cruche à deux anses:

Cruche à deux anses :

collectionName : Proche-Orient
inventoryNb : O.04482
objectName :
objectTitle : Cruche à deux anses
objectCulture : Levant méridional
geography :
dating : ca. 3200 BC
material :
technique :
dimensions : Hauteur: 15,3 cm
legalRightOwner : Musées royaux d'art et d'histoire/Koninklijke Musea voor Kunst en Geschiedenis

objectDescription : Bab edh-Dhra’ est situé du côté jordanien de la mer Morte, à l’est de Ghor el Mzra’ et de la presqu’île de Lisan, à une altitude de 240 m sous le niveau de la mer. Il comprend, entre autres, une ville fortifiée qui se trouve sur la rive méridionale du Wadi Kerak et une vaste nécropole implantée au sud-ouest de l’établissement urbain. Ces deux emplacements sont datés du Bronze ancien. La tombe A 79 se composait de quatre chambres en puits contenant, outre des restes de squelettes, de nombreuses offrandes funéraires constituées essentiellement de vases en terre cuite. La céramique de cette période est toujours façonnée à la main et, parfois, achevée par une fine couche d’engobe de couleur rouge non poli. Elle se caractérise par diverses formes fonctionnelles, parmi lesquelles de profondes écuelles de format moyen à grand, des aiguières avec ou sans anses verticales, des jarres à provisions à anses en saillie, des cruchons miniatures et de petits plats peu profonds. Les coupes sont souvent pourvues de petites anses horizontales ou de petits boutons de terre qui étaient apposés à distance régulière sous le col du vase. Ces pièces pouvaient être décorées d’une ou de deux lignes de points imprimés par l’artisan dans l’argile encore humide, probablement à l’aide d’un morceau de roseau. Ce type d’ornementation apparaît également sur des cruches et est considéré comme typique de la céramique de Bab edh-Dhra’. Parfois, les coupes présentent un fond arrondi, contrairement aux cruches servant de conteneurs à liquides et dont les fonds étaient toujours aplanis pour stabiliser le récipient. Afin de faciliter la préhension des cruches et service ou de simplifier le puisage des liquides, elles étaient pourvues d’anses verticales. Sur la panse d’autres vases, c’étaient des anses horizontales en saillie qui étaient fixées. Pour améliorer la qualité de l’argile utilisée pour réaliser les récipients, les potiers ajoutaient du dégraissant dans la masse de terre. Il pouvait s’agir de sable, de quartz, de poussière de calcaire ou de fins cailloux. I.M.S.

↑ , Vase à panse arrondie:

Vase à panse arrondie :

collectionName : Proche-Orient
inventoryNb : O.04487
objectName :
objectTitle : Vase à panse arrondie
objectCulture : Levant méridional
geography :
dating : ca. 3200 BC
material :
technique :
dimensions : Hauteur: 15,2 cm
legalRightOwner : Musées royaux d'art et d'histoire/Koninklijke Musea voor Kunst en Geschiedenis

objectDescription : Bab edh-Dhra’ est situé du côté jordanien de la mer Morte, à l’est de Ghor el Mzra’ et de la presqu’île de Lisan, à une altitude de 240 m sous le niveau de la mer. Il comprend, entre autres, une ville fortifiée qui se trouve sur la rive méridionale du Wadi Kerak et une vaste nécropole implantée au sud-ouest de l’établissement urbain. Ces deux emplacements sont datés du Bronze ancien. La tombe A 79 se composait de quatre chambres en puits contenant, outre des restes de squelettes, de nombreuses offrandes funéraires constituées essentiellement de vases en terre cuite. La céramique de cette période est toujours façonnée à la main et, parfois, achevée par une fine couche d’engobe de couleur rouge non poli. Elle se caractérise par diverses formes fonctionnelles, parmi lesquelles de profondes écuelles de format moyen à grand, des aiguières avec ou sans anses verticales, des jarres à provisions à anses en saillie, des cruchons miniatures et de petits plats peu profonds. Les coupes sont souvent pourvues de petites anses horizontales ou de petits boutons de terre qui étaient apposés à distance régulière sous le col du vase. Ces pièces pouvaient être décorées d’une ou de deux lignes de points imprimés par l’artisan dans l’argile encore humide, probablement à l’aide d’un morceau de roseau. Ce type d’ornementation apparaît également sur des cruches et est considéré comme typique de la céramique de Bab edh-Dhra’. Parfois, les coupes présentent un fond arrondi, contrairement aux cruches servant de conteneurs à liquides et dont les fonds étaient toujours aplanis pour stabiliser le récipient. Afin de faciliter la préhension des cruches et service ou de simplifier le puisage des liquides, elles étaient pourvues d’anses verticales. Sur la panse d’autres vases, c’étaient des anses horizontales en saillie qui étaient fixées. Pour améliorer la qualité de l’argile utilisée pour réaliser les récipients, les potiers ajoutaient du dégraissant dans la masse de terre. Il pouvait s’agir de sable, de quartz, de poussière de calcaire ou de fins cailloux. I.M.S.

↑ , Cruche à anse:

Cruche à anse :

collectionName : Proche-Orient
inventoryNb : O.04491
objectName :
objectTitle : Cruche à anse
objectCulture : Levant méridional
geography :
dating : ca. 3200 BC
material :
technique :
dimensions : Hauteur: 12 cm
legalRightOwner : Musées royaux d'art et d'histoire/Koninklijke Musea voor Kunst en Geschiedenis

objectDescription : Bab edh-Dhra’ est situé du côté jordanien de la mer Morte, à l’est de Ghor el Mzra’ et de la presqu’île de Lisan, à une altitude de 240 m sous le niveau de la mer. Il comprend, entre autres, une ville fortifiée qui se trouve sur la rive méridionale du Wadi Kerak et une vaste nécropole implantée au sud-ouest de l’établissement urbain. Ces deux emplacements sont datés du Bronze ancien. La tombe A 79 se composait de quatre chambres en puits contenant, outre des restes de squelettes, de nombreuses offrandes funéraires constituées essentiellement de vases en terre cuite. La céramique de cette période est toujours façonnée à la main et, parfois, achevée par une fine couche d’engobe de couleur rouge non poli. Elle se caractérise par diverses formes fonctionnelles, parmi lesquelles de profondes écuelles de format moyen à grand, des aiguières avec ou sans anses verticales, des jarres à provisions à anses en saillie, des cruchons miniatures et de petits plats peu profonds. Les coupes sont souvent pourvues de petites anses horizontales ou de petits boutons de terre qui étaient apposés à distance régulière sous le col du vase. Ces pièces pouvaient être décorées d’une ou de deux lignes de points imprimés par l’artisan dans l’argile encore humide, probablement à l’aide d’un morceau de roseau. Ce type d’ornementation apparaît également sur des cruches et est considéré comme typique de la céramique de Bab edh-Dhra’. Parfois, les coupes présentent un fond arrondi, contrairement aux cruches servant de conteneurs à liquides et dont les fonds étaient toujours aplanis pour stabiliser le récipient. Afin de faciliter la préhension des cruches et service ou de simplifier le puisage des liquides, elles étaient pourvues d’anses verticales. Sur la panse d’autres vases, c’étaient des anses horizontales en saillie qui étaient fixées. Pour améliorer la qualité de l’argile utilisée pour réaliser les récipients, les potiers ajoutaient du dégraissant dans la masse de terre. Il pouvait s’agir de sable, de quartz, de poussière de calcaire ou de fins cailloux. I.M.S.

↑ , Bol décoré de points gravés:

Bol décoré de points gravés :

collectionName : Proche-Orient
inventoryNb : O.04493
objectName :
objectTitle : Bol décoré de points gravés
objectCulture : Levant méridional
geography :
dating : ca. 3200 BC
material :
technique :
dimensions : Hauteur: 20 cm
legalRightOwner : Musées royaux d'art et d'histoire/Koninklijke Musea voor Kunst en Geschiedenis

objectDescription : Bab edh-Dhra’ est situé du côté jordanien de la mer Morte, à l’est de Ghor el Mzra’ et de la presqu’île de Lisan, à une altitude de 240 m sous le niveau de la mer. Il comprend, entre autres, une ville fortifiée qui se trouve sur la rive méridionale du Wadi Kerak et une vaste nécropole implantée au sud-ouest de l’établissement urbain. Ces deux emplacements sont datés du Bronze ancien. La tombe A 79 se composait de quatre chambres en puits contenant, outre des restes de squelettes, de nombreuses offrandes funéraires constituées essentiellement de vases en terre cuite. La céramique de cette période est toujours façonnée à la main et, parfois, achevée par une fine couche d’engobe de couleur rouge non poli. Elle se caractérise par diverses formes fonctionnelles, parmi lesquelles de profondes écuelles de format moyen à grand, des aiguières avec ou sans anses verticales, des jarres à provisions à anses en saillie, des cruchons miniatures et de petits plats peu profonds. Les coupes sont souvent pourvues de petites anses horizontales ou de petits boutons de terre qui étaient apposés à distance régulière sous le col du vase. Ces pièces pouvaient être décorées d’une ou de deux lignes de points imprimés par l’artisan dans l’argile encore humide, probablement à l’aide d’un morceau de roseau. Ce type d’ornementation apparaît également sur des cruches et est considéré comme typique de la céramique de Bab edh-Dhra’. Parfois, les coupes présentent un fond arrondi, contrairement aux cruches servant de conteneurs à liquides et dont les fonds étaient toujours aplanis pour stabiliser le récipient. Afin de faciliter la préhension des cruches et service ou de simplifier le puisage des liquides, elles étaient pourvues d’anses verticales. Sur la panse d’autres vases, c’étaient des anses horizontales en saillie qui étaient fixées. Pour améliorer la qualité de l’argile utilisée pour réaliser les récipients, les potiers ajoutaient du dégraissant dans la masse de terre. Il pouvait s’agir de sable, de quartz, de poussière de calcaire ou de fins cailloux. I.M.S.

↑ , Cruche à anse:

Cruche à anse :

collectionName : Proche-Orient
inventoryNb : O.04498
objectName :
objectTitle : Cruche à anse
objectCulture : Levant méridional
geography :
dating : ca. 3200 BC
material :
technique :
dimensions : Hauteur: 9,2 cm
legalRightOwner : Musées royaux d'art et d'histoire/Koninklijke Musea voor Kunst en Geschiedenis

objectDescription : Bab edh-Dhra’ est situé du côté jordanien de la mer Morte, à l’est de Ghor el Mzra’ et de la presqu’île de Lisan, à une altitude de 240 m sous le niveau de la mer. Il comprend, entre autres, une ville fortifiée qui se trouve sur la rive méridionale du Wadi Kerak et une vaste nécropole implantée au sud-ouest de l’établissement urbain. Ces deux emplacements sont datés du Bronze ancien. La tombe A 79 se composait de quatre chambres en puits contenant, outre des restes de squelettes, de nombreuses offrandes funéraires constituées essentiellement de vases en terre cuite. La céramique de cette période est toujours façonnée à la main et, parfois, achevée par une fine couche d’engobe de couleur rouge non poli. Elle se caractérise par diverses formes fonctionnelles, parmi lesquelles de profondes écuelles de format moyen à grand, des aiguières avec ou sans anses verticales, des jarres à provisions à anses en saillie, des cruchons miniatures et de petits plats peu profonds. Les coupes sont souvent pourvues de petites anses horizontales ou de petits boutons de terre qui étaient apposés à distance régulière sous le col du vase. Ces pièces pouvaient être décorées d’une ou de deux lignes de points imprimés par l’artisan dans l’argile encore humide, probablement à l’aide d’un morceau de roseau. Ce type d’ornementation apparaît également sur des cruches et est considéré comme typique de la céramique de Bab edh-Dhra’. Parfois, les coupes présentent un fond arrondi, contrairement aux cruches servant de conteneurs à liquides et dont les fonds étaient toujours aplanis pour stabiliser le récipient. Afin de faciliter la préhension des cruches et service ou de simplifier le puisage des liquides, elles étaient pourvues d’anses verticales. Sur la panse d’autres vases, c’étaient des anses horizontales en saillie qui étaient fixées. Pour améliorer la qualité de l’argile utilisée pour réaliser les récipients, les potiers ajoutaient du dégraissant dans la masse de terre. Il pouvait s’agir de sable, de quartz, de poussière de calcaire ou de fins cailloux. I.M.S.

↑ , Statuette votive d'orant:

Statuette votive d'orant :

collectionName : Proche-Orient
inventoryNb : O.04569
objectName :
objectTitle : Statuette votive d'orant
objectCulture : Phénicienne
geography :
dating : 800 BC - 301 BC
material :
technique :
dimensions : Hauteur: 27 cm, Largeur: 5,9 cm
legalRightOwner : Musées royaux d'art et d'histoire/Koninklijke Musea voor Kunst en Geschiedenis

objectDescription : Après une tempête en mer qui eut lieu dans les années soixante, plusieurs statuettes en terre cuite échouèrent sur la plage aux environs de la ville de Tyr et mirent des plongeurs amateurs sur la piste de la cargaison d’une ou de plusieurs épaves de bateaux chargés de statuettes votives. Le nombre de ces statuettes, qui envahirent ensuite le marché de l’art, est de l’ordre du millier d’exemplaires. Elles représentent des orants et des orantes posés sur des socles parfois décorés de coupes d’offrandes et/ou de symboles tels que des dauphins, des ancres ou le signe dit de Tanit. Il est possible que les offrandes des sanctuaires très fréquentés de Tyr étaient régulièrement évacuées et, par manque de place sur la petite île qui abritait la ville, rituellement dispersées –comme pour une tombe de marin– en les chargeant dans de vieux navires qui étaient alors coulés en pleine mer. Vu les quantités, la théorie d’une telle favissa maritime semble plus plausible que celle d’un bateau chargés d’objets religieux ayant fait naufrage, par exemple en cinglant vers Carthage. Des statuettes de ce type sont toujours inconnues dans le monde punique ou même dans l’île de Chypre tout proche. Bien que la plupart d’entre elles remontent à la période perse, quelques-unes sont archaïques. C’est le cas de la représentation d’une musicienne voilée jouant de la lyre et datée du 8e siècle, un type par ailleurs attesté par une statuette en bronze provenant de Tyr et actuellement conservée à Copenhague. E.G.

↑ , Statuette votive d'orant:

Statuette votive d'orant :

collectionName : Proche-Orient
inventoryNb : O.04595
objectName :
objectTitle : Statuette votive d'orant
objectCulture : Phénicienne
geography :
dating : 800 BC - 301 BC
material :
technique :
dimensions : Hauteur: 16,1 cm, Largeur: 3,7 cm
legalRightOwner : Musées royaux d'art et d'histoire/Koninklijke Musea voor Kunst en Geschiedenis

objectDescription : Après une tempête en mer qui eut lieu dans les années soixante, plusieurs statuettes en terre cuite échouèrent sur la plage aux environs de la ville de Tyr et mirent des plongeurs amateurs sur la piste de la cargaison d’une ou de plusieurs épaves de bateaux chargés de statuettes votives. Le nombre de ces statuettes, qui envahirent ensuite le marché de l’art, est de l’ordre du millier d’exemplaires. Elles représentent des orants et des orantes posés sur des socles parfois décorés de coupes d’offrandes et/ou de symboles tels que des dauphins, des ancres ou le signe dit de Tanit. Il est possible que les offrandes des sanctuaires très fréquentés de Tyr étaient régulièrement évacuées et, par manque de place sur la petite île qui abritait la ville, rituellement dispersées –comme pour une tombe de marin– en les chargeant dans de vieux navires qui étaient alors coulés en pleine mer. Vu les quantités, la théorie d’une telle favissa maritime semble plus plausible que celle d’un bateau chargés d’objets religieux ayant fait naufrage, par exemple en cinglant vers Carthage. Des statuettes de ce type sont toujours inconnues dans le monde punique ou même dans l’île de Chypre tout proche. Bien que la plupart d’entre elles remontent à la période perse, quelques-unes sont archaïques. C’est le cas de la représentation d’une musicienne voilée jouant de la lyre et datée du 8e siècle, un type par ailleurs attesté par une statuette en bronze provenant de Tyr et actuellement conservée à Copenhague. E.G.

↑ , Statuette votive d'orant:

Statuette votive d'orant :

collectionName : Proche-Orient
inventoryNb : O.04596
objectName :
objectTitle : Statuette votive d'orant
objectCulture : Phénicienne
geography :
dating : 800 BC - 301 BC
material :
technique :
dimensions : Hauteur: 18,3 cm, Largeur: 5,7 cm
legalRightOwner : Musées royaux d'art et d'histoire/Koninklijke Musea voor Kunst en Geschiedenis

objectDescription : Après une tempête en mer qui eut lieu dans les années soixante, plusieurs statuettes en terre cuite échouèrent sur la plage aux environs de la ville de Tyr et mirent des plongeurs amateurs sur la piste de la cargaison d’une ou de plusieurs épaves de bateaux chargés de statuettes votives. Le nombre de ces statuettes, qui envahirent ensuite le marché de l’art, est de l’ordre du millier d’exemplaires. Elles représentent des orants et des orantes posés sur des socles parfois décorés de coupes d’offrandes et/ou de symboles tels que des dauphins, des ancres ou le signe dit de Tanit. Il est possible que les offrandes des sanctuaires très fréquentés de Tyr étaient régulièrement évacuées et, par manque de place sur la petite île qui abritait la ville, rituellement dispersées –comme pour une tombe de marin– en les chargeant dans de vieux navires qui étaient alors coulés en pleine mer. Vu les quantités, la théorie d’une telle favissa maritime semble plus plausible que celle d’un bateau chargés d’objets religieux ayant fait naufrage, par exemple en cinglant vers Carthage. Des statuettes de ce type sont toujours inconnues dans le monde punique ou même dans l’île de Chypre tout proche. Bien que la plupart d’entre elles remontent à la période perse, quelques-unes sont archaïques. C’est le cas de la représentation d’une musicienne voilée jouant de la lyre et datée du 8e siècle, un type par ailleurs attesté par une statuette en bronze provenant de Tyr et actuellement conservée à Copenhague. E.G.

↑ , Statuette votive d'orant:

Statuette votive d'orant :

collectionName : Proche-Orient
inventoryNb : O.04597
objectName :
objectTitle : Statuette votive d'orant
objectCulture : Phénicienne
geography :
dating : 800 BC - 301 BC Inconnue
material :
technique :
dimensions : Hauteur: 18,5 cm, Largeur: 4,8 cm
legalRightOwner : Musées royaux d'art et d'histoire/Koninklijke Musea voor Kunst en Geschiedenis

objectDescription : Après une tempête en mer qui eut lieu dans les années soixante, plusieurs statuettes en terre cuite échouèrent sur la plage aux environs de la ville de Tyr et mirent des plongeurs amateurs sur la piste de la cargaison d’une ou de plusieurs épaves de bateaux chargés de statuettes votives. Le nombre de ces statuettes, qui envahirent ensuite le marché de l’art, est de l’ordre du millier d’exemplaires. Elles représentent des orants et des orantes posés sur des socles parfois décorés de coupes d’offrandes et/ou de symboles tels que des dauphins, des ancres ou le signe dit de Tanit. Il est possible que les offrandes des sanctuaires très fréquentés de Tyr étaient régulièrement évacuées et, par manque de place sur la petite île qui abritait la ville, rituellement dispersées –comme pour une tombe de marin– en les chargeant dans de vieux navires qui étaient alors coulés en pleine mer. Vu les quantités, la théorie d’une telle favissa maritime semble plus plausible que celle d’un bateau chargés d’objets religieux ayant fait naufrage, par exemple en cinglant vers Carthage. Des statuettes de ce type sont toujours inconnues dans le monde punique ou même dans l’île de Chypre tout proche. Bien que la plupart d’entre elles remontent à la période perse, quelques-unes sont archaïques. C’est le cas de la représentation d’une musicienne voilée jouant de la lyre et datée du 8e siècle, un type par ailleurs attesté par une statuette en bronze provenant de Tyr et actuellement conservée à Copenhague. E.G.

↑ , Statuette votive d'orant:

Statuette votive d'orant :

collectionName : Proche-Orient
inventoryNb : O.04598
objectName :
objectTitle : Statuette votive d'orant
objectCulture : Phénicienne
geography :
dating : 400 BC - 301 BC
material :
technique :
dimensions : Hauteur: 17,5 cm, Largeur: 5,1 cm
legalRightOwner : Musées royaux d'art et d'histoire/Koninklijke Musea voor Kunst en Geschiedenis

objectDescription : Après une tempête en mer qui eut lieu dans les années soixante, plusieurs statuettes en terre cuite échouèrent sur la plage aux environs de la ville de Tyr et mirent des plongeurs amateurs sur la piste de la cargaison d’une ou de plusieurs épaves de bateaux chargés de statuettes votives. Le nombre de ces statuettes, qui envahirent ensuite le marché de l’art, est de l’ordre du millier d’exemplaires. Elles représentent des orants et des orantes posés sur des socles parfois décorés de coupes d’offrandes et/ou de symboles tels que des dauphins, des ancres ou le signe dit de Tanit. Il est possible que les offrandes des sanctuaires très fréquentés de Tyr étaient régulièrement évacuées et, par manque de place sur la petite île qui abritait la ville, rituellement dispersées –comme pour une tombe de marin– en les chargeant dans de vieux navires qui étaient alors coulés en pleine mer. Vu les quantités, la théorie d’une telle favissa maritime semble plus plausible que celle d’un bateau chargés d’objets religieux ayant fait naufrage, par exemple en cinglant vers Carthage. Des statuettes de ce type sont toujours inconnues dans le monde punique ou même dans l’île de Chypre tout proche. Bien que la plupart d’entre elles remontent à la période perse, quelques-unes sont archaïques. C’est le cas de la représentation d’une musicienne voilée jouant de la lyre et datée du 8e siècle, un type par ailleurs attesté par une statuette en bronze provenant de Tyr et actuellement conservée à Copenhague. E.G.

↑ , Statuette votive d'orant:

Statuette votive d'orant :

collectionName : Proche-Orient
inventoryNb : O.04599
objectName :
objectTitle : Statuette votive d'orant
objectCulture : Phénicienne
geography :
dating : 800 BC - 301 BC
material :
technique :
dimensions : Hauteur: 17,9 cm, Largeur: 5,9 cm
legalRightOwner : Musées royaux d'art et d'histoire/Koninklijke Musea voor Kunst en Geschiedenis

objectDescription : Après une tempête en mer qui eut lieu dans les années soixante, plusieurs statuettes en terre cuite échouèrent sur la plage aux environs de la ville de Tyr et mirent des plongeurs amateurs sur la piste de la cargaison d’une ou de plusieurs épaves de bateaux chargés de statuettes votives. Le nombre de ces statuettes, qui envahirent ensuite le marché de l’art, est de l’ordre du millier d’exemplaires. Elles représentent des orants et des orantes posés sur des socles parfois décorés de coupes d’offrandes et/ou de symboles tels que des dauphins, des ancres ou le signe dit de Tanit. Il est possible que les offrandes des sanctuaires très fréquentés de Tyr étaient régulièrement évacuées et, par manque de place sur la petite île qui abritait la ville, rituellement dispersées –comme pour une tombe de marin– en les chargeant dans de vieux navires qui étaient alors coulés en pleine mer. Vu les quantités, la théorie d’une telle favissa maritime semble plus plausible que celle d’un bateau chargés d’objets religieux ayant fait naufrage, par exemple en cinglant vers Carthage. Des statuettes de ce type sont toujours inconnues dans le monde punique ou même dans l’île de Chypre tout proche. Bien que la plupart d’entre elles remontent à la période perse, quelques-unes sont archaïques. C’est le cas de la représentation d’une musicienne voilée jouant de la lyre et datée du 8e siècle, un type par ailleurs attesté par une statuette en bronze provenant de Tyr et actuellement conservée à Copenhague. E.G.

↑ , Statuette votive d'orant:

Statuette votive d'orant :

collectionName : Proche-Orient
inventoryNb : O.04600
objectName :
objectTitle : Statuette votive d'orant
objectCulture : Phénicienne
geography :
dating : 800 BC - 301 BC
material :
technique :
dimensions : Hauteur: 18,2 cm, Largeur: 5,9 cm
legalRightOwner : Musées royaux d'art et d'histoire/Koninklijke Musea voor Kunst en Geschiedenis

objectDescription : Après une tempête en mer qui eut lieu dans les années soixante, plusieurs statuettes en terre cuite échouèrent sur la plage aux environs de la ville de Tyr et mirent des plongeurs amateurs sur la piste de la cargaison d’une ou de plusieurs épaves de bateaux chargés de statuettes votives. Le nombre de ces statuettes, qui envahirent ensuite le marché de l’art, est de l’ordre du millier d’exemplaires. Elles représentent des orants et des orantes posés sur des socles parfois décorés de coupes d’offrandes et/ou de symboles tels que des dauphins, des ancres ou le signe dit de Tanit. Il est possible que les offrandes des sanctuaires très fréquentés de Tyr étaient régulièrement évacuées et, par manque de place sur la petite île qui abritait la ville, rituellement dispersées –comme pour une tombe de marin– en les chargeant dans de vieux navires qui étaient alors coulés en pleine mer. Vu les quantités, la théorie d’une telle favissa maritime semble plus plausible que celle d’un bateau chargés d’objets religieux ayant fait naufrage, par exemple en cinglant vers Carthage. Des statuettes de ce type sont toujours inconnues dans le monde punique ou même dans l’île de Chypre tout proche. Bien que la plupart d’entre elles remontent à la période perse, quelques-unes sont archaïques. C’est le cas de la représentation d’une musicienne voilée jouant de la lyre et datée du 8e siècle, un type par ailleurs attesté par une statuette en bronze provenant de Tyr et actuellement conservée à Copenhague. E.G.

↑ , Déesse de la fécondité:

Déesse de la fécondité :

collectionName : Proche-Orient
inventoryNb : O.04683
objectName :
objectTitle : Déesse de la fécondité
objectCulture : syrien
geography :
dating : 1850 BC - 1800 BC
material :
technique :
dimensions : Hauteur: 15,5 cm, Largeur: 5,4 cm, Profondeur: 2,9 cm
legalRightOwner : Musées royaux d'art et d'histoire/Koninklijke Musea voor Kunst en Geschiedenis

objectDescription : de déesse-mère en forme de violon. Dans la région située à l’est de l’Oronte, au croisement des voies commerciales Nord-Sud et des routes caravanières allant de la Méditerranée à l’Euphrate, l’art de la terre cuite connut un développement dynamique dans le courant du premier quart du 2e millénaire. Plusieurs ateliers des royaumes de Yamkhad au nord (avec Alep pour capitale), de Qatna (Tell Mischrifé) au sud et d’Ebla (Tell Mardikh) entre les deux, développèrent des modèles standards rehaussés d’accents locaux dans chacune des régions. Ce groupe présente des femmes nues au corps en forme de violon, uniquement parées de chaînes au cou, de cordons à amulettes croisés et portant, parfois, une sorte de string dissimulant le sexe. Étant donné que ces accessoires sont mentionnés dans le mythe sumérien de « La descente d’Inanna aux Enfers », ces figurines ont souvent été identifiées comme représentant Inanna/Ishtar ou Astarté, bien qu’il paraisse plus prudent d’y reconnaître une allusion générale à la déesse de la fécondité. Des prototypes de cette production, qui fut à son tour reprise par des artistes chypriotes, sont connus en Élam (Suse). E.G.

↑ , Statuette votive d'orant:

Statuette votive d'orant :

collectionName : Proche-Orient
inventoryNb : O.04696
objectName :
objectTitle : Statuette votive d'orant
objectCulture : Phénicienne
geography :
dating : 800 BC - 301 BC
material :
technique :
dimensions : Hauteur: 35 cm, Largeur: 8,7 cm, Profondeur: 6,4 cm
legalRightOwner : Musées royaux d'art et d'histoire/Koninklijke Musea voor Kunst en Geschiedenis

objectDescription : Orante voilée sur socle en forme de pylône. Après une tempête en mer qui eut lieu dans les années soixante, plusieurs statuettes en terre cuite échouèrent sur la plage aux environs de la ville de Tyr et mirent des plongeurs amateurs sur la piste de la cargaison d’une ou de plusieurs épaves de bateaux chargés de statuettes votives. Le nombre de ces statuettes, qui envahirent ensuite le marché de l’art, est de l’ordre du millier d’exemplaires. Elles représentent des orants et des orantes posés sur des socles parfois décorés de coupes d’offrandes et/ou de symboles tels que des dauphins, des ancres ou le signe dit de Tanit. Il est possible que les offrandes des sanctuaires très fréquentés de Tyr étaient régulièrement évacuées et, par manque de place sur la petite île qui abritait la ville, rituellement dispersées –comme pour une tombe de marin– en les chargeant dans de vieux navires qui étaient alors coulés en pleine mer. Vu les quantités, la théorie d’une telle favissa maritime semble plus plausible que celle d’un bateau chargés d’objets religieux ayant fait naufrage, par exemple en cinglant vers Carthage. Des statuettes de ce type sont toujours inconnues dans le monde punique ou même dans l’île de Chypre tout proche. Bien que la plupart d’entre elles remontent à la période perse, quelques-unes sont archaïques. C’est le cas de la représentation d’une musicienne voilée jouant de la lyre et datée du 8e siècle, un type par ailleurs attesté par une statuette en bronze provenant de Tyr et actuellement conservée à Copenhague. E.G.

↑ , Statuette votive d'orant:

Statuette votive d'orant :

collectionName : Proche-Orient
inventoryNb : O.04697
objectName :
objectTitle : Statuette votive d'orant
objectCulture : Phénicienne
geography :
dating : 800 BC - 301 BC
material :
technique :
dimensions :
legalRightOwner : Musées royaux d'art et d'histoire/Koninklijke Musea voor Kunst en Geschiedenis

objectDescription : Après une tempête en mer qui eut lieu dans les années soixante, plusieurs statuettes en terre cuite échouèrent sur la plage aux environs de la ville de Tyr et mirent des plongeurs amateurs sur la piste de la cargaison d’une ou de plusieurs épaves de bateaux chargés de statuettes votives. Le nombre de ces statuettes, qui envahirent ensuite le marché de l’art, est de l’ordre du millier d’exemplaires. Elles représentent des orants et des orantes posés sur des socles parfois décorés de coupes d’offrandes et/ou de symboles tels que des dauphins, des ancres ou le signe dit de Tanit. Il est possible que les offrandes des sanctuaires très fréquentés de Tyr étaient régulièrement évacuées et, par manque de place sur la petite île qui abritait la ville, rituellement dispersées –comme pour une tombe de marin– en les chargeant dans de vieux navires qui étaient alors coulés en pleine mer. Vu les quantités, la théorie d’une telle favissa maritime semble plus plausible que celle d’un bateau chargés d’objets religieux ayant fait naufrage, par exemple en cinglant vers Carthage. Des statuettes de ce type sont toujours inconnues dans le monde punique ou même dans l’île de Chypre tout proche. Bien que la plupart d’entre elles remontent à la période perse, quelques-unes sont archaïques. C’est le cas de la représentation d’une musicienne voilée jouant de la lyre et datée du 8e siècle, un type par ailleurs attesté par une statuette en bronze provenant de Tyr et actuellement conservée à Copenhague. E.G.

↑ , Statuette votive d'orant:

Statuette votive d'orant :

collectionName : Proche-Orient
inventoryNb : O.04698
objectName :
objectTitle : Statuette votive d'orant
objectCulture : Phénicienne
geography :
dating : 800 BC - 301 BC
material :
technique :
dimensions : Hauteur: 18,5 cm, Largeur: 3,8 cm, Profondeur: 3,1 cm
legalRightOwner : Musées royaux d'art et d'histoire/Koninklijke Musea voor Kunst en Geschiedenis

objectDescription : Déesse-mère sur socle en forme de pylône (Cf. O.4696) Après une tempête en mer qui eut lieu dans les années soixante, plusieurs statuettes en terre cuite échouèrent sur la plage aux environs de la ville de Tyr et mirent des plongeurs amateurs sur la piste de la cargaison d’une ou de plusieurs épaves de bateaux chargés de statuettes votives. Le nombre de ces statuettes, qui envahirent ensuite le marché de l’art, est de l’ordre du millier d’exemplaires. Elles représentent des orants et des orantes posés sur des socles parfois décorés de coupes d’offrandes et/ou de symboles tels que des dauphins, des ancres ou le signe dit de Tanit. Il est possible que les offrandes des sanctuaires très fréquentés de Tyr étaient régulièrement évacuées et, par manque de place sur la petite île qui abritait la ville, rituellement dispersées –comme pour une tombe de marin– en les chargeant dans de vieux navires qui étaient alors coulés en pleine mer. Vu les quantités, la théorie d’une telle favissa maritime semble plus plausible que celle d’un bateau chargés d’objets religieux ayant fait naufrage, par exemple en cinglant vers Carthage. Des statuettes de ce type sont toujours inconnues dans le monde punique ou même dans l’île de Chypre tout proche. Bien que la plupart d’entre elles remontent à la période perse, quelques-unes sont archaïques. C’est le cas de la représentation d’une musicienne voilée jouant de la lyre et datée du 8e siècle, un type par ailleurs attesté par une statuette en bronze provenant de Tyr et actuellement conservée à Copenhague. E.G.

↑ , Statuette votive d'orant:

Statuette votive d'orant :

collectionName : Proche-Orient
inventoryNb : O.04699
objectName :
objectTitle : Statuette votive d'orant
objectCulture : Phénicienne
geography :
dating : 800 BC - 301 BC
material :
technique :
dimensions : Hauteur: 17,5 cm, Largeur: 4 cm, Profondeur: 3,6 cm
legalRightOwner : Musées royaux d'art et d'histoire/Koninklijke Musea voor Kunst en Geschiedenis

objectDescription : Après une tempête en mer qui eut lieu dans les années soixante, plusieurs statuettes en terre cuite échouèrent sur la plage aux environs de la ville de Tyr et mirent des plongeurs amateurs sur la piste de la cargaison d’une ou de plusieurs épaves de bateaux chargés de statuettes votives. Le nombre de ces statuettes, qui envahirent ensuite le marché de l’art, est de l’ordre du millier d’exemplaires. Elles représentent des orants et des orantes posés sur des socles parfois décorés de coupes d’offrandes et/ou de symboles tels que des dauphins, des ancres ou le signe dit de Tanit. Il est possible que les offrandes des sanctuaires très fréquentés de Tyr étaient régulièrement évacuées et, par manque de place sur la petite île qui abritait la ville, rituellement dispersées –comme pour une tombe de marin– en les chargeant dans de vieux navires qui étaient alors coulés en pleine mer. Vu les quantités, la théorie d’une telle favissa maritime semble plus plausible que celle d’un bateau chargés d’objets religieux ayant fait naufrage, par exemple en cinglant vers Carthage. Des statuettes de ce type sont toujours inconnues dans le monde punique ou même dans l’île de Chypre tout proche. Bien que la plupart d’entre elles remontent à la période perse, quelques-unes sont archaïques. C’est le cas de la représentation d’une musicienne voilée jouant de la lyre et datée du 8e siècle, un type par ailleurs attesté par une statuette en bronze provenant de Tyr et actuellement conservée à Copenhague. E.G.

↑ , Statuette votive d'orant:

Statuette votive d'orant :

collectionName : Proche-Orient
inventoryNb : O.04700
objectName :
objectTitle : Statuette votive d'orant
objectCulture : Phénicienne
geography :
dating : 800 BC - 701 BC Inconnue
material :
technique :
dimensions : Hauteur: 20,5 cm
legalRightOwner : Musées royaux d'art et d'histoire/Koninklijke Musea voor Kunst en Geschiedenis

objectDescription : Déesse voilée jouant de la lyre. Après une tempête en mer qui eut lieu dans les années soixante, plusieurs statuettes en terre cuite échouèrent sur la plage aux environs de la ville de Tyr et mirent des plongeurs amateurs sur la piste de la cargaison d’une ou de plusieurs épaves de bateaux chargés de statuettes votives. Le nombre de ces statuettes, qui envahirent ensuite le marché de l’art, est de l’ordre du millier d’exemplaires. Elles représentent des orants et des orantes posés sur des socles parfois décorés de coupes d’offrandes et/ou de symboles tels que des dauphins, des ancres ou le signe dit de Tanit. Il est possible que les offrandes des sanctuaires très fréquentés de Tyr étaient régulièrement évacuées et, par manque de place sur la petite île qui abritait la ville, rituellement dispersées –comme pour une tombe de marin– en les chargeant dans de vieux navires qui étaient alors coulés en pleine mer. Vu les quantités, la théorie d’une telle favissa maritime semble plus plausible que celle d’un bateau chargés d’objets religieux ayant fait naufrage, par exemple en cinglant vers Carthage. Des statuettes de ce type sont toujours inconnues dans le monde punique ou même dans l’île de Chypre tout proche. Bien que la plupart d’entre elles remontent à la période perse, quelques-unes sont archaïques. C’est le cas de la représentation d’une musicienne voilée jouant de la lyre et datée du 8e siècle, un type par ailleurs attesté par une statuette en bronze provenant de Tyr et actuellement conservée à Copenhague. E.G.

↑ , Cuillère à libation:

Cuillère à libation :

collectionName : Proche-Orient
inventoryNb : O.04710
objectName :
objectTitle : Cuillère à libation
objectCulture : syrien
geography :
dating : 1000 BC - 751 BC
material :
technique :
dimensions : Profondeur: 8,6 cm
legalRightOwner : Musées royaux d'art et d'histoire/Koninklijke Musea voor Kunst en Geschiedenis

objectDescription : La production de cuillères à libation ou à offrande connut un rapide essor au début du 1er millénaire, jusqu’à ce que les États araméens du nord de la Syrie soient englobés dans le royaume assyrien. La plaine du Ghab sur le Moyen-Oronte jouait le rôle d’épicentre pour ces objets qui étaient tantôt non décorés, tantôt présentaient, dans la partie inférieure du cuilleron, une main ou un arbre sacré en relief. Des coupelles maintenues entre les dents d’un lion apparaissent également, parfois ornées de marqueterie et imitant de manière assez baroque l’art de l’ivoire. Certains auteurs, se basant sur des prototypes égyptiens et hittites, supposent qu’elles étaient montées sur un long manche perforé à l’aide duquel des libations étaient offertes. D’autres estiment qu’elles servaient de bouchon et de petites coupes à servir le vin contenu dans des outres en peau d’animal. E.G.

↑ , Cuillère à libation:

Cuillère à libation :

collectionName : Proche-Orient
inventoryNb : O.04711
objectName :
objectTitle : Cuillère à libation
objectCulture : syrien
geography :
dating : 1000 BC - 751 BC
material :
technique :
dimensions : Profondeur: 6,8 cm
legalRightOwner : Musées royaux d'art et d'histoire/Koninklijke Musea voor Kunst en Geschiedenis

objectDescription : La production de cuillères à libation ou à offrande connut un rapide essor au début du 1er millénaire, jusqu’à ce que les États araméens du nord de la Syrie soient englobés dans le royaume assyrien. La plaine du Ghab sur le Moyen-Oronte jouait le rôle d’épicentre pour ces objets qui étaient tantôt non décorés, tantôt présentaient, dans la partie inférieure du cuilleron, une main ou un arbre sacré en relief. Des coupelles maintenues entre les dents d’un lion apparaissent également, parfois ornées de marqueterie et imitant de manière assez baroque l’art de l’ivoire. Certains auteurs, se basant sur des prototypes égyptiens et hittites, supposent qu’elles étaient montées sur un long manche perforé à l’aide duquel des libations étaient offertes. D’autres estiment qu’elles servaient de bouchon et de petites coupes à servir le vin contenu dans des outres en peau d’animal. E.G.

↑ , Statuette d'orant:

Statuette d'orant :

collectionName : Proche-Orient
inventoryNb : O.04754
objectName :
objectTitle : Statuette d'orant
objectCulture : Mésopotamienne
geography :
dating : 2550 BC - 2350 BC
material :
technique :
dimensions : Hauteur: 8 cm, Largeur: 5,5 cm
legalRightOwner : Musées royaux d'art et d'histoire/Koninklijke Musea voor Kunst en Geschiedenis

objectDescription : La période du Dynastique Archaïque voit le développement d’une statuaire privée figurant des individus, hommes ou femmes, les mains jointes, serrant parfois contre le torse un récipient ou un animal. Il est généralement admis que ce type de statuettes représente des fidèles figés dans une position d’offrande. Déposées par leur commanditaire dans les temples, elles avaient pour vocation de perpétuer leur geste auprès de la divinité. Cet orant acéphale est vêtu du fameux kaunakès, habit énigmatique dont ignore s’il était porté quotidiennement ou à l’occasion de cérémonies religieuses. Si cette statuette, au rendu maladroit, est loin de rivaliser avec certains orants de la région de Diyala ou de Mari, elle n’en est pas pour autant dénuée d’intérêt car elle se distingue par sa coiffure formée de deux longues mèches dont l’extrémité s’enroule autour d’un orifice. En effet, cette coiffure est totalement inédite dans la catégorie des statues d’orants. V.V.

↑ , Oeuf d'autruche à perforations:

Oeuf d'autruche à perforations :

collectionName : Proche-Orient
inventoryNb : O.04759
objectName :
objectTitle : Oeuf d'autruche à perforations
objectCulture : Levant méridional
geography :
dating : 8500 BC - 4500 BC
material :
technique :
dimensions : Hauteur: 13,6 cm, Largeur: 11,6 cm
legalRightOwner : Musées royaux d'art et d'histoire/Koninklijke Musea voor Kunst en Geschiedenis

objectDescription : Cet œuf d’autruche intact qui, d’après les rumeurs, proviendrait d’un site préhistorique, a servi de récipient à des substances liquides. La raison d’être des quatre petites perforations, dans la partie supérieure, n’est pas claire, mais elles étaient peut-être destinées à fixer un petit couvercle sur l’œuf, voire une tétine. L’autruche arabique (Struthio camelus syriacus), une espèce aujourd’hui éteinte, était de taille plus petite que son homologue nord-africain. Le dernier individu de cette sous-espèce fut abattu vers 1940-1945 à Bahreïn. Des informations d’ordre ethno-historique, de nombreuses représentations de l’animal et des mises au jour d’écailles d’œuf nous indiquent que ce volatile était largement répandu dans les régions désertiques du Moyen-Orient (péninsule arabique, Sinaï, Jordanie, Israël et Syrie). Les restes d’ossements d’autruches sont très rarement retrouvés sur les sites archéologiques, ce qui signifie que cette espèce était peu chassée pour sa chair. Quant aux plumes et aux œufs de l’autruche, ils étaient essentiellement appréciés dans la parure et comme récipients. Ces derniers furent, dans les périodes tardives, fréquemment pourvus d’un décor gravé et/ou peint et apparaissent parfois aussi en contexte funéraire ou même purement rituel (voir cat. 509) D.H.

↑ , Cuillère à libation:

Cuillère à libation :

collectionName : Proche-Orient
inventoryNb : O.04760
objectName :
objectTitle : Cuillère à libation
objectCulture : syrien
geography :
dating : 1000 BC - 501 BC
material :
technique :
dimensions : Hauteur: 4 cm, Largeur: 5 cm, Profondeur: 9 cm
legalRightOwner : Musées royaux d'art et d'histoire/Koninklijke Musea voor Kunst en Geschiedenis

objectDescription : La production de cuillères à libation ou à offrande connut un rapide essor au début du 1er millénaire, jusqu’à ce que les États araméens du nord de la Syrie soient englobés dans le royaume assyrien. La plaine du Ghab sur le Moyen-Oronte jouait le rôle d’épicentre pour ces objets qui étaient tantôt non décorés, tantôt présentaient, dans la partie inférieure du cuilleron, une main ou un arbre sacré en relief. Des coupelles maintenues entre les dents d’un lion apparaissent également, parfois ornées de marqueterie et imitant de manière assez baroque l’art de l’ivoire. Certains auteurs, se basant sur des prototypes égyptiens et hittites, supposent qu’elles étaient montées sur un long manche perforé à l’aide duquel des libations étaient offertes. D’autres estiment qu’elles servaient de bouchon et de petites coupes à servir le vin contenu dans des outres en peau d’animal. E.G.

↑ , Cuillère à libation:

Cuillère à libation :

collectionName : Proche-Orient
inventoryNb : O.04765
objectName :
objectTitle : Cuillère à libation
objectCulture : Araméenne
geography :
dating : 1000 BC - 501 BC
material :
technique :
dimensions : Hauteur: 9,5 cm, Largeur: 6,8 cm, Profondeur: 3,2 cm
legalRightOwner : Musées royaux d'art et d'histoire/Koninklijke Musea voor Kunst en Geschiedenis

objectDescription : La production de cuillères à libation ou à offrande connut un rapide essor au début du 1er millénaire, jusqu’à ce que les États araméens du nord de la Syrie soient englobés dans le royaume assyrien. La plaine du Ghab sur le Moyen-Oronte jouait le rôle d’épicentre pour ces objets qui étaient tantôt non décorés, tantôt présentaient, dans la partie inférieure du cuilleron, une main ou un arbre sacré en relief. Des coupelles maintenues entre les dents d’un lion apparaissent également, parfois ornées de marqueterie et imitant de manière assez baroque l’art de l’ivoire. Certains auteurs, se basant sur des prototypes égyptiens et hittites, supposent qu’elles étaient montées sur un long manche perforé à l’aide duquel des libations étaient offertes. D’autres estiment qu’elles servaient de bouchon et de petites coupes à servir le vin contenu dans des outres en peau d’animal. E.G.

↑ , Cuillère à libation:

Cuillère à libation :

collectionName : Proche-Orient
inventoryNb : O.04766
objectName :
objectTitle : Cuillère à libation
objectCulture : Araméenne
geography :
dating : 1000 BC - 501 BC
material :
technique :
dimensions : Hauteur: 9 cm, Largeur: 5,5 cm, Profondeur: 3,5 cm
legalRightOwner : Musées royaux d'art et d'histoire/Koninklijke Musea voor Kunst en Geschiedenis

objectDescription : La production de cuillères à libation ou à offrande connut un rapide essor au début du 1er millénaire, jusqu’à ce que les États araméens du nord de la Syrie soient englobés dans le royaume assyrien. La plaine du Ghab sur le Moyen-Oronte jouait le rôle d’épicentre pour ces objets qui étaient tantôt non décorés, tantôt présentaient, dans la partie inférieure du cuilleron, une main ou un arbre sacré en relief. Des coupelles maintenues entre les dents d’un lion apparaissent également, parfois ornées de marqueterie et imitant de manière assez baroque l’art de l’ivoire. Certains auteurs, se basant sur des prototypes égyptiens et hittites, supposent qu’elles étaient montées sur un long manche perforé à l’aide duquel des libations étaient offertes. D’autres estiment qu’elles servaient de bouchon et de petites coupes à servir le vin contenu dans des outres en peau d’animal. E.G.

↑ , Théière sur piedouche:

Théière sur piedouche :

collectionName : Chine
inventoryNb : V.1303 AB
objectName :
objectTitle : Théière sur piedouche
objectCulture :
geography :
dating :
material :
technique :
dimensions :
legalRightOwner : Musées royaux d'art et d'histoire/Koninklijke Musea voor Kunst en Geschiedenis

objectDescription : Ce type de brun sous couverte est parfois appellé 'brun capucin' ou 'batavia brown' dans la littérature anglaise. Le modèle sur piedouche est rare et peut être réalisé d'après des modèles européens en orfèvrerie ou porcelaine

↑ , :

:

collectionName : Chine
inventoryNb : V.1562
objectName :
objectTitle :
objectCulture :
geography :
dating : AD 1735 - AD 1750
material :
technique :
dimensions :
legalRightOwner : Musées royaux d'art et d'histoire/Koninklijke Musea voor Kunst en Geschiedenis

objectDescription : En Chine, des séries de vases décoratifs - potiches et cornets - se plaçaient dans les salles de réception et sur les autels. Des séries analogues, dont les formes évoluèrent en dehors des influences européennes, furent tôt faites pour l’exportation, dans différentes tailles. Appelées “ garnitures de cheminées ”, elles comprenaient d’ordinaire cinq pièces, c’est-à-dire trois potiches et deux cornets. En tant que garnitures de cheminées, et c’est le rôle qui leur fut le plus constamment dévolu en Europe, ces séries chinoises entraient en concurrence avec les garnitures de facture européenne. Au XVIIe siècle, ces dernières se composaient modestement de deux ou trois petits vases, mais devinrent ensuite des ensembles beaucoup plus prestigieux et envahissants, tandis que le manteau de cheminée se dépouillait de sa peinture décorative et de ses bas-reliefs. Et jusqu’à la fin du XVIIIe siècle, qu’elles fussent orientales ou européennes, la faïence et la porcelaine régnèrent souverainement à cet endroit pour être relayées alors et jusqu’à nos jours par la pendule flanquée de deux candélabres. En fait, le phénomène de la “ garniture de cheminée ” s’inscrit dans un cadre plus vaste. Depuis le XVIIe siècle en effet, l’habitude fut prise en Europe de garnir les intérieurs d’objets décoratifs comme bols, plats, vases et potiches. Réalisés d’abord en faïence de Delft pour la plupart, ils trouvèrent leur place non seulement sur les cheminées, mais aussi sur les armoires, sur les linteaux de porte et même parfois sur les ciels de lits. Dès leur diffusion en Europe dans la seconde moitié du XVIIe siècle, les pièces décoratives en provenance de Chine et du Japon furent accueillies avec enthousiasme par la noblesse. De grandes collections se formèrent un peu partout, nécessitant la création d’un salon spécial : le cabinet de porcelaines. Ainsi, dès la fin du XVIIe siècle, les porcelaines orientales en vinrent-elles à orner non seulement les manteaux de cheminée, mais aussi les consoles ménagées sur toute la hauteur du lambris.

↑ , Inrô à quatre compartiments:

Inrô à quatre compartiments :

collectionName : Japon
inventoryNb : VDB.339
objectName :
objectTitle : Inrô à quatre compartiments
objectCulture :
geography :
dating : ca. AD 1825 - AD 1875
material :
technique :
dimensions :
legalRightOwner :

objectDescription : Hirai Masatsune. Sign. : Shôkasai. Laque sur bois. Décor en usuniku takamaki-e et en takamaki-e d'or et d'argent sur fond de kinji et partiellement de nashiji ; intérieur orné au nashiji. Ojime en ambre. Netsuke du XIXe s. en ivoire ; sign. : Gyokuzan. Sur une face, on voit Jurôjin chevauchant sa monture attitrée, le daim blanc, et tenant son attribut, le rouleau de la sagesse au bout de son bâton noueux, une scène qui se passe près d'un prunier en fleur et d'un pin, symboles de longévité ; sur l'autre face, apparaît la cigogne, compagne de Jurôjin, suivie d'un enfant chinois. Pour répondre à Jurôjin, l'un des Sept Dieux de la Bonne Fortune, le netsuke sculpté prend la forme de Fukurokuju, un autre dieu du même cénacle, avec qui on le confond parfois.
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